Lorenzaccio - Couverture souple

MUSSET, ALFRED DE

3,65

4�120 �valuations de Goodreads

Couverture souple

ISBN 10 : 8473890302 ISBN 13 : 9788473890304

Editeur : Varios, 1982

Afficher les exemplaires de cette �dition ISBN

Madrid. 18 cm. 70 p. Encuadernaci�n en tapa blanda de editorial. Colecci�n 'Colecci�n Escena', numero coleccion(33). Musset, Alfred de 1810-1857. Versi�n de Ignacio Amestoy Eguiguren. Amestoy Eguiguren, Ignacio. 1947- .. Este libro es de segunda mano y tiene o puede tener marcas y se�ales de su anterior propietario. ISBN: 8473890302

Les informations fournies dans la section � Synopsis � peuvent faire r�f�rence � une autre �dition de ce titre.

Amazon.fr :

Lorenzino, Lorenzetta, Renzo, Renzino : Musset module � l'infini les surnoms et les masques pour d�signer Lorenzo de M�dicis, androgyne � l'aspect maladif qui nourrit en secret un projet terrible. Lorenzaccio, cousin et favori du duc Alexandre, est un mod�le de d�bauche qui a pourtant ses entr�es chez ceux qui la d�plorent. Il sait que son acte, d�sesp�r� mais n�cessaire sur le plan priv�, sera r�cup�r� par le flux, transform� en geste public d�risoire sur le plan universel. De tirades cyniques en monologues poignants, Musset trace les contours d'une silhouette fantasmagorique qui se d�tache d'une Florence en pleine d�ch�ance. Pris au pi�ge de son jeu bien plus qu'Hamlet, Lorenzaccio cultive son drame. Non pas comme d'autres romantiques cultivent leur m�lancolie, mais parce que c'est le seul lien qui lui reste avec la r�alit�.

Musset, apr�s l'�chec cuisant de La Nuit v�nitienne, d�cide de composer ses pi�ces sans les faire jouer. Son oeuvre sera donc un th��tre de spectres et de visions fugitives o� l'individu fait place � des types humains participant � l'histoire, model�e � souhait par un enfant, non pas du si�cle mais de tous les temps. --Sana Tang-L�opold Wauters

Quatri�me de couverture :

Lorenzo Ma jeunesse a �t� pure comme l'or. Pendant vingt ans de silence, la foudre s'est amoncel�e dans ma poitrine, et il faut que je sois r�ellement une �tincelle du tonnerre, car tout � coup, une certaine nuit que j'�tais assis dans les ruines du Colys�e antique, je ne sais pourquoi je me levai, je tendis vers le ciel mes bras tremp�s de ros�e, et je jurai qu'un des tyrans de la patrie mourrait de ma main. J'�tais un �tudiant paisible, je ne m'occupais alors que des arts et des sciences, et il m'est impossible de dire comment cet �trange serment s'est fait en moi. Peut-�tre est-ce l� ce qu'on �prouve quand on devient amoureux. (Acte III, sc�ne 3)

Les informations fournies dans la section � A propos du livre � peuvent faire r�f�rence � une autre �dition de ce titre.