Quatrième de couverture :
«Le chien tendit vers elle sa grosse tête au poil crasseux. Elle retint sa main par crainte de la vermine. Elle noya son regard dans le regard calmement éploré, calmement suppliant, et toute l'humanité et l'inconditionnelle bonté de l'animal docile lui remplirent les yeux de larmes, elle désira ardemment être lui et sut alors que le passage viendrait naturellement et à son heure.» Ladivine nous entraîne dans le flux d'un récit ample et teinté de fantastique. Comme dans Trois femmes puissantes, Marie NDiaye déploie son écriture fluide et élégante, riche d'une infinité de ressources qui s'offrent au lecteur avec une fascinante simplicité.
Présentation de l'éditeur :
En changeant de prénom et en devenant Clarisse, Malinka veut couper les ponts avec son enfance. Elle ne voit sa mère, Ladivine, qu'une fois par semaine, cachant son existence à son mari Richard et à sa fille, prénommée elle aussi Ladivine. C'est le début d'un récit ample et teinté de fantastique. Comme dans Trois femmes puissantes, Prix Goncourt 2009, Marie NDiaye déploie son écriture fluide et élégante, riche d'une infinité de ressources qui s'offrent au lecteur avec une fascinante simplicité. "Un véritable joyau, à l'histoire ensorcelante." M. P., L'Express.
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