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  • JOHN BERGER, MARC TRIVIER

    Edité par BARTLEBY EDITORES, 2005

    ISBN 10 : 8495408473ISBN 13 : 9788495408471

    Vendeur : KALAMO LIBROS, S.L., La Puebla de Montalbán, TO, Espagne

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Livre

    EUR 8,48 Frais de port

    De Espagne vers Etats-Unis

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    Encuadernación de tapa blanda. Etat : Nuevo.

  • Quaghebeur, Marc/ Trivier, Marc

    Edité par L'Ether vague, 1996

    ISBN 10 : 2904620427ISBN 13 : 9782904620423

    Vendeur : Revaluation Books, Exeter, Royaume-Uni

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Livre

    EUR 21,87

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    EUR 11,68 Frais de port

    De Royaume-Uni vers Etats-Unis

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    Paperback. Etat : Brand New. French language. 8.43x7.72x0.39 inches. In Stock.

  • GIOVANNONI, Jean-Louis, TRIVIER, Marc

    Edité par éd. Les Autodidactes, 1992

    Vendeur : le dilettante, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 2 étoiles, Learn more about seller ratings

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    EUR 16,20 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    les photos de M.T., les mots de J.L.G. présentés par Pierre VILA sur le bulletin de souscription joint, édition originale, tirage limité à 285 ex., celui-ci sur vergé.

  • Dubuffet, Jean; Trivier, Marc.

    Edité par Paris: Galerie Nationale du Jeu de Paume., 1991

    Vendeur : Wittenborn Art Books, San Francisco, CA, Etats-Unis

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    EUR 33,67

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    EUR 9,34 Frais de port

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    Etat : Good. Staple-bound 4to. Fr. [11] pp. Ill. black & white plates. Exhib. 20 Jun - 22 Sep, 1991. Good.

  • Giovannoni Jean=Louis, Trivier Marc

    Edité par Didier Devillez editeur, Bruxelles, 1994

    Vendeur : A Balzac A Rodin, Paris, France

    Evaluation du vendeur : Evaluation 2 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Signé

    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    Brochée. Etat : Très bon. Etat de la jaquette : Jaquette en très bon état. br. couv. sple. rabats ill. n&b. 15,5x21,5cm. 100pp. ill. n&b. très bon état envoi Giovannoni page de titre. Signé par l'auteur.

  • EUR 49,35

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    EUR 11,68 Frais de port

    De Royaume-Uni vers Etats-Unis

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    Hardcover. Etat : Brand New. 128 pages. French language. 8.43x5.85x0.73 inches. In Stock.

  • Soft cover. Etat : New. 1st Edition. First edition, first printing. Soft cover. Photographically illustrated wrappers. Photographs by Philippe Bazin, Christian Boltanski, Gerd Bonfert, Nancy Burson, Roland Fischer, Monica Hendrix, Arnulf Rainer, Jean Rault, Thomas Ruff, Rudolf Schäfer, Yves Trémorin and Marc Trivier. Texts (in French) by Jean-Marc Huitorel, Michel Onfray and Jacques Py. Includes a list of plates. 94 pp., with 8 black and white and four-color plates. 10-1/4 x 8-5/8 inches. Published on the occasion of the 1993 exhibitions and concerts "Danse Macabre" at le FRAC Basse-Normandie, Caen, and le Centre Culturel Triangle, Rennes. New.

  • Trivier, Marc

    Edité par Yves Gevaert, 2001

    ISBN 10 : 2930128186ISBN 13 : 9782930128184

    Vendeur : ANARTIST, New York, NY, Etats-Unis

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    Livre

    EUR 62,53

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    EUR 4,67 Frais de port

    Vers Etats-Unis

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    Softcover, 192 pages, in English and French; very good condition, clean and crisp; no internal marks. Foreign shipping may be extra.


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  • Trivier Marc

    Edité par Centre Régional de la Photographie Nord Pas-de-Cal, 1988

    Vendeur : librairie philippe arnaiz, Isle sur la sorgue, France

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Edition originale

    EUR 15 Frais de port

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    Bon Etat intérieur propre. in4. 1988. broché. 90 pages. Bon état.

  • Image du vendeur pour Photographies. mis en vente par Librairie Diogène SARL

    TRIVIER Marc

    Vendeur : Librairie Diogène SARL, Lyon, France

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    EUR 18 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    Une coédition Centre régional de la Photographie Nord Pas-de-Calais, Musée de l'Elysée, Lausanne. Exposition DENAIN, janvier 1988 et LAUSANNE, avril 1988. 91 p., broché, environ 320x240mm, broché, quelques frottements sur la couverture, bon état pour le reste et intérieur bien propre.

  • Image du vendeur pour Photographies mis en vente par ShepherdsBook

    Marc Trivier

    Edité par Centre Régional de la Photographie Nord Pas-de-Calais / Musée de l'Elysée, Lausanne, 1988

    Vendeur : ShepherdsBook, Yvonand, Suisse

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Livre Edition originale

    EUR 55,80

    Autre devise
    EUR 21 Frais de port

    De Suisse vers Etats-Unis

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    Couverture souple. Etat : Très bon. Edition originale.

  • Marc Trivier

    Edité par Centre Regional de la Photographie Nord Pas-de-Calais and Musee de l'Elysee, 1988

    ISBN 10 : 2904538119ISBN 13 : 9782904538117

    Vendeur : Holt Art Books, Birmingham, Royaume-Uni

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    Livre

    EUR 84,24

    Autre devise
    EUR 17,53 Frais de port

    De Royaume-Uni vers Etats-Unis

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    Soft cover. Etat : Fine. Book is in fine condition. b/w illustrations.


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  • Marc Trivier

    Edité par Maison Européenne de la Photographie / Musée de la Photographie à Charleroi / Bruits éditions, 2017

    ISBN 10 : 2871830746ISBN 13 : 9782871830740

    Vendeur : Laurent Bouchat Livres d'Art XXe siècle, Bruxellles, Belgique

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Livre Edition originale

    EUR 14,50 Frais de port

    De Belgique vers Etats-Unis

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    Couverture rigide. Etat : Comme neuf. Etat de la jaquette : Comme neuf. Edition originale. 358 pages, illustrations n&b. Etat impeccable.

  • Image du vendeur pour Portrait de Bernard Noël. Photographie Originale tirée par l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (NOEL Bernard) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1983

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Photographie Edition originale

    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1983, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue.

  • Image du vendeur pour Arbre. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1980

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

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    Photographie Edition originale

    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1980, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grande photographie originale en noir et blanc réalisée et tirée par Marc Trivier. Tirage argentique non signé, comme la plupart des oeuvres de Trivier. Epreuve unique tirée par l'artiste. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est.

  • Image du vendeur pour Portrait de Peter Handke. Photographie originale tirée par l'artiste. mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (HANDKE Peter) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1980

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

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    Photographie Edition originale

    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1980, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier du Prix Nobel de Littérature 2019. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980.

  • Image du vendeur pour Portrait de Frank Auerbach. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (AUERBACH Frank) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1981

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Photographie Edition originale

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1981, 18x18cm sur papier Ilford 24x30, une feuille. - Portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Trace de scotch et partie blanche déchirée par endroits. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin d.

  • (AUERBACH Frank) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1981

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1981, 24x24 cm sur papier Ilford , une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il.

  • Image du vendeur pour Philippo. Palerme 1984 mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1984

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1984, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Photo perforée au niveau du carré noir et légèrement déchirée sur le bord gauche. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des.

  • Image du vendeur pour Portrait de Graham Greene. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (GREENE Graham) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1980

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1980, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue.

  • Image du vendeur pour Portrait de Paul Delvaux. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (DELVAUX Paul) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1980

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1980, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue.

  • Image du vendeur pour Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (THEVENIN Paule) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1987

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1987, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue.

  • Image du vendeur pour Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (THEVENIN Paule) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1987

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1987, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue.

  • Image du vendeur pour Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (THEVENIN Paule) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1981

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1981, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue.

  • Image du vendeur pour Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (THEVENIN Paule) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1987

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1987, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue.

  • Image du vendeur pour Portrait de Paule Thévenin. Photographie Originale de l'artiste mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (THEVENIN Paule) TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1987

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1987, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue.

  • Image du vendeur pour Mario. Barcelone 1984 mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1984

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1984, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reç.

  • Image du vendeur pour Michel. Manage 1984 mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1984

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1984, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il re.

  • Image du vendeur pour François. Manage 1984 mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    TRIVIER Marc

    Date d'édition : 1984

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    Pas de couverture. - 1984, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux.

  • Image du vendeur pour Louis. Liège 1984 mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    TRIVIER Marc

    Edité par Par l'auteur, 1984

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    Pas de couverture. - Par l'auteur, s.l. 1984, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille. - Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste « réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier. » (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » in Le Monde Libertaire, 2011). Cette « vie du papier » participe de l' uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : « Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe : le photographe affectionne ce genre d'accident. » (Claire Guillot, « Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier », Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. « Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : « Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette « brûlure » de la lumière nous renvoie à un instant réel, au « ça a été » de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : « De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier). « La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet . les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il re.