Articles liés à To Love Darkness, tome 1

YABUKI-K+HASEMI-S To Love Darkness, tome 1 ISBN 13 : 9782759507030

To Love Darkness, tome 1 - Couverture souple

 
9782759507030: To Love Darkness, tome 1
Afficher les exemplaires de cette édition ISBN
 
 
To Love - Darkness - Volume 1

Les informations fournies dans la section « Synopsis » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.

Revue de presse :

Le moins que l'on puisse dire, c'est que le premier tome de To Love Darkness ne risque pas de passer inaperçu dans les rayons des libraires : une superbe couverture brillante, une édition spéciale comportant le tome 1, le guide To Love Perfect et une poster géant recto verso... Les éditions Tonkam semblent beaucoup compter sur cette suite de To Love.

Une suite ? Oui et non. Oui, car les événements de ce premier tome ont lieu directement après la (non) fin de To Love. Non, car côté histoire, il n'y avait tellement rien dans To Love que commencer par To Love Darkness ne poserait aucun véritable souci, si ce n'est celui de ne pas avoir encore l'attachement que l'on pourrait entretenir pour tel ou tel personnage.

Malgré tout, histoire d'être sûr de ne perdre personne en cours de route (même s'il faudrait vraiment le faire), le début de ce premier volume recadre le semblant d'histoire de To Love en quelques pages : Rito, un lycéen banal, voit un jour débarquer dans sa vie Lala, une princesse extraterrestre qui désire rapidement l'épouser. Mais Rito, lui, n'a d'yeux que pour la douce Haruna. S'en suit ensuite des dizaines de tomes voyant apparaître les unes après les autres de nouvelles jeunes filles cachant mal leurs sentiments pour notre héros, celui-ci étant tellement blaireau qu'il ne remarque rien et ne fait qu'enchaîner les gaffes et coups de malchance déshabillant les trois quarts du temps les demoiselles, qui se font alors un plaisir de lui casser la gueule ou de crier. Au bout du 18 tomes de plus en plus creux, rien n'avait changé, notre héros, toujours aussi blaireau, parvenant même à planter sa déclaration à Haruna.

Bref, To Love, c'était un héros blaireau, quelques bons moments d'humour (surtout dans les premiers tomes), et une large palette de jolies jeunes filles aussi diverses que variées et se retrouvant à poil ou dans des positions scabreuses les trois quarts du temps. Voilà. Si vous ne connaissiez pas To Love, vous savez tout. Si vous connaissiez et n'aviez pas aimé, ben vous ne lirez probablement pas cette chronique, de toute façon, sauf par curiosité. Si vous connaissiez et aimiez, vous serez ravis, car dans To Love Darkness, Saki Hasemi et Kentaro Yabuki passent la vitesse supérieure : à présent, il y a encore plus de scénario (comprendre par-là qu'il y a un vague fil rouge, faut pas trop leur en demander, non plus), et, surtout, encore plus de fesses et de nichons. La principale différence étant qu'à présent, les morceaux de chair féminine ne sont plus juste exhibés, mais également pelotés. Hum. Trop des fous, ces auteurs !

Sur ces bonnes paroles résumant à elles seules l'essence-même de ce manga, tentons tout de même d'expliciter un peu plus l'"histoire" de To Love Darkness, qui fera fuir les uns autant qu'elle fera baver les autres.
Momo, qui a surpris la déclaration ratée de Rito à Haruna et a bien accumulé les envies de sa grande soeur de voir notre héros aimer toutes les filles qui l'aiment (pas jalouse pour un sou, la miss, c'est-y pas merveilleux), met au point un plan machiavélique : faire de Rito un Don Juan obsédé, et créer un véritable harem autour de lui en faisant tomber dans ses bras ou son lit, les unes après les autres, les chères demoiselles de la série. Bien. Normalement, là, ceux qui devaient fuir sont déjà quelque part en Patagonie, à dos de lama, un harmonica à la bouche, très loin du moindre petit volume de To Love Darkness. Quant aux autres, ils verront ce synopsis minimaliste s'enrichir rapidement, via l'arrivée d'un nouveau personnage annonçant quelques petits problèmes : Mea, une sorte de collègue tueuse d'Ombre Dorée, qui, sous les ordres d'un mystérieux supérieur, a pour mission de réveiller les pulsions meurtrières de la petite blondinette, à l'origine venue sur terre pour éliminer Rito. Mais bien sûr, la partie ne s'annonce pas gagnée pour Mea, Ombre Dorée étant sur la liste des personnages que cette jolie perverse de Momo souhaite mettre dans le lit de Rito.

En attendant de voir un peu plus ce que donnera ce petit fil rouge, ce premier tome se résume à ce que Kentaro Yabuki sait faire de mieux : des fesses et des nichons. Le plan de Momo commence tout juste, c'est l'occasion de voir revenir les unes après les autres les jeunes filles de To Love, et elles ne tardent pas, pour certaines, à se retrouver dans des situations compromettantes. Voilà voilà. Au programme de ce premier tome : une Momo plus coquine que jamais, une Lala qui se promène à poil avec toujours autant d'insouciance, quelques bouts de chair d'Ombre Dorée, une Yui moins prude qu'à l'accoutumée, et une Mea qui fait une entrée en scène remarquée. Un beau programme pour les pervers, d'autant que les dessins de Kentaro Yabuki restent toujours aussi agréables à l'oeil, et que ce petit cochon se fait un plaisir d'offrir un contenu un peu plus osé que dans To Love : les jeunes filles, surtout Momo, prennent volontiers des positions très lascives, les seins se font plus souvent pétrir... tant et si bien qu'on arrive, par moment, à se demander quel est, exactement, le public visé par ce titre, qui resté classé en shônen malgré certaines scènes plus douteuses, à l'image d'une page laissant suggérer une fellation...

Bref, To Love Darkness, c'est To Love en un peu plus osé : les amateurs de séries coquines trouveront assurément leur bonheur. Pour le reste, l'histoire n'est évidemment qu'un énorme prétexte pour caser des filles toutes nues un peu partout, même si le petit fil rouge autour de Mea et Ombre Dorée titille un peu la curiosité. Pour le reste, c'est totalement creux, mais bien dessiné, et le titre satisfera donc sans grosse difficulté une certaine tranche de lecteurs.

Du côté de l'édition, il faut bien avouer que Tonkam a fait du bon travail : papier agréable au toucher, traduction fluide, quatre pages en couleur et 230 pages de lecture pour un prix qui, lui, n'est pas supérieur.


Koiwai

(Critique de www.manga-news.com)
Biographie de l'auteur :
Quand Kentaro Yabuki débute sa carrière de mangaka à 27 ans, il réalise un rêve d’enfant qui ne l’a jamais quitté. Il signe une première série Yamato Gensoki avant d’entamer sa plus longue série, Black Cat, qui compte 20 volumes et une adaptation animée signée Gonzo. C’est à cette occasion qu’il rencontre Saki HASEMI, qui signe le scénario de sa nouvelle série phare : To Love. Dès les premiers volumes, le succès est immédiat. Au total, les deux mangakas ont déjà vendu plus de six
millions et demi d’exemplaires !

Les informations fournies dans la section « A propos du livre » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.

  • ÉditeurDelcourt/Tonkam
  • Date d'édition2012
  • ISBN 10 2759507033
  • ISBN 13 9782759507030
  • ReliureBroché
  • Nombre de pages240
  • Evaluation vendeur

(Aucun exemplaire disponible)

Chercher:



Créez une demande

Si vous ne trouvez pas un livre sur AbeBooks, nous le rechercherons automatiquement pour vous parmi les livres quotidiennement ajoutés au catalogue.

Créez une demande

Meilleurs résultats de recherche sur AbeBooks