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Princess Jellyfish - Volume 5
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Biographie de l'auteur :
C’est en 1999 qu’Akiko Higashimura fait ses débuts dans le numéro spécial « Nouvel Année » du magazine Bouquet (l’ancêtre du magazine Cookie !!), avec une histoire courte intitulée « Fruits Koumori ». Elle monte sur Tokyo, afin de continuer sa carrière de mangaka. Elle n’a alors que 23 ans.
Il ne faudra que très peu de temps pour qu’elle se fasse remarquer.
Soeur de Takuma Morishige.
En 2000, elle dessine une histoire courte, dans les pages de Cookie : « Kisekae Yuka-chan ». Plébiscitée par les lecteurs, cette nouvelle devient alors une série, dans les pages du même magazine. Le succès est rapide, d’autant que Shoko-tan, une idole particulièrement en vogue au Japon, soutient activement la série sur son blog !
En 2004, Akiko Higashimura va faire la une de la presse, d’une manière plutôt surprenante : elle épouse IKKAN, véritable célébrité au Japon (acteur, doubleur, comédien comique, présentateur..). Un an plus tard, de leur union, naît un adorable petit garçon : Goku. Mais les problèmes ne tardent pas à venir, et c’est finalement en 2008 que le couple divorce.
Désormais mère célibataire, la jeune femme décide de redoubler d’efforts pour subvenir aux moyens de son fils ! Heureusement qu’entre temps, elle avait travaillé d’arrache pied, en imaginant deux séries :
1/ « Himawari, Kenichi Legend » (dans Morning de Kodansha) très largement inspiré de sa propre vie, et qui raconte les aventures d’une jeune femme, juste à la fin de ses études.
2/« Mama ha tenparist » (« Ma mère travaille à mi-temps »), dans les pages de Chorus de Shueisha, et qui raconte l’histoire d’une jeune mère célibataire !
En 2009, elle lance ensuite Princess Jellyfish dans les pages de Kiss (Nodame Cantabile, Kimi wa pet...). La consécration ne tarde pas à venir, puisque ce manga reçoit dès 2010 le prix de « Meilleur Shôjo » de l’année, et bénéficie quelques mois après d’une adaptation en anime, par le studio Brain’s Base.
Peu de temps après la fin de « Himawari, Kenichi Legend », elle enchaîne – toujours dans les pages de Morning, et en parallèle de la publication de Princess Jellyfish et « Mama ha Tenparist » - avec une nouvelle série : « Omo ni nattemasu », qui seulement après deux volumes sortis est déjà nominée pour le grand prix culturel Taisho 2011... (Akata)
Revue de presse :
C’est en 1999 qu’Akiko Higashimura fait ses débuts dans le numéro spécial « Nouvel Année » du magazine Bouquet (l’ancêtre du magazine Cookie !!), avec une histoire courte intitulée « Fruits Koumori ». Elle monte sur Tokyo, afin de continuer sa carrière de mangaka. Elle n’a alors que 23 ans.
Il ne faudra que très peu de temps pour qu’elle se fasse remarquer.
Soeur de Takuma Morishige.
En 2000, elle dessine une histoire courte, dans les pages de Cookie : « Kisekae Yuka-chan ». Plébiscitée par les lecteurs, cette nouvelle devient alors une série, dans les pages du même magazine. Le succès est rapide, d’autant que Shoko-tan, une idole particulièrement en vogue au Japon, soutient activement la série sur son blog !
En 2004, Akiko Higashimura va faire la une de la presse, d’une manière plutôt surprenante : elle épouse IKKAN, véritable célébrité au Japon (acteur, doubleur, comédien comique, présentateur..). Un an plus tard, de leur union, naît un adorable petit garçon : Goku. Mais les problèmes ne tardent pas à venir, et c’est finalement en 2008 que le couple divorce.
Désormais mère célibataire, la jeune femme décide de redoubler d’efforts pour subvenir aux moyens de son fils ! Heureusement qu’entre temps, elle avait travaillé d’arrache pied, en imaginant deux séries :
1/ « Himawari, Kenichi Legend » (dans Morning de Kodansha) très largement inspiré de sa propre vie, et qui raconte les aventures d’une jeune femme, juste à la fin de ses études.
2/« Mama ha tenparist » (« Ma mère travaille à mi-temps »), dans les pages de Chorus de Shueisha, et qui raconte l’histoire d’une jeune mère célibataire !
En 2009, elle lance ensuite Princess Jellyfish dans les pages de Kiss (Nodame Cantabile, Kimi wa pet...). La consécration ne tarde pas à venir, puisque ce manga reçoit dès 2010 le prix de « Meilleur Shôjo » de l’année, et bénéficie quelques mois après d’une adaptation en anime, par le studio Brain’s Base.
Peu de temps après la fin de « Himawari, Kenichi Legend », elle enchaîne – toujours dans les pages de Morning, et en parallèle de la publication de Princess Jellyfish et « Mama ha Tenparist » - avec une nouvelle série : « Omo ni nattemasu », qui seulement après deux volumes sortis est déjà nominée pour le grand prix culturel Taisho 2011... (Akata)
En guise d’introduction à ce volume, on découvre un Kuranosuke pressé de se débarrasser de ses anciennes amies et de défendre les Amars, qui ont de nouveau développé un système de défense contre les Coquetta Humana. Sa vision du monde semble changer de plus en plus, et l’apparence parait être seulement un outil qui ne fait qu’habiller la personne réelle. Kurako, ou Kuranosuke cosplayée en fille, décide alors d’emmener ses nouvelles amies à une pièce de théâtre réalisée par des amies de fac. La pièce est intitulée « les vingt-cinq Ophélie », et si elle a un intérêt c’est seulement pour l vision de Kuranosuke, à savoir son désespoir en ce qui concerne les costumes des actrices. Une chose en entraînant une autre, les Amars en mode bien habillées finissent par coudre des dizaines de robes méduses sous les directives de Tsukimi, afin de rhabiller tout le monde et de faire de la pièce un succès. Voilà donc un passage très intéressant, pour la beauté des robes imaginées par l’auteur, et par la motivation de nos héroïnes ... Du moins certaines.
Elles ne sortent pas de leur passion première mais sont finalement capables de réaliser quelque chose par elles-mêmes, et en un temps record. La marque « Jellyfish » ne semble plus si loin de voir le jour ... On apprécie cette avancée progressive des choses, même si parfois on se demande où l’auteur nous emmène tant tout se déroule dans une ambiance cotonneuse, sans réel coup de sang. Et pour la fin du volume, on voit des sentiments bien inattendus naitre peu à peu, là où ne pensait pas en voir. En somme, un tome véritablement agréable, comme toujours, et un niveau constant pour Akiko Higashimura qui nous offre une série pleine de douceur, de légèreté et d’humour. Malgré tout, c’est loin d’être le meilleur tome de la série, et s’il est très agréable il n’en reste pas moins un peu spectaculaire que le précédent, et il manque un peu de logique avec cet atelier de couture qui se monte en un rien de temps et sans problèmes logistiques majeurs. Heureusement, Kuranosuke, la présence des personnages secondaires et l’humour associés font beaucoup à la lecture.
NiDNiM
(Critique de www.manga-news.com)
Elles ne sortent pas de leur passion première mais sont finalement capables de réaliser quelque chose par elles-mêmes, et en un temps record. La marque « Jellyfish » ne semble plus si loin de voir le jour ... On apprécie cette avancée progressive des choses, même si parfois on se demande où l’auteur nous emmène tant tout se déroule dans une ambiance cotonneuse, sans réel coup de sang. Et pour la fin du volume, on voit des sentiments bien inattendus naitre peu à peu, là où ne pensait pas en voir. En somme, un tome véritablement agréable, comme toujours, et un niveau constant pour Akiko Higashimura qui nous offre une série pleine de douceur, de légèreté et d’humour. Malgré tout, c’est loin d’être le meilleur tome de la série, et s’il est très agréable il n’en reste pas moins un peu spectaculaire que le précédent, et il manque un peu de logique avec cet atelier de couture qui se monte en un rien de temps et sans problèmes logistiques majeurs. Heureusement, Kuranosuke, la présence des personnages secondaires et l’humour associés font beaucoup à la lecture.
NiDNiM
(Critique de www.manga-news.com)
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- ÉditeurDelcourt/Tonkam
- Date d'édition2012
- ISBN 10 2756032964
- ISBN 13 9782756032962
- ReliureBroché
- Nombre de pages192
- Evaluation vendeur
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Princess Jellyfish T05
Edité par
Delcourt/Tonkam
(2012)
ISBN 10 : 2756032964
ISBN 13 : 9782756032962
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