Présentation de l'éditeur :
"La comtesse Stéphanie de Vandières, qui avait suivi son vieux mari, le général de Vandières, dans la campagne de Russie, a été sauvée par son ami d'enfance, le major Philippe de Sucy, lors du passage de la Bérésina. Au moment de leur séparation, la jeune femme, prise de panique crie : "Adieu!" à son amant resté sur l'autre berge. 6 ans après, Philippe de Sucy, devenu colonel, aperçoit, lors d'une partie de chasse dans le parc d'un ancien prieuré, la silhouette fantomatique mais toujours d'une étrange beauté, d'une femme qui ne cesse de répéter le mot "Adieu". Le colonel croit reconnaître Stéphanie, qu'il n'avait jamais revue depuis. L'émotion est si forte qu'il s'évanouit... Philippe de Sucy, à qui on confirme l'identité de la jeune femme, découvre avec horreur que le comportement de Stéphanie ressemble à celui d'un animal. Il essaie de convaincre le docteur Fanjat de tenter un traitement sur la jeune femme. Il est persuadé qu'un choc émotionnel puissant peut lui faire recouvrer la raison..."
Quatrième de couverture :
1819. Par une brûlante journée de l'été finissant, deux chasseurs - deux amis, le marquis d'Albon et le baron Philippe de Sucy - égarés dans une forêt de l'Ile-de-France entrevoient, sous les frondaisons d'un parc à l'abandon, une silhouette féminine d'une grâce aérienne. En cette jeune femme, folle, qui ne sait plus que répéter machinalement un seul mot, " Adieu ", Philippe, bouleversé, reconnaît la comtesse Stéphanie de Vandières, la maîtresse passionnément aimée dont il fut tragiquement séparé en 1812, lors du passage de la Bérésina. Soulevé par un espoir insensé, il va tenter de rendre la vie à cette âme morte. Ce récit insolite et saisissant, tout à la fois " étude philosophique " et " scène de la vie militaire " est l'un des plus achevés de La Comédie humaine.
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