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Retrouvez les fontaines et hauts lieux d'énergie de votre région ! La symbolique de l'eau demeure fort complexe. Sans doute parce qu'elle est l'élément le plus vital. Notre planète devrait s'appeler "Eau" et non "Terre" : l'élément liquide y est majoritaire, omniprésent. Certaines sources furent remarquées comme présentant des propriétés mystérieuses, particulières, et surtout bénéfiques. Des croyances, des rituels s'attachèrent à ces lieux. On découvrit que l'eau peut soigner, soulager, guérir. Du moins certaines eaux. Ce qui était jadis empirique et peu sûr a pu être démontré ensuite par la science moderne. Encore qu'il demeure des zones d'ombre et des phénomènes inexpliqués pour le moment. L'église, aussi sage que les Anciens, a fait perdurer cette pratique et nous verrons dans ce livre qu'il n'est pas rare que les sources soient placées sous l'invocation d'un saint. Souvent, il s'agit de déesses ou de saints peu connus en dehors de leurs régions. La fontaine est "bien de chez nous", on la connaît, on l'apprécie comme on aime ses proches. Elle "fait partie de la famille". On sait qu'on peut compter sur elle, et qu'elle saura nous tirer d'embarras, éloigner le mal, vaincre la maladie. La tradition demeure et se mêle aux médecines alternatives actuelles. Le sacré n'en reste pas moins présent. Tandis que les guérisons continuent. C'est dire l'humanité profonde des pratiques autour des « bonnes fontaines ! ». Dans cet ouvrage, nous avons dû faire un choix difficile. Car il existe beaucoup de fontaines de dévotion. Nous avons essayé de vous renseigner sur les plus renommées...
Les informations fournies dans la section « Synopsis » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.
Présentation de l'éditeur :
L'eau purifie, guérit et régénère. Les fontaines sont souvent dites miraculeuses, et attirent des pèlerins et des malades depuis des temps très lointains comme en témoignent encore aujourd'hui certains ex-voto gaulois et gallo-romains. L'on venait y chercher - et parfois de très loin - la guérison de ses maux.
Par ses eaux toujours changeantes, la fontaine symbolise un perpétuel rajeunissement. La Fontaine de jouvence n'est-elle pas le symbole d'immortalité ou de perpétuel rajeunissement ?
L'auteur nous emmène ici sur les petits chemins, parfois oubliés, des sources et fontaines de France, de Belgique, de Suisse et d'Outre-Mer.
La sacralisation des sources est universelle. Sans elles ne pouvaient être assurées la fécondation et la croissance des espèces. Elles sont en quelque sorte le symbole de la maternité. Aussi, de tout temps, les fontaines furent protégées.
Chez les Gaulois, elles sont divinités. Elles ont surtout comme propriétés de guérir les blessures des guerriers.
Le culte des sources et des fontaines est resté très vivace dans tous les pays celtiques actuels et particulièrement en Bretagne où l'on évoque souvent sainte Anne ou Notre-Dame pour des problèmes liés à la famille et plus particulièrement à la maternité.
Les Landes, elles aussi peuvent s'enorgueillir de posséder une multitude de fontaines. Leur situation géographique a fait, qu'étant placées sur le parcours des chemins de Saint-Jacques de Compostelle, elles servaient jadis d'étapes aux pèlerins. Ils trouvaient là le moyen de se reposer, de soigner leurs plaies et d'invoquer le saint ou la sainte qui patronnait l'endroit. C'était le lieu idéal d'autant qu'à proximité on trouvait souvent le gîte, le boire, le manger et un lieu pour prier.
Il n'en demeure pas moins qu'aujourd'hui, les fontaines de guérison sont reconnues, renommées. Elles attirent parfois des foules. Les gens de leurs régions se les sont réappropriées. Elles font partie des identités locales. Elles sont chères au coeur des hommes. La tradition demeure et se mêle aux médecines alternatives actuelles. Le sacré n'en reste pas moins présent, tandis que les guérisons continuent. C'est dire l'humanité profonde des pratiques autour des «bonnes fontaines» ! C'est dire la puissance des eaux bénéfiques. C'est rendre hommage à la grandeur du monde, de la nature et de l'Humanité.
Extrait :
Par ses eaux toujours changeantes, la fontaine symbolise un perpétuel rajeunissement. La Fontaine de jouvence n'est-elle pas le symbole d'immortalité ou de perpétuel rajeunissement ?
L'auteur nous emmène ici sur les petits chemins, parfois oubliés, des sources et fontaines de France, de Belgique, de Suisse et d'Outre-Mer.
La sacralisation des sources est universelle. Sans elles ne pouvaient être assurées la fécondation et la croissance des espèces. Elles sont en quelque sorte le symbole de la maternité. Aussi, de tout temps, les fontaines furent protégées.
Chez les Gaulois, elles sont divinités. Elles ont surtout comme propriétés de guérir les blessures des guerriers.
Le culte des sources et des fontaines est resté très vivace dans tous les pays celtiques actuels et particulièrement en Bretagne où l'on évoque souvent sainte Anne ou Notre-Dame pour des problèmes liés à la famille et plus particulièrement à la maternité.
Les Landes, elles aussi peuvent s'enorgueillir de posséder une multitude de fontaines. Leur situation géographique a fait, qu'étant placées sur le parcours des chemins de Saint-Jacques de Compostelle, elles servaient jadis d'étapes aux pèlerins. Ils trouvaient là le moyen de se reposer, de soigner leurs plaies et d'invoquer le saint ou la sainte qui patronnait l'endroit. C'était le lieu idéal d'autant qu'à proximité on trouvait souvent le gîte, le boire, le manger et un lieu pour prier.
Il n'en demeure pas moins qu'aujourd'hui, les fontaines de guérison sont reconnues, renommées. Elles attirent parfois des foules. Les gens de leurs régions se les sont réappropriées. Elles font partie des identités locales. Elles sont chères au coeur des hommes. La tradition demeure et se mêle aux médecines alternatives actuelles. Le sacré n'en reste pas moins présent, tandis que les guérisons continuent. C'est dire l'humanité profonde des pratiques autour des «bonnes fontaines» ! C'est dire la puissance des eaux bénéfiques. C'est rendre hommage à la grandeur du monde, de la nature et de l'Humanité.
Pas si simple !
La symbolique de l'eau demeure fort complexe. Sans doute parce qu'elle est l'élément le plus vital. Notre planète devrait s'appeler «Eau» et non «Terre» : l'élément liquide y étant majoritaire, omniprésent. L'eau nous sauve et nous abreuve. Ses débordements peuvent tuer. Elle a, de tout temps, fasciné les hommes. De ce fait, dès les premiers âges, elle a été observée, étudiée. D'abord d'une façon malhabile, primitive. Puis la connaissance s'est affinée au cours des siècles. Et l'on a découvert diverses propriétés de l'aqua simplex, qui n'est pas si simple que ça.
Propriétés mystérieuses
Certaines sources furent remarquées comme présentant des propriétés mystérieuses, particulières et surtout bénéfiques. Des croyances, des rituels s'attachèrent à ces lieux. On découvrit que l'eau peut soigner, soulager, guérir, du moins certaines eaux. Ce qui était jadis empirique et peu sûr a pu être démontré ensuite par la science moderne. Encore qu'il demeure des zones d'ombre et des phénomènes inexpliqués, pour le moment, car la recherche continue : on trouve de plus en plus de confirmations, d'indices, d'éléments convaincants, de preuves de l'efficacité des sources guérisseuses.
Déités et saints
La vision antique de la nature différait de la nôtre. L'être humain n'y était jamais seul ! Autour de lui, la présence d'êtres tutélaires grouillait. Il y avait des dieux des arbres, des dieux des pierres, des dieux protégeant les bêtes, des dieux des chemins et des carrefours, etc, etc. Les sources furent souvent «personnalisées» : elles étaient déesses ou nymphes. La sagesse païenne voulut déjà rendre grâce aux bienfaits de la nature. On construisait des temples aux dieux majeurs. On a bâti des fontaines à ces déités aimées. L'Église, aussi sage que les Anciens, a fait perdurer cette pratique et nous verrons qu'il n'est pas rare que les sources soient placées sous l'invocation d'un saint.
Du local à l'universel
Souvent, il s'agit de déesses ou de saints peu connus en dehors de leurs régions, et nous devons comprendre qu'il s'agit là d'une dévotion familière, tendre. La fontaine est «bien de chez nous», on la connaît, on l'apprécie comme on aime ses proches. Elle «fait partie de la famille». On sait qu'on peut compter sur elle et qu'elle saura nous tirer d'embarras, éloigner le mal, vaincre la maladie. Cette familiarité, cette intimité, ce compagnonnage n'ont pas empêché que certaines sources ont pu voir leur renommée se répandre parfois très loin, et nous voyons là une double nature de l'eau, de la source, de la fontaine : particulière, locale, autant qu'universelle.
La symbolique de l'eau demeure fort complexe. Sans doute parce qu'elle est l'élément le plus vital. Notre planète devrait s'appeler «Eau» et non «Terre» : l'élément liquide y étant majoritaire, omniprésent. L'eau nous sauve et nous abreuve. Ses débordements peuvent tuer. Elle a, de tout temps, fasciné les hommes. De ce fait, dès les premiers âges, elle a été observée, étudiée. D'abord d'une façon malhabile, primitive. Puis la connaissance s'est affinée au cours des siècles. Et l'on a découvert diverses propriétés de l'aqua simplex, qui n'est pas si simple que ça.
Propriétés mystérieuses
Certaines sources furent remarquées comme présentant des propriétés mystérieuses, particulières et surtout bénéfiques. Des croyances, des rituels s'attachèrent à ces lieux. On découvrit que l'eau peut soigner, soulager, guérir, du moins certaines eaux. Ce qui était jadis empirique et peu sûr a pu être démontré ensuite par la science moderne. Encore qu'il demeure des zones d'ombre et des phénomènes inexpliqués, pour le moment, car la recherche continue : on trouve de plus en plus de confirmations, d'indices, d'éléments convaincants, de preuves de l'efficacité des sources guérisseuses.
Déités et saints
La vision antique de la nature différait de la nôtre. L'être humain n'y était jamais seul ! Autour de lui, la présence d'êtres tutélaires grouillait. Il y avait des dieux des arbres, des dieux des pierres, des dieux protégeant les bêtes, des dieux des chemins et des carrefours, etc, etc. Les sources furent souvent «personnalisées» : elles étaient déesses ou nymphes. La sagesse païenne voulut déjà rendre grâce aux bienfaits de la nature. On construisait des temples aux dieux majeurs. On a bâti des fontaines à ces déités aimées. L'Église, aussi sage que les Anciens, a fait perdurer cette pratique et nous verrons qu'il n'est pas rare que les sources soient placées sous l'invocation d'un saint.
Du local à l'universel
Souvent, il s'agit de déesses ou de saints peu connus en dehors de leurs régions, et nous devons comprendre qu'il s'agit là d'une dévotion familière, tendre. La fontaine est «bien de chez nous», on la connaît, on l'apprécie comme on aime ses proches. Elle «fait partie de la famille». On sait qu'on peut compter sur elle et qu'elle saura nous tirer d'embarras, éloigner le mal, vaincre la maladie. Cette familiarité, cette intimité, ce compagnonnage n'ont pas empêché que certaines sources ont pu voir leur renommée se répandre parfois très loin, et nous voyons là une double nature de l'eau, de la source, de la fontaine : particulière, locale, autant qu'universelle.
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- ÉditeurCRISTAL
- Date d'édition2012
- ISBN 10 2848950641
- ISBN 13 9782848950648
- ReliurePoche
- Nombre de pages285
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Fontaines guérisseuses et hauts lieux d'énergie
Edité par
Cristal
(2012)
ISBN 10 : 2848950641
ISBN 13 : 9782848950648
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Paperback
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Description du livre Paperback. Etat : Brand New. 285 pages. French language. 9.37x6.14x0.32 inches. In Stock. N° de réf. du vendeur zk2848950641
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