Présentation de l'éditeur :
Ecrit en 1905, Trois mille ans chez les microbes du célèbre Mark Twain, n'a rien perdu de sa prodigieuse causticité et de sa charge satirique. Le héros du livre est un microbe, plus précisément un vibrion cholérique. Mais il n'est pas né dans cet état. Un magicien maladroit, voulant transformer le biologiste qu'il était en oiseau, s'est trompé de formule. Ce microbe découvre avec émerveillement sa nouvelle planète : le corps d'un vagabond, nommé Blitzowski, et ses habitants, les autres microbes, avec leurs croyances, leurs dynasties, leurs aristocraties, leurs sociétés savantes, leur clergé, leur petit peuple... Récit d'humour implacable qui débouche sur une vision très noire de la vie de l'humanité qui n'est pas sans évoquer celle de Swift, Trois mille ans chez les microbes appartient à la lignée des grandes proses pessimistes et ne déparerait pas une nouvelle anthologie de l'Humour noir.
Quatrième de couverture :
La vie réserve bien des surprises... Tout l'art est de savoir s'adapter. Telle fut, en substance, la réflexion de B. b. Bkshp le jour où il se vit soudain transformé.. en microbe ! D'honorable savant américain, le voilà devenu sooflaski, germe parmi les germes de la planète Blitzowski. La planète Blitzowski ? Un vagabond décrépit et vieillissant, hirsute, déguenillé, incroyablement malpropre, dont le corps est un égout... Un charnier qui abrite cependant les grouillantes nations de toute la vermine microbienne. Toute ! Quel monde ! Quel univers ! Vaste, imposant, majestueux ! Avec ses milles républiques, ses innombrables langues, son aristocratie, sa monnaie, ses religions... Et ses microbes... " Ah ! Mon cher B. b. Bkchp, tout est mystère, mystère, mystère. Et cet éphémère séjour - croyez-le ! - n'est pas la fin ! "
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