M�moires de mon p�re - Couverture souple

Ikor, Olivier

Couverture souple

ISBN 10 : 2221125894 ISBN 13 : 9782221125892

Editeur : Robert Laffont, 2013

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Les informations fournies dans la section � Synopsis � peuvent faire r�f�rence � une autre �dition de ce titre.

Pr�sentation de l'�diteur :

Qui conna�t encore aujourd'hui le nom de Roger Ikor ? Victime, comme beaucoup d'autres avant et apr�s lui, de la mal�diction du Goncourt, le laur�at du mill�sime 1955 eut son heure de gloire avant de rejoindre la cohorte des �crivains anonymes. Destin cruel pour ce fils de petits commer�ants immigr�s d'origine juive, pur produit de la m�ritocratie r�publicaine, pour cet universitaire brillant, intellectuel engag� et ardent d�fenseur de la la�cit� dont l'existence fut tout enti�re gouvern�e par le sens de la morale. C'est cet homme d'exception qu'Olivier Ikor, son fils, devenu � son tour �crivain, a souhait� �voquer � travers ce livre pour contribuer � le faire red�couvrir. Mais un second livre se cache dans le premier. Car cette entreprise est �galement l'occasion pour Olivier Ikor de tordre le cou � certaines id�es re�ues en t�moignant par l'exemple de la condition au fond peu enviable de " fils de " et de la difficult� � grandir dans l'ombre d'une pareille figure. Les " grands hommes ", y compris les romanciers cens�s en savoir si long sur l'�me de leurs semblables, sont avant tout de simples mortels avec leurs qualit�s et leurs d�fauts, d�mystifie-t-il. Ni tout � fait une biographie, ni v�ritablement un essai, M�moires de mon p�re est une sorte d'objet litt�raire non identifi� �tonnant et attachant. En s'affranchissant des genres pour p�turer � son aise dans ses souvenirs comme dans les �crits de son p�re, en apostrophant au besoin ce dernier histoire de renouer les fils d'un dialogue trop t�t interrompu, en feignant la d�sinvolture pour mieux masquer sa pudeur au moment d'�voquer des souvenirs aussi douloureux que la d�rive alcoolique de sa m�re ou le suicide de son plus jeune fr�re, Olivier Ikor offre de son p�re un portrait sensible et sans fard, et lui rend au final le plus beau – car le plus sinc�re – des hommages.

Pr�sentation de l'�diteur :

Le purgatoire rec�le nombre d'�crivains injustement oubli�s. Ou quand un �crivain " fils de " d�cide de r�habiliter – � sa mani�re – la m�moire de son p�re.

Qui conna�t encore aujourd'hui le nom de Roger Ikor ? Victime, comme beaucoup d'autres avant et apr�s lui, de la mal�diction du Goncourt, le laur�at du mill�sime 1955 eut son heure de gloire avant de rejoindre la cohorte des �crivains anonymes. Destin cruel pour ce fils de petits commer�ants immigr�s d'origine juive, pur produit de la m�ritocratie r�publicaine, pour cet universitaire brillant, intellectuel engag� et ardent d�fenseur de la la�cit� dont l'existence fut tout enti�re gouvern�e par le sens de la morale.
C'est cet homme d'exception qu'Olivier Ikor, son fils, devenu � son tour �crivain, a souhait� �voquer � travers ce livre pour contribuer � le faire red�couvrir. Mais un second livre se cache dans le premier. Car cette entreprise est �galement l'occasion pour Olivier Ikor de tordre le cou � certaines id�es re�ues en t�moignant par l'exemple de la condition au fond peu enviable de " fils de " et de la difficult� � grandir dans l'ombre d'une pareille figure. Les " grands hommes ", y compris les romanciers cens�s en savoir si long sur l'�me de leurs semblables, sont avant tout de simples mortels avec leurs qualit�s et leurs d�fauts, d�mystifie-t-il.
Ni tout � fait une biographie, ni v�ritablement un essai, M�moires de mon p�re est une sorte d'objet litt�raire non identifi� �tonnant et attachant. En s'affranchissant des genres pour p�turer � son aise dans ses souvenirs comme dans les �crits de son p�re, en apostrophant au besoin ce dernier histoire de renouer les fils d'un dialogue trop t�t interrompu, en feignant la d�sinvolture pour mieux masquer sa pudeur au moment d'�voquer des souvenirs aussi douloureux que la d�rive alcoolique de sa m�re ou le suicide de son plus jeune fr�re, Olivier Ikor offre de son p�re un portrait sensible et sans fard, et lui rend au final le plus beau – car le plus sinc�re – des hommages.

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