Quatrième de couverture :
"Je me souviens vaguement de quelques cauchemars pleins de carnavals tristes et de chagrins radieux. Je m'éveille enfin à l'existence. Je suis fatigué, fiévreux. Un bruit sonne. Ma tête résonne. Je reconnais mon salon. J'ai dormi vautré sur le canapé. Je reconnais les trois bouteilles vides de vieux malt, l'album de photo, les paquets de lettres, qui jonchent le sol. Il y a comme une odeur. Le chien Médor s'est laissé aller à ses fonctions primaires. Il a pissé, chié, devant la porte. Il a agressé violemment la poubelle pour tenter de se nourrir. Moi aussi, je me suis laissé aller. Les toilettes, le lavabo sont arrosés de vomissures séchées. Tout l'appartement pue, et moi plus encore. Je mets un disque. Schubert, Franz. La Jeune Fille et la Mort. stance."
Présentation de l'éditeur :
Max Ripolini, ancien des Beaux Arts,, devenu policier municipal dans une ville nouvelle, n'ignore rien des drames des habitants, de ces petits ou terribles faits 'vers qui émaillent les jours. Sans illusions, Max fait son travail avec humanité. 'exercice est difficile. Surtout lorsqu'un tueur s'attaque à des femmes dont il détruit systématiquement le visage. La vie e Max bascule un peu plus au bord du gouffre le jour où son ex-épouse croise le chemin du tueur...
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