Présentation de l'éditeur :
" La jeune fille pleurait toujours, pénétrée de sensations très douces, la peau chaude et piquée partout de chatouillements inconnus. La tête de Henri était sur son épaule ; et, brusquement, il la baisa sur les lèvres. " Est-ce le déjeuner sur l'herbe, le soleil si généreux, le chant du rossignol ou le corps musclé du jeune canotier qui fait ainsi chavirer le cœur de la sage Henriette ? Nul ne le sait, mais ce n'est certainement pas sa mère, la grosse Madame Dufour, qui trouvera à y redire... Voici une " partie de campagne " qui s'annonce fort réjouissante ! Une ironie pleine de tendresse imprègne les nouvelles de ce recueil : Une partie de campagne, Sur l'eau, Histoire d'une fille de ferme, Le vieux, L'ivrogne, Coco, Au printemps, La femme de Paul, Le gueux, Histoire vraie, La roche aux Guillemots
Quatrième de couverture :
Il n'est pas mort au printemps mais il s'est éteint au bord de l'été. Coco ! Petit cheval fourbu, affamé devant un carré d'herbe qu'il ne pouvait atteindre. Mort sans histoire comme le Vieux qui n'en peut plus mais n'en finit pas d'agoniser. Comme le Gueux qu'on appelle Cloche sans penser qu'il puisse avoir faim. Chez Maupassant, la mort coule, semblable à l'eau. Silencieuse et perfide. Démon qu'il faut nourrir et qui attire avec nonchalance. Vertige de l'eau, vertige du désir, intimement mêlés comme dans La femme de Paul, où le fleuve et l'amante ne sont que maléfices. Des nouvelles d'ombre et lumière, contes du jour et de la nuit, qu'affectionne l'auteur.
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