Présentation de l'éditeur :
Les Barricades Mystérieuses, épuisées depuis 1948, reparaissent à l'Arbalète en 1990.Pour Jean Cau, Olivier Larronde est «l'archange poète de l'après-guerre, couronné de génie».Quant à Jean Genet, il estime que, comme Baudelaire ou Mallarmé, Olivier Larronde a eu «son ton de voix».En le rencontrant, Paul Guth s'extasie : «Un grand poète nous est né» chante en lui une certitude.René Char écrit d'Olivier Larronde : «Grand poète et mon frère».Et Angelo Rinaldi dans Lire en 1980 : «On s'apercevra dans trente ans qu'il était aussi important que Rimbaud».
Présentation de l'éditeur :
La poésie d'Olivier Larronde ne s'offre pas. C'est le lecteur qui doit s'offrir à elle, et qui, s'il est agréé - et cela ne dépend que de lui-même, de sa ferveur - est alors pris par les charmes subtils des images condensées à l'extrême et des mots choisis avec un soin méticuleux, qui ne laisse aucune prise au hasard. C'est une poésie à la fois difficile et limpide, très pure, aux effets qui se prolongent en ondes imprévisibles, hautaine sans doute, comme celle de Scève ou de Mallarmé, précieuse peut-être, mais au sens exact du mot, et d'un accent inoubliable.
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