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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Paris, Louis Sevestre, 1700.In-12 de (11) ff., 69 pp., (3) pp. Relié en veau brun moucheté de l'époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Coiffes légèrement émoussées. Étui en maroquin brun. Reliure de l'époque.157 x 90 mm. --- Édition originale de la plus grande rareté de cet ouvrage consacré à la photométrie.Martin, Catalogue de la bibliothèque de feu M. Burette, 5546 ; Monge, Dictionnaire de physique, IV, p. 293.C'est au XVIIe siècle que les scientifiques européens font les plus grandes avancées en termes d'étude de la lumière.La photométrie qui apparait à cette époque est dénuée d'instruments de mesures ; elle établira ses bases par comparaison de sources lumineuses.Puis, « c'est "frappé par l'invention du baromètre, du thermomètre et de l'hygromètre" que F. Marie s'était demandé si, à leur imitation, on ne pourrait trouver un moyen de mesurer la lumière ». (J-E. Morère, p. 339, La photométrie : les sources de l'Essai d'Optique sur la gradation de la lumière de Pierre Bouguer, 1729.)C'est ainsi qu'il créa le « lucimètre ».« En 1700 un capucin Jean François-Marie a donné plusieurs manières de réaliser des appareils qu'il appelle lucimètres ou photomètres. Tout ceci n'aboutira à la construction d'un appareillage utilisable que beaucoup plus tard ». Daumas, Les instruments scientifiques, 82.« Le premier qui ait eu l'idée de mesurer la lumière est un Capucin, le P. François Marie, qui publia en 1700 un petit écrit intitulé : "Nouvelle découverte sur la lumière [?]". Ce bon religieux qui ne parle, au surplus, qu'avec une extrême modestie de ses idées, propose dans cet ouvrage, qu'il appelle ?Lucimètre', deux moyens de mesurer la lumière, l'une par l'interposition d'un nombre de verres plans et transparens, propre à intercepter enfin toute la lumière ; l'autre, par le moyen qu'une quantité d'eau propre à produire le même effet ; ou même moyen /// Paris, Louis Sevestre, 1700.12mo [157 x 90 mm] of (11) ll., 69 pp., (3) pp. Bound in contemporary mottled brown calf, spine ribbed and decorated with gilt fleurons, mottled edges. Spine ends slightly rubbed. Brown morocco case. Contemporary binding. --- First edition of the utmost rarity of this work dedicated to photometry.Martin, Catalogue de la bibliothèque de feu M. Burette, 5546; Monge, Dictionnaire de physique, IV, p. 293.It's in the 17th century that European scientists make the biggest discoveries in the study of light.Photometry that appears during this time doesn't have any measure instruments; it will establish its bases by comparing light sources.Then, "it's struck by the invention of the barometer, the thermometer and the hygrometer" that F. Marie asked himself if, by imitating them, it wouldn't possible to find a means of measuring light". (J-E. Morère, p. 339, La photométrie : les sources de l'Essai d'Optique sur la gradation de la lumière de Pierre Bouguer, 1729.)This is how he created the "lucimeter"."In 1700 a Capuchin Jean François-Marie gave several ways of creating devices he calls lucimeters or photometers. This will lead to the construction of a usable device only much later". Daumas, Les instruments scientifiques, 82."The first one who got the idea of measuring the light is a Capuchin, F. François Marie, who published in 1700 a small treatise entitled: "Nouvelle découverte sur la lumière [?]". This good religious man who only speaks, moreover, very modestly about his ideas, gives in this work, called ?Lucimeter', two means of measuring the light, one with the interposition of a number of plane and transparent glasses, suited to intercept finally all the light; the other one, by using a quantity of water in order to produce the same effect; or even means of repeated reflections on polished surfaces, in enough quantity to weaken the light with known gradations."J. E. Montucla, Histoire des mathématiques, III, p. 538.Fine an.