Quatrième de couverture :
Ils sont sept. Les meilleurs dans leur domaine respectif : maniement d’explosifs, charisme, assassinat, braquage, séduction… Ils n'ont, a priori, rien en commun mais vont devoir mettre de côté leurs rivalités et s’associer pour une mission secrète insolite. En cas de succès, ils pourraient devenir les sauveurs de l’humanité tout entière. En cas d’échec : la mort ou pire encore. L’enjeu ? Réussir le casse du continuum. Thriller de science-fiction convoquant tour à tour les souvenirs d’Ocean’s Eleven, de Ratinox, d’Inception, de James Bond et de bien d’autres, Le casse du continuum est l’occasion pour Léo Henry de laisser miroiter toutes les facettes de son talent : intelligence scénaristique, style affûté, imagination débordante, humour ravageur…
Biographie de l'auteur :
Léo Henry naît à Strasbourg en 1979. Il publie son premier recueil, Les Cahiers du labyrinthe, en 2003, avant de coécrire avec Jacques Mucchielli le cycle de nouvelles consacré à Yirminadingrad : Yama Loka terminus (2008), Bara Yogoï (2010) et Tadjélé (2012). "Les trois livres qu'Absalon Nathan n'écrira jamais", parue dans l'anthologie Retour sur l'Horizon, aux Editions Denoël, a reçu le Grand Prix de l'Imaginaire en 2010. Son premier roman Rouge Gueule de bois paraît en 2011 aux Editions La Volte, qui ont également publié son dernier recueil en date, Le diable est au piano (2012). Son deuxième roman, Sur le fleuve, de nouveau en collaboration avec Jacques Mucchielli, sort en 2013 aux Editions Dystopia, et Le casse du continuum, thriller science-fictif, a paru en 2014, directement en poche, dans la collection Folio SF.
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