Quatrième de couverture :
Alix de Saint-André a pris trois fois la route de Compostelle. La première fois, elle est partie de Saint-Jean-Pied-de-Port, sur le chemin français, avec un sac plein d'idées préconçues, qui se sont envolées une à une, au fil des étapes. La deuxième fois, elle a parcouru le «chemin anglais» depuis La Corogne, lors d'une année sainte mouvementée. L'ultime voyage fut le vrai voyage, celui que l'on doit faire en partant de chez soi. Des bords de Loire à Saint-Jacques-de-Compostelle, de paysages sublimes en banlieues sinistres, elle a rejoint le peuple des pèlerins qui se retrouvent sur le chemin, libérés de toute identité sociale, pour vivre à quatre kilomètres-heure une aventure humaine pleine de gaieté, d'amitié et de surprises. Sur ces marcheurs de tous pays et de toutes convictions, réunis moins par la foi que par les ampoules aux pieds, mais cheminant chacun dans sa quête secrète, Alix de Saint-André, en poursuivant la sienne, empreinte d'une gravité mélancolique, porte, comme à son habitude, un regard à la fois affectueux et espiègle.
Présentation de l'éditeur :
Pèlerine multirécidiviste, peu douée pour la marche et accrochée à ses cigarettes, Alix de Saint-
André a pris trois fois la route de Compostelle. D’abord, depuis Saint-Jean-Pied-de-Port, sur le « chemin français », où s’envolèrent ses idées de méditation solitaire dans des refuges surpeuplés ; puis, de La Corogne jusqu’à Finisterre, sur le « chemin anglais » ; et enfin depuis les bords de Loire, pour accomplir ce que les Espagnols appellent « le vrai chemin », celui qu’on doit faire en partant de chez soi... De paysages sublimes en banlieues pittoresques, elle a rejoint ce peuple de marcheurs de tous pays, réunis moins par la foi que par les ampoules au pied, qui se retrouvent pour vivre à quatre kilomètres-heure une aventure humaine sur laquelle elle porte un regard à la fois affectueux et espiègle.
Les informations fournies dans la section « A propos du livre » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.