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Les grands mythes chrétiens dessinent une histoire des sexes. Un drame dans lequel la femme sépare le premier homme de Dieu: la création d'Adam tourne à la catastrophe par la faute d'Ève. Mais si Ève éloigne l'homme de Dieu, Marie rapproche Dieu de l'homme. C'est d'elle que naît le nouvel Adam: Jésus.
En philosophie, en théologie, les grands textes fondateurs font le récit d'une vision masculine de l'histoire: la femme diffère de l'homme, jamais l'inverse. Comme si le point de vue viril était l'unique et l'universel - tandis que la femme demeure toujours l'autre, le genre différent.
"Il n'y a ni mâle ni femelle", écrit pourtant saint Paul. Le christianisme aurait-il l'ambition de renverser la "fatalité" de la condition sexuée? Paul poserait-il ici les fondements d'un universalisme chrétien en annonçant l'égalité des sexes?
Sylviane Agacinski montre au contraire que, comme dans la philosophie grecque, la pensée chrétienne des premiers siècles identifie l'esprit et l'intellect à l'homme, la chair et le péché à la femme.
Avec cette Métaphysique des sexes, Sylviane Agacinski décrit un régime de pensée masculin qui survit encore dans l'imaginaire contemporain.
Philosophe, Sylviane Agacinski enseigne à l'École des hautes études en sciences sociales. Elle a publié au Seuil Politique des sexes (1998), Le Passeur de temps. Modernité et nostalgie (2000) et Journal interrompu.
25 janvier - 25 mai 2002 (2002).
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De France vers Etats-Unis
Description du livre Etat : Neuf. N° de réf. du vendeur 9782020494519
Description du livre Paperback. Etat : NEUF. En alliant clarté et utilisation systématique des cas, les auteurs exposent les nouvelles théories expliquant le fonctionnement et l'évolution des organisations sociales de tout type. Depuis les grands classiques qui ont fondé la sociologie des organisations, (Weber, Crozier-Friedberg, Merton, Selznick, March, Simon.) des approfondissements significatifs ont eu lieu que cet ouvragePrésente de manière accessible. L'école dite des conventions (Boltanski et Thévenot) aborde l'organisation à travers la recherche du principe unificateur, de ce qui fait tenir. Il s'agit des conventions, accords implicites qui fondent les mondes présents dans les organisations. L'école de la traduction (Callon, Latour), s'intéressant aux conditions de production de la science, montreLa place des réseaux où les acteurs/actants produisent de la coopération à travers des opérations de traduction. La sociologie des logiques d'action insiste sur les dimensions historiques et culturelles de l'acteur et refuse de s'attacher à des écoles particulières pour utiliser de manière pragmatique leurs différents concepts. Il s'agit d'utiliser ceux-ci (pouvoir, rationalité, régulation,Identité, mondes, réseaux socio-techniques) sans s'attacher à y expliciter l'objet, le concept, que les auteurs ont cherché à y mettre. On acquiert ainsi une méthodologie pratique pour comprendre les organisations.Ces quatre ensembles constituaient le corps des deux premières éditions. Il est repris dans cette troisième édition et augmenté d'un nouveau chapitre entièrement inédit présentant les dernières approches de la sociologie des organisations : réseaux, fin des frontières, nouvel esprit du capitalisme, socio-économie, intervention et métissage, et enfin la nouvelle manière de traiter le thème de la coopération. - Nombre de page(s) : 301 p. - Poids : 0g - Langue : fre - Genre : Philosophie Textes / Critiques / Essais / Commentaires La librairie du XXIe siècle. N° de réf. du vendeur N9782020494519