Quatrième de couverture :
Dans le Pacifique, un yacht, le Sloughi, est en perdition. A bord, quinze enfants de huit à quatorze ans. Pas un adulte avec eux ; le bateau a rompu mystérieusement ses amarres dans un port de la Nouvelle Zélande alors que les enfants s'apprêtaient à entreprendre une croisière, et que tout l'équipage se trouvait à terre. La tempête précipite le Sloughi sur des écueils et les enfants, non sans peine, arrivent sur une île déserte. Les longues "vacances" commencent... Pour subsister, les enfants n'ont rien, que leur courage : ils chassent, pêchent, inventent des pièges, dressent des animaux, cultivent. Hélas ! des rivalités divisent la petite colonie, les caractères se heurtent, la scission est accomplie quand de redoutables bandits abordent le rivage. Une lutte implacable s'engage : enfants contre hommes sans foi ni loi... De multiples aventures, l'intelligence et la force de caractère des jeunes héros, font de Deux Ans de vacances un beau roman, très attachant.
Présentation de l'éditeur :
Quinze garçons âgés de huit à quatorze ans, tous pensionnaires d’un collège nommé « Chairman » de Nouvelle-Zélande, se retrouvent sur le Sloughi qui dérive et fait rapidement naufrage sur une île déserte du Pacifique. Peu à peu, en compagnie du mousse, seul membre restant de l’équipage du navire, leur vie s’organise et s’améliore, mais des rivalités se font de plus en plus sentir dans la communauté des quinze rescapés. Une scission est sur le point d’avoir lieu quand des bandits abordent le rivage, obligeant les enfants à utiliser toute leur force de cohésion pour les affronter. Ils arrivent sur l’île, le 10 mars 1860, et repartent, le 5 février 1862, d’où le titre de Deux ans de vacances. Ils atteignirent Auckland en Nouvelle-Zélande, le 25 février 1862.
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