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Le regard qui transforme: Ces blessures qui nous guident vers l'epanouissement - Couverture souple

 
9781482630176: Le regard qui transforme: Ces blessures qui nous guident vers l'epanouissement
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Présentation de l'éditeur :
Pourquoi se priver encore de la joie de vivre ? Elle est à jamais accessible à tous. À quelque niveau qu’il soit éprouvé, le mal-être n’est ni une fatalité, ni une punition, ni une malchance, ni une injustice, ni une malédiction… Seules des croyances de cet ordre suffisent pour repousser la paix, l’amour, l’abondance. Ce que nous pensons nous piège. Le regard qui transforme nous donne à voir les schémas mentaux qui contrecarrent notre épanouissement. Les voir vraiment, c’est s’en libérer. C’est magnifique d’observer comment nous fonctionnons, parce que l’observation nous amène à cesser de fonctionner en esclave, en automate ou en somnambule. Elle nous rend libres et sereins. Dans son existence, tout un chacun déplore communément des circonstances qui le laissent plus ou moins mal, le rendent plus ou moins malheureux (ennuis de santé, soucis financiers, conflits relationnels, expériences professionnelles insatisfaisantes, etc.) sans soupçonner que la préoccupation du moment réveille seulement une douleur enfouie en soi. On tente alors de résoudre ce problème apparent (pour peu qu’on ne se soit pas résigné). Il arrive même qu’on parvienne à trouver une « solution » jusqu’à ce que la douleur non considérée soit une fois de plus ravivée à la faveur d’un nouveau problème, d’une nouvelle contrariété. Maintenant, si l’on considère la manière dont on se sent traité à travers le problème même ou de façon plus directe par une personne ponctuellement impliquée, on en vient (avec un peu d’entraînement) à reconnaître des ressentis bien familiers. On les a déjà éprouvés ! Ils nous renvoient à notre enfance. Autrement dit, nos épreuves actuelles nous parlent de ce que nous n’avons pas pu évacuer des douleurs passées accumulées. Et « ça parle si bien », en effet, que nous pouvons accueillir et écouter ce que nous racontent nos problèmes. Nous gagnons beaucoup à le faire ! De la sorte, nous parvenons bientôt à « guérir » la cause plutôt que de tenter de traiter l’effet… en vain. L’attention accordée à un enfant en peine (comme celui que nous avons été) n’implique aucunement de désigner des coupables. En somme, ce que nous avons concrètement vécu en tant qu’enfant est bien moins important que la manière dont nous nous sommes sentis traités (à tort ou à raison). Chose remarquable, il n’y a pas mille manières de se « sentir traité », même si l’intensité du ressenti varie et s’il convient de tenir compte de nuances observables. Ainsi, selon sa propre histoire, on va se sentir abandonné (oublié, négligé…), dévalorisé (rabaissé, ridiculisé…), maltraité (malmené, harcelé…), rejeté (repoussé, ignoré…), trahi (trompé, abusé…). Il est ici question des cinq grandes blessures que sont l’abandon, la dévalorisation, la maltraitance, le rejet, la trahison. Ces blessures sont autant de conditionnements spécifiques qui engendrent chacun une personnalité particulière de façon manifeste. On ne pense pas de la même façon si l’on s’est senti abandonné plutôt que rejeté. On agira différemment si l’on s’est senti trahi plutôt que dévalorisé. Bref, la blessure principale d’une personne lui infligera des peurs, des croyances, des réactions tout à fait distinctives. Quand on a identifié l’attitude réactionnelle d’une personne, on connaît aussi sa blessure. Par exemple, une personne typiquement plaintive a vécu de la maltraitance dans son enfance (il est rare qu’elle ne se le rappelle pas). Le livre aide à identifier notre propre blessure principale (ainsi que nos blessures secondaires) pour cesser peu à peu d’en être la proie. La prise en compte de nos blessures nous permet de reconnaître nos identifications, de nous rapprocher ce faisant de notre véritable nature, de qui nous sommes au-delà de nos conditionnements. Et quand nous avons reconnu la réalité des blessures humaines, nous avons également plus de compassion envers nos proches et le monde. http://www.geoffroyrobert.com
Biographie de l'auteur :
Avec gratitude, je vois les croyances qu’il m’a fallu lâcher pour consentir à écrire et à publier un premier livre. En apparence, tout interdisait un tel projet. On déplore parfois des limitations rencontrées dans l’existence sans voir celles qu’on s’impose soi-même. À 9 ans et demi, je ne savais ni lire, ni écrire (pas même mon prénom). Auprès d’un nouvel instituteur, digne et compétent, mes progrès soudains et fulgurants ont été perturbés par la décision prise de me placer en pension du fait de ma mauvaise vue, puis par la cécité totale que j’ai contractée dans la foulée à près de 11 ans. À 16 ans, je quittais l’école. Désœuvré pendant 5 ans, je mettrai à profit les temps de rémission d’un profond mal-être pour réduire un peu avec les moyens du bord mes lacunes culturelles et pour me familiariser avec l’anglais et l’allemand. Il y a encore à peine 10 ans, je n’aurais même pas espéré pouvoir un jour comprendre pleinement les dizaines d’heures de conférences en anglais que j’ai désormais traduites. Sinon que j’ai toujours aimé suivre mes élans, je serais bien incapable d’expliquer l’accomplissement dans mon existence de choses inespérées. J’ai fini par travailler dans le domaine de la relation d’aide, juste parce qu’à près de 40 ans, je me suis entendu un jour en annoncer l’intention encore ignorée la veille. Or, depuis toujours, j’aimais tenter d’aider autrui. Fin 1995, je me suis levé un beau matin avec une foule d’idées qui m’émerveillèrent et que je m’empressai de transcrire sur mon ordinateur, pour simplement me les rappeler. En fait, j’ai passé la journée à écrire et assez vite, j’ai compris que je détenais le livre qu’on me demandait déjà : Le regard d’un non-voyant publié au Souffle d’Or. Durant l’été 1998, les portraits des cinq personnalités « blessées » se sont imposés à moi et cette fois, j’ai su clairement qu’un nouveau livre était en gestation. Sans nul doute est-ce à ma cécité et à la profonde détresse éprouvée aux débuts de mon existence que je dois mes perceptions, mes inspirations, ainsi que ma disposition et mon plaisir réconfortant à rencontrer de belles âmes qui m’ont enrichi elles aussi. Quand on a compris que la souffrance humaine n’est rien d’autre qu’une sorte d’alarme, de réveil, on fait ami avec la vie, on cesse d’accorder tant de crédit à ses propres convictions et, chacun à sa manière, on peut montrer (enseigner) ce chemin disponible à tous. J’apprécie la vie !

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