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  • Image du vendeur pour [Photographie] Extraordinaire réunion de photographies de Maurice Blanchot prises dans la sphère familiale mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (BLANCHOT Maurice)

    Date d'édition : 1907

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Photographie Edition originale

    EUR 40 250

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    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    autre. - ca.1907-2003, Un album photographique de 30x32cm contenant 260 photographies. - Album de 260 photographies originales, composant le seul corpus photographique de Maurice Blanchot et de sa famille, à l'exception de quelques photographies isolées, d'identité ou tardives publiées dans le cahier de l'Herne consacré à l'écrivain. «?Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations?: en 1962 dans L'Express, une main brandit un livre, sur fond de page ; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini («?un vide d'univers?: rien qui fut visible, rien qui fut invisible?»)?» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, Maurice Blanchot demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«?apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre?» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Levinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «?l'espacement de l'inquiétude?», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort. Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot paru en 2014 complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXè siècle. Dans son chapitre «?L'indisposition du secret?», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir?: «?Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s'entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître.?» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) Maurice Blanchot refusait généralement d'être photographié, même dans le cadre privé, comme le confirme la famille de sa belle-s ur Anna qui, dans une lettre à son neveu, lui confirme n'avoir pris aucun cliché de l'écrivain, respectant ainsi ses v ux. Pourtant, les photographies prises au sein de sa famille proche, nous montrent un Blanchot parfaitement consentant, et jouant même avec raffinement avec son image offerte au photographe, généralement son frère. Ainsi découvre-t-on un homme élégant posant fièrement sur un ponton de bateau ou sur les quais de Seine, ou plus mystérieux, jouant avec les effets de lumière dans le coin d'une pièce nue. On constate alors une véritable mise en scène photographique, et une réappropriation symbolique de l'image, notamment dans cet étonnant portrait assis de l'écrivain tenant dans ses bras le masque mortuaire de l'«?Inconnue de la Seine?», célèbre tête en plâtre d'une jeune femme supposée noyée et qui orna les ateliers d'artistes après 1900. Véritable légende romantique, cette sculpture au mystérieux sourire post mortem est au c ur du roman d'Aragon, Aurélien, et hante les uvres des artistes du début du siècle dont Rainer Maria Rilke, Vladimir Nabokov, Claire Goll, Jules Supervielle, Louis-Ferdinand Céline, Giacometti ou Man Ray qui, à la demande d'Aragon, en fit un inquiétant portrait photographique. Maurice Blanchot décrira l'inconnue comme «?une adolescente aux yeux clos, mais vivante par un sourire si délié, si fortuné, [.] qu'on eût pu croire qu'elle s'était noyée dans.

  • Image du vendeur pour Portrait photographique,1920. mis en vente par Librairie Benjamin Pitchal

    HÖCH Hannah.

    Vendeur : Librairie Benjamin Pitchal, Bruxelles, Belgique

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Photographie Edition originale

    EUR 18 000

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    Pas de couverture. Etat : Très bon. Edition originale. HÖCH Hannah. Portrait photographique,1920. [Berlin, été 1920] : tirage argentique d époque (164 x 119 mm), tampons au verso : Photothek Berlin S.W.20 Belle-Alliancestraat 82 , étiquette de presse avec légende en français contrecollée : Exposition d art das Dadaistes à Berlin. // la dadaiste Hanna Höch en conversation avec les modèles de leur filles qui devront être né en 1927 . Célèbre portrait d Hannah Höch avec les deux Dada-Puppen qu elle présentait lors de la Erste Internationale Dada-Messe (Première foire internationale Dada) qui s est tenue à la galerie berlinoise d Otto Burchald du 30 juin au 28 août 1920. On connaît 8 photographies de l événement, la plupart prises par un photographe de l agence de presse Photothek. Après sa rencontre en 1915 avec Raoul Haussmann, Hannah Höch fut de la fin 1917 à 1922 l une des protagonistes de Dada-Berlin, en compagnie d Haussmann, Georges Grosz et John Heartfield. Seule femme exposée lors de la manifestation, sa présence dans le groupe fut aussi contestée à l époque qu elle fut, a posteriori, minorée par les autres acteurs. On lui attribua des rôles d intendance et de financement, notamment car elle seule travaillait et gagnait sa vie ; dans un bref texte de 1920, Der Maler [Le Peintre], Hannah höch dénonce la mysoginie d un groupe d avant-garde imaginaire. Référence : Berlin, Berlinische Galerie : Hannah Höch, ihr Werk, ihr Leben, ihre Freunde, 1989, p. 10.

  • Image du vendeur pour [LOY Mina]. PHOTOGRAPHIE ORIGINALE, 1917. mis en vente par Librairie Benjamin Pitchal

    [LOY Mina]

    Date d'édition : 1917

    Vendeur : Librairie Benjamin Pitchal, Bruxelles, Belgique

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    Edition originale

    EUR 12 000

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    Pas de couverture. Etat : Comme neuf. Edition originale. Tirage argentique d époque (182 x 122 mm), monté sur un support original de papier vergé et carton (230 x 160 mm), signé par le photographe sur le support en bas à gauche. Rehauts à la mine de plomb sur le tirage. Portrait photographique inédit de la poétesse, variante du cliché illustrant le premier article que lui consacra la presse américaine (New York Evening Sun, 17 février 1917), avec cette légende : Mina Loy, Painter, poet and playwright, doesn t try to express her personality by wearing odd looking draperies her clothes suggest the smartest shops, but her poems would have fuzzled grandma. Après avoir fréquenté les futuristes à Florence, où en 1914 elle écrivit notamment son Manifeste Féministe, Mina Loy arriva à New-York en 1916 et fut accueillie dans les cercles littéraires et artistiques. Joseph Stiglitz lui avait déjà ouvert les pages de sa revue Camera Works en publiant en 1914 Aphorisms on Futurism . La parution Songs to Joannes dans Others puis Poetry, sera saluée par Ezra Pound et William Carlos William. Bien que l original ait été perdu, le portrait illustrant l article de l Evening Sun est l un des plus célèbres de la poètesse. On le trouve reproduit dans tous les ouvrages qui lui sont consacrés. Who is she, where is she, what is she this modern woman that people are always talking about ? [.] Try Mina Loy ; you know she writes free verse and things like that. If she isn t the modern woman, who is, pray ? En 1917, Mina Loy fit la rencontre d Arthur Cravan, qui venait de se signaler en donnant, dans son style caractéristique, ivre mort et torse nu, une conférence sur l art moderne au terme de laquelle les agents du Grand Central Palace le conduisirent au commissariat. Loy et Cravan se marièrent en janvier 1918 à Mexico ; leur fils naquit quelques mois après la mystérieuse disparition du poète-boxeur, en novembre 1918, au large de Salina Cruz. Provenance : Florence Gilliam, femme de lettre américaine vivant à Paris, elle dirigea les revues modernistes Quill et Gargoyle. Son article Paris Women in Arts (Charms, mars 1925) évoque longuement la figure de Mina Loy. 12 000 .

  • [CHURCHILL] - VIVIENNE (Florence)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

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    EUR 12 000

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    [London: Vivienne, 20th Century Studios Ltd., 1950]. 1 tirage original, signé "Vivienne, London", monté sur carton fort, encadré. [London: Vivienne, 20th Century Studios Ltd., 1950]. 1 tirage original, signé « Vivienne, London », monté sur carton fort, encadré. Tirage original, signé par la photographe dans l?angle inférieur gauche, à l?encre. Rare tirage offert par Winston Churchill à son secrétaire personnel au 10, Downing Street, Peter Geoffrey Oates, avec ex-dono signé et daté. Homme de confiance du Premier Ministre Clement Attlee au début de l'année 1951, il le reste de Winston Churchill après sa victoire aux élections d'octobre, qui le gardera à son service jusqu'à devenir un proche du couple Churchill, ainsi que de nombreuses lettres l'attestent. Churchill, qui travaillait au lit le matin, dormait l'après-midi et travaillait après le dîner jusqu'à 3 heures du matin et plus tard, demanda beaucoup à son secrétaire privé, lequel supportait avec flegme ses fréquents accès de colère. L'envoi est daté de 1954, un avant qu'il ne cède sa place de Premier ministre à Anthony Eden. Florence Vivienne Entwistle débuta dans la photographie en aidant en 1934 son mari, Ernest Entwistle et son fils, Antony. Elle créa son propre studio à la fin des années 1930 et se spécialisa dans les portraits de personnalités. Les relations avec les Churchill dépassèrent le strict cadre professionnel puisque, en octobre 1949, la fille des Churchill, Sarah, épouse le fils de Vivienne, Antony. Les Churchill « apprendra le mariage. par les journaux et en furent très contrariés. surtout Clémentine, qui le prend très mal ». Néanmoins, le 19 décembre 1949, le couple Churchill rencontre le couple Vivienne et, « après un agréable déjeuner ensemble, Florence Vivienne réalise le portraits de Winston Churchill, dans son studio de Piccadilly » (Gilbert, Vol. VIII, p. 496). Le portrait plut tant à Churchill qu'il l'utilisera dès l'année suivante, pour la campagne des élections générales de février 1950 et qu'il deviendra l'un des plus célèbres du Prime Minister. Florence Vivienne était connue pour exiger de ses sujets qu'ils viennent dans son studio et la jaquette qui orne son autobiographie (They Came to My Studio, publiée en 1956) est illustrée par cette photographie. Vivienne rappelle (p. 16) combien cette image est devenue iconique, et qu'elle était alors la seule qu'elle ait prise de Churchill. La relation avec les Churchill devenant familiale, Vivienne « est peut-être la seule photographe à avoir eu le privilège de photographier toute la famille » dans le cadre privé, réalisant celui de Clémentine quelques semaines plus tard. La National Portrait Gallery conserve 214 portraits de Vivienne, dont celui-ci, faussement daté de 1951, dont 14 pour la famille Churchill, la plupart pris dans leur maison de campagne, Chartwell.

  • Image du vendeur pour Chronique des temps héroïques mis en vente par Librairie Walden

    JACOB (Max)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

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    S.l.n.d. [Saint-Benoît-sur-Loire, vers 1936-1937]. Manuscrit autographe à l'encre noire de 70 feuillets in-4, numérotés 23-92 [avec un f. 74 bis, f. 70 manquant], montés sur onglets.Maroquin bordeaux, dos lisse, double encadrement de filets à froid sur les plats, encadrement intérieur de même maroquin orné de filets à froid, tranches dorées (Semet et Plumelle). Important manuscrit autographe de travail, avec corrections, ratures, ainsi que variantes et passages inédits, et ayant appartenu à Louis Broder, premier éditeur du texte. Monté en tête : portrait photographique de Max Jacob, le montrant dans sa chambre de la rue Gabrielle en 1917, selon la légende manuscrite au dos (tirage argentique, 239 x 180 mm). Il a servi à l?établissement du texte pour la version publiée en 1956. Ce témoignage capital et de première main sur le cubisme devait initialement introduire les mémoires du marchand d'art Paul Guillaume, disparu en 1934. Max Jacob y travailla plusieurs années, mais n'en publia qu'un fragment en janvier 1937 dans la revue Les Feux de Paris sous le titre « Le Tiers transporté ». Pour le quatre-vingtième anniversaire de la naissance de l'auteur en 1956, Louis Broder en publia la version intégrale, avec des illustrations de Picasso, l'ami historique de Max Jacob. Les pages 36-38 offrent plusieurs passages raturés, restés inédits. Par ailleurs, le manuscrit diffère légèrement de l'édition dans l'emplacement des titres et sous-titres. C'est à partir de ce jeu que Broder publia ces Chronique des temps héroïques, en y ajoutant la partie publiée dans Les Feux de Paris, en 1937, dont le manuscrit lui manquait à l'époque (p. 1-33, feuillets 1-22). Propriété du libraire Bernard Loliée, il fut vendu lors de la vente de la bibliothèque (22 mai 2019, n° 27.)À l'issue de la publication du volume, Broder fit relier l'ensemble de ses manuscrits à l'identique de l'exemplaire unique sur papier japon qu'il s'était dessiné : un décor de filets à froid, composé par Plumelle sur une reliure de maroquin bordeaux établie par Semet. Dans l'idée d'y adjoindre un jour les 22 feuillets du début du texte, Broder demanda à son relieur de réserver la place nécessaire en tête de volume, ou figurent autant de feuillets vierges, prêts à les recevoir. Le manuscrit Broder commence donc à la page 33 du texte publié et offre toute la suite des Temps héroïques - à l'exception du chapitre VI, qui est ici remplacé par trois pages inédites intitulées « Voyage en Suisse » (p. 71-73), acquises chez un libraire parisien en 1966 : « Ils sont inédits et doivent prendre place avant la page 99 de la Chronique des temps héroïques, en début de chapitre » et du folio 70 « page de titre de la seconde partie ? ».Le catalogue de la vente Loliée mentionne deux chapitres des Temps héroïques conservés dans des collections publiques : « Mouvement moderne » à la bibliothèque d'Orléans, et « Art nègre » au fonds Gompel-Netter de la BnF. Après consultation, ils ne constituent pas à proprement parler des parties originales du manuscrit, mais des notes et des articles préparatoires.

  • Image du vendeur pour Portrait photographique dédicacé d'Alfred Dreyfus mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    [DREYFUS Alfred] GERSCHEL Charles

    Edité par Gerschel, 1899

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Livre Edition originale Signé

    EUR 11 500

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    autre. - Gerschel, Paris s.d. (1899), 10,7x16,3cm, une photographie au format carte-cabinet. - Portrait photographique original sur papier albuminé, contrecollé sur un carton du studio photographique Gerschel. Quelques restaurations. Rarissime envoi autographe signé d'Alfred Dreyfus en marge haute du cliché : "Souvenir reconnaissant et affectueux. A. Dreyfus" Ce portrait a été pris par Charles Gerschel le 27 septembre 1899 dans le jardin de Joseph Valabrègue, beau-frère d'Alfred Dreyfus, à Carpentras où le capitaine, gracié depuis une semaine, était venu chercher isolement et repos dans l'attente de sa réhabilitation. Nous n'avons pu retrouver qu'un unique autre exemplaire de cette photographie, dédicacée à Bernard Lazare, aujourd'hui au Musée de Bretagne. Ce même musée conserve une lettre de Charles Gerschel - à Lucie Dreyfus - femme du capitaine, attestant de la rareté de ces portraits : « Il n'en est pas sorti une épreuve de chez moi si ce n'est pour en donner (et non en vendre, j'insiste sur ce point) à quelques amis sûrs et dévoués. Quant aux portraits du capitaine effectivement j'ai appris qu'un de mes employés s'est permis d'en remettre à un marchand. Par téléphone j'ai immédiatement fait arrêter ce trafic. » Les portraits photographiques originaux de Dreyfus sont rarissimes et celui en notre possession a été tiré à tout petit nombre uniquement pour Alfred Dreyfus et probablement dans le but d'être offert à ses soutiens. Provenance : de la bibliothèque d'Anselme Weill. Le Docteur Anselme Weill fut celui qui annonça à la famille Dreyfus sa condamnation à perpétuité et sa dégradation. Dans son ouvrage Affaire Dreyfus, L'honneur d'un patriote, Vincent Duclert raconte : "Mathieu [Dreyfus, frère d'Alfred] avait chargé un parent de la famille Hadamard, le docteur Weill, d'attendre l'annonce du verdict et de porter la nouvelle rue de Châteaudun, dans l'appartement où attendait une petite foule d'amis et de membres de la famille. Il arriva à 7 heures et demie du soir." Il révèle également qu'Anselme Weill avait témoigné en faveur d'Alfred Dreyfus lors de son procès : "D'autres allégations purent être détruites, par exemple celles qui furent prêtées au docteur Weill, dont la femme était cousine au troisième degré de Lucie Dreyfus. « J'affirme, et les rapports très fréquents, presque journaliers que j'ai eus avec lui comme parent, comme médecin et comme ami, me permettent de le faire, j'affirme que Dreyfus a toujours été un mari parfait, et que jamais je ne l'ai connu joueur, ni libertin. Or, c'est juste le contraire que l'on me fait dire, et je proteste contre ces allégations. Je n'ai rien à ajouter. », déclara-t-il à la cour." [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Original albumen print, cabinet card mount with the stamp of the Gerschel studio. Bottom margin skillfully restored, a trace a folding in the left corner. Extremely rare signed inscription by Alfred Dreyfus in the top margin: "Souvenir reconnaissant et affectueux. A. Dreyfus" ("Grateful and affectionate souvenir"). This portrait was taken by Charles Gerschel on September 27, 1899 in the garden of Dreyfus' brother-in-law Joseph Valabrègue in Carpentras. A week after his official pardon, the captain had come to Carpentras seeking isolation and rest while awaiting his rehabilitation. We have only been able to locate one other copy of this photograph, inscribed to Bernard Lazare, now in the Musée de Bretagne. This same museum has a letter from Charles Gerschel to the captain's wife Lucie Dreyfus proving the rarity of these portraits: "I did not put any prints out there other than to give (and not to sell, I insist on this point) to a few faithful and devoted friends. As for the portraits of the captain [Dreyfus], I learned that one of my employees took the liberty of giving them to a dealer. By telephone I immediately had this traffic stopped." Original photographic portraits of Dreyfus are rare and this one was printed in small numbers for Alfred Dreyfus and probably as a gift to h.

  • Image du vendeur pour J'irai cracher sur vos tombes mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    VIAN Boris (sous le pseudonyme de) SULLIVAN Vernon

    Edité par Les Editions du Scorpion, 1946

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Livre Edition originale

    EUR 11 500

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    De France vers Etats-Unis

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    couverture souple. - Les Editions du Scorpion, Paris 1946, 12x19cm, broché. - Edition originale, un des 120 exemplaires numérotés sur pur fil Lafuma, seuls grands papiers. Gardes très légèrement et marginalement ombrées sans aucune gravité. Bel exemplaire tel que paru, très rare et très recherché. Notre exemplaire est présenté dans un coffret noir historié, dos carré comportant le nom de l'auteur et le titre imprimés en rouge et blanc, premier plat à la manière des couvertures de romans pulp, avec un portrait de Boris Vian au miroir et à la bouteille de vin en fond photographique, cartouche du titre en rouge, blanc et noir s'inspirant de la couverture de l'édition américaine, avec en pied la mention "Vernon Sullivan Traduit de l'Américain par Boris Vian", second plat orné d'un autre portrait photographique de Boris Vian, avec cette fois la mention en pied de couleur crème "le temps n'est pas encore venu où la justice régnera sur cette terre pour les hommes noirs", superbe travail signé de l'artiste Julie Nadot. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] First edition, one of 120 numbered copies on pur fil Lafuma, only grand papier (deluxe) copies. Endpapers very slightly and marginally shaded. A fine copy as issued, very rare and much sought-after. Our copy is housed in a black decorated custom clamshell case, square spine with the author's name and titled in red and white, front panel in the style of pulp novel covers, with a photographic portrait of Boris Vian with a mirror and wine bottle in the background, title cartouche in red, white and black inspired by the cover of the American edition, the second panel features another photographic portrait of Boris Vian, this time with a cream-colored quote "le temps n'est pas encore venu où la justice régnera sur cette terre pour les hommes noirs" ("the time has not yet come when justice for black men reigns on this earth"), superb work by artist Julie Nadot.

  • Image du vendeur pour Portrait photographique de Sigmund Freud dédicacé par Edmund Engelman mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    [FREUD Sigmund] ENGELMAN Edmund

    Date d'édition : 1938

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Photographie Edition originale Signé

    EUR 9 200

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    autre. - s.d. (1938), Carton : 31,8x39,5cm / photographie : 27,4x35,2cm, une photographie contrecollée sur carton. - Portrait photographique original de Sigmund Freud, réalisé par Engelman en 1938, tirage argentique de l'artiste d'après le négatif original retrouvé en 1952. En effet, après la Nuit de Cristal, le jeune photographe juif Edmund Engelman (1907-2000) s'enfuit aux États-Unis laissant derrière lui les précieux mais compromettants négatifs de cette séance photographique clandestine. Il ne les récupérera qu'après la Seconde Guerre mondiale, en 1952, auprès de la fille du psychanalyste, Anna Freud. Envoi autographe signé du photographe Edmund Engelman en marge basse du cliché?: «?à Nadine Nimier. Cordialement Edmund Engelman.?» Nadine Nimier fut l'épouse de l'écrivain Roger Nimier. Elle anima «?Les Après-midi de France Culture?», émission dans laquelle elle reçut certaines éminences de la psychanalyse notamment Jacques Lacan et Françoise Dolto. C'est le 20 janvier 1980 qu'elle interviewa Edmund Engelman, alors en visite à Paris pour l'exposition de ses photographies à la galerie Erval. Très beau portrait du fondateur de la psychanalyse, réalisé en mai 1938, peu de temps avant son départ de Vienne vers Londres. Cent-six clichés furent réalisés lors de cette visite clandestine d'Engelman à Freud au 19 de la rue Berggasse à Vienne. Parmi celles-ci, on connaît beaucoup de photographies représentant le cabinet et les uvres d'art du psychanalyste, mais l'artiste ne réalisa que quelques portraits du maître. Cette séance photographique fut réalisée à la demande d'August Aichhorn et témoigne des derniers instants du berceau de la psychanalyse, discipline désormais interdite sous le régime nazi?: «?Le dimanche 13 mars, une séance du comité de direction de la Société Viennoise de Psychanalyse a lieu et deux décisions sont prises?: tous les membres de la Société doivent quitter le pays le plus rapidement possible et le siège de la Société devra se trouver à l'endroit où Freud s'installera.?» («?August Aichhorn et la figure paternelle?: fragments biographiques et cliniques?» in Recherches en psychanalyse n°1, 2004) Edmund Engelman dans son ouvrage intitulé La Maison de Freud Berggasse 19 Vienne paru en 1979 raconte?: «?Je me rappelle à la fois ma surexcitation et ma peur, ce matin pluvieux de mai 1938, comme je marchais dans les rues désertes de Vienne en direction du 19, Berggasse. Je transportais mes appareils, mon trépied, mes objectifs et mes pellicules dans une petite mallette qui paraissait s'alourdir à chacun de mes pas. J'étais persuadé que n'importe qui saurait à me voir que j'allais chez le Dr Sigmund Freud, pour accomplir une mission dont les nazis n'auraient guère apprécié la teneur. [.] J'avais peur qu'il n'y eût pas assez de lumière pour bien photographier l'intérieur de la maison de Freud. Recourir au flash ou aux projecteurs était hors de question, puisque la Gestapo maintenait la maison sous surveillance constante. Ce document unique sur l'endroit où Freud avait vécu et travaillé au cours des quarante années passées, il faudrait l'exécuter sans éveiller le moindre soupçon. Je craignais pour ma propre sécurité comme pour la vie des Freud, et ne voulais pas me compromettre par un faux pas, alors qu'ils étaient si près de quitter Vienne sains et saufs. [.] Un week-end de 1933, j'eus le plaisir de rencontrer dans la résidence d'été d'un ami, en dehors de la ville, un certain August Aichhorn qui s'intéressait de près au champ extrêmement controversé de la psychanalyse et était, à ma vive curiosité, un intime du célèbre professeur Freud. [.] Nous fûmes très vite bons amis. [.] Il me confia que Freud, après un terrible harcèlement (perquisition des nazis chez lui, détention de sa fille Anna), avait finalement reçu la permission de partir pour Londres, grâce à l'intervention de hautes personnalités et de diplomates étrangers. Les Freud, me dit-il, se mettraient en route dans les dix jours. Le célèbre appartement.

  • Image du vendeur pour Portrait photographique mis en vente par Librairie Walden

    CAMUS (Albert)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

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    EUR 9 000

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    [Leysin, Alpes Vaudoises, janvier 1948]. Tirage argentique d'époque (90 x 120 mm), mention manuscrite au dos, sous encadrement. Épreuve originale du « portrait de Leysin ». Exemplaire René Char, avec ses initiales au verso, et cette note : « Albert Camus jeune homme ». Nous sommes en janvier 1948 et Albert Camus doit soigner sa tuberculose. Il a alors trente-cinq ans et se rend au sanatorium du Grand Hôtel à Leysin, en Suisse (canton de Vaud), où il rejoint Michel Gallimard qui y séjourne pour les mêmes raisons, accompagné de son épouse, Janine. La photographie est prise par cette dernière. Ils resteront sur place du 19 janvier jusqu'au 8 février. C'est pendant ce temps que Camus termine L'État de siège et commence la rédaction des Justes. Ce célèbre portrait, dont un contretype est ensuite entré aux archives Gallimard, a été utilisé par l'éditeur après l'obtention du Nobel ; il donnera alors lieu à plusieurs agrandissements (175 x 230 mm) et sera communiqué à la presse à ce moment-là. On en connaît plusieurs épreuves, certaines dédicacées ou simplement signées et datées par Camus (toutes datées 1958, au moment du Nobel ; au moins trois). Une épreuve, non signée, était également présente dans la collection Gisèle et Mario Prassinos (Paris, Auction Art, février 2014, n° 47). Ce tirage fut-il offert à René Char par Albert Camus ? C'est peu probable - et la note au verso fait pencher pour une cession posthume et non une offrande faite de son vivant. La piste privilégiée étant que Char, au moment de déménager le bureau rue Sébastien Bottin ou le studio de la rue de Chanaleilles après la mort de Camus, l'ait récupéré à ce moment, ou que Francine le lui ait donné, en souvenir de son amitié. La photographie est ensuite restée la propriété du poète jusqu'à sa mort.

  • Image du vendeur pour Photographie de Charles Baudelaire les mains dans les poches : "Vu de face, il paraît plus souffrant et plus triste qu'à la précédente épreuve." mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    EUR 7 820

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    autre. - Nadar, Paris 1862, Photographie : 5,1x8,5cm / Carton : 6,3x10,3cm, une photographie. - Rarissime photographie originale représentant Charles Baudelaire sur papier albuminé, tirage d'époque au format carte de visite, contrecollée sur un carton de l'atelier Nadar 35 boulevart (sic) des Capucines?: «?Portrait photographique à nous communiqué par Nadar. Fait le même jour que le précédent, mêmes dimensions avec même costume. Le gilet est toujours déboutonné, mais Baudelaire cache ses mains dans les poches de son pantalon. Vu de face, il paraît plus souffrant et plus triste qu'à la précédente épreuve.?» (Ourousof, 1896) «?Autre carte de visite du même jour que le n°4.1 précédent [.] un tirage d'époque albuminé se trouve dans les collections du Musée d'Orsay (Provenance?: collection Braive puis collection Marie-Thérèse et André Jammes, 1991, acquis par les Musées Nationaux avec le concours du fonds du Patrimoine [.] musée d'Orsay, fiche 39389)?» (S. Plantureux, Charles Baudelaire ou le Rêve d'un curieux). Ce cliché, réalisé en 1862, a été commercialisé entre 1862 et 1871, comme en témoigne l'adresse du photographe au dos du carton. Seules deux poses de Baudelaire semblent avoir été retenues lors de cette séance. «?S'il est permis à la photographie de suppléer l'art dans quelques-unes de ses fonctions, elle l'aura bientôt supplanté ou corrompu tout à fait, grâce à l'alliance naturelle qu'elle trouvera dans la sottise de la multitude?» écrivait Charles Baudelaire dans le Salon de 1859. On ne connaît que quinze portraits photographiques différents de Baudelaire, réalisés entre 1855 et 1866 (trois séances chez Nadar, trois chez Carjat et une chez Neyt), dont il ne subsiste pour certains qu'un seul exemplaire. Baudelaire et Nadar se rencontrèrent en 1843 et leur amitié perdura jusqu'à la mort du poète en 1867. Le photographe réalisa au total sept portraits de son ami entre 1855 et 1862. Les deux hommes, plein d'admiration l'un pour l'autre, se rendirent d'émouvants hommages dans leurs uvres respectives?: Baudelaire dédia «?Le rêve d'un curieux?» (in Les Fleurs du mal) au portraitiste qui lui consacra pour sa part, outre des caricatures et des portraits photographiques, un ouvrage sans fard intitulé Charles Baudelaire intime?: le poète vierge (1911). Rarissime et bel exemplaire de cette photographie peu connue de Baudelaire par le photographe français le plus important du XIXè siècle. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Photographic portrait of Charles Baudelaire with his hands in his pockets Nadar | Paris 1862 | Photograph: 5.1 x 8.5 cm / Cardboard: 6.3 x 10.3 cm | one photograph Extremely rare original photograph showing Charles Baudelaire on albumen paper, contemporary print in carte de visite format, mounted on a board from the Nadar workshop, 35 boulevart (sic) des Capucines; "Photographic portrait for us taken by Nadar. Taken the same day as the previous one, same dimensions, same clothes. The waistcoat is still unbuttoned but Baudelaire hides his hands in the pockets of his trousers. Seen face on, he seems more troubled and sadder than in the previous attempt." (Ourousof, 1896) "Another carte de visite from the same day as the previous no. 41 [.] a contemporary albumen print found in the Musée d'Orsay collections (Provenance: from the Braive collection, then the Marie-Thérèse and André Jammes collection, 1991, acquired by the Musées Nationaux with the support of the Heritage fund [.] Musée d'Orsay, fiche 39389) (S. Plantureux, Charles Baudelaire ou le rêve d'un curieux). This photo, taken in 1862, was sold between 1862 and 1871, as evidenced by the photographer's address on the back of the board. Only two of Baudelaire's poses seem to have been retained from this session. "If photography is allowed to replace art in some of its functions, it will soon have replaced or corrupted it altogether, thanks to the natural alliance it will find with the multitude of nonsense" wrote Charles Baudelaire in the Salon de 1859. W.

  • Image du vendeur pour Portrait photographique de Colette à la peau de lion mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    [COLETTE ] REUTLINGER Léopold-Émile

    Date d'édition : 1907

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Photographie Edition originale

    EUR 7 820

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    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    autre. - s.l. (Paris) s.d. (1907), 28,7x20,4cm, une photographie contrecollée sur carton. - | Colette, la « danseuse nue », dans son costume de scène | Rare et grande photographie originale en tirage albuminé d'époque, contrecollée sur carton, représentant Colette languissamment allongée sur une peau de lion et recouverte d'une peau de léopard. Un tirage largement tronqué, portant le même numéro manuscrit figurant au dos de notre photographie ("11214"), est conservé dans le fonds Reutlinger, à la Bibliothèque nationale de France (Album Reutlinger de portraits divers vol. 53, p.3). Nous n'avons pu trouver aucun autre exemplaire de cette photographie dans d'autres collections publiques. Une photographie similaire, dédicacée tardivement à Maurice Chevalier, est passée en vente en 2008. Très beau et sulfureux cliché de Colette, probablement pris l'année de son scandaleux spectacle de danse « Rêve d'Egypte » au Moulin Rouge avec son amante Missy, qu'elle embrasse sur scène. « Colette est danseuse nue, ce qui, à cette époque, signifie qu'elle [.] se drape dans des voiles vaporeux, dissimule une partie de son anatomie sous des peaux de bêtes » (Paula Dumont). Les peaux de bêtes, qui épousent sa silhouette sur ce cliché, lui avaient déjà servi de sensuel costume dans Pan de Charles Van Lerberghe, accompagnée sur scène de Lugné-Poe et Georges Wague. C'était la première fois qu'on osait se passer d'un maillot de corps : « Je veux danser nue si le maillot me gêne et humilie ma plastique », dira-t-elle. A l'époque de cette photographie, en 1907, Colette se produit dans d'innombrables spectacles, après ses débuts deux ans plus tôt dans le salon saphique de Nathalie Clifford Barney, où elle partageait l'affiche avec Mata Hari. Pour Colette, la danse est synonyme d'émancipation à plus d'un titre - avant tout un moyen de subsistance et de libération de son corps, qui lui appartient enfin après sa séparation d'avec Willy en 1906. On rapprochera sa danse ondulante, presque sans geste, de celles de Loïe Fuller et Isadora Duncan ; son plus grand succès étant « la Chair », un mimodrame qu'elle jouera deux cents fois à Paris et qui s'exportera à la Manhattan Opera House de New York, avec une nouvelle distribution. C'est également dans les hauts lieux de la danse parisienne que Colette s'affiche librement au bras de ses amantes. Son union scandaleuse avec Missy, la virile marquise de Morny, qui l'accompagne sur scène en costume, contribua à la célébrité de ses représentations. Il s'agit sans doute du plus rare cliché de Colette réalisé par Reutlinger, qui la photographia également drapée à la grecque ou arborant son costume du « Rêve d'Egypte ». Rarissime témoignage visuel d'une révolution du costume de danse opérée par Colette, figure incontournable du Paris artistique et littéraire au XXe siècle. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Colette, the "nude dancer" in her stage costume Photographic portrait of Colette stretched out on a lion's skin [Paris 1907] | 28,7 x 20,4 cm | one photograph mounted on a board A substantially cropped print bearing the same penciled number on the back of our photograph (11214), is in the Reutlinger archives at the Bibliothèque nationale de France (Album Reutlinger de portraits divers vol. 53, p.3). We have been unable to find any other examples of this photograph in other public collections. A similar photograph belatedly dedicated to Maurice Chevalier went on sale in 2008. A beautiful, sultry shot of Colette probably taken the year of her banned dance show "Rêve d'Égypte" at the Moulin Rouge where she shared the bill - and a scandalous kiss - with her cross-dressing aristocrat lover Missy. "Colette was a nude dancer, which at the time meant that she [.] draped herself in vaporous veils, concealing part of her anatomy under animal skins" (Paula Dumont). Colette had already used animal skins, hugging her figure in this picture, as a sensual costume in Charles Van Lerberghe's Pan, accompanied on stage by Lugné-Poe and Geo.

  • Image du vendeur pour Les Caractères de Theophraste traduits du grec ; avec Les Caractères ou les M?urs de ce siècle. Septième Edition, corrigée & augmentée. mis en vente par Librairie Camille Sourget

    EUR 7 500

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Bruxelles, Jean Leonard, 1693. In-12 de (26) ff., 584 pp., (4) ff. Exemplaire de second état avec deux interruptions dans la pagination : aux pp. 455-456 et 463-464. Relié en plein vélin souple de l'époque, dos lisse avec le titre manuscrit. Reliure de l'époque. 154 x 94 mm. --- Très rare édition censurée des Caractères de La Bruyère, publiée du vivant de l'auteur, imprimée à partir du texte de la septième édition originale amplement remanié par l'éditeur belge Leonard qui en tronqua les passages ou l'auteur attaquait de manière trop directe les opposants à la monarchie française conquérante. Tchemerzine, III, 805. L'édition qui servit de modèle à celle-ci est en fait la 7e édition originale imprimée à Paris en 1692, qui contenait 77 nouveaux caractères (dont Emile, Roscius, des portraits de prudes, de coquettes, de dévotes, tc.) et dont 9 caractères étaient augmentés. « Avec ?Les Caractères' ce sont bien des passions communes et des types généraux que La Bruyère vise, mais toujours pris dans l'instant de leur manifestation et dans le cadre d'une société particulière : non l'homme abstrait, mais le courtisan, la grande dame, le magistrat, le financier, le prédicateur du siècle de Louis XIV sur le commencement de son déclin classant ainsi les individus suivant une géographie morale immuable, mais dramatisée par un pessimisme d'origine augustinienne. Il n'a certes pas songé à donner un témoignage historique quoiqu'on devine à travers ses tableaux de m?urs cette domination croissante de l'argent qi était en train de faire craquer les cadres et les traditions de l'ancienne société. Mais le réalisme concret et, pourrait-on dire, photographique de La Bruyère, si bien servi par un style agile et incisif, marque à lui seul une transition entre les grands classiques et le XVIIIe siècle : il nous mène finalement plus près de Montesquieu et de Voltaire que de Molière. » La présente édition offre quant à e /// Bruxelles, Jean Leonard, 1693. 12mo [154 x 94 mm] of (26) ll., 584 pp., (4) ll. Copy of second state with two interruptions in the pagination: at pp. 455-456 and 463-464. Bound in full contemporary limp vellum, flat spine with handwritten title. Contemporary binding. --- Very rare censored edition of the Characters of La Bruyère, published during the author's lifetime, and printed from the text of the seventh first edition largely revised by the Belgian editor Leonard who truncated the parts where the author was attacking too directly the opponents of the conquering French monarchy. Tchemerzine, III, 805. The edition used as model for the present one is the 7th first edition printed in Paris in 1692 that contained 77 new characters (including Emile, Roscius, portraits of prudes, coquettes, devotees, etc.) and of which 9 characters have been added. "With ?The Characters' it is indeed the common passions and general types La Bruyère targets, but always caught in their demonstration and in the framework of a specific society: not the abstract man but the courtier, the great lady, the magistrate, the financier, the preacher of the century of Louis XIV at the beginning of his decline sorting individuals according to an immutable moral geography, but dramatized by a pessimism of Augustinian origin. Admittedly he hasn't thought of giving an historical testimony even though we guess through his pictures of manners this increasing domination of money that was collapsing the frames and the traditions of the ancient society. But La Bruyère's concrete and photographic realism, as we could say, so well served by a sharp and agile style, marks by itself a transition between great classics and the 18th century: he finally leads us closer to Montesquieu and Voltaire than to Molière." As for the present edition, it offers "something peculiar, as a result of its place of printing, first printed according to the Parisian seventh edition, which contains judgments and atta.

  • Cocteau, Jean - Laure Albin-Guillot (Fotogr.)

    Edité par Paris, Nouvelles Éditions Françaises, 1947

    Vendeur : Antiquariat Uhlmann, Zürich, Suisse

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    Edition originale Signé

    EUR 7 420,98

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    EUR 30 Frais de port

    De Suisse vers Etats-Unis

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    Lose Doppelblatt in Chemise mit geprägtem Vorderdeckel in kart. Einbanddecke mit 2 montiertem Rückenschildchen in kart. Schmuckschuber. 4°, 2 Vakat-Doppelblatt, 1 Doppelblatt mit Tafel (Porträt), Schmutztitel/Impressum (als S. [1] f.), 1 Doppelblatt (Passepartout) mit montierter Original-Fotografie (als Frontispiz bzw. S. [3] f.), Titelblatt, S. 7 - [150] mit 20 montierten Original-Fotografien (auf unaufgeschnittenen Bögen), 2 Bl., 2 Vakat-Doppelblatt; Suite: 21 Doppelblatt (Passepartouts) mit jeweils 1 montierten Original-Fotografie. Schuber lädiert (Rücken lose), an den Kanten tlw. beschabt u. etw. (wasser-)fleckig, kart. Einbanddecke am Rücken etw. gebräunt, Deckel mit Abfärbungen des Schuber-Bezugspapiers, innen bis auf sehr vereinzelte Stockfleckchen u. Randrisschen tadellos. EA. Ex. Nr. «B» der 25 Ex. der édition de tête «sur pur chiffon d'Auvergne [. . .] comportant un portrait photographique original de Jean Cocteau, sur papier d'Auvergne sensibilisé, brossé à la main par Laure Albin-Guillot, et une phrase de l'auteur avec sa signature. Cette série comprend également une suite des 21 hors-texte de l'ouvrage, présentés à part sur papier de Rives». Laure Albin-Guillots Porträt von Jean Cocteau von der Fotografin in Tusche am unteren Rand signiert, unterhalb davon die zweizeilige handschriftliche Sentenz von Jean Cocteau in schwarzer Tinte («Marc allait sur leur tombeau / [. . .] / Jean Cocteau»). Druck in Rot und Schwarz.

  • Image du vendeur pour Unique portrait photographique daté et signé par Ravachol connu à ce jour mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    [RAVACHOL François Claudius Koënigstein, dit] BERTILLON Alphonse

    Edité par S.n., 1892

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Photographie Edition originale Signé

    EUR 6 900

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    De France vers Etats-Unis

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    autre. - S.n., Paris [à la prison de la Conciergerie] s.d. [6 mai 1892], Cliché : 11,7x16,9 cm / Carton : 16,1x21,9 cm, une photographie. - «?Jugez-moi, messieurs les jurés, mais si vous m'avez compris, en me jugeant jugez tous les malheureux dont la misère, alliée à la fierté naturelle, a fait des criminels, et dont la richesse, dont l'aisance même aurait fait des honnêtes gens?! » Superbe portrait photographique original de Ravachol réalisé par Alphonse Bertillon, tirage d'époque albuminé contrecollé sur bristol.?» Rarissime légende autographe signée du plus célèbre des anarchistes français, rédigée de son écriture hésitante et naïve, au bas du cliché?: «?1er mai 1892 Koningstein [sic] Ravachol.?» La graphie Koningstein choisie par Ravachol diffère du patronyme de son père (Königstein). Cette variation attestée par le Maintron (Dictionnaire biographique du mouvement social et ouvrier) se retrouve notamment dans un écrit de sa main daté du 13 avril 1892 et conservé à la Conciergerie. «?Un certain Varinard des Cotes a tracé son portrait graphologique. Il crut pouvoir noter l'absence d'orgueil et de vanité, la droiture et la loyauté des convictions?». (Ramonet et Chao, Guide du Paris rebelle, 2008). Nous n'avons pu trouver aucun autre exemplaire de cette photographie dans les collections publiques internationales ni en vente aux enchères. Les autographes du «?Christ de l'anarchie?» sont d'une insigne rareté. Nous ne connaissons que cette unique photographie de Ravachol dédicacée à l'exception de celle mentionnée dans les rapports de surveillance de la Conciergerie?: «?Le nommé Ravachol nous a fait voir sa photographie sur le recto de laquelle il a inscrit ces mots?: «?à tous ceux que j'ai aimé. Mon c ur sera toujours près de vous, ma dernière pensée sera pour vous. Tous mes baisers?». Signé Ravachol. Il a l'intention d'envoyer cette photographie à son frère, ainsi qu'une lettre dont le résumé est le suivant?: «?Comme vous le voyez, je suis souriant sur ma photographie, vous pourrez donc en déduire que mon sort n'est pas si triste que vous le pensez. Il ne me manque qu'une chose?: la liberté. Du reste je ne fais aucune différence entre ma vie en prison et celle que je menais auparavant. Toutes les deux ne sont que souffrance. Le vrai bonheur n'existera pour moi que lorsque je verrai la réalisation de mes projets, si cela ne se peut, je préfère la mort. J'envisage ces deux points le sourire aux lèvres?». (8 mai 1892) Nous n'avons pu localiser ce cliché et n'en avons trouvé aucune autre trace depuis ce rapport. Nous n'avons d'ailleurs aucune certitude que cette photographie existe encore. à l'instar de la nôtre, elle a été réalisée lors d'une séance à la prison de la Conciergerie le 6 mai 1892 durant laquelle plusieurs poses ont été tirées. Ravachol a donc antidaté sa dédicace en se servant probablement de la date symbolique du 1er mai 1892, premier anniversaire du massacre de Fourmies. Il est certainement fait mention de notre cliché dans les mémoires du photographe et père de l'anthropométrie Alphonse Bertillon?: «?Ce fut l'identification de l'anarchiste Ravachol qui consacra la sûreté de sa méthode. Ravachol avait fait sauter au moyen d'une bombe l'immeuble où habitait alors le procureur de la République ainsi que le restaurant Véry et menaçait de continuer cette besogne de destruction quand il fut arrêté au milieu d'une foule hurlante qui voulait le mettre en pièces, au point qu'il arriva au service anthropométrique avec un visage boursouflé, tuméfié, hideux. Il fallut toute la diplomatie, toute la pénétration psychologique d'Alphonse Bertillon pour le convaincre de se laisser mensurer et photographier. Ravachol exprima le désir, vu l'état effrayant de son visage, d'être photographié une seconde fois dès que ses plaies et ses ecchymoses seraient guéries. Bertillon le lui promit et tint parole, il poussa même la délicatesse vis-à-vis de ce bandit jusqu'à lui porter dans la cellule qu'il occupait au dépôt un exemplaire de son po.

  • Image du vendeur pour Intentions mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    WILDE Oscar

    Edité par Charles Carrington, 1906

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Livre Edition originale

    EUR 6 670

    Autre devise
    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Couverture rigide. - Charles Carrington, Paris 1906, 14,5x23cm, relié sous chemise et étui. - Edition originale de la traduction française établie par Hugues Rebell, un des 30 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête. Reliure en plein maroquin bordeaux, dos à cinq nerfs sertis de filets noirs, date dorée en queue, roulettes dorées sur les coiffes, encadrement d'un filet doré sur les contreplats de maroquin noir, gardes de soie moirée rouge, couverture et dos conservés, toutes tranches dorées, doubles filets dorés sur les coupes, chemise en demi maroquin rouge à bandes, plats de papier marbré, étui bordé de maroquin rouge, plats de papier marbré, élégante reliure de l'époque signée Huser. Ouvrage illustré, en frontispice, d'un portrait photographique d'Oscar Wilde. Provenance : de la bibliothèque d'Henri Thuile avec son ex-libris encollé en tête d'un contreplat. Très bel exemplaire parfaitement établi par Huser en maroquin doublé. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] First edition of the French translation by Hugues Rebell, one of 30 numbered copies on Japon, the tirage de tête. Full morocco, cover and spine preserved, all edges gilt, chemise in half morocco, slipcase lined with morocco, elegant contemporary binding signed Huser. Illustrated, as frontispiece, with a photographic portrait of Oscar Wilde. Provenance : from the library of Henri Thuile with his ex-libris pasted to head of a pastedown. A very nice copy elegantly bound by Huser in lined morocco.

  • Image du vendeur pour Galerie contemporaine des illustrations françaises mis en vente par Eric Zink Livres anciens

    LACROIX, Paul de (éditeur)

    Edité par Paul de Lacroix, Paris, 1884

    Vendeur : Eric Zink Livres anciens, PARIS, France

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    Edition originale

    EUR 6 000

    Autre devise
    EUR 20 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Edition originale. Demi chagrin à coins de l'époque, dos à cinq nerfs ornés et dorés. Reliures signées par Magnier. Tranches de tête dorées. Huit volumes in folio (350x275 mm), ensemble non paginé collationné complet. 200 notices biographiques et 267 photographies. Papier de texte avec rousseurs. Plats des reliures frottées. Quelques une des planches montées sur onglets sont détachées. La photo de Daudet a été pliée. Edition originale. Chef d'oeuvre de la photographie du XIXème. C'est vers 1884 que Paul de Lacroix propose cette publication regroupant 200 notices biographiques (pour 132 personnages historiques, certains artistes faisant l'objet des plusieurs notices). Exemplaire bien complet de toutes les notices et photographies requises. Chaque notices comporte 4 pages de texte (8 pour les notices de Corot 2 et Corot 3). Celles concernant les Littérateurs, musiciens, etc . sont illustrées avec de portraits photographiques sur des planches hors texte. Les notices concernant les peintres et sculpteurs sont illustrées d'un portrait photographique dans le texte et d'une reproduction d'une de ses ?uvres sur une planche hors texte (ou plusieurs s'il y a plusieurs notices pour un même artiste). Seul Delaunay n'a pas son portrait en médaillon, comme le précise l'éditeur car il n'existe de lui aucun portrait. La série est donc bien complète des 200 notices attendues pour 132 biographies et est illustrée de 267 photographies : - 131 portraits (65 en grand format montés sur onglet et 66 en médaillons contrecollés dans le texte) - 136 reproductions d'oeuvres (135 en grand format montés sur onglet et 1 en médaillon contrecollés dans le texte). Issus des plus grands ateliers de photographies (Nadar, Carjat, Goupil, Petit.) elles sont reproduites par photoglypie qui est alors le seul procédé d'impression permettant une reproduction aussi fidèle des clichés photographiques. Cette galerie témoigne de la vie intellectuelle et culturelle de ce XIXe siècle finissant en fournissant les biographies de nombreuses célébrités contemporaines : écrivains, scientifiques, artistes, hommes politiques. de Rossini à Ferdinand de Lesseps en passant par Hugo, Baudelaire et Dumas. Recherché pour ses portraits en particulier du célèbre portrait de Baudelaire par Carjat mais aussi ceux de Victor Hugo, Gustave Doré, Edmond de Goncourt, Ferdinand de Lesseps, Georges Sand, Sarah Bernhardt, Alexandre Dumas, Gustave Eiffel, Victor Hugo, Louis Pasteur, Emile Zola, . Nous joignons à cette série complète un rare volume de spécimen, volume de présentation commerciale. References : Notice BNF [FRBNF43896881 : " Vers 1884, Paul de Lacroix (1806-1884) propose une édition pour bibliophiles en 8 volumes reliés par Magnier et ses fils sous le titre : Galerie contemporaine des illustrations françaises. La composition des volumes diffère d'une collection à l'autre (et parfois aussi les légendes) ; on note 5 portraits nouveaux : l'Amiral Courbet, Gustave Eiffel, le Cardinal Lavigerie, Pierre Loti, Louis Pasteur."]. ______________________________________________________________ _____________________ ______________________________ENGLISH_DESCRIPTION : Contemporary half chagreen, gilt-decorated spine in six compartments. Bindings signed by Magnier. Headedge gilt. Eight Folios (350x275 mm). Complete set. 200 biographical entries and 267 photographs. Text paper with foxings. Covers rubbed. Some plates almost unbound. Portrait of Daudet has been fold. First edition. Masterpiece of 19th century photography. 200 biographical chapters of 132 historical figures. Copy complete with all the required notices and photographs. Each chapter has 4 pages of text (8 for Corot 2 and Corot 3). The series is therefore complete with the 200 entries for 132 biographies and is illustrated with 267 photographs: - 131 portraits (65 in full-page and 66 in medallion in text) - 136 reproductions of art works (135 in full-page and 1 in medallion the text). Coming from the greatest photographic workshops (Nadar, Carjat, Goupil, Petit.) they are reproduced by photoglypie which is then the only printing process allowing such a faithful reproduction of photographic plates. The portraits include the famous portrait of Baudelaire by Carjat but also those of Victor Hugo, Gustave Doré, Edmond de Goncourt, Ferdinand de Lesseps, Georges Sand, Sarah Bernhardt, Alexandre Dumas, Gustave Eiffel, Victor Hugo, Louis Pasteur, Emile Zola, . We added a rare "specimen" volume ( a commercial presentation volume). References : Notice BNF [FRBNF43896881 : " Vers 1884, Paul de Lacroix (1806-1884) propose une édition pour bibliophiles en 8 volumes reliés par Magnier et ses fils sous le titre : Galerie contemporaine des illustrations françaises. La composition des volumes diffère d'une collection à l'autre (et parfois aussi les légendes) ; on note 5 portraits nouveaux : l'Amiral Courbet, Gustave Eiffel, le Cardinal Lavigerie, Pierre Loti, Louis Pasteur."]. 24200g.

  • [ELUARD] ANDRE (Rogi)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    EUR 6 000

    Autre devise
    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    [1934], pour la prise de vue, [1944], pour la signature voire le tirage. 1 tirage argentique (233 x 293 mm) et (330 x 420 mm avec marges) noir et blanc. Encadré. La photographie est signée à l?angle inférieur droit « Rogi-André 1944 » et dans la marge blanche « Rogi-André. Paris ». Ce portrait, méconnu, est rare et il en existe peu d'épreuves. Il est l'oeuvre de la photographe hongroise Rosa Klein (dit Rogi André) et fut réalisée en 1934, dans l'appartement de Paul Éluard. Rosa Klein fut un temps l'épouse d'André Kertesz, qui l'initia à la photographie dans les années 1920. Au milieu du bouillonnement intellectuel parisien, elle se lie avec les artistes d'avant-garde, notamment les surréalistes, dont elle réalise de nombreux portraits, en suivant le conseil de Kertesz : « Ne jamais photographier quelque chose pour lequel tu éprouves peu d'enthousiasme, mais seulement ce qui t'intéresse passionnément. » Elle privilégie - et c'est une nouveauté - de faire poser les modèles dans leur environ nement, certains critiques relevant dans ses portraits une influence du cubisme, par exemple lorsqu'elle réalise une composition géométrique grâce au jeu des ombres et des lumières - comme ici, avec ce portrait utilisant les éléments de la pièce où se tient Éluard. En 1941, pendant la Seconde Guerre mondiale, Rogi André a été contrainte de fuir en zone libre et de se réfugier en Touraine en raison de ses origines juives, avant de regagner Paris et de s'y cacher grâce à l'aide de la galeriste Jeanne Bucher. Elle décède le 11 avril 1970 à Paris, dans la pauvreté, et tous ses modestes biens sont mis en vente à l'Hôtel Drouot. Une partie de ses archives, et notamment ses tirages, sont cependant sauvés du désastre grâce aux efforts de Jean-Claude Lemagny, conservateur responsable de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la Photographie de la Bibliothèque nationale de France, qui en fait l'acquisition pour la collection de la BnF. Cette dernière possède une épreuve de ce tirage (cote 40299995), non signée ; un tirage tardif de 1982 est détenu par le Centre Pompidou (AM1983-429) et l'on connaît une épreuve offerte par Paul Éluard à Max-Pol Fouchet, dédicacée. Ce sont les trois seules épreuves connues. Notre épreuve, tirée par l'artiste en 1944, est la seule qui soit signée, ici par deux fois : dans la photo, et dans le montage.

  • Image du vendeur pour [PHOTOGRAPHIE] Diptyque photographique original de 20 portraits de Michael Jackson à la cape d'or brodée de face et de dos. mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    EUR 5 175

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    EUR 30 Frais de port

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    Pas de couverture. - 1999, Photographies : 29,7x25cm / Cadres : 62x52cm, deux planches-contact encadrées sous passe-partout. - Tirage original unique de cette double série photographique en couleursprésentée comme deux planche-contact, numérotées, datées et signées au verso par l'artiste à l'encre noire: "1/1, sept 2010, Arno Bani". Septembre 2010 est la date de la vente de ces clichés inédits chez Pierre Bergé et Associés. C'est en 1999 lors d'un séjour à Londres que Michael Jackson remarque le travail d'Arno Bani dans un numéro du Sunday Times magazine. Fasciné par ses clichés de mode, il fait venir le jeune photographe de 23 ans à New York et lui demande non seulement de le photographier, mais aussi de définir son look pour les dix prochaines années. Cette rencontre sera suivie de plusieurs réunions de travail et enfin d'une séance photo de trois jours dans des studios de Malakoff, en banlieue sud de Paris. Ces photographies, supposées servir d'illustration à la pochette de l'album Invincible furent revendiquées par la maison de disques de Michael Jackson et ne furent révélées au public qu'en 2010, année suivant la disparition du king of pop. « Cette collaboration achèvera d'installer Arno Bani comme l'un des photographes les plus doués de sa génération. Par la suite, il est sollicité par des institutions de la mode et du luxe comme Lacroix, Givenchy et Cartier ou par les musiciens du duo air, David Guetta et Bob Sinclar. À vingt-cinq ans, Arno Bani est un photographe reconnu au-delà des frontières de la mode. Faite d'oppositions, mélangeant classicisme et modernité, son approche monochromique de l'image est désormais incontournable et s'exprime dans les pages de Citizen K, Spoon, Visionaire ou Jalouse. Il photographie ainsi Monica Bellucci, Mélanie Thierry ou Noémie Lenoir. » (Catalogue de la vente Pierre Bergé et Associés, décembre 2010) [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Diptych of twenty original photographic portraits front and back of Michael Jackson with the golden cape embroidered 1999 | Photograph: 29.7 x 25 cm / Frames: 62 x 52 cm | two contact-sheets framed under a mount Unique original prints of these color photographs, presented like contact sheets, signed by the artist, numbered 1/1 and dated 2010 - date of sale of these unpublished shots by Pierre Bergé et Associés. Original photographs of Michael Jackson by Arno Bani It is in 1999 during a stay in London that Michael Jackson noticed Arno Bani's work in an issue of the Sunday Times magazine. Fascinated by his fashion shots, he brought the young 23 year old photographer to New York and asked him not only to photograph him, but also to define his look for the next ten years. This meeting will be followed by several working meetings and finally a three-day photoshoot at the Malakoff studios in the southern suburbs of Paris. These photographs, supposed to serve as an illustration for the Invincible album cover, were claimed by Michael Jackson's record company and were not revealed to the public until 2010, the year after the King of Pop's death. «This collaboration will finish Arno Bani's installation as one of the most talented photographers of his generation. Subsequently, he was contacted by fashion and luxury institutions such as Lacroix, Givenchy and Cartier and by musicians such as the duo Air, David Guetta and Bob Sinclar. At 25 years old, Arno Bani is a photographer recognised beyond the borders of fashion. Made of oppositions, mixing classicism and modernity, his monochrome approach to image is now inescapable and is seen on the pages of Citizen K, Spoon, Visionaire and Jalouse. He also photographed Monica Bellucci, Mélanie Thierry and Noémie Lenoir.» (Pierre Bergé et Associés sales catalogue, December 2010) Ten original photographic portraits of Michael Jackson with the embroidered golden cape.

  • Image du vendeur pour Chant des pays du Rhône * mis en vente par OH 7e CIEL

    RAMUZ Charles Ferdinand :

    Edité par Les Bibliophiles Régionaux, Paris 1930., 1930

    Vendeur : OH 7e CIEL, Lausanne, Suisse

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    EUR 4 664,61

    Autre devise
    EUR 33 Frais de port

    De Suisse vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Relié plein maroquin vert, titre et filets dorés sur les plats, tête or, couverture illustrée conservée, étui. L'un des 226 exemplaires numérotés (29) sur vélin cuve du Marais, seul tirage. 33 lithographies originales de G(aston) Prost, d'après R.-Th. Bosshard. Quatrième édition de ce texte, à l'intention des sociétaires d'un groupe de bibliophiles. Précisons que Bosshard semblait avoir la plus grande sympathie pour cette illustration, bien qu'elle ne participe pas intégralement de son oeuvre. Nous n'avons toujours pas le fin mot de l'histoire quant à la délégation de cette mise en lithographie. Rappelons brièvement qu'en sus de l'iconographie d'édition annoncée, il existe d'admirables suites intégralement de la main de Bosshard, incomparables aux versions trop lisses du sieur Gaston (des suites d'icelui ont également été tirées, justifiées sur Japon) et dont nous avons déniché deux séries en vingt ans. Jusqu'à preuve du contraire, cette découverte peut nous être attribuée; elle récompense les longues investigations que nous avons menées sur l'oeuvre illustrée et écrite (c'est aussi un poète mystique) de ce peintre aimé. Avec :- d'un dessin original signé et dédicacé à la mine de plomb par Bosshard, figurant une vaudoise en buste dénudé au bord du Rhône, et d'un portrait photo de l'artiste- d'un envoi autographe signé et daté de l'auteur- d'un portrait photographique de l'illustrateurBel ensemble, harmonieusement décalé à la date de 1940. Exemplaire ordinaire propret relié demi maroquin chocolat à 770 francs sur demande.[Bringolf 25c] > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <.

  • Image du vendeur pour Portrait d'Andy Warhol. Photographie Originale tirée par l'artiste. mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (WARHOL Andy) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1981

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Photographie Edition originale

    EUR 4 600

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    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1981-1982, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une planche photographique. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est.

  • Image du vendeur pour Le IIe Livre des Masques mis en vente par L'Ancienne Librairie

    GOURMONT (Rémy de)

    Vendeur : L'Ancienne Librairie, Paris, France

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Edition originale Signé

    EUR 4 560

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    EUR 26 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    Paris, Société du Mercure de France, 1898. In-12, 302 p., maroquin bleu nuit de René Kieffer, les plats et le dos long sont mosaïqués de bandes de maroquin rouge à la verticale, encadrement intérieur de maroquin bleu nuit cantonné de fleurons dorés et orné d'un double filet doré, doublure et la garde de soie côtelée rouge (léger frottement au dos). Édition originale de ce recueil de portraits littéraires. Un des 25 exemplaires sur Chine, seul grand papier. Il est composé de 23 portraits de personnalités littéraires dont il cite souvent des passages extraits de leurs oeuvres. Ils sont tous illustrés en noir par Félix Vallotton. L'exemplaire a été truffé d'une lettre autographe signée de Gourmont à un "cher confrère" lui demandant un portrait photographique pour la rédaction du présent ouvrage (2 pp. in-12, daté du 7 septembre 1897, destinataire non identifié). Il contient également un article de l'auteur intitulé "Paul Fort" extrait du journal Le Temps du 3 juillet 1911 qui est un autre portrait littéraire du poète. Un exemplaire exceptionnel parfaitement établi par René Kieffer et truffé d'un autographe. Ex-libris Franchetti, Raoul Simonson et Charles Hayoit. Lhermitte, 283. Voir photographie(s) / See picture(s).

  • EUR 4 500

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    EUR 15 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    1 photo signée Dimensions de la photo : 24 x 19,5 cm. Dimensions du passe-partout: 50,6x 40,6 cm. 1952 Bon Très beau portrait photographique d'Igor Stravinsky, de profil, réalisé par Richard de Grab (1927-2001).Tirage argentique d'époque en noir et blanc, signé en bas à droite par le photographe, à l'encre noire. Sous passe-partout Belle signature autographe "Igor Stravinski" sur le passe-partout (en bas à droite)avec lieu et date de sa main "Cleveland",décembre 1952, au stylo à bille bleu. Compositeur russe, nationalisé français puis américain.

  • BRASSENS Georges :

    Edité par Gallimard, Paris [1947]., 1947

    Vendeur : OH 7e CIEL, Lausanne, Suisse

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    EUR 4 081,54

    Autre devise
    EUR 33 Frais de port

    De Suisse vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Broché sur agrafes, couverture typographique vert de gris. Un poil (de moustache) insolé en bord, fissure avec perte infime à la charnière. Édition originale, présumée tirée à seuls 50 exemplaires. Aussi rare et de même tirage estimé qu' "À la Venvole", paru en 1942, cette première version de ce qui deviendra après de profonds remaniements "La tour des miracles" :-( Ici comme chez un de nos estimé confrères truffé d'un portrait photographique signé de l'auteur, à la pipe et à la guitare, de Harcourt.Sur l'histoire de cette mystification Gallimarde (Gaston et quelques-uns des écrivains maison y sont plus ou moins maltraités), suite de tableaux surréalistes primairement titrée "Lalie Kakamou" puis "Si les lièvres avaient des fusils, on n'en tuerait pas tant" (épatant non ?), voir la rubrique d'Armand Robin qui fait écho avec ironie à ce titre inclassable ? On y joint une série de 13 photos du chanteur-poète en concert !Et enfin, sur la diffusion, les avis divergent entre un essentiel écoulement par la presse ou une attention réservée aux seuls amis.Les copains d'abord ?Qu'importe, l'ai-je déjà dit : introuvable !Et aucun exemplaire semble-t-il ni à la BN ni en quelque autre bibliothèque publique francophone. Un collègue plus malin saura en tirer profit et vendre le sien, s'il ne craint de se perdre dans les méandres de Chorus, une structure par institutionnelle kakfaïenne dans laquelle j'ai failli perdre les nerfs en tentant de valider mon insertion, butant au niveau de la configuration d'un nouveau mot de passe, ayant perdu le mien de vue après 5 heures de déambulation, le système me demandant : Ancien mot de passe oublié ? J'acquiesce. Relance du robot : pour valider un nouveau mot de passe prière de préciser l'ancien :-( > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <.

  • ROUD Gustave :

    Edité par Au Verseau, Lausanne 10.12.1927., 1927

    Vendeur : OH 7e CIEL, Lausanne, Suisse

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    EUR 4 081,54

    Autre devise
    EUR 33 Frais de port

    De Suisse vers Etats-Unis

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    Broché 27 x 19, couverture imprimée rempliée sur papier cuve à la main, à peine un brin défraîchi comme souvent vu sa fragilité. Édition originale. L'un des 70 exemplaires numérotés sur Hollande, après 10 Japon. D'une intense rareté, sans mystère puisque le tirage total en est de 80 exemplaires, ce recueil inaugural du poëte reste des plus recherchés. Pour qui l'a lu, la raison en transparaît immédiatement, c'est le texte fondamental de l'écrivain.Un coup de maître pour un coup d'essai !Avec lettre et portrait photographique complémentaires d'époque sur demande. > En cas de problème de commande, veuillez nous contacter par notre page d'accueil / If you have any problems with your order please contact us via our homepage <.

  • Image du vendeur pour Album photographique contenant 28 portraits d'Algériens finement rehaussés à l'aquarelle mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    GEISER Jean

    Date d'édition : 1870

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

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    Livre Edition originale

    EUR 4 025

    Autre devise
    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Couverture rigide. - Alger s.d. (circa 1870), Album : 13x17cm / photographies : 6,3x10,4cm, 28 portraits sur cartes de visite consignés dans un album. - Album photographique constitué de 28 portraits photographiques, en tirage albuminé d'époque, contrecollés sur des cartons au format carte de visite. Ces photographies, bien contrastées et finement rehaussées à l'aquarelle, sont d'une grande intensité : les modèles y fixent avec fierté et noblesse l'objectif du photographe. Reliure en plein cuir noir grainé, fermoir de métal, toutes tranches dorées. Frottements. Superbe témoignage par l'un des premiers photographes européens établis en Algérie. Suisse expatrié en Algérie, Jean Geiser (1848-1923) a baigné dans la photographie depuis son enfance. En 1852, sa mère s'associe à Antoine Alary, l'un des pionniers de la photographie algérienne ; ensemble ils fondent un studio qui perdurera jusqu'en 1867 date à laquelle Jean Geiser prendra sa direction. D'abord spécialisé dans les portraits de bourgeois européens de la ville, le photographe comprend bien vite l'intérêt de la métropole pour les images folkloriques. Ces rares et magnifiques portraits « types », dépeignant toutes les couches de la population indigène - de l'enfant des rues au caïd - sont aujourd'hui recherchés pour leur valeur ethnographique, témoignage d'une Algérie à l'aube de la colonisation. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Photographic album containing 28 portraits of Algerians finely enhanced with watercolour Algiers [ca 1870] | Album: 13 x 17 cm / photographs: 6.3 x 10.4 cm | 28 carte de visite portraits in an album Photographic album comprising 28 photograph portraits, in contemporary albumen print, pasted on card in carte-de-visite format. These photographs, well contrasted and finely enhanced with watercolour at the time, are of great intensity: the models stare at the photographer's lens with pride and nobility. Binding in full black grained leather, metal clasp, all edges gilt. Rubbing. Superb photographic testimony by one of the first European photographers established in Algeria. A Swiss expatriate in Algeria, Jean Geiser (1848-1923) was immersed in photography from childhood. In 1852, his mother joined forces with Antoine Alary, one of the pioneers of Algerian photography; together they founded a studio which lasted until 1867, when Jean Geiser took charge. Initially specialising in portraits of the city's European bourgeois, the photographer quickly understood the city's interest for folk images. These rare and magnificent "typical" portraits, depicting all the layers of the indigenous populations - from street children to caïd - are today sought after for their ethnographic value, testimony of an Algeria at the dawn of colonisation.

  • Image du vendeur pour Album photographique contenant 28 portraits d'Algériens finement rehaussés à l'aquarelle mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    GEISER Jean

    Date d'édition : 1870

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

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    Livre Edition originale

    EUR 4 025

    Autre devise
    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Couverture rigide. - Alger s.d. (circa 1870), Album : 13x17cm / photographies : 6,3x10,4cm, 28 portraits sur cartes de visite consignés dans un album. - Album photographique constitué de 28 portraits photographiques, en tirage albuminé d'époque, contrecollés sur des cartons au format carte de visite. Ces photographies, bien contrastées et finement rehaussées à l'aquarelle, sont d'une grande intensité : les modèles y fixent avec fierté et noblesse l'objectif du photographe. Reliure en plein cuir noir grainé, fermoir de métal, toutes tranches dorées. Frottements. Superbe témoignage photographique par l'un des premiers photographes européens établis en Algérie. Suisse expatrié en Algérie, Jean Geiser (1848-1923) a baigné dans la photographie depuis son enfance. En 1852, sa mère s'associe à Antoine Alary, l'un des pionniers de la photographie algérienne ; ensemble ils fondent un studio qui perdurera jusqu'en 1867 date à laquelle Jean Geiser prendra sa direction. D'abord spécialisé dans les portraits de bourgeois européens de la ville, le photographe comprend bien vite l'intérêt de la métropole pour les images folkloriques. Ces rares et magnifiques portraits « types », dépeignant toutes les couches de la population indigène - de l'enfant des rues au caïd - sont aujourd'hui recherchés pour leur valeur ethnographique, témoignage d'une Algérie à l'aube de la colonisation. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Photographic album containing 28 portraits of Algerians finely enhanced with watercolour Algiers [ca 1870] | Album: 13 x 17 cm / photographs: 6.3 x 10.4 cm | 28 carte de visite portraits in an album Photographic album comprising 28 photograph portraits, in contemporary albumen print, pasted on card in carte-de-visite format. These photographs, well contrasted and finely enhanced with watercolour at the time, are of great intensity: the models stare at the photographer's lens with pride and nobility. Binding in full black grained leather, metal clasp, all edges gilt. Rubbing. Superb photographic testimony by one of the first European photographers established in Algeria. A Swiss expatriate in Algeria, Jean Geiser (1848-1923) was immersed in photography from childhood. In 1852, his mother joined forces with Antoine Alary, one of the pioneers of Algerian photography; together they founded a studio which lasted until 1867, when Jean Geiser took charge. Initially specialising in portraits of the city's European bourgeois, the photographer quickly understood the city's interest for folk images. These rare and magnificent "typical" portraits, depicting all the layers of the indigenous populations - from street children to caïd - are today sought after for their ethnographic value, testimony of an Algeria at the dawn of colonisation.

  • Image du vendeur pour [Réunion d'amis. Portraits-cartes de visite]. mis en vente par Bonnefoi Livres Anciens

    COROT (Camille).

    Edité par [] [1867-1870]], [], 1867

    Vendeur : Bonnefoi Livres Anciens, Paris, France

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    EUR 4 025

    Autre devise
    EUR 40 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    12 photographies « carte de visite » (60 x 90 mm) et 1 photographie contrecollée (8,5 x 12 cm), montées dans un album in-12 (120 x 150 mm) chagrin brun, dos lisse orné, tranches dorées, fermoir, initiales dorées P.O. sur le plat supérieur, gardes moirées, un fermoir (reliure de l'époque). Précieux album photographique établi autour du peintre Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875),Président de cette Réunion d'Amis dont la liste des membres est inscrite en lettres dorées sur la garde supérieure, suivie par ordre d'apparition de leurs portraits-vignettes enchâssés recto verso, sortis des plus grands ateliers parisiens : 1. Corot (par Carjat) 2. Osmond 3. Sausy (par Pierre Petit) 4. Ménétrier Père (par Pierre Petit) 5. Douailly (par Tiffereau) 6. Etex (par Numa Blanc) 7. Menetrier fils (par Messier) 8. Drevet (par Jamin) 9. Maignol (par Pierson) 10. Ozouf (par Carjat) 11. Méry (par Carjat) 12. Copin (par Bourlier). Un treizième et dernier tirage indépendant de la série n'a pu être identifié - peut-être le portrait du propriétaire avec son chiffre doré P.O. sur la reliure. Portraits de proches au premier rang desquels apparaît le nom Osmond dont la famille fut liée au peintre sa vie durant avec son ami de jeunesse Abel mort en 1838 à 44 ans, ses frères Thomas, Pierre et Ferdinand enfin leur tante Parfaite Anastasie Osmond à qui Corot rendit souvent visite à Mantes dans les années 1860. « Tout à vous et amitiés à toute la famille. C. Corot. J'écris à M. Ménétrier et à Étex. On vous expédiera deux toiles pour travailler quand je serai à Mantes (Extrait de correspondance cité par Rodolphe Walter qui poursuit :) Des trois compagnons de voyage évoqués, le littérateur Charles Ménétrier (1804-1888) est ignoré des biographes de Corot. En revanche, Ferdinand, le jeune frère d'Abel Osmond, est mieux connu, grâce à de fréquentes visites à Rosny et à son portrait présumé ».Charles Ménétrier (1811-1888) homme de lettres, auteur dramatique et critique littéraire - le rédacteur de la "Revue et gazette des théâtres" fut le père de Pierre Ménétrier (1859-1935) membre de l'Académie de médecine et Président de la Société d'histoire de la médecine. Le sculpteur Antoine Etex (1808-1888) fit pour sa part le portrait de Jean-Baptiste Camille Corot (profil en bas-relief, 1841) qui scella la relation entre les deux artistes. Les portraits des quatre susnommés se retrouvent ainsi dans l'album des amis tandis que les autres noms sont restés dans l'ombre du grand peintre.Rare document iconographique qui met en lumière l'entourage peu connu de Camille Corot. [Voir : Rodolphe Walter et Elisabeth Foucart-Walter, Corot à Mantes 1997, p. 48].

  • HAMILTON Richard.

    Edité par Cadaquès, Galeria Cadaquès, 1986

    Vendeur : Librairie Jean-Yves Lacroix, Gouloux, France

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    Livre

    EUR 4 000

    Autre devise
    EUR 9 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    Couverture souple. Etat : Comme neuf. Cadaquès, Galeria Cadaquès, 1986. Un double feuillet in-8 de papier fort glacé, 4 pages illustrées en noir encartant une impression numérique en couleurs. Édition originale de ce catalogue édité par la Galeria Cadaquès à l'occasion de l'exposition de Richard Hamilton, du 19 au 31 juillet 1986. Couverture illustrée de « Of the tribe of Finn ». Texte et portrait photographique de Richard Hamilton. Liste des 30 oeuvres exposées. Tirage à 1 000 exemplaires, un des 100 de tête numérotés et enrichis d'une impression numérique originale en couleurs de Richard Hamilton, d'un format 21 x 14,8 cm, rehaussée à la gouache, numérotée et signée par l'artiste (n° 18). Richard Hamilton fut invité pour la première fois à Cadaquès en 1963 par Marcel Duchamp, avec qui il nourrit une importante correspondance et travailla pendant des années à la reconstruction du Grand Verre. Située sur la Costa Brava, non loin de la frontière française, Cadaquès était connue comme une destination privilégiée par des artistes tels Marcel Duchamp, Salvador Dali, Joan Miró ou encore Picasso. Richard Hamilton y revint souvent et finit lui aussi par y acheter une maison. Lorsqu en 1973 l architecte Lanfranco Bombelli ouvrit la Galeria Cadaquès, Richard Hamilton devint naturellement l'un de ses premiers et plus enthousiastes collaborateurs et y exposa, jusqu'à la fermeture des lieux, en 1997, plus d'une douzaine de fois. Très bel exemplaire.

  • Image du vendeur pour Portrait photographique dédicacé mis en vente par Librairie Walden

    [CHURCHILL] VIVIENNE (Florence)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

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    Signé

    EUR 4 000

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    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    [London: Vivienne, 20th Century Studios Ltd., 1950]. 1 tirage original, monté sur carton fort, encadré. Tirage original. Le premier portrait de Churchill par Florence Vivienne. Rare tirage offert par Winston Churchill : il porte, sous la photographie, une dédicace de Churchill à E. M. Pommier, un résistant français. L?encre de la dédicace s?est effacée, mais est encore visible. Une lettre du secrétaire privé de Churchill a été conservée au verso, certifiant que la photographie et la signature ont été envoyées et adressant les compliments du Prime Minister à Pommier. Florence Vivienne Entwistle débuta dans la photographie en aidant en 1934 son mari, Ernest Entwistle et son fils, Antony. Elle créa son propre studio à la fin des années 1930 et se spécialisa dans les portraits de personnalités. Les relations avec les Churchill dépassèrent le strict cadre professionnel puisque, en octobre 1949, la fille des Churchill, Sarah, épouse le fils de Vivienne, Antony. Les Churchill « apprendra le mariage. par les journaux et en furent très contrariés. surtout Clémentine, qui le prend très mal ». Néanmoins, le 19 décembre 1949, le couple Churchill rencontre le couple Vivienne et, « après un agréable déjeuner ensemble, Florence Vivienne réalise le portraits de Winston Churchill, dans son studio de Piccadilly » (Gilbert, Vol. VIII, p. 496). Le portrait plut tant à Churchill qu'il l'utilisera dès l'année suivante, pour la campagne des élections générales de février 1950 et qu'il deviendra l'un des plus célèbres du Prime Minister. Florence Vivienne était connue pour exiger de ses sujets qu'ils viennent dans son studio et la jaquette qui orne son autobiographie (They Came to My Studio, publiée en 1956) est illustrée par cette photographie. Vivienne rappelle (p. 16) combien cette image est devenue iconique, et qu'elle était alors la seule qu'elle ait prise de Churchill. La National Portrait Gallery conserve 214 portraits de Vivienne, dont celui-ci (14, en tout, pour la famille Churchill, la plupart ayant été pris dans leur maison de campagne, Chartwell).

  • Image du vendeur pour L'Eternel retour mis en vente par Chloé et Denis Ozanne

    ALBIN GUILLOT LAURE (1879-1962) JEAN COCTEAU (1889-1963) ROSSIANO GRAZIATI ALDO (1905-1953)

    Edité par Nouvelles Editions Françaises, Paris, 1947

    Vendeur : Chloé et Denis Ozanne, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

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    In-folio en feuilles 328x250mm, portrait, frontispice, 152 pages. (y compris les 21 photographies hors texte) et 21 photographies supplémentaires constituant la suite. Etui titré et emboîtage. Un des 25 exemplaires hors commerce comportant le portrait photographique original de Jean Cocteau par Laure Albin Guillot signé par l'artiste et la photographe et la suite supplémentaire des 21 photographies de Rossiano Graziati Aldo. Les illustrations photographiques ont été imprimées sur les presses héliogravure de Draeger Frères à partir des photographies de plateau de Rossiano Graziati Aldo sous la direction de Jean Hubert, directeur de la photographie pour le film. Aldo, ami de Cocteau, avait déjà collaboré à La Belle et la Bête. Le film de Jean Delannoy, sorti en 1943, est une transposition moderne par Jean Cocteau de la légende amoureuse de Tristan et Iseult interprétée par le couple idéal de l'occupation Jean Marais et Madeleine Sologne poursuivis par la jalousie et la haine du nain Piéral et de Yvonne de Bray. Le portrait de Jean Cocteau est un tirage original sur papier sensibilisé brossé à la main par Laure Albin Guillot. Pas de jaquette Couverture rigide Signé par l'auteur First Edition 48 pages. Livre.