Présentation de l'éditeur :
Rien ne va plus comme sur des roulettes pour Big Nate. Il a fait un vol plané et perdu son skate... Et tout ça, à cause de qui ?
Artur ! Alors là, pas question de laisser M. Premier-en-tout se mettre en travers de son chemin et gagner un super skate !
«Si vous avez aimé Le Journal d'un dégonflé, vous allez adorer ce roman.» Je bouquine
«Vous voulez connaître l'enchaînement implacable d'une catastrophe et mesurer combien la vie est injuste : si Artur, le premier en tout même dans le coeur de Jenny ne m'avait pas aspergé de peinture, je n'aurais pas renversé l'échelle, chopé une retenue, été en retard à la réunion des Scouts des Bois, pris mon skate pour rejoindre mon copain Teddy, foncé dans une mémé et son chien, envoyé valdinguer mon skate à jamais englouti dans des eaux saumâtres. Merci Artur !»
L'auteur
Lincoln Peirce habite à Portland, dans le Maine. Tout jeune, il se délecte des aventures de Charlie Brown et Snoopy. Plus tard, il fait des études d'art tout en publiant des stripes puis enseigne pendant trois ans dans un lycée de New York. Lancé en 1991, le comic strip mettant en scène Big Nate figure aujourd'hui dans plus de deux-cents magazines et est publié chaque jour sur le site comics.com. Six volumes de ses aventures sont à paraître aux États-Unis.
° La presse en parle
«Turbulent, insolent. Et tellement marrant.» Je Bouquine
«Ce roman mêle habilement BD et roman avec un humour décapant. Les commentaires acides de Big Nate sur ses profs, ses copains, sa famille, sont tordants et font mouche à tous les coups. Un big bravo pour Big Nate.» D Lire
«Nate est un cancre mais les enfants vont l'adorer. Qui aurait cru qu'un tel élève puisse donner le goût de lire à ses condisciples ?» Page des libraires
Extrait :
Jusqu'à présent, je n'avais pas vraiment remarqué à quel point la salle des retenues est ennuyeuse.
Bien sûr, ce n'est pas une grande nouvelle. On ne peut considérer comme un parc d'attractions un endroit où les principales activités consistent à 1) s'asseoir en silence la tête sur la table, 2) écrire cent fois : «Je ne ferai plus de bruits vulgaires quand Mary Ellen Popowski joue de la flûte.»
(Au fait, je ne suis pas là pour avoir fait des bruits vulgaires quand Mary Ellen Popowski jouait de la flûte. Ça, c'était la semaine dernière. Et ce n'était même pas exprès.)
Ce que je veux dire, c'est que la salle ELLE-MÊME est ennuyeuse. Il n'y a que deux écriteaux au mur. L'un dit SILENCE S'IL VOUS PLAÎT et l'autre - au cas où on ne serait pas assez intelligent pour comprendre le premier - INTERDICTION DE PARLER. Je ne leur demande pas d'installer une télé mais ça les tuerait vraiment de mettre deux ou trois affiches ?
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