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Saint Seiya - Les Chevaliers du Zodiaque - The Lost Canvas - La Légende d'Hadès - tome 22 (22) - Couverture souple

 
9782351427064: Saint Seiya - Les Chevaliers du Zodiaque - The Lost Canvas - La Légende d'Hadès - tome 22 (22)
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Saint Seiya Hades - Lost Canvas - Volume 22

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Biographie de l'auteur :

Il habite la belle ville portuaire de Yokohama.

Tout jeune, Masami Kurumada est passionné par le manga. Après plusieurs concours, à 21 ans, il commence sa carrière dans l’hebdomadaire Shônen Weekly Jump. Un style vigoureux et un découpage percutant collent parfaitement à Ring Ni Kakero, une série qui se déroule dans le monde de la boxe. Avant la série qui le propulsera dans le panthéon des mangakas-cultes, Masami Kurumada imagine aussi Fuuma no Kojiro, la quête d’un personnage autour d’une épée sacrée ; puis Otoko Zaka, la vie difficile d’un homme soumis à de terribles épreuves. Passionné de mythologie, Kurumada y introduit déjà des références aux dieux grecs. Pendant quelques années, ces différentes parutions abordent les éléments qui nourriront le monde de Saint Seiya-Les Chevaliers du Zodiaque.
Masami Kurumada situe son manga en Grèce. Il crée en fait un sentaï* (voir lexique) mythologique, chaque Chevalier étant défini par une des cinq couleurs (rouge, jaune, rose, noir, bleu). Son goût pour les effets spéciaux le pousse à imaginer ses héros combattant à mains nues en concentrant leur énergie vitale. Il leur ajoute des armures puissantes : les Surplis. Les héros franchiront trois étapes : guerriers sacrés, combattants sacrés et enfin Saints. Naît ensuite l’idée d’une protection assurée par les constellations zodiacales. Après avoir compulsé des dizaines d’ouvrages sur les mythologies grecque, nordique et chinoise, Masami Kurumada les mélange avec subtilité pour en extraire cette saga extraordinaire de Saint Seiya, plus connue sous le nom des Chevaliers du Zodiaque. Masami Kurumada installe avec talent des héros vivants, sensibles et mus par une force intérieure intense, reflet de leur âme.

C’est en 1974 qu’il a fait ses vrais débuts de mangaka : il a commencé par dessiner « Suke ban Arashi », manga avec lequel il a gagné à un concours de fanzines. C’est ainsi que Masami Kurumada a entamé sa longue carrière.

Au Japon, « Ring ni Kakero », son premier grand succès public, restera dans les mémoires des lecteurs de mangas , plus encore que St Seiya. L’intensité et l’hommage rendu au manga « Ashita no Joe » de Tetsuya Chiba ont laissé une empreinte considérable dans le cœur des jeunes Japonais de l’époque.

A époque différente, impact différent. La publication de Saint Seiya a débuté en 1986 dans le « Shônen Weekly Jump » désormais célèbre même en Europe. L’engouement fut immédiat et, touchant un public très large, la série connaîtra toutes les adaptations possibles : dessins animés, jeux vidéo et même une comédie musicale en 1993 où l’on verra, composé de cinq garçons, le boys-band local SMAP monter sur scène et endosser les armures des chevaliers.

Saint Seiya deviendra le symbole des thèmes traités dans le « Weekly Jump ». En d’autres termes, c’est avec St Seiya que s’est réellement affirmé le style de l’hebdomadaire. C’est vraiment grâce lui qu’il a trouvé son lectorat et qu’il dépasse chaque semaine, les 5 millions d’exemplaires vendus.

Masami Kurumada connaît déjà le succès au Japon. La renommée mondiale arrive grâce à Saint Seiya. Son manga est rapidement adapté pour la télévision. Régulièrement diffusée, cette série est l’objet de jouets et divers produits dérivés. Elle a même été jouée en comédie musicale par le groupe Smap, un célèbre Boys Band japonais ! Après Saint Seiya-Les Chevaliers du Zodiaque, Masami Kurumada enchaîne avec Silent Knight. Depuis, il poursuit une carrière heureuse avec BT’X.

Revue de presse :

A trois tomes de la fin les choses évoluent encore mais il reste encore tant à faire !
Tenma est face à sa mère, mais celle ci s’avère être un spectre lui barrant la route...bien évidemment il ne peut se résoudre à l’affronter...

Ce genre d’opposition a déjà été vu et revu, mais surtout du coté paternel, il est rare de voir un guerrier devoir s’opposer à sa mère, ce lien étant par trop sacré pour que les auteurs y touchent.
On a donc là un jolie moment, et certaines choses deviennent un peu plus claires. Ce qui l’est moins c’est le lien unissant Tenma et Pandora...les voilà subitement devenus alliés et camarades, alors qu’au tome précédent ils s’entretuaient. Cette évolution des choses laisse un peu perplexe. Passons, ne retenons que l’essentiel, c’est à dire cette belle lutte opposant un fils à sa mère, où tous deux doivent sacrifier ce qu’ils ont de plus cher pour défendre leurs causes et aller au bout de leurs convictions. L’auteur explose dans cet affrontement avec un dessin toujours plus beau et une mise en scène grandiose. L’âme de Tenma prend l’apparence de Pégase et il fait apparaître son Kamui...c’est certes déjà vu dans la série originel, mais ici c’est tout simplement splendide !

On parlait de mise en scène réussie, elle le sera encore plus dans l’affrontement qui suivra et qui opposera Regulus du Lion à Rhadamante du Wyvern. Jamais dans Saint Seiya, toutes séries confondues, un auteur n’avait réussi à symboliser un chevalier avec son signe, à faire un parallèle aussi fort et marquant. Chaque scène laissant apparaître Régulus voit un Lion dans toute sa splendeur symbolisant la rage, la prestance et la puissance du chevalier. Et quand on sait que le personnage principal de Saint Seiya G n’est autre que le chevalier du Lion et qu’à aucun moment on a atteint un tel niveau, on ne peut que féliciter Teshirogi pour cette grande réussite.
Le Lion va encore prendre de l’ampleur puisqu’il aura droit à un flash-back revenant sur sa jeunesse et surtout sur son père, possédant un charisme incroyable.
Une nouvelle facette de la guerre va être dévoilée, un nouveau chevalier inédit...Teshirogi ne cesse de bonifier cette série qui au final s’avère encore plus passionnante que l’original (en laissant de coté l’aspect nostalgique, en toute objectivité).

La fin se rapproche et la série devient encore plus prenante...comme cela sera dur d’en terminer avec cette série ; on commence à ressentir le manque qu’elle va laisser !


erkael

(Critique de www.manga-news.com)

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  • ÉditeurKurokawa
  • Date d'édition2012
  • ISBN 10 2351427068
  • ISBN 13 9782351427064
  • ReliurePoche
  • Nombre de pages192
  • Evaluation vendeur
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Kurumada, Masami; Teshirogi, Shiori
Edité par KUROKAWA (2012)
ISBN 10 : 2351427068 ISBN 13 : 9782351427064
Neuf Soft Cover Quantité disponible : 10
Vendeur :
booksXpress
(Bayonne, NJ, Etats-Unis)
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Description du livre Soft Cover. Etat : new. N° de réf. du vendeur 9782351427064

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