Présentation de l'éditeur :
" Ce livre n'est pas un livre de cuisine comme les autres. Ne vous attendez pas à de mirifiques recettes, à des trouvailles de gala. Ce n'est qu'un Précis d'alimentation naturelle, la cuisine brute, comme il y a l'art brut. La cuisine paléolithique, c'est la cuisine de Dieu. " En 1937, au lieu-dit La Tuilerie de Massane, à un jet de fronde de Montpellier, l'écrivain Joseph Delteil se retire dans son Harrar : en paléolithie. Loin de la civilisation, à l'écoute des sens, mi-poète, mi-vigneron, avec, au corps, la mémoire de ses aïeux magdaléniens qui vivaient, voilà 25 000 ans, des simples productions de la terre, il fait peau neuve et rêve de redevenir le premier homme. Nu. Innocent. Tout le reste en découle. Notamment, cette provocante Cuisine paléolithique, hymne à la cuisine d'instinct : recettes de nos grands-mères, secrets jalousement préservés, savoirs ancestraux... Avec le plat unique cher à Joseph, où le mets, nourri de son parfum sui generis, vaut aussi par l'ustensile et le tour de main, nous voilà loin des goûts sophistiqués de nos contemporains. D'où cette langue économe, comme Joseph l'était dans ses mots, ses gestes, tant à la table conviviale qu'à celle de travail. Économe parce que ce n'est pas dans la quantité que gît la saveur. Peu mais bon, telle est la règle ; vivre de peu, tel est le credo.
Ce livre-culte, édité pour la première fois par Robert Morel en 1964, réédité par Arléa/PDL en 1990, était depuis longtemps introuvable.
Présentation de l'éditeur :
" Ce livre n'est pas un livre de cuisine comme les autres. Ne vous attendez pas à de mirifiques recettes, à des trouvailles de gala. Ce n'est qu'un Précis d'alimentation naturelle, la cuisine brute, comme il y a l'art brut. La cuisine paléolithique, c'est la cuisine de Dieu. " La cuisine paléolithique est le fruit d'une retraite lorsque Delteil quitte Paris et se retire à La Tuilerie de Massane, dans la campagne montpelliéraine. Loin de la civilisation, il renoue avec son enfance audoise et se met à l'écoute des sens, mi-poète, mi-vigneron. Il fait peau neuve, il rêve de redevenir le premier homme. Nu. Innocent. Ce livre est un hymne à la cuisine d'instinct : recettes de nos grands-mères, secrets jalousement préservés, savoirs ancestraux... Avec le plat unique cher à Joseph, où le mets, nourri de son parfum sui generis, vaut aussi par l'ustensile et le tour de main ; nous voilà loin des goûts sophistiqués de nos contemporains. D'où cette langue économe, comme Joseph l'était dans ses mots, ses gestes, tant à la table conviviale qu'à celle de travail. Econome parce que ce n'est pas dans la quantité que gît la saveur. Peu mais bon, telle est la règle ; vivre de peu, tel est le credo. Un livre-culte qui a connu plusieurs éditions et que nous rééditons aujourd'hui. Une cinquantaine d'illustrations in texte comprenant photos, dessins, fac-similés d'une partie du manuscrit original.
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