Présentation de l'éditeur :
Ferdinand est noir et exilé. Il oscille entre Paris et New York. À Manhattan, il loge chez Jenny. Et puis dans un bar de Greenwich Village, il s'assied à une table. Pas très loin de celle de Fran. Ferdinand est découragé, Fran est désespérée. Pendant trois jours, ils vont marcher, courir, parier, déambuler, flâner, s'aimer aux quatre coins de New York. Au rythme de l'écriture et de la musique de Jean-Claude Charles. Entre le swing et le blues, entre les larmes et le fou rire. Ferdinand balance entre Jenny et Fran. Souvent proche de la comédie américaine par la jubilation du ton et la vérité des sentiments. «Une nuit de lecture. C'est la nuit peut-être qu'on lit tout à fait et que la force d'un livre se fait plus visible. Quand les jours passent et qu'on s'éloigne de sa lecture, Manhattan Blues paraît de plus en plus beau. On voudrait être à le relire encore. On le fait lire à un ami. Il dit lui aussi que c'est très beau. Et le livre grandit encore. Il devient de plus en plus beau. C'est pourquoi j'écris aujourd'hui que c'est un livre magnifique. L'histoire d'amour est bouleversante, cachée, à l'auteur, d'abord cachée à lui, puis à nous, à tous… Jean- Claude Charles est sans doute un romancier, vrai, grand.» Marguerite Duras «Apre?s Manhattan (1979) ce film de Woody Allen ou? l'on n'a vu que des Blancs a? l'e?cran, avant She Is Gotta Have It (1986) du jeune Spike Lee ou? tous les personnages e?taient noirs, voici Manhattan blues (1985) ce roman ou? le cœur d'un e?crivain noir oscille entre deux filles blanches. Jean-Claude Charles fixe sur nos re?tines e?blouies un Manhattan en noir et blanc sur fond de blues. C'est dro?le, e?mouvant et c?a vibre au rythme de ces anne?es 1980 ou? Basquiat a surgi alors que Madonna de?butait dans une boi?te du Village. On lira Man- hattan blues, le roman d'amour que Spike Lee et Woody Allen auraient du? re?aliser ensemble.» Dany Laferrie?re de l'Acade?mie franc?aise
Présentation de l'éditeur :
Ferdinand est noir et exilé. Il oscille entre Paris et New York. À Manhattan, il loge chez Jenny. Par la suite, il rencontre la belle Fran dans un bar de Greenwich Village. Ferdinand est découragé, Fran est désespérée. Pendant trois jours, ils vont marcher, courir, parier, déambuler, flâner, s'aimer aux quatre coins de New York. Au rythme de l'écriture et de la musique de Jean-Claude Charles, entre le swing et le blues, entre les larmes et le fou rire, le coeur de Ferdinand balance entre Jenny et Fran. Une nuit de lecture. Cest la nuit peut-être quon lit tout à fait et que la force dun livre se fait plus visible. Quand les jours passent et quon séloigne de sa lecture, ""Manhattan Blues"" paraît de plus en plus beau. On voudrait être à le relire encore. On le fait lire à un ami. Il dit lui aussi que cest très beau. Et le livre grandit encore. Il devient de plus en plus beau. Cest pourquoi jécris aujourdhui que cest un livre magnifique. Lhistoire damour est bouleversante, cachée, à lauteur, dabord cachée à lui, puis à nous, à tous Jean-Claude Charles est sans doute un romancier, vrai, grand. Marguerite Duras. Après ""Manhattan"" (1979), ce film de Woody Allen où lon na vu que des Blancs à lécran, avant ""Shes Gotta Have It ""(1986) du jeune Spike Lee où tous les personnages étaient noirs, voici ""Manhattan Blues"" (1985) ce roman où le cur dun écrivain noir oscille entre deux filles blanches. Jean-Claude Charles fixe sur nos rétines éblouies un Manhattan en noir et blanc sur fond de blues. Cest drôle, émouvant et ça vibre au rythme de ces années 1980 où Basquiat a surgi alors que Madonna débutait dans une boîte du Village.
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