Type d'article
Etat
Reliure
Particularités
Pays
Evaluation du vendeur
Edité par For the Holbein Society by A. Brothers and Trübner, 1870, 1870
Vendeur : Gage Postal Books, Westcliff-on-Sea, Royaume-Uni
Membre d'association : PBFA
Hardback. The purple cloth binding has some light wear and a bumped corner; it is sound. The prelims have an owner's inscription. There is some edge foxing throughout with the first and last few pages more extensively affected. Illustrated.
Edité par Lugd., Lugd., apud. Math. Bonhomme, Lugd., 1551
Vendeur : Librairie de l'Avenue - Henri Veyrier, Saint-Ouen, FR, France
Couverture rigide. Etat : Bon état. In-12, pleine basane, dos lisse, filets et fleurons, roulettes sur les plats rel. post, 226- 6 pp. 211 brois gravés. Restauration du titre, marges rognées avec lég. atteinte du texte. Infime accroc en coupe au 8 derniers ff. Quelques brunissures éparses. Surnommé Justinopolitanus, Andrea Alciato (1492-1550) fut un des premiers représentants du courant dit de l'humanisme juridique. Son uvre la plus connue sont ces Emblèmes (Emblemata), recueil d'allégories en vers latins sur des sujets moraux, inspirées de l'Antiquité, qui eut beaucoup de succès en Europe. La première édition proposée avec l'autorisation de l'auteur parut en France en 1534. Il existe des éditions non illustrées, mais le modèle qui s'impose est celui d'une page tripartite : chaque emblème consiste en un titre, une image, et un texte latin en vers. Les éditeurs successifs ont toujours maintenu cette formule, qui est devenue une caractéristique du genre. Le recueil d Alciat lança la mode des recueils d emblèmes, qui allaient devenir l un des genres les plus féconds de la Renaissance européenne. in-12°.
Edité par Guillaume Rouillé, Lyon, 1564
Vendeur : Hugues de Latude, Villefranche de Lauragais, France
Membre d'association : ILAB
*** Le premier livre d'emblèmes publié. Juriste et poète italien, Andrea Alciati envoya à Augsburg, une série d'épigrammes afin d'être publiée. Son éditeur eut alors l'idée de les illustrer. Un succès immédiat et durable, et le titre d'Emblemata a donné son nom à ce genre de livres. Edition illlustrée par un titre gravé et 211 bois gravés par Pierre Vase dans de très beaux encadrements. La traduction est de Barthelemy Aneau, avec ses commentaires. Le papier est bruni. Bon exemplaire. *** In-8 de 226, (4) pp. Vélin. (Reliure de l'époque - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - * First book of emblems published. Italian jurist and poet, Andrea Alciati sent to Augsburg, a series of epigrams to be published. His publisher then had the idea to illustrate them. An immediate and lasting success, and the title of Emblemata gave its name to this kind of books. Title-page within Renaissance woodcut border and 211 woodcuts of emblems all within splendid borders of varying design : some bear the monogram P. V.(ase). The translation is by Barthelemy Aneau, with his commentaries. The paper is browned. A good copy. Landwer, Romanic emblem books 68. - -.
Date d'édition : 1546
Vendeur : The Lawbook Exchange, Ltd., ABAA ILAB, Clark, NJ, Etats-Unis
3 titles: Lyons: 1539,1545,1546 (illustrateur). 3 titles: Lyons: 1539,1545,1546. Three Scarce Titles by Alciati, Including a Collection of Consilia Relating to Dueling Alciati, Andrea [1492-1550]. In Digestorum Seu Pandectarum Librum XII qui De Rebus Creditis Primus est, Rubric. Si Certum Petatur, Commentarius: Longe Doctissimus Atque Utilissimus: Una cum Vocum ac Rerum Toto hoc in Libro Notabilium Indice Diligentissimo. Lyons: Apud Iacobum Giunta, 1546. 387, [21] pp. [Bound with] Alciati, Andrea. Parerga: Andreae Alciati Iurisconsulti Mediolanensis PARERGON Iuris Libri Tres, Cum Argumentis Capitum in Eosdem, & Indice Vocum, Rerum, Autoritatum, & Locorum Notatu Dignorum. Lyons: Apud Jacobum Giunctam, 1539. [xxxii], 190 pp. [And] Alciati, Andrea. De Singulari Certamine Liber: Eiusdem Consilium in Materia Duelli, Exceptum ex Libro Quinto Responsorum. Lyons: Apud Theobaldum Paganum, 1545. 111, [1] pp. Octavo 6-1/4" x 4-1/4" (15.8 x 10.8 cm). Contemporary limp vellum with yapp edges, early hand-lettered titles to spine, top edge and front cover, ties lacking. Light soiling, rubbing to extremities with minor wear around spine ends and corners, vellum just beginning to crack through pastedowns. Attractive woodcut printer devices, colophons and decorated initials. Toning and light browning in places, early owner initials to title page of first title, interior otherwise clean. $2,000. * Fourth, second and third editions respectively. The first title is a commentary on the Digest, Book XII, Title 1: "Things Credited Giving Rise to Fixed Claims and the Condictio." Parergon is a collection of "thought pieces" on miscellaneous topics in Roman law. The final volume is a collection of consilia on matters relating to dueling. It is derived from his Responsa, a multi-part collection of consilia on different topics. All editions of these titles are scarce. Digestorum: OCLC locates 3 copies; Parerga: OCLC locates 6 copies. Both of these imprints not listed in Adams, Roberts or the British Museum Catalogue; Singulari: OCLC locates 3 copies of this edition. Pazzaglini & Hawks, Consilia A-9.
Date d'édition : 1614
Couverture rigide. Etat : Très bon. Lugduni [Lyon], apud Haeredes Gulielmi Rouilli [Chez Guillaume Rouillé], 1614. In-12 de [20] ff., 816 pp., [12] ff. Maroquin fauve, riche décor doré sur les plats, armoiries au centre, dos lisse orné, tranches dorées (reliure de l époque). Célèbre recueil d allégories en vers latins sur des sujets moraux. Il est illustré de 211 vignettes emblématiques gravées sur bois d'après Pierre Eskrich, dit Pierre Vase selon Baudrier. Les commentaires de Claude Mignault in fine ont un titre séparé. Andrea Alciato (1492-1550) était un humaniste italien. La première édition de son ouvrage, proposée avec son autorisation, parut en France en 1534. Inspiré des Adages d Erasme, il eut beaucoup de succès en Europe (plus de cent éditions entre la France, l Allemagne, les Pays-Bas et l Italie avant 1620). Luxueux exemplaire, richement relié à l époque aux armes de Thomas Morand, baron du Mesnil-Garnier (1584-1651), seigneur de Courseulles, successeur de Pierre Brûlart dans la charge de grand-trésorier, et de son épouse Jeanne Cauchon de Treslon. (Guigard, Nouvel armorial du Bibliophile, II, p. 371 et 372 ; O.H.R., pl. 2134, fer n° 1). Beaucoup de livres à cette marque figurent parmi les richesses de la Bibliothèque nationale. Quelques discrètes restaurations à la reliure. Landwehr, Romanic Emblem Books, 94.
Couverture rigide. Etat : Très bon. Paris, Jean Richer et François Gueffier, 1618.Fort in-8 de (24) ff., 970 pp. mal chiffrées 968, (15) ff. Relié en plein maroquin rouge de l'époque, roulette dorées encadrant les plats, armes frappées or au centre, dos lisse orné de la même roulette, titre doré frappé sur le dos, tranches dorées. Reliure de l'époque.174 x 107 mm. --- Superbe et rare édition illustrée des Emblèmes d'Alciat ornée de 211 jolies gravures sur bois (55 x 55 mm) placées dans de gracieux encadrements.La présente édition est augmentée de commentaires nouveaux donnés par Fédéric Morel qui paraissent ici pour la première fois.« André Alciat naquit à Milan le 8 mai 1492. Après avoir fait ses humanités dans cette ville, il alla étudier le droit à Pavie et à Bologne.Nommé en 1521 professeur de droit à l'université d'Avignon, il obtint dans cette ville de si grands succès que l'on compta jusqu'à huit cents personnes dans son auditoire ; mais le peu d'exactitude qu'on mit dans le paiement de ses honoraires le détermina à retourner à Milan. Alciat fut un des premiers à sentir que l'étude de l'histoire est indispensable pour ne pas commettre d'erreurs dans celle des lois, et que la culture des lettres n'est pas moins nécessaire à l'étude de la jurisprudence ».« Il fut obligé, en 1529, de se réfugier en France, où François Ier, mettant à profit l'aveugle fureur des compatriotes d'Alciat, le fixa dans ses Etats par ses bienfaits, et lui donna la chaire de Bourges, avec une pension de 600 écus, qui fut doublée l'année suivante. Alciat était avare, et l'urgent fut toujours le meilleur moyen de se l'attirer. François Sforza, duc de Milan, le réclama : et, connaissant sa passion, le menaça de confisquer ses propriétés s'il ne revenait pas. Une pareille menace, accompagnée à la vérité d'offres de présents, de pensions considérables, et de la dignité de sénateur, détermina Alciat de retourner dans sa patrie. Il revint alors professer /// Paris, Jean Richer et François Gueffier, 1618.Large 8vo [174 x 107 mm] of (24) ll., 970 pp. wrongly numbered 968, (15) ll. Bound in full contemporary red morocco, gilt border on the covers, gilt stamped coat of arms on the center, flat spine decorated with the same border, gilt title on the spine, gilt edges. Contemporary binding. --- Superb and rare illustrated edition of Alciato's Emblems illustrated with 211 beautiful woodcuts (55 x 55 mm) placed within gracious frames.This edition is enlarged with new comments given by Fédéric Morel that are published here for the first time."Andrea Alciato was born in Milan on May 8th, 1492. He went to study law in Pavia and Bologna.In 1521, he is appointed professor of law at the university of Avignon; he got in this city such great successes, that up to eight hundred people were counted in his audience; but the lack of accuracy put into paying his fees convinced him to go back to Milan. Alciato was one of the first to feel that studying history is indispensable not to make any mistake in the study of law, and that the culture of the arts is not less necessary to the study of case law."He had to take refuge in France, in 1529, where Francis I, taking advantage of the blind furor of Alciato's compatriots, settled him in his Estates thanks to his benefits, and gave him the chair of Bourges, with a pension of 600 écus, which doubled the following year. Alciato was mean, and money was always a way to get to him. Francesco Sforza, duke of Milan, asked for him, and, knowing his passion, threatened to confiscate his properties if he didn't came back. Such a threat, with offers of gifts, considerable pensions, and with the dignity of senator, convinced Alciato to return to his homeland. He then came back to teach in Pavia; but soon went to the university of Bologna; four years later, he came to get back his chair in Pavia, and, after a while, let himself again get in Ferrare thanks to the gifts of the duke Hercule d'Est".