Quatrième de couverture :
" Je m'appelle Omar-Jo ". Omar comme le père, un musulman d'Egypte, Jo, diminutif de Joseph, le prénom du grand-père maternel, un chrétien libanais. Marqué par la violence et la mort, l'enfant qui découvre Paris revendique la vie, l'imaginaire. Il rencontre Maxime le forain, qui avait laissé son manège à l'abandon, et rendra leur magie aux chevaux de bois comme il va redonner à leur propriétaire la jeunesse perdue et l'amour oublié. Omar-Jo a deux idoles : Charlie Chaplin qui sut tout à la fois enseigner le rire et les larmes, son grand-père Joseph qui danse et chante dans les fêtes de villages, et dans sa montagne libanaise, façonne de ses mains un manège à l'instar de celui de son petit-fils à Paris. Et dans la nuit, la misère du monde, les lumières s'allument, la musique éclate, la fête commence. L'enfant du malheur est le messager de la joie. Un roman drôle et émouvant, comme Omar-Jo lui-même, écrit par Andrée Chedid avec sensibilité, pudeur et humour.
Quatrième de couverture :
Entre son père, musulman d'Egypte, et sa mère, chrétienne libanaise, Omar-Jo est un enfant heureux ! Aussi souvent qu'il peut, il va dans les montagnes, retrouver son grand-père, troubadour. Il a douze ans. La vie est belle ! Mais il habite Beyrouth. En 1987. Les hommes se font la guerre... Un beau dimanche ensoleillé, devant la porte de chez eux... " Papa ! Maman ! " L'explosion... Assourdissante, meurtrière, lui arrache plus que la vie ... Ses parents... Son bras ... L'exil. A Paris, le petit garçon aux prunelles d'Orient rencontre Maxime le forain... Son manège périclite ? Omar-Jo va le sauver! Sur la piste, au milieu des chevaux et des enfants rieurs, il caracole, chante et danse comme son grand-père au village. Il veut vivre ! Et sous les doigts magiques de son unique main, tout se transforme en or...
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