Quatrième de couverture :
Entre Gaud, fille d'un gros commerçant de Paimpol, et Yann, le pêcheur, il y a bien des obstacles : la différence des conditions et des fortunes, bien sûr ; mais aussi la timidité farouche du jeune homme, de ceux qu'on nomme les " Islandais " parce que, chaque année, leurs bateaux affrontent, durant des semaines, les tempêtes et les dangers de la mer du Nord. C'est l'histoire d'un amour longtemps jugé impossible que nous conte ce roman, publié en 1886, et depuis lors redécouvert et admiré par plusieurs générations. Mais c'est surtout un grand drame de la mer, et l'une des expressions les plus abouties de ce thème éternel. Martin lui©même, Pierre Loti y déploie une poésie puissante, saisissante de vérité, pour dépeindre la rude vie des pêcheurs, l'âpre solitude des landes bretonnes, le départ des barques, la présence fascinante et menaçante de l'Océan.
Quatrième de couverture :
«Du vrai, du roulis et du rêve» (Alphonse Daudet).«Voyez-vous, Loti est sans aucune intelligence, mais c'est notre maître à tous» (Anatole France).«Pêcheur d'Islande is to my sense perfect, one of the very few works of imagination of our day completely and successfully beautiful» (Henry James).«Une page de Loti est une aquarelle qui chante. Bien plus que Sisley, Claude monet ou les Goncourt, Loti a été le grand impressionniste» (André Suarès).«Il y a derrière ses livres le vide qu'il y a dans le ciel, mais c'est par là qu'il est unique. Il s'est mêlé aux éléments. C'est l'air, c'est la pluie, c'est la terre qui parlent» (Julien Green).
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