Quatrième de couverture :
Louise et Renée sortent du couvent où elles ont noué une amitié sans faille. Jetées dans le tourbillon du monde, elles empruntent des chemins différents : artifices de la vie parisienne et ravages d'une passion mortifère pour l'une, réclusion dans la solitude provinciale et sacrifice de soi sur l'autel d'un mariage sans amour pour l'autre...Leur correspondance confronte deux choix de vie. Balzac admet à contrecœur : «J'aimerais mieux être tué par Louise que de vivre longtemps avec Renée.» Et vous, qui choisiriez-vous ?L'accompagnement critique place le roman dans une perspective historique et politique (la Restauration et la monarchie de Juillet) et étudie sa singularité au sein de La Comédie humaine. L'analyse du genre épistolaire constitue le fil conducteur du commentaire, notamment à travers un groupement de textes autour de quelques préfaces.
Quatrième de couverture :
Elles sont deux, Renée et Louise, qui, à peine sorties du couvent, vont suivre des destinées contraires. Faut-il mettre de la passion dans le mariage ? Ou y chercher un bonheur raisonnable ? Derrière cette "dispute", menée par correspondance, une lutte sourde oppose deux ambitions : Renée la sage n'exige pas moins de la vie que Louise la folle. Débat sur le mariage, les Mémoires de deux jeunes mariées sont aussi l'histoire d'une rivalité. Et si la sagesse finit par triompher du "romanesque", il ne faut peut-être pas trop se fier au dénouement : "J'aimerais mieux être tué par Louise que de vivre longtemps avec Renée", disait Balzac.
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