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  • LeatherBound. Etat : NEW. Leatherbound edition. Condition: New. Leather Binding on Spine and Corners with Golden leaf printing on spine. Bound in genuine leather with Satin ribbon page markers and Spine with raised gilt bands. A perfect gift for your loved ones. Reprinted from 1840 edition. NO changes have been made to the original text. This is NOT a retyped or an ocr'd reprint. Illustrations, Index, if any, are included in black and white. Each page is checked manually before printing. As this print on demand book is reprinted from a very old book, there could be some missing or flawed pages, but we always try to make the book as complete as possible. Fold-outs, if any, are not part of the book. If the original book was published in multiple volumes then this reprint is of only one volume, not the whole set. IF YOU WISH TO ORDER PARTICULAR VOLUME OR ALL THE VOLUMES YOU CAN CONTACT US. Resized as per current standards. Sewing binding for longer life, where the book block is actually sewn (smythe sewn/section sewn) with thread before binding which results in a more durable type of binding. Pages: 774 Language: French Pages: 774.

  • Etat : very good. Paris : chez F.G. Levrault, 1835. Orig. printed wrappers. 86 pp. Some light foxing. Rare. - OCLC 759559841. Philippe -Ambroise Aubé (1801-1881), fut président de la Société industrielle d Elbeuf (1867-1869), puis président de la Chambre de Commerce de la même ville (1870-1880). Fort préoccupé par l évolution politique et sociale de son temps qui va être marqué par la révolution de 1848, l auteur se fait l apôtre d un système social pour la France, système dans lequel la métaphysique et la spiritualité se marient harmonieusement à la science. Selon lui, les réformes de l enseignement dans le sens du scientisme ne peuvent mener qu à une impasse en engendrant la confusion et la discorde. Condition : very good copy. Keywords : OCCULTISM,

  • Bonne affaire

    EUR 315

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    De France vers Etats-Unis

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    Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, 44 pp - - Notable d'Elbeuf. - Président de la société industrielle d'Elbeuf de 1867 à 1869, puis de la chambre de commerce de 1870 à 1880 - - - - Philippe -Ambroise Aubé, 1801-1881), fut président de la Société industrielle d'Elbeuf (1867 - 1869), puis président de la Chambre de Commerce de la même ville (1870 - 1880). Fort préoccupé par l'évolution politique et sociale de son temps qui va être marqué par la révolution de 1848, l'auteur se fait l'apôtre d'un système social pour la France, système dans lequel la métaphysique et la spiritualité se marient harmonieusement à la science. Selon lui, les réformes de l'enseignement dans le sens du scientisme ne peuvent mener qu'à une impasse en engendrant la confusion et la discorde. Analysant l'évolution de la France avant la Révolution, il se montre partisan du retour à la tradition qu'il résume à sa manière : « Un faux enseignement, une fausse logique, ont égaré le jugement des hommes politiques. Les fondateurs de l'Eglise furent des Grecs initiés aux traditions des Brahmanes orthodoxes de l'Asie, par les livres sibyllins dont la doctrine fut personnifiée sous les noms de Pythagore ou la parole du serpent qui mord sa queue, symbole de la science dans son unité, et d'Orphée, chantre d'une mystérieuse harmonie. » On notera que l'auteur, en dépit du pseudonyme qu'il a choisi, accorde une place de choix à la langue grecque. C'est ainsi qu'il interprète l'un de ses prénoms : « Le Philippe des initiés est : Phil-Ypar, l'ami de la claire vision qui fait l'énergie de la pensée. » Tout en accordant une place éminente à l'Eglise romaine, il milite en faveur d'une réforme de cette Eglise en France qui deviendrait une « Eglise gréco-gallicane » dont le siège serait établi à Rouen car Philippe Aubé se défie de Paris. Dans cette ville, il voit le réceptacle de toutes les manoeuvres et les influences qui génèrent le « faux enseignement. » Cette attitude à l'égard de l'Eglise romaine s'explique par le fait que Philippe Aubé voit en l'Eglise luthérienne d'Allemagne et en sa fille l'Eglise anglicane, le vecteur majeur de cette dérive. C'est ainsi que selon lui, la France de la Monarchie de Juillet est catholique dans ses structures mais touchée par l'hérésie dans ses fondements. Monsieur Thiers serait ainsi « le nonce apostolique de l'anglicanisme. » Cette oeuvre originale, significative de son époque fort complexe, n'est pas sans rappeler Saint Yves d'Alveydre et la Synarchie. On décèle chez ce chef d'entreprise l'influence des Saint-simoniens comme Pierre Leroux. Manque à Caillet 502 qui décrit deux autres titres de notre auteur.

  • Image du vendeur pour 5 titres reliés en un volume . Manuscrit de 83 pages : Etudes, méditations et réflexions diverses mis en vente par La Fontaine d'Aréthuse

    EUR 1 200

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    Livre relié. Etat : Bon état. Exemplaire de l'auteur : Cinq titres reliés en un volume, nombreuses notes et corrections à la plume dans le texte et en marge. Manuscrit de 83 pages, relié à la suite, sous le titre Etudes, méditations et réflexions diverses Un volume grand in-8, reliure romantique bleu nuit à coins, dos lisse, orné, restaurations aux coiffes. Le brahmane : Chant du cygne. Metz, chez Verronnais, 1845, 46 pp. relié à la suite : Par un brahmane : La sapience normande. Manuel des doctes. Elbeuf, imprimerie de Levasseur et Barbé, Metz, chez Verronnais, 1847, 122 pp. (auxquelles ont été soustraites par l'auteur 32 pages en milieu de volume). relié à la suite : Logique du brahmanisme ou Doctrine des Trois principes. Imprimerie de Levasseur et Barbé, sans date, 16 pp. relié à la suite : Par un brahmane : La sapience normande. Manuel des doctes. (Deuxième livre). Elbeuf, Imprimerie de Levasseur et Barbé, 1849, 80 pp. relié à la suite : Par le brahmane P. - H. - A. AUBE. Mémoire à l'Assemblée Constituante sur l'enseignement et la politique. Elbeuf, Imprimerie de Levasseur et Barbé, 1849, 20 pp. relié à la suite : CAHIER MANUSCRIT : Études, méditations et réflexions diverses Ouvrage très curieux et fort rare, dont l'auteur (son nom apparaît à la fin du premier texte, Philippe -Ambroise Aubé, 1801-1881), fut président de la Société industrielle d'Elbeuf (1867 - 1869), puis président de la Chambre de Commerce de la même ville (1870 - 1880). Fort préoccupé par l'évolution politique et sociale de son temps qui va être marqué par la révolution de 1848, l'auteur se fait l'apôtre d'un système social pour la France, système dans lequel la métaphysique et la spiritualité se marient harmonieusement à la science. Selon lui, les réformes de l'enseignement dans le sens du scientisme ne peuvent mener qu'à une impasse en engendrant la confusion et la discorde. Analysant l'évolution de la France avant la Révolution, il se montre partisan du retour à la tradition qu'il résume à sa manière : « Un faux enseignement, une fausse logique, ont égaré le jugement des hommes politiques. Les fondateurs de l'Eglise furent des Grecs initiés aux traditions des Brahmanes orthodoxes de l'Asie, par les livres sibyllins dont la doctrine fut personnifiée sous les noms de Pythagore ou la parole du serpent qui mord sa queue, symbole de la science dans son unité, et d'Orphée, chantre d'une mystérieuse harmonie. » On notera que l'auteur, en dépit du pseudonyme qu'il a choisi, accorde une place de choix à la langue grecque. C'est ainsi qu'il interprète l'un de ses prénoms : « Le Philippe des initiés est : Phil-Ypar, l'ami de la claire vision qui fait l'énergie de la pensée. » Tout en accordant une place éminente à l'Eglise romaine, il milite en faveur d'une réforme de cette Eglise en France qui deviendrait une « Eglise gréco-gallicane » dont le siège serait établi à Rouen car Philippe Aubé se défie de Paris. Dans cette ville, il voit le réceptacle de toutes les manoeuvres et les influences qui génèrent le « faux enseignement. » Cette attitude à l'égard de l'Eglise romaine s'explique par le fait que Philippe Aubé voit en l'Eglise luthérienne d'Allemagne et en sa fille l'Eglise anglicane, le vecteur majeur de cette dérive. C'est ainsi que selon lui, la France de la Monarchie de Juillet est catholique dans ses structures mais touchée par l'hérésie dans ses fondements. Monsieur Thiers serait ainsi « le nonce apostolique de l'anglicanisme. » Cette oeuvre originale, significative de son époque fort complexe, n'est pas sans rappeler Saint Yves d'Alveydre et la Synarchie. On décèle chez ce chef d'entreprise l'influence des Saint-simoniens comme Pierre Leroux. Manque à Caillet 502 qui décrit deux autres titres de notre auteur. Le cahier manuscrit comporte une vingtaine de textes et de lettres, entièrement rédigés à la plume, d'environ 45 lignes à la page (2 feuillets supprimés par l'auteur). Il s'agit ici à la fois de courriers adressés à divers personnages influents de la politique et de la religion du Second Empire naissant : Louis-Napoléon Bonaparte, le Nonce du Pape Pie IX, le Président du Sénat Théodore Troplong, le biologiste Pierre Flourens, le chimiste membre du conseil de l'Instruction Publique Jean-Baptiste Dumas, Mgr Sibour Archevêque de Paris, Mgr de Bonald Archevêque de Lyon, Albert de Dalmas sous-secrétaire du cabinet de l'Empereur, etc. et d'études abordant divers sujets : Miroirs de métal des Chinois - Livres de la vérité, Triple unité divine - Génération nécessaire de l'être sensible par un générateur éternel - Circulation du sang - Ame universelle - Du principe d'autorité - Germe des idées ou base fondamentale de la pensée humaine nécessaire à en composer l'harmonie - Tables tournantes - Prédiction pour un temps indéfini sous l'autorité de l'astrologie et de l'alchymie - Principes politiques, propositions communiquées à Michelet et Victor Hugo - Etc. Tous ces textes furent rédigés entre mars 1853 et janvier 1854, à l'exception de la lettre à Flourens datée du 10 juin 1850. Nous présentons ci-après quelques extraits de cet ensemble : « Ces miroirs sont réputés magiques parce qu'ils sont l'oeuvre de savants physiciens-chimistes appelés Mages et dans lesquels une multitude exprime s'entretenir avec des êtres surnaturels ; c'est ainsi que le mot Magie qui exprime la science est devenu l'expression de fausses pratiques avec lesquelles on trompait les hommes. Le mot Magie exprime le contenu de ce que nous lui faisons dire. Ces miroirs ont été le fruit de nombreuses expériences faites pour arriver à la connaissance de la lumière et de ses agents naturels. Ces miroirs sont convexes et concaves. Sur la face concave on sculpte en relief des figures quelconques bien définies, plates, fleurs ou animaux, la surface cuivrée et bien polie n'offrant à l'oeil qui indique les objets sculptés dans la face postérieure, on tourne cette face polie au soleil, pour qu'un. ou un mur en reçoive la réflexion On distingue avec beaucoup de netteté dans le disque lumineux.