Biographie de l'auteur :
Elle fait ses débuts profesionnels en 1985, avec « Ano Natsu » (cet été) dans le magazine Ribon de Shueisha. A la suite, elle dessinera de nombreuses séries telle que « Je ne suis pas un ange », « Gokinjo, une vie de quartier » et « Last Quarter », toujours dans le magazine Ribon, et devient très populaire. A partir de 1999, elle gagne de nouveaux lecteurs avec sa série « Paradise Kiss », publiée dans le Zipper, un magazine de mode de Shodensha. La même année, elle commence à travailler sur « NANA », qui sera présenté au public en 2000. « NANA » devient alors un énorme succès, et sera adapté sur différents supports : en animation, mais deux films seront également réalisés. La fièvre « NANA » s’étend maintenant au reste du monde : la série est particulièrement populaire en France et en Italie, et dans de nombreux autres pays. En 2002, « NANA » a par ailleurs reçu le prix du meilleur shôjo manga lors des Shogakukan Manga Award. La série est, à ce jour, toujours publié dans magazine mensuel Cookie de Shueisha. (Akata)
Revue de presse :
Rien ne va plus en les deux jeunes femmes qui ne s’adresse même pas la parole. Tout ce tome est emprunt de confusion, pour les filles, pas une ni échappe. Pendant se temps les garçons font ce qu’ils peuvent pour soutenir tant bien que mal ces demoiselles. Une nouvelle fois Ai Yazawa nous propose un récit profond où les sentiments des personnages prennent toute leur valeur, accentuant le coté dramatique de l’histoire. Un fossé semble se creuser inéluctablement. Un vrai bijou qui place cette série au rang de meilleur shojo disponible actuellement.
Ce tome est agrémenté d’une histoire supplémentaire d’une cinquantaine de page, retraçant le passé de du discret Naoki, le batteur de Trapnest. (Critique de www.manga-news.com)
Les informations fournies dans la section « A propos du livre » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.