Quatrième de couverture :
1819. Par une brûlante journée de l'été finissant, deux chasseurs - deux amis, le marquis d'Albon et le baron Philippe de Sucy - égarés dans une forêt de l'Ile-de-France entrevoient, sous les frondaisons d'un parc à l'abandon, une silhouette féminine d'une grâce aérienne. En cette jeune femme, folle, qui ne sait plus que répéter machinalement un seul mot, " Adieu ", Philippe, bouleversé, reconnaît la comtesse Stéphanie de Vandières, la maîtresse passionnément aimée dont il fut tragiquement séparé en 1812, lors du passage de la Bérésina. Soulevé par un espoir insensé, il va tenter de rendre la vie à cette âme morte. Ce récit insolite et saisissant, tout à la fois " étude philosophique " et " scène de la vie militaire " est l'un des plus achevés de La Comédie humaine.
Présentation de l'éditeur :
Adieu est une nouvelle de Balzac, datée par lui-même de 1830. La première partie du texte paraît en prépublication dans l’hebdomadaire d’Émile de Girardin : la Mode deux mois plus tard, la même année, sous le titre Souvenirs soldatesques. Adieu. Elle est alors sous-titrée : Les Bonshommes, et les deux autres parties parurent en juin de la même année dans le même hebdomadaire avec les sous-titres Le Passage de la Bérésina , et La Guérison.
Les informations fournies dans la section « A propos du livre » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.