Présentation de l'éditeur :
Qui est le " grand Meaulnes " ? Un garçon de 17 ans, pensionnaire chez un instituteur de campagne, fantasque et secret, parfois un peu forte tête. Quelle est son histoire ? Celle d'une découverte merveilleuse, d'une fête étrange dans un château. Que lui arrivera-t-il ensuite ? Aidé par son ami, il essaiera de retrouver le chemin du domaine perdu et la trace de la belle jeune fille qu'il y a rencontrée... En bonus : les dossiers inédits de Geo Ado pour découvrir l'œuvre et son auteur à travers un résumé et une biographie ; pour mieux connaître et comprendre le monde qui nous entoure : des enquêtes et des documents riches et passionnants autour des thèmes de l'œuvre. Une nouvelle aventure commence... Le Grand Meaulnes est le roman d'une amitié, intense et absolue. Pactes, preuves, promesses, rites ou simple plaisir d'être ensemble : tour d'horizon de ce sentiment universel. Meaulnes tombe amoureux d'une jeune fille lors de la fête mystérieuse. Sa vie est désormais bouleversée, remplie par ce grand amour. Et si l'alchimie du coup de foudre s'expliquait par... la chimie ? Lorsqu'une troupe de bohémiens vient s'installer au village, l'ambiance est à la fête. Puis, la méfiance s'installe. Des bohémiens sillonnent encore les routes de France, et leur histoire est toujours et encore mêlée de fascination et de répulsion. Alain-Fournier a écrit Le Grand Meaulnes très jeune. Mobilisé pendant la guerre de 1914, il meurt au front avant ses 28 ans. Dans certaines parties du monde, ce sont aujourd'hui des enfants soldats qu'on enrôle pour les combats. Quel avenir pour ces enfants de la violence ? Pour s'amuser, test de personnalité : quel confident es-tu ? Nos jeunes héros sont entraînés dans une multitude d'aventures : un petit jeu de piste pour ne pas les perdre de vue.
Biographie de l'auteur :
C'est dans la maison de ses grands-parents maternels, en Sologne, qu'Henri Alban Fournier voit le jour en 1886. Fils d'instituteur, il entre à douze ans en pension au lycée Voltaire, à Paris. En 1903, ayant renoncé à devenir marin, il prépare l'Ecole normale supérieure au lycée Lakanal de Sceaux, où il se lie d'amitié à Jacques Rivière, futur directeur de la Nouvelle Revue française, qui deviendra son beau-frère. C'est en sortant du Grand Palais, un jour de 1905, qu'il s'éprend d'Yvonne de Quiévrecourt, avant d'apprendre en 1907 que la jeune femme s'est mariée. Hanté par son souvenir, il choisit le pseudonyme d'Alain-Fournier pour signer son article sur "Le corps de la femme" dans La Grande Revue. Jamais il n'oubliera l'amour de ses vingt ans : en témoigne Le Grand Meaulnes, en lice pour le prix Goncourt 1913. Un second roman et une pièce de théâtre resteront inachevés : le lieutenant Alain-Fournier est tué le 22 septembre 1914 sur les Hauts-de-Meuse.
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