L'édition de cet ISBN n'est malheureusement plus disponible.
Afficher les exemplaires de cette édition ISBNLes informations fournies dans la section « Synopsis » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.
Longtemps, la fortune et la puissance on été jugées à l’aune du nombre des chevaux, de la magnificence des écuries ou des attelages, de l’élégance du dressage ou de la race des bêtes.
De François Ier à Napoléon III, les activités équestres de tous ordres furent créatrices d’un sentiment distinctif pour ceux qui les pratiquaient et d’une conception de la différenciation pour ceux qui n’y participaient pas. La culture équestre peut alors se lire autant comme l’un des facteurs de la continuité des visions aristocratiques que s’envisager comme l’un des théâtres de la transformation des représentations du pouvoir. Et dans ce jeu subtil entre permanence et continuité, les Anglais furent – comme en démocratie et ce n’est pas un hasard – des rénovateurs et des inventeurs copiés dans tout l’Occident. Que l’on songe aux courses de chevaux, aux rituels vestimentaires et sociaux qu’elles génèrent, ou encore au Jockey club…
Avec l’érudition et le talent de plume que les lecteurs d’Histoire des choses banales ou d’Humeurs vagabondes apprécient tant, Daniel Roche continue son exploration de la culture équestre.
Les informations fournies dans la section « A propos du livre » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.
Frais de port :
Gratuit
Vers Etats-Unis
Description du livre Soft Cover. Etat : new. N° de réf. du vendeur 9782213666075
Description du livre Etat : Neuf. N° de réf. du vendeur 9782213666075
Description du livre Paperback. Etat : NEUF. Longtemps, la fortune et la puissance on été jugées à l'aune du nombre des chevaux, de la magnificence des écuries ou des attelages, de l'élégance du dressage ou de la race des bêtes. De François Ier à Napoléon III, les activités équestres de tous ordres furent créatrices d'un sentiment distinctif pour ceux qui les pratiquaient et d'une conception de la différenciation pour ceux qui n'y participaient pas. La culture équestre peut alors se lire autant comme l'un des facteurs de la continuité des visions aristocratiques que s'envisager comme l'un des théâtres de la transformation des représentations du pouvoir. Et dans ce jeu subtil entre permanence et continuité, les Anglais furent - comme en démocratie et ce n'est pas un hasard - des rénovateurs et des inventeurs copiés dans tout l'Occident. Que l'on songe aux courses de chevaux, aux rituels vestimentaires et sociaux qu'elles génèrent, ou encore au Jockey club.Avec l'érudition et le talent de plume que les lecteurs d'Histoire des choses banales ou d'Humeurs vagabondes apprécient tant, Daniel Roche continue son exploration de la culture équestre. - Nombre de page(s) : 496 - Poids : 748g - Genre : Sports, Equitation, Tauromachie. N° de réf. du vendeur N9782213666075