Quatrième de couverture :
Un nouveau riche ébloui par les beautés de la danse, de la musique, de la philosophie et de l'escrime : le personnage est à la fois agaçant et touchant. En s'efforçant d'articuler les voyelles à s'en décrocher la mâchoire, en enfilant un habit du dernier ridicule et en envoyant un mot doux avec des précautions de poète, monsieur Jourdain croit atteindre au sublime. Le pauvre homme ! Mais autour de lui, le bon sens veille et l'emportera sur ses fantaisies passagères. Madame Jourdain, aidée par sa servante Nicole, le ramène à la raison. Les femmes sont bonnes conseillères !
Quatrième de couverture :
Une comédie étonnante, parce qu'elle est un curieux assemblage d'éléments divers. Ce fut d'abord un spectacle de cour : la danse, la musique (de Lully) contribuent aux divertissements royaux. C'est presque un livret d'opéra. Il y faut aussi de la galanterie : d'où les thèmes de l'amour et du mariage. Quant au bourgeois vaniteux, il suscite la moquerie, mais montre aussi la promotion d'une catégorie sociale, maîtresse de l'économie. À la fin, Molière fait danser tout le monde, en transformant la réalité en un univers de fantaisie.
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