Biographie de l'auteur :
Rumiko Takahashi est née en 1957 dans le département de Niigata. C'est au lycée qu'elle a ses premiers contacts concrets avec le manga en s'inscrivant au club de dessinateurs de mangas de l'école. A l'université, elle suit pendant quelque temps les cours de dessin enseignés par Kazuo Koike (scénariste entre autres de "Crying Freeman" et "Sanctuary"). En 1977, son premier manga "Katte na Yatsura" est nominé pour le grand prix Shogakukan des jeunes auteurs de mangas et fait ses débuts dès l'année suivante dans le Weekly Shonen Sunday. En 1980, Rumiko sort diplômée de l'université et "Urusei Yatsura" ("Lamu" en v.f.) devient un énorme succès. Suivront "Maison Ikkoku" ("Juliette, je t'aime" en v.f.) publié dans le Big Comic Spirit et "Ranma ½" dans le Shonen Sunday, qui seront également deux très gros hits. Actuellement, Inu-yasha est en cours de parution, toujours dans le même hebdomadaire, Shonen Sunday, et – oh ! surprise ! – le manga fait un véritable carton. Rumiko Takahashi est une mangaka très prolifique, très populaire et par voie de conséquence une des dessinatrices – si ce n'est LA dessinatrice – la plus fortunée du Japon. Ses mangas, en termes de vente, ont déjà dépassé depuis longtemps le cap des 100 millions d'exemplaires. Inu-Yasha compte déjà 21 volumes en version japonaise.
Rumiko Takahashi est née en 1957 dans le département de Niigata. C'est au lycée qu'elle a ses premiers contacts concrets avec le manga en s'inscrivant au club de dessinateurs de mangas de l'école. A l'université, elle suit pendant quelque temps les cours de dessin enseignés par Kazuo Koike (scénariste entre autres de "Crying Freeman" et "Sanctuary"). En 1977, son premier manga "Katte na Yatsura" est nominé pour le grand prix Shogakukan des jeunes auteurs de mangas et fait ses débuts dès l'année suivante dans le Weekly Shonen Sunday. En 1980, Rumiko sort diplômée de l'université et "Urusei Yatsura" ("Lamu" en v.f.) devient un énorme succès. Suivront "Maison Ikkoku" ("Juliette, je t'aime" en v.f.) publié dans le Big Comic Spirit et "Ranma ½" dans le Shonen Sunday, qui seront également deux très gros hits. Actuellement, Inu-yasha est en cours de parution, toujours dans le même hebdomadaire, Shonen Sunday, et – oh ! surprise ! – le manga fait un véritable carton. Rumiko Takahashi est une mangaka très prolifique, très populaire et par voie de conséquence une des dessinatrices – si ce n'est LA dessinatrice – la plus fortunée du Japon. Ses mangas, en termes de vente, ont déjà dépassé depuis longtemps le cap des 100 millions d'exemplaires. Inu-Yasha compte déjà 21 volumes en version japonaise.
Revue de presse :
Depuis qu'ils se sont alliés au bonze Miroku, Inu Yasha et ses compagnons ont pris connaissance d'un nouvel ennemi, Naraku. Cependant ce dernier n'est pas qu'un nouveau rival puisqu'il semble être au coeur de l'histoire qui a mis fin à la relation entre Inu Yasha et Kikyo !
Mais le pire n'est pas là : ce volume commence d'entrée de jeu avec ce personnage énigmatique, caché par une tête de babouin, qui propose une alliance à Sesshomaru afin d'éliminer ensemble Inu Yasha. Pour cela, il lui propose même un nouveau bras, celui d'un humain dont est incrusté à l'intérieur un morceau de la perle de Shikon afin que le frère de notre héros puisse atteindre son objectif : mettre la main sur le Tessaïga.
Au coeur de ce volet nous avons donc droit à un long combat entre les deux frères où Sesshomaru semble bien prêt à tout pour réaliser son but. Tout le monde aide Inu Yasha, même Kagome prend son courage à deux mains pour venir en aide à son précieux partenaire. Mais Sesshomaru est un redoutable combattant et la bataille sera rude !
Enfin, dans l'ombre, Naraku semble surveiller son ennemi et préparer un plan obscur...
Nous voici avec un tome fort dynamique ! Ce dernier marque le retour de Sesshomaru et nous fait découvrir un peu plus Naraku, deux ennemis emblématiques de la série. Au programme nous avons donc droit à un combat intense entre les deux frères qui semblent cependant au même niveau, chacun très fort avec ses techniques prêtes à contrer celles de son rival. Si ce tome s'avère donc très plaisant à suivre, il est juste un peu dommage que les combats manquent d'originalité dans les techniques, pour l'instant on tourne un peu en rond entre les coups de sabre et les griffes de sang d'Inu Yasha, espérons que ça change à l'avenir (on a le temps il reste 49 tomes...). Sinon, l'arrivée d'un second ennemi qui semble aussi lié au passé du héros est un geste intéressant et promet une histoire qui va s'intensifier petit à petit, vivement la suite.
En clair, ce tome 7 offre pour le moment le combat le plus dantesque de la série avec en prime l'arrivée d'un nouvel ennemi. Rumiko Takashi a le mérite de faire avancer son histoire, certes lentement mais pour l'instant sûrement. Espérons que ce ne soit que le début d'une grande épopée ! (Critique de www.manga-news.com)
Les informations fournies dans la section « A propos du livre » peuvent faire référence à une autre édition de ce titre.