Search preferences

Type d'article

Etat

  • Tous
  • Neuf
  • Ancien ou d'occasion

Reliure

  • Toutes
  • Couverture rigide
  • Couverture souple

Particularités

Pays

Evaluation du vendeur

  • EUR 15,95

    Autre devise
    EUR 23 Frais de port

    De Allemagne vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 2

    Ajouter au panier

    Taschenbuch. Etat : Neu. This item is printed on demand - it takes 3-4 days longer - Neuware -Seminar paper de l'année 2003 dans le domaine Etudes des langues romanes - Français - Littérature, note: Sehr gut, Universität Wien (Romanistik), cours: La ville Alger dans la litterature francaise, langue: Français, résumé: Jean Pélégri est né à Rovigo le 20 juin 1920, il est issu d une famille de gros propriétaires terriens, installés dans la Mitidja depuis les premiers temps de la colonisation. Cette enfance terrienne marquera toute l ( )uvre à venir. Tous les personnages des romans de Pélégri, soient indigènes ou colons, sont des ruraux, des paysans. La ville, et plus encore la mer, lieux communs de la littérature des Français d Algérie depuis Gabriel Audisio et Albert Camus - des pies-noirs comme Jean Pélégri -, lui sont en revanche peu familières.Il a passé une enfance privilégiée - proche cependant des ouvriers arabes de la ferme. Lorsque dans les années 30 son père est ruiné, ce sont eux qui vont nourrir la famille, geste que Jean n oubliera jamais. Après des études de philosophie à Alger, puis la Deuxième Guerre Mondiale, Pélégri est nommé professeur en Corse, puis en Algérie où il retrouve sa famille. En 1952, les éditions Gallimard publient L Embarquement du lundi, roman sensuel, constitué en inventaire des bonheurs de l enfance. Suivront ses deux ( )uvres les plus connues, composées durant la guerre d Algérie : Les Oliviers de la justice (1959) et Le Maboul (1963).La première, très autobiographique, est le récit d une double perte : disparition d un père aimé et dépossession du sol natal - rapidement constituée en double héritage : indéfectible attachement à la « Mère Algérie » (titre d un récit ultérieur de l auteur), indépendante et profonde solidarité avec la minorité pied-noir contrainte de la quitter, mais conscience que la justice et le bon droit sont de l autre côté. Dans Le Maboul, le personnage principal est un indigène dépouillé de tout : de son histoire par le colonialisme, de sa famille par la guerre, de son présent par sa « maboulie ». Tour à tour maltraité par les militaires français et les maquisards algériens pour des raisons contradictoires qu il ne comprend jamais, Slimane paraît supporter, sans en être atteint, tous les événements. Au bout du compte, le meurtre qu il commet - qui l a souvent fait considérer comme un « anti-Meursault » - rejoint par bien des aspects le geste de l étranger de Camus. En 1968, une pièce de Théâtre, Slimane, a été adaptée de ce roman. 20 pp. Französisch.

  • EUR 29,72

    Autre devise
    EUR 11,67 Frais de port

    De Royaume-Uni vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

    Ajouter au panier

    Paperback. Etat : Brand New. 40 pages. French language. 8.11x5.43x0.47 inches. In Stock.

  • EUR 15,95

    Autre devise
    EUR 32,99 Frais de port

    De Allemagne vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

    Ajouter au panier

    Taschenbuch. Etat : Neu. Druck auf Anfrage Neuware - Printed after ordering - Seminar paper de l'année 2003 dans le domaine Etudes des langues romanes - Français - Littérature, note: Sehr gut, Universität Wien (Romanistik), cours: La ville Alger dans la litterature francaise, langue: Français, résumé: Jean Pélégri est né à Rovigo le 20 juin 1920, il est issu d une famille de gros propriétaires terriens, installés dans la Mitidja depuis les premiers temps de la colonisation. Cette enfance terrienne marquera toute l ( )uvre à venir. Tous les personnages des romans de Pélégri, soient indigènes ou colons, sont des ruraux, des paysans. La ville, et plus encore la mer, lieux communs de la littérature des Français d Algérie depuis Gabriel Audisio et Albert Camus - des pies-noirs comme Jean Pélégri -, lui sont en revanche peu familières.Il a passé une enfance privilégiée - proche cependant des ouvriers arabes de la ferme. Lorsque dans les années 30 son père est ruiné, ce sont eux qui vont nourrir la famille, geste que Jean n oubliera jamais. Après des études de philosophie à Alger, puis la Deuxième Guerre Mondiale, Pélégri est nommé professeur en Corse, puis en Algérie où il retrouve sa famille. En 1952, les éditions Gallimard publient L Embarquement du lundi, roman sensuel, constitué en inventaire des bonheurs de l enfance. Suivront ses deux ( )uvres les plus connues, composées durant la guerre d Algérie : Les Oliviers de la justice (1959) et Le Maboul (1963).La première, très autobiographique, est le récit d une double perte : disparition d un père aimé et dépossession du sol natal - rapidement constituée en double héritage : indéfectible attachement à la « Mère Algérie » (titre d un récit ultérieur de l auteur), indépendante et profonde solidarité avec la minorité pied-noir contrainte de la quitter, mais conscience que la justice et le bon droit sont de l autre côté. Dans Le Maboul, le personnage principal est un indigène dépouillé de tout : de son histoire par le colonialisme, de sa famille par la guerre, de son présent par sa « maboulie ». Tour à tour maltraité par les militaires français et les maquisards algériens pour des raisons contradictoires qu il ne comprend jamais, Slimane paraît supporter, sans en être atteint, tous les événements. Au bout du compte, le meurtre qu il commet - qui l a souvent fait considérer comme un « anti-Meursault » - rejoint par bien des aspects le geste de l étranger de Camus. En 1968, une pièce de Théâtre, Slimane, a été adaptée de ce roman.