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  • Image du vendeur pour Récits d'un combattant 1870 !. L'armée du Rhin - le siège de Metz - la captivité mis en vente par Librairie L'amour qui bouquine

    le Commandant Jacques Girard

    Edité par Imprimerie Bessot & Guionie, Brive, 1909

    Vendeur : Librairie L'amour qui bouquine, ALISE SAINTE REINE, France

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Livre

    EUR 13,50 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. par le Commandant Jacques Girard, officier de la Légion d'honneur, ancien Maire de Brive préface de Mr Octave Uzanne. « La guerre, ce meurtre splendide dont s'enrichit l'histoire et qui est la honte de l'humanité » La page de titre est précédée d'un portrait photographique de l'auteur en captivité (Phot. F. Hunt, Münster). Brive, 1909, Imprimerie Bessot & Guionie 1 volume 22,5 x 16 cm de 281 pages. Complet. Reliure demi-chagrin noir à petits coins, tranches marbrées. bon état, des frottements et petites déchirures sur les champs des plats. Exemplaire rare de ce témoignage de la guerre Franco-prussienne "Les Récits d'un Combattant, qui ne se piquent point de juger les faits d'ensemble, de parler de stratégie et de considérer les mouvements guerriers comme des déplacements des unités d'un jeu d'échecs, ces récits qui sont ceux d'un simple fantassin amoureux du métier militaire, d'un vrai patriote ne voyant guère plus loin que la grande famille meurtrie de son régiment, nous font comprendre plus douloureusement encore que les grands ouvrages des chefs ou des historiens architectes des documents, les horreurs de la campagne de 1870 et de l'infâme impéritie du haut commandement. J'éprouvai à lire ces pages un intérêt soutenu où le jugement littéraire n'avait guère à intervenir, car ce n'était plus de la littérature qui se manifestait dans ces pages, c'était mieux, c'était de la vie vécue, de la vie douloureuse, encore saignante et palpitante de fièvre et de souffrance dans sa restitution écrite, de la vérité sentie, criante et probante, fixée pour toujours par l'impressionnante brutalité de l'action dramatique qui la créa. L'interprétation directe de ce que l'on vit, sentit, comprit dans le voisinage de la mort et dans l'ambiance d'une anxiété, d'une profonde douleur collective, peut seule donner un tel intérêt et développer l'émotion jusqu'au paroxysme. Les artifices de style et toutes les ressources du talent d'un auteur ne sauraient arriver à pareil résultat.".