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De mémoire de fœtus : L'héritage familial s'inscrit dans nos cellules dès la conception - Couverture souple
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Un livre pour comprendre l'influence de l'héritage familial et de la vie intra-utérine, et mieux prendre soin de nos enfants à naître ! Dans un style direct, sous forme de brèves histoires, avec un humour maîtrisé permettant d'aborder des situations dramatiques, l'auteur apporte un éclairage original sur nombre de troubles qu'on ne s'explique pas. En fin d'ouvrage, elle propose un questionnaire pour mieux comprendre l'héritage familial qui nous concerne. Nouveau format, version revue et augmentée. L'embryon perçoit infiniment de choses du vécu de la mère et du père. Une abondante littérature scientifique en atteste. Le foetus capte littéralement les émotions de sa mère et les intègre au plus profond de lui. Ceci oriente ce que sera sa vie d'adulte. L'apport d'Edmée Gaubert est de témoigner de l'importance de la vie intra-utérine par le biais de son travail thérapeutique avec des patients adultes. En fin d'ouvrage, elle propose un questionnaire simple et efficace pour guider le lecteur à la recherche de ses origines.
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Extrait :
Extrait de la préface de Jean-Pierre Relier
Edmée Gaubert nous parle d'«Histoires de foetus» et très normalement commence la sienne qui comme chaque histoire, ne manque pas de merveilleux comme de dramatique.
De merveilleux car, quelle que soit l'histoire racontée, Edmée trouve toujours la touche délicate du spirituel, de l'irréversible de ce sens inné, bien que trop souvent contraint, qui nous «relie à la nature, à l'univers et à Dieu et dont cette vie qui se crée est la manifestation».
De dramatique aussi car parfois, sinon toujours, une certaine époque de notre vie terrestre nous fait prendre conscience de la Vie, des difficultés présentes à l'une de ces périodes essentielles de cette vie, périodes allant du «désir» d'enfant plus ou moins bien formulé et accepté, à une naissance dont on connaît depuis longtemps les conséquences lointaines, tout au long de la vie d'adolescent et d'adulte. Mais entre ces deux moments essentiels qui sont la fécondation et la naissance, il y a ces longs mois des périodes embryonnaire et foetale.
Sans le savoir explicitement, Edmée Gaubert démontre la réalité de ces périodes par ces histoires de foetus qui sont en fait aussi bien des ovules fécondés que des embryons ou plus tard des foetus. Pour bien saisir la réalité de ces différences chronologiques, il convient de citer un travail de Leconte du début du siècle, sur cette période embryonnaire relativement courte puisque ne durant que 8 semaines, c'est-à-dire 56 jours, et pourtant fantastique puisque là se mettent en place tous les organes. En 56 jours cet être passe du stade d'une seule cellule à plus de 8 milliards de cellules, du stade microscopique au stade macroscopique de plusieurs centimètres. Cette puissance de développement est due à une vitesse de croissance en accélération constante. Si cette accélération de vitesse de croissance se maintenait au même rythme durant les 9 mois de la grossesse, à terme le cerveau aurait la taille de... la Terre ! Inversement, si l'embryon grandissait à la vitesse à laquelle grandit un enfant entre 0 et 10 ans, la période embryonnaire durerait... 500 MILLIONS d'années ! Mais alors que se passe-t-il à la fin de ces 56 jours pour que se ralentisse autant cette vitesse de croissance ? À 8 semaines se mettent en place tous ces récepteurs sensitifs, sensoriels, affectifs qui feront de cet embryon un foetus percevant, multi-percevant et même hyper-percevant. A partir de 8 semaines le foetus est en interaction continue d'abord avec sa mère, puis par sa mère, et plus ou moins directement avec son environnement. Essayons donc de simplement imaginer l'infinité des stimulations périphériques qui vont façonner non seulement le cerveau mais tous les organes, non seulement les aires sensitives, motrices, les thalamus et hippocampe mais toutes les régions mystérieuses et encore mal explorées, siège de la conscience et sans doute de l'inconscient.
Présentation de l'éditeur :
Edmée Gaubert nous parle d'«Histoires de foetus» et très normalement commence la sienne qui comme chaque histoire, ne manque pas de merveilleux comme de dramatique.
De merveilleux car, quelle que soit l'histoire racontée, Edmée trouve toujours la touche délicate du spirituel, de l'irréversible de ce sens inné, bien que trop souvent contraint, qui nous «relie à la nature, à l'univers et à Dieu et dont cette vie qui se crée est la manifestation».
De dramatique aussi car parfois, sinon toujours, une certaine époque de notre vie terrestre nous fait prendre conscience de la Vie, des difficultés présentes à l'une de ces périodes essentielles de cette vie, périodes allant du «désir» d'enfant plus ou moins bien formulé et accepté, à une naissance dont on connaît depuis longtemps les conséquences lointaines, tout au long de la vie d'adolescent et d'adulte. Mais entre ces deux moments essentiels qui sont la fécondation et la naissance, il y a ces longs mois des périodes embryonnaire et foetale.
Sans le savoir explicitement, Edmée Gaubert démontre la réalité de ces périodes par ces histoires de foetus qui sont en fait aussi bien des ovules fécondés que des embryons ou plus tard des foetus. Pour bien saisir la réalité de ces différences chronologiques, il convient de citer un travail de Leconte du début du siècle, sur cette période embryonnaire relativement courte puisque ne durant que 8 semaines, c'est-à-dire 56 jours, et pourtant fantastique puisque là se mettent en place tous les organes. En 56 jours cet être passe du stade d'une seule cellule à plus de 8 milliards de cellules, du stade microscopique au stade macroscopique de plusieurs centimètres. Cette puissance de développement est due à une vitesse de croissance en accélération constante. Si cette accélération de vitesse de croissance se maintenait au même rythme durant les 9 mois de la grossesse, à terme le cerveau aurait la taille de... la Terre ! Inversement, si l'embryon grandissait à la vitesse à laquelle grandit un enfant entre 0 et 10 ans, la période embryonnaire durerait... 500 MILLIONS d'années ! Mais alors que se passe-t-il à la fin de ces 56 jours pour que se ralentisse autant cette vitesse de croissance ? À 8 semaines se mettent en place tous ces récepteurs sensitifs, sensoriels, affectifs qui feront de cet embryon un foetus percevant, multi-percevant et même hyper-percevant. A partir de 8 semaines le foetus est en interaction continue d'abord avec sa mère, puis par sa mère, et plus ou moins directement avec son environnement. Essayons donc de simplement imaginer l'infinité des stimulations périphériques qui vont façonner non seulement le cerveau mais tous les organes, non seulement les aires sensitives, motrices, les thalamus et hippocampe mais toutes les régions mystérieuses et encore mal explorées, siège de la conscience et sans doute de l'inconscient.
Dans le déroulement de notre parcours de vie, il y a certaines difficultés qui ne trouvent aucune explication «raisonnable». Leur origine remonte souvent aux empreintes des événements que nous avons vécus dans la vie intra-utérine.
Le foetus «capte» littéralement toutes les vibrations de peur, tristesse, colère, joie. Il perçoit les ressentis du vécu de ses parents dans leur environnement. Dans des épreuves difficiles pour eux, comme dans des moments heureux, il a tendance à se charger d'émotions qui ne lui appartiennent pas. Elles marqueront alors profondément les orientations de sa vie d'adulte.
Edmée GAUBERT nous éclaire sur l'importance de cette période intra-utérine. Son style direct et léger lui permet d'aborder des situations graves avec délicatesse et humour, dans des perspectives de prévention et de guérison.
En dernière partie de son livre, elle nous propose un questionnaire très détaillé pour explorer sous plusieurs angles la vie prénatale que nous avons vécue.
Un livre pour mieux comprendre l'influence de notre héritage familial et prendre soin de nos enfants à naître !
Edmée GAUBERT est formatrice en entreprise dans le domaine des relations humaines depuis plus de 25 ans. Depuis ses premiers pas en analyse transactionnelle et bioénergie, elle a travaillé avec de nombreux thérapeutes, dont Graham FARRANT, thérapeute en mémoire cellulaire qui lui a inspiré ce livre.
Le foetus «capte» littéralement toutes les vibrations de peur, tristesse, colère, joie. Il perçoit les ressentis du vécu de ses parents dans leur environnement. Dans des épreuves difficiles pour eux, comme dans des moments heureux, il a tendance à se charger d'émotions qui ne lui appartiennent pas. Elles marqueront alors profondément les orientations de sa vie d'adulte.
Edmée GAUBERT nous éclaire sur l'importance de cette période intra-utérine. Son style direct et léger lui permet d'aborder des situations graves avec délicatesse et humour, dans des perspectives de prévention et de guérison.
En dernière partie de son livre, elle nous propose un questionnaire très détaillé pour explorer sous plusieurs angles la vie prénatale que nous avons vécue.
Un livre pour mieux comprendre l'influence de notre héritage familial et prendre soin de nos enfants à naître !
Edmée GAUBERT est formatrice en entreprise dans le domaine des relations humaines depuis plus de 25 ans. Depuis ses premiers pas en analyse transactionnelle et bioénergie, elle a travaillé avec de nombreux thérapeutes, dont Graham FARRANT, thérapeute en mémoire cellulaire qui lui a inspiré ce livre.
Les informations fournies dans la section « A propos du livre » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.
- ÉditeurSOUFFLE OR
- Date d'édition2011
- ISBN 10 2840583984
- ISBN 13 9782840583981
- ReliurePoche
- Nombre de pages184
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