Extrait :
Le TOP 10 de Saint-Pétersbourg
Les Nuits blanches (p. 25)
1. Le meilleur moment pour visiter Saint-Pétersbourg est la mi-juin, quand le soleil descend vers l'horizon sans jamais se coucher vraiment : les nuits ont alors une luminosité féerique. Les Pétersbourgeois font la fête, la ville accueille des festivals et l'ambiance est très décontractée. Bien qu'il y ait beaucoup de monde et que la plupart des hôtels soient réservés des semaines à l'avance, il n'y a rien d'aussi merveilleux que ces Nuits blanches ! Et, même si vous venez en mai ou en juillet, vous serez impressionné par la longueur des journées !
Mois par mois
L'Ermitage (p. 54)
2. L'Ermitage, le plus grand musée du monde par l'étendue de ses collections, compte parmi ses trésors des momies égyptiennes, plus de tableaux de Rembrandt que le Louvre et une collection d'oeuvres d'art du XXe siècle unique. La visite des appartements magnifiques et des salles de réception splendides des Romanov est comprise dans le billet d'entrée. La ville comprend d'autres musées, notamment le palais d'Hiver, le bâtiment de l'État-major, le palais Menchikov, la Manufacture impériale de porcelaine ainsi que les Réserves de l'Ermitage.
Le panorama depuis Saint-Isaac (p. 78)
3. Vous n'aurez nulle part une aussi belle vue du centre historique que depuis la magnifique coupole dorée de la cathédrale Saint-Isaac, qui domine les palais italiens et les hôtels particuliers entourant l'Amirauté. N'hésitez pas à gravir les 262 marches menant à son sommet pour profiter de la vue fantastique sur la Neva, le palais d'Hiver et le Cavalier de bronze, statue équestre monumentale de Pierre Ier, réalisée par Etienne-Maurice Falconet. L'intérieur de la cathédrale mérite aussi le détour avec sa splendide iconostase encadrée de colonnes de marbre, de malachite et de lapis-lazuli.
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Biographie de l'auteur :
Tom Masters a effectué son premier séjour à Saint-Pétersbourg en 1996, alors qu'il étudiait le russe à l'école des Etude slaves et est-européennes de l'université de Londres. II a tant aimé la ville qu'il y est revenu après son diplôme pour travailler en tant que rédacteur au St Petersburg Times. II est depuis installé entre Londres et Berlin, mais il revient régulièrement à Saint-Pétersbourg pour réaliser des documentaires et écrire des articles ou des guides Lonely Planet en tant qu'auteur indépendant. Après avoir étudié l'histoire et la politique russes à l'université, Simon Richmond s'est rendu pour la première fois dans le pays en 1994. Il a alors découvert, émerveillé, la sublime Saint-Pétersbourg et est allé contempler le corps embaumé de Lénine sur la place Rouge. Depuis, il a sillonné tout le pays, du Kamtchatka. à l'est, à Kaliningrad, à l'ouest, en faisant de nombreuses étapes en chemin. Auteur et photographe primé, Simon a cosigné la première édition, et les suivantes du guide Transsibérien de Lonely Planet, ainsi que les éditions précédentes du guide Russie et de nombreuses destinations, du Cap à la Corée.
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