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Revue de presse :
Dans l'optique des nouveaux éliminatoires du tournoi des lycées, chacun s'entraîne avec verve.
D'un côté, Tsukimoto s'est désormais taillé une solide réputation au point d'être craint par Kazama du lycée Kaïo, mais il semble douter un peu et finit par retomber un peu dans sa solitude et dans sa fuite. Koïzumi s'interroge sur le comportement de son protégé, mais la mémé Tamura pourrait peut-être lui faire ouvrir les yeux sur les limites des entraînement qu'il donne au jeune garçon.
Quant à Peko, il s'apprête à faire son véritable retour, comme le héros qu'il a toujours voulu être. Grâce aux entraînement hyper intensifs de Mémé Tamura, il a retrouvé un excellent niveau de jeu et est de nouveau boosté, comme avant sa défaite contre Wenga Kon.
Taiyô Matsumoto n'oublie bien sûr pas ses autres personnages importants, et l'on entrevoit doucement les craintes de Kazama et les changement chez Wenga Kon. Mais ce sont bel et bien Smile et Péko qui restent les moteurs du récit. L'un doute un peu, l'autre revient en force, les rôles s'inversent une nouvelle fois, et suivre en parallèle leur parcours à la fois si proche et si différent reste un régal, d'autant que l'auteur en profite également pour offrir à travers Tamura et Koizumi deux manière un brin différentes d'entraîner. Koizumi a beau offrir à Smile le maximum d'attention et faire tous les efforts possibles, ne lui manque-t-il pas un élément essentiel à donner à son protégé ?
Tout ceci prépare à merveille des éliminatoires qui peuvent alors débuter en portant de bien belles promesses. Smile, Peko ou même Kazama seront-ils à la hauteur des attentes que l'on porte sur eux ? Pour Peko, la réponse arrivera dès le premier match, où il retrouvera sa bête noire de l'année précédente, Wenga Kon. Quant à Smile, c'est au deuxième tour qu'il devra montrer le meilleur de lui-même, face à Sanada, le numéro 2 de Kaïo...
Les matches ont beau être toujours courts, Taiyô Matsumoto excelle encore et toujours dans leur représentation, portée par des angles de vue impeccables et des coups où l'on sent toute la rage des joueurs. Mais l'auteur profite surtout de cette tension et de cette verve bien palpables pour continuer de croquer le portrait intérieur de ses protagonistes. D'un côté Smile doit surmonter ses doutes, et le retour de Péko pourrait bien le réveiller et trouver un écho en lui. De son côté, Péko brille à nouveau... mais son genou ne risque-t-il pas de finir par subir le contrecoup d'entraînements trop intensifs ?
De son côté, Kazama reste pour l'instant impassible, fidèle à lui-même, mais on sent aussi le doute s'installer doucement en lui, d'autant plus quand arrivent de fortes retrouvailles entre lui et Sakuma, pour un passage révélant doucement quelques tourments intérieurs, tandis que l'on restera aussi amusé par les nombreux clins d'oeil et hommages que l'auteur glisse dans les tags des toilettes.
Entre la justesse qui ressort des personnages et la tension et la rage qui se dégage des matches, Ping Pong continue de nous captiver, prêt à nous mettre une denrière claque dans le cinquième et dernier volume. (Critique de www.manga-news.com)
Biographie de l'auteur :
D'un côté, Tsukimoto s'est désormais taillé une solide réputation au point d'être craint par Kazama du lycée Kaïo, mais il semble douter un peu et finit par retomber un peu dans sa solitude et dans sa fuite. Koïzumi s'interroge sur le comportement de son protégé, mais la mémé Tamura pourrait peut-être lui faire ouvrir les yeux sur les limites des entraînement qu'il donne au jeune garçon.
Quant à Peko, il s'apprête à faire son véritable retour, comme le héros qu'il a toujours voulu être. Grâce aux entraînement hyper intensifs de Mémé Tamura, il a retrouvé un excellent niveau de jeu et est de nouveau boosté, comme avant sa défaite contre Wenga Kon.
Taiyô Matsumoto n'oublie bien sûr pas ses autres personnages importants, et l'on entrevoit doucement les craintes de Kazama et les changement chez Wenga Kon. Mais ce sont bel et bien Smile et Péko qui restent les moteurs du récit. L'un doute un peu, l'autre revient en force, les rôles s'inversent une nouvelle fois, et suivre en parallèle leur parcours à la fois si proche et si différent reste un régal, d'autant que l'auteur en profite également pour offrir à travers Tamura et Koizumi deux manière un brin différentes d'entraîner. Koizumi a beau offrir à Smile le maximum d'attention et faire tous les efforts possibles, ne lui manque-t-il pas un élément essentiel à donner à son protégé ?
Tout ceci prépare à merveille des éliminatoires qui peuvent alors débuter en portant de bien belles promesses. Smile, Peko ou même Kazama seront-ils à la hauteur des attentes que l'on porte sur eux ? Pour Peko, la réponse arrivera dès le premier match, où il retrouvera sa bête noire de l'année précédente, Wenga Kon. Quant à Smile, c'est au deuxième tour qu'il devra montrer le meilleur de lui-même, face à Sanada, le numéro 2 de Kaïo...
Les matches ont beau être toujours courts, Taiyô Matsumoto excelle encore et toujours dans leur représentation, portée par des angles de vue impeccables et des coups où l'on sent toute la rage des joueurs. Mais l'auteur profite surtout de cette tension et de cette verve bien palpables pour continuer de croquer le portrait intérieur de ses protagonistes. D'un côté Smile doit surmonter ses doutes, et le retour de Péko pourrait bien le réveiller et trouver un écho en lui. De son côté, Péko brille à nouveau... mais son genou ne risque-t-il pas de finir par subir le contrecoup d'entraînements trop intensifs ?
De son côté, Kazama reste pour l'instant impassible, fidèle à lui-même, mais on sent aussi le doute s'installer doucement en lui, d'autant plus quand arrivent de fortes retrouvailles entre lui et Sakuma, pour un passage révélant doucement quelques tourments intérieurs, tandis que l'on restera aussi amusé par les nombreux clins d'oeil et hommages que l'auteur glisse dans les tags des toilettes.
Entre la justesse qui ressort des personnages et la tension et la rage qui se dégage des matches, Ping Pong continue de nous captiver, prêt à nous mettre une denrière claque dans le cinquième et dernier volume. (Critique de www.manga-news.com)
Taiyou Matsumoto a déjà réalisé plusieurs séries mangas au Japon. Très influencé par le principe de la bande dessinée franco-belge et plus particulièrement par le travail de Moebius, Matsumoto a créé un style bien à lui. Il invente des univers extrêmement esthétiques et visuellement novateurs. Dans son œuvre, rien n'est laissé au hasard, toutes les cases ont un sens caché, relevant souvent d'un monde totalement irréel, propre à l'imaginaire de l'auteur.
Parmi ses séries les connues, "Amer Béton" et "Ping Pong" ou "Hana-Otoko" ont contribué à créer un public de fans.
Il est aujourd'hui un auteur influent au Japon, en marge des succès populaires des mangas.
Parmi ses séries les connues, "Amer Béton" et "Ping Pong" ou "Hana-Otoko" ont contribué à créer un public de fans.
Il est aujourd'hui un auteur influent au Japon, en marge des succès populaires des mangas.
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- ÉditeurDelcourt/Tonkam
- Date d'édition2004
- ISBN 10 2847892699
- ISBN 13 9782847892697
- ReliureBroché
- Nombre de pages202
- Evaluation vendeur
(Aucun exemplaire disponible)
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