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  • Leconte Sébastien Charles 1860 1934

    Vendeur : Traces Ecrites, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

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    2 lettres autographes signées 5 In-8 et in-12 1904 Un en-tête à son adresse. rousseurs «Hélas ! non, mon cher confrère, je n'ai pas l'honneur d'être Normand. Je suis tout bonnement du Nord de la France [Arras], ce qui m'a permis de me donner en lecture (?) poétique de nos aïeux germaniques. J'ai eu le tort, n'y ayant sans doute aucun droit, de leur donner aussi une tournure de Vikings [.]. Mais nous n'en avons pas moins des affinités. Comme vous, j'ai peu de sympathie pour l'esprit latin et celto-latin. J'aime les vers comme les vôtres, qui semblent renvoyer l'éclat des choses [.]. J'aime la pourpre barbare et le métal farouche de vos strophes [.]». Il lui adresse son dernier recueil et parle, non sans humour, de la dégénérescence du peuple français. «Je partage votre dédain pour nos Franks dégénérés qui ne sont plus hélas ! que des Celtes ou des Ligures [.]. Mais nous ne sommes plus assez nombreux, et il n'y a rien à faire. L'Ostrasie a été perdue par ce crétin de Charlemagne, et la Neustrie est maintenant dans un affre d'éléments ignobles venus du plateau central et de la Langue d'Oc. Vive Simon de Montfort !». Poète et auteur dramatique, l'un des derniers Parnassiens. Président de la Société des poètes français.

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    1 pièce autographe signée 1 In-4 27/01/1804 Datée du 6 pluviose an 12. pliures Par ce document, les deux auteurs du "Nain jaune, ou la Fée du désert, mélodrame féerie en 3 actes et en prose, à grand spectacle", Coffin-Rony et Cuvelier, vendent à leur éditeur Fage, le droit exclusif d'imprimer et vendre ladite pièce. Auteur dramatique, il s'exila en Guadeloupe et y mourut.

  • Image du vendeur pour Le censeur dramatique ou Journal des principaux théâtres de Paris et des départementsnT. 4 mis en vente par PRISCA
    Bonne affaire
    Bonne affaire

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    Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. in-8° broché, 190 pages En 1776, Jean-Pierre Le Fuel de Méricourt (1748-1778) acheta Le Nouveau Spectateur à son fondateur Le Prévost d'Exmes qui avait lancé un répertoire sous ce titre en 1770. La première livraison entièrement rédigée par ses soins parut chez Esprit le 1er avril ; le titre modifié pour la cinquième livraison devint Journal des Théatres ou le Nouveau Spectateur. « Ce qu?on y trouve de mieux, c?est une grande hardiesse à s?expliquer sur le compte des histrions, sacrilège littéraire dont ceux-ci se plaignent hautement, et qui pourra bien mériter au critique la suppression de son journal. » (Bachaumont, Mémoires secrets) Ce qui arriva ! Sur la plainte de comédiens, Le Fuel fut dépossédé de son journal après le n°14. C'est Jean Le Vacher de Charnois (1749-1792) qui prit sa succession et lança une nouvelle série du Journal des Théâtres (le n° 1 parut le 1er avril 1777) puis renonça cinq mois plus tard, en septembre 1777 ; le journal fut alors continué par Alexandre Grimod de La Reynière (1758-1838) alors âgé de 19 ans et un groupe d'amis. « Un Avertissement des nouveaux auteurs, le 15 septembre 1777, déclare : "par une Société de Gens de Lettres" puis « Nous sommes quatre, l'un donne ses soins à l'Opéra, l'autre aux Français, l'autre aux Italiens, le dernier se charge de veiller à l'impression. On n'en saura jamais davantage ». Les réponses des rédacteurs aux lecteurs sont signées A., D., B., O. Collaborateurs occasionnels : La Harpe, Leroy de Ligny, de La Tour, etc. En butte aux tracasseries de son nouveau censeur, Le Fuel fait appel à ses lecteurs dans la « Lettre aux souscripteurs du Journal des théâtres » du 10 novembre 1776, mais doit finalement céder la place. Le Vacher de Charnois, gendre du comédien Préville, bénéficie de l'appui financier de son beau-père et traite directement du rachat avec Le Prévost d'Exmes qui avait gardé un droit sur chaque souscription perçue. Le Fuel exprime son ressentiment dans un Mémoire à consulter pour les souscripteurs du Journal des théâtres. Il y expose les réponses faites aux souscripteurs étonnés et le résultat d'une comparution de toutes les parties le 30 janvier. Il semble néanmoins que Le Vacher de Charnois ait obtenu de garder tous les souscripteurs qui n'avaient pas souscrit d'engagement nominal avec Le Fuel. Mais le Journal des théâtres loue trop souvent Préville et sa fille, au détriment d'autres acteurs, particulièrement Molé, contre lequel Le Vacher revient sans cesse. A son tour, il est dépossédé. Dans une note d'une lettre de Cailhava à Le Vacher, celui-ci déclare renoncer au Journal des théâtres ; dans ce même numéro, on trouve un Avis à son successeur et les Adieux du rédacteur. Le journal est alors continué "avec une impitoyable rigueur à la définition du goût et de la vérité" par Grimod de La Reynière âgé de 19 ans et son groupe » (Pierre Peyronnet). « C'est ce journal que nous voulons ressusciter aujourd'hui », annonce Grimod vingt ans plus tard en 1797 s'inspirant du feu Journal des théâtres pour créer Le Censeur dramatique.

  • Image du vendeur pour LA GUERRE ILLUSTRÉE. CHINE - TONKIN - ANNAM mis en vente par LIVRESCOLLECTOR

    HUARD Lucien

    Edité par L. Boulanger (vers 1890), Paris, 1890

    Vendeur : LIVRESCOLLECTOR, Bruxelles, Belgique

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    EUR 22 Frais de port

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    Demi-reliure cuir, 27cm x 18cm, 1216pp, très nombreuses gravures (nombreuses pleine page, certaines double page), cartes, 2,14kg. "Premier plat avec légères usures et petite usure au coin supérieur gauche, dos avec petites salissures et, en tête, petites déchirures recollées, très petite usure au coin supérieur droit et petit manque au coin supérieur gauche, second plat avec légères usures, légères salissures et petite usure au coin supérieur droit, légères petites rousseurs intérieures avec parfois légères petites salissures aux marges, rousseurs au coin inférieur droit d'environ 80 feuillets, salissures aux pages 1206 et 1207, sinon très bon état. Ouvrage extrêmement détaillé, essentiellement consacré à la Guerre du Tonkin ainsi qu'à la Chine, à Formose, à l'Annam et au Cambodge, de 1882 à 1886. Très nombreux passages consacrés aux combats menés par l'infanterie et l'artillerie de Marine, le Bataillon et les Chasseurs d'Afrique, la Légion étrangère, les Tirailleurs tonkinois, etc Lucien Huard, né Charles-Lucien (1839-1900), journaliste et auteur dramatique, fut l'auteur de plusieurs ouvrages consacrés à l'armée française. Il fonda le quotidien satirique "Le Bouffon" en 1867 et les périodiques "L'Image" la même année, "La Caricature" en 1877 et la revue de voyages "Sur Mer et sur Terre" en 1898. Vietnam / Taïwan / Indochine. (B)".

  • Nogaret Félix 1740 1831

    Vendeur : Traces Ecrites, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    1 lettre autographe signée 1 page ½ In-4 23/07/1805 Sur papier gravé à l en-tête du Ministère de l Intérieur. Daté du 4 thermidor an 13. Adresse et cachet au dos. Bords un peu salis Par cette lettre, Félix Nogaret réclame son «revenu de représentation» pour son mélodrame Dugay-Trouin, auprès de Nicolas-Etienne Framery, grand précurseur du droit d'auteur pour les dramaturges. 47 livres et 1 sol lui sont immédiatement remis. Écrivain, franc-maçon, censeur dramatique sous l'Empire.

  • EUR 10 Frais de port

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    Photographie,Vintage cdv albumen print - Félix Aimé Pyat, né à Vierzon le 4 octobre 1810 et mort à Saint-Gratien le 3 août 1889, est un journaliste, auteur dramatique et homme politique français, personnalité de la Commune de Paris. Fils d?un avocat d?opinion royaliste, il monta, âgé d?à peine seize ans, au sortir de ses études à Paris, où il devient lui-même avocat. Entrainé dans le mouvement politique des dernières années de la Restauration, ponctuée de banquets, de solennités, il signala sa hardiesse en portant un toast à la Convention nationale et en remplaçant le buste de Charles X par celui de Lafayette. Puis il se lance dans le journalisme au Figaro, au Charivari et à la Revue démocratique. Il est aussi auteur de pièces de théâtre, dont certaines sont jouées par l'acteur en vogue Frédérick Lemaître. Séduit par les thèses humanistes de la franc-maçonnerie, il est initié à la franc-maçonnerie, le 19 mars 1844 par la loge parisienne « Clémente Amitié ». En 1848, il se bat en duel avec Pierre-Joseph Proudhon. Après la révolution, le Gouvernement provisoire de la Deuxième République le désigne comme commissaire dans le département du Cher. Il s'y fait élire comme député de gauche à l'Assemblée constituante de 1848, où il fait, en septembre, un remarquable discours sur le droit au travail, en réponse à Thiers et à de Tocqueville. Puis, en 1849, il est reconduit dans l'Assemblée législative. Il est opposé en 1848 à l'élection de Louis Napoléon Bonaparte, qui préfigure selon lui une nouvelle royauté. Compromis dans l'émeute du 13 juin 1849, il doit se réfugier en Suisse, puis à Bruxelles et enfin à Londres. Il y fonde le parti révolutionnaire « La commune révolutionnaire » et publie et diffuse de nombreux textes révolutionnaires. Il adhère à l'Association internationale des travailleurs en 1864. Il revient en France en 1869. Au lendemain de l'assassinat du journaliste Victor Noir en 1870, il appelle à l'insurrection et repart en exil en Angleterre. Il est condamné, par contumace, à cinq ans de prison par la haute cour. Après la proclamation de la République le 4 septembre 1870, il rentre en France et fonde un journal : Le Combat. Le 11 février 1871, par décision du gouvernement de la défense nationale Le Combat est supprimé. Le 8 février 1871, il est élu à l'Assemblée nationale mais en démissionne le 3 mars. En février 1871, il fonde un nouveau journal, Le Vengeur, vite supprimé par le général Vinoy, gouverneur militaire de Paris, mais qui sera rétabli pendant la Commune. Le 26 mars, il est élu au Conseil de la Commune. Il fait partie de la Commission exécutive de 1871, de celle des Finances et du Comité de Salut public (du 1er au 8 mai). Il ne participe pas à la Semaine sanglante et rejoint Londres. Il revient en France après l'amnistie de 1880. Il est élu sénateur du Cher en 1887 puis député des Bouches-du-Rhône en 1888. // Circa 1870 // CDV, tirage albuminé, 6 x 10.5 cm, vintage albumen print // Format (cm): 6,5x10,5.

  • Photographie originale / Original photograph

    Date d'édition : 1865

    Vendeur : photovintagefrance, ARNAVILLE, France

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    Photographie

    EUR 10 Frais de port

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    Photographie,Vintage carte de visite, CDV. Augustin André Léon Laya, né le 4 décembre 1810 à Paris 11e et mort le 5 septembre 1872, 8 rue Blanche, Paris 9e, est un auteur dramatique français. Il est l?auteur d?une trentaine de comédies qui eurent un assez vif succès, dû tour à tour à la délicatesse de l?idée ou à la pureté et à la vivacité de la forme. En 1859, son Duc Job, en quatre actes, fut l?un des succès de vogue les plus soutenus du Théâtre-Français. Une douzaine d'années après sa création, lors d'une reprise du Duc Job au Théâtre-Français où l'on affichait complet, la nouvelle du suicide de son auteur suscita un vif étonnement. Léon Laya, qui mettait alors la dernière main à une pièce qui devait s'intituler Anna et dont les rôles avaient déjà été distribués pour être jouée au Gymnase-Dramatique, s'était pendu à son domicile à l'aide de sa cravate. On trouva dans sa chambre deux billets, l'un adressé à Derval, bras droit du directeur du Gymnase, contenant la version peaufinée du quatrième acte de sa nouvelle comédie, et l'autre à Aimée Desclée, l'actrice qui devait en tenir le rôle principal. Fils de l?académicien Jean-Louis Laya, Léon Laya était officier de la Légion d'honneur. Il est inhumé au cimetière de Montmartre. // Circa 1865 // Tirage albuminé // Format (cm): 6,5x10,5.

  • 3 vols in 1, quarter morocco and marbled boards (original printed wrappers not retained), gilt spine device, top edge gilt, marbled endpapers, 23 cm, vi, 274, [1], 181, [1], 284, [1] pp. A collection of papers from three conferences of the Association des Bibliothécaires Français, Contents comprise the following: Contents include Vol I: Eug. Morel. Avertissement; H. Martin. - Les Bibliothèques et le public; Cu. Sustrac. - Comment se servir des bibliothèques ?; H. La Fontaine. - L Institut international de bibliographie et de documentation; P. Otlet. - L avenir du livre et de la bibliographie; Les Bibliothèques parisiennes : A. Vidïer. - Les grandes Bibliothèques; J. Deniker. - Les Bibliothèques scientifiques; J. Gautier. - Les Bibliothèques dë droit et de sciences sociales; P.-Th. Vibert. - Les Bibliothèques commerciales; Les Bibliothèques de province: H. Michel. - Les Bibliothèques municipales; Les Bibliothèques étrangères: C. Bloch. - Le prêt entre Bibliothèques et les Catalogues collectifs en Suisse; Eug. Morel - La 'Librairie publique' en Angleterre et aux États-Unis; L'édition et le commerce du Livre: H. Bourrelier. - La librairie classique et le livre d enseignement ; A. Humblot. - L édition littéraire au xixe siècle. Vol. II: Eug. Morel. Avertissement; Eug. Capet. - La Bibliothèque du British Muséum; H. Lemaitre. - La Bibliothèque du Congrès à Washington. - La nouvelle Bibliothèque de New-York; P. Vanrycke. - Les Bibliothèques universitaires et la presse scientifique de Hollande; Eug. Morel. - La Bibliothèque royale de Berlin. - Le prêt et le bureau de renseignements; P. Cornu. - Les Bibliothèques d art de Paris; J. Laude. - Les Bibliothèques universitaires de province; M. Giraud-Mangin. - Les Bibliothèques municipales devant l opinion; X. Pelletier. - L hygiène dans les Bibliothèques. Vol III: Henry Martin. - La Bibliothèque de l Arsenal; Paul. Marais. - La Bibliothèque Mazarine; Charles Kohler. - La Bibliothèque Sainte-Geneviève ; Barrau-Dehigo. - La Bibliothèque de la Sorbonne; Noé Legrand. - Les Bibliothèques médicales; Joseph Dubois. - L Office de législation étrangère; Charles Oursel. - La Bibliothèque de Dijon; Henri Deherain. - Les collections de cartes géographiques dans les bibliothèques de Paris; Auguste Rondel. - La bibliographie dramatique et les collections de théâtre; Henri Lemaitre. - Eclairage et chauffage des bibliothèques. Near Very Good, a little rubbed, some light agetoning.

  • Image du vendeur pour Pourquoi des propriétaires à Paris ? Dédié aux locataires. Deuxième édition. mis en vente par Rometti Vincent
    EUR 25 Frais de port

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    Couverture souple. Etat : Satisfaisant. Paris, Ledoyen, 1857. Petit in-12 broché, (1f)+60pp.+(1f). Le catalogue de la BNF donne Charles Duveyrier pour auteur, et il n'a pas été trouvé d'exemplaire sans mention de deuxième édition. Assidu propagateur des doctrines Saint-Simoniennes, Charles Duveyrier figure "en bonne place" lors du procès de 1832 aux cotés du Père, de Barrault, de Chevalier (etc.), ainsi que son portrait lithographié en tête du compte rendu du procès publié par la librairie Saint-Simonienne. Il avait osé écrire dans le Globe (12 janvier 1832) : (.)des hommes et des femmes qui se donneraient à plusieurs sans jamais cesser d'être l'un à l'autre, et dont l'amour serait, au contraire, comme un divin banquet augmentant de magnificence en raison du nombre et du choix des convives.".Il sut combiner astucieusement une carrière de publiciste et d'auteur dramatique, tout en allant "droit aux prolétaires ; et, sans cesser de vivre de la vie des bourgeois" se faisant prolétaire comme eux. Couverture défraichie et fragile avec des déchirures. Intérieur de la plaquette en bon état malgré une petite et pâle mouillure angulaire. Timbres fiscaux d'Empire au verso du premier feuillet blanc.

  • EUR 15 Frais de port

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    1 lettre autographe signée 1 In-16 02/12/1912 Sur carte-lettre. bon Dans cette lettre pleine de bonhomie, le dramaturge Gugenheim informe son correspondant que les représentations de sa pièce [La Maison des] Temperley au Théâtre Sarah Bernhardt ont été suspendues : «[Lucien] Guitry a le droit de répéter dans ses décors à partir d'aujourd'hui et comme les praticables le gênaient, on a dû arrêter la pièce en pleines recettes. Ce sont les petits inconvénients du métier !» Le grand acteur dramatique Lucien Guitry (père de Sacha) joua Kismet d'Edward Knoblauch, au Théâtre Sarah-Bernhardt en décembre 1912. Banquier, journaliste et dramaturge, co-fondateur de la Société Cinématographique des Auteurs et Gens de Lettres (SGAGL) concurrente de la société du Film d'Art mais également liée à Pathé Frères. Il est aussi l'auteur de scénarii pour Pathé.

  • BELLE LETTRE AU SUJET DE COMPTES RENDUS DOUVRAGES À FOURNIR À JEAN-GABRIEL DENTU POUR LE JOURNAL DE LEMPIRE .En rendant compte (.), de la Vie de Washington, jai dit ce que je pensois, et je nai droit à aucun remerciement pour en avoir fait léloge. Il en profite pour linformer quil nest plus chargé de rendre compte .du petit ouvrage de Bacon. Je lai renvoyé à Mr Etienne avec un grand nombre dautres livres dont je ne pouvois moccuper parce quon ma donné une besogne très longue et très pénible qui exige tout mon temps, en menvoyant des ouvrages fort longs, on ma redemandé les petits, et vos deux petits volumes sont de ce nombre. Il explique ensuite .Quand à Sonnerat, vous savez que je lai lu ; jai même fait un grand nombre de notes sur louvrage, mais malheureusement vous navez pas pris le bon chemin pour obtenir promptement un article. Jai déjà eu lhonneur de vous dire que je navois aucune autorité, aucune influence sur la composition du journal (.). Quand bien même jenverrois un compte rendu du Voyage aux indes, il ne seroit point inséré (.). Si quelque autre collaborateur vous convenoit mieux ou avoit plus de pouvoir, veuillez men prévenir, je lui enverrai louvrage.En 1807, Hoffmann fut sollicité par Charles-Guillaume Étienne pour collaborer en tant que critique au Journal de lEmpire. Les Dentu sont une famille célèbre dimprimeurs-éditeurs, de père en fils. Jean-Gabriel (1770-1840) fut le premier de la dynastie.Breveté librairie en 1811, il publia de beaux livres de voyage, dhistoire naturelle et de géographie, de traductions importantes et de haute littérature. Ses auteurs ont pour nom Sonnerat, Manoncourt, Pinkerton, Walckenaer, Vauvenargues, etc. Il eut des démêlés notoires avec Charles-Gabriel Étienne, de lAcadémie française.

  • Photographie originale / Original photograph

    Date d'édition : 1865

    Vendeur : photovintagefrance, ARNAVILLE, France

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    Photographie

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    Photographie,CDV vintage albumen print. Henri de Bornier, né à Lunel le 25 décembre 1825 et mort à Paris le 28 janvier 1901, est un dramaturge, poète, écrivain et critique théâtral français. Après des études classiques aux séminaires de Saint-Pons, de Montpellier et de Versailles, il vient à Paris pour étudier le droit, mais ne passe aucun examen. À l'âge de 20 ans, il publie un volume de poésies, Premières feuilles, et entre deux ans plus tard comme surnuméraire à la Bibliothèque de l'Arsenal, dont il est successivement sous-bibliothécaire, bibliothécaire, conservateur, puis administrateur en 1889. Il est critique dramatique de la Nouvelle Revue entre 1879 et 1887. Il est élu membre de l'Académie française, contre Émile Zola, en 18935. Une seule de ses ?uvres eut un véritable succès et lui apporta du jour au lendemain la célébrité. Il s'agit de La Fille de Roland, qui resta pendant trois mois à l'affiche de la Comédie-Française avec Sarah Bernhardt dans le rôle principal. Ce drame, qualifié à l'époque de cornélien, raconte les amours de Berthe, la fille du chevalier Roland, avec Gérald, le fils du traitre Ganelon. L'un des spectateurs fut Maupassant, qui écrivit à son propos : C'est une pièce de sentiments nobles, écrite en style de M. Casimir Delavigne ? même moins bon6. Un seul vers en est resté, prononcé dans la pièce par Charlemagne : Tout homme a deux pays, le sien et puis la France. Dans son Discours de réception à l'Académie, Edmond Rostand, qui succéda au fauteuil de Henri de Bornier, le décrivit comme un vieux petit gentilhomme de roman, original, vif et bon avec une figure rose toute mangée de barbe d'argent, des yeux d'eau claire, de minuscules mains toujours agitées et fréquemment escamotées par des manchettes vastes, et je ne sais quelle grâce de gaucherie un peu fantastique qui me le faisait encore apparaître comme le kobold de la Tragédie. Il est inhumé au cimetière Saint-Gérard de Lunel. // Circa 1865 // Tirage albuminé // Format (cm): 6,5x10,5.

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    Photographie,Vintage albumen print CDV. Jean Baptista von Schweitzer (12 juillet 1833-28 juillet 1875) était un homme politique et poète dramatique allemand. Von Schweitzer naît à Francfort-sur-le-Main, dans une ancienne famille catholique aristocratique. Il étudie le droit à Berlin et Heidelberg, puis exerce dans sa ville natale. Cependant, il est généralement plus intéressé par la politique et la littérature que par le droit. Attiré par le mouvement ouvrier social-démocrate, il devient président de l'Union générale des ouvriers d'Allemagne après la mort de Ferdinand Lassalle en 1864. À ce titre, il dirige le Sozialdemokrat, ce qui lui vaut des ennuis récurrents avec le gouvernement prussien. Il est arrêté et accusé du crime d'homosexualité, mais garde le soutien de personnages clés au sein des sociaux-démocrates. En 1867, il est élu au Parlement de la Fédération d'Allemagne du Nord. En 1868, il invente le terme de « centralisation démocratique » pour décrire la structure de son organisation. N'ayant pas réussi à se faire élire au Reichstag en 1871, il démissionne de la présidence du parti et se retire de la vie politique. Il meurt en Suisse le 28 juillet 1875. // Circa 1865 // Tirage albuminé // Format (cm): 6,5x10,5.

  • 1030 págs Tapa blanda Sin desbarbar. Buen estado. Lomo pequeñas faltas La poésie polonaise au XIX, Le poète anonyme de la Pologne et son influence sur le mouvement des esprits en 1861, par Julian Klaczko; Confidences d'une ame libérale, Lettres inédites et Journal intime de Sismondi, par Saint René Taillandier; De la Théologie critique en France par Charles de Rémusat; Le Capitaine Robinson, récit du Cap Horn, par Théodore Pavie; Le Banque de France et le crédit, par Victor Bonnet; Le cotton et la crise américaine, les Compagnies Cotonnières et les tentatives du commerce anglais depuis de l'union, par Élisée Reclus; Le gouvernement constitutionnel et les partis politiques en Prusse, par Éd Simon; Peintres contemporains, Charlet, par Eugène Delacrois; La Russie sous le Règne de l'empereur Alexandre II, par Charles de Mazade; La philosophie des juifs, Maimonide et Spinoza, par Émile Saisset; Richard Piednoel, par Maxime du Camp; Les Assemblée sprovinciales en France avant 1789, IV, Les Provinces de l'ouest , par L de Lavergne; Une analyse du soleil par la chimie d'après les nouvelles découvertes de Kirchhoff et Bunsen, par Auguste Laugel; Du droit Maritime international a propos du différend anglo-américain, par Casimir Perier; Six mille Lieus a toute vapeur, première partie, par Maurice Sand; Littérature dramatique, le théatre contemporain au commencement de 1862, par Émile Montégut; Tamaris, première et deuxième partie, par George Sand; La Grande Remontrance, épisode de l'Histoire Parlementaire d'Angleterre, d'après de nouveaux documens, par E D Forgues; Études d'économie forestière, L'administration des forêts, par J Clavé; Louvois et l'armée de Louis XIV (Histoire de Louvois, de C Rousset) par Cornelis de Witt; Six Mille lieues a toute vapeur, seconde et troisième partie, par Maurice Sand; La politique de Libre-èchange, IV, Un principe nouveau, progrès comparés de l'Angleterre et de la France, par André Cochut; La Littérature Romanesque en France, III, Le roman sous louis XIII, par L de Loménie; L'expédition du Mexique par Charles de Mazade; La Magistrature et le Jury en France, par Jules Le Berquier; Le Haut Nil et le Soudan, souvenirs de voyage, I, Les empires noirs et les nouvelles découvertes au Fleuve Blanc, par Guillaume Lejean; Les cités lacustres de la Suisse, un peuble retrouvé par Elisée Reclus; La réforme financière de 1862, par Casimir Perier; Des agens de la production agricole, Les Engrais mixtes dans l'agriculture et dans le commerce, par Payen; Curiosités littéraires, le dernier livre de la littérature galloise, par Émile Montégut; Etc. Sin desbarbar. Buen estado. Lomo pequeñas faltas.

  • Image du vendeur pour Dictionnaire des Sciences et des Arts. Contenant l'étymologie, la définition et les diverses acceptations des termes techniques usités dans l'anatomie, la pysiologie, la médecine, la chirurgie, la pharmacie, la chimie; la zoologie, l'ornithologie, l'ychtiologie, l'entomologie, etc.; la botanique, la minéralogie; les mathématiques, la métrologie ou le système des nouveaux poids et mesures; l'analyse, la mécanique, l'hydraulique, la statique, l'hydrostatique, la dynamique, l'hydrodynamique, la physique, l'optique, l'accoustique, la pneumatique, l'electricité, le galvanisme; l'astronomie, la gnosmonique, la géographie, l'hydrographie, la navigation; la peinture, la sculpture, la gravure ou la glyptique, l'imprimerie, l'architecture, la marine, l'art de la guerre; le blason, la gymnastique, la chorégraphie; la pêche, la chasse; les arts et métiers ou la technologie; l'économie domestique, l'agriculture, le jardinage, le commerce; l'économie politique, les titres d'honneur et de dignité, la mis en vente par Librairie l'Art et la Manière

    Pierre Larousse avait une haute estime de ce dictionnaire. electricité, le galvanisme; l'astronomie, la gnosmonique, la géographie, l'hydrographie, la navigation; la peinture, la sculpture, la gravure ou la glyptique, l'imprimerie, l'architecture, la marine, l'art de la guerre; le blason, la gymnastique, la chorégraphie; la pêche, la chasse; les arts et métiers ou la technologie; l'économie domestique, l'agriculture, le jardinage, le commerce; l'économie politique, les titres d'honneur et de dignité, la diplomatie; la littérature, la grammaire, la rhétorique, la poésie, l'art dramatique; la logique, la morale, la métaphysique, la théologie; la jurisprudence, la pratique, la bibliographie, l'antiquité, la diplomatique, l'histoire, la chronologie, la numismatique, etc., etc.etc. On y a joint le Tableau Historique de l'origine et des progrès de chaque branche des connoissances humaines, et une description abrégée des machines, des instrumens et des procédés anciens et modernes employés dans les arts. Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding. Reliure d'époque en pleine basane racinée, dos lisse orné de fleurs de lys, dentelle et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison en chagrin ocre et vert, tranches mouchetées. 2ff, VIII, 577pp; 2ff, 590pp; 2ff, 546pp. Nombreux défauts sur les reliures (frottements, manques), intérieur avec mouillures et quelques rousseurs, sinon bon ensemble, solide et complet.

  • Image du vendeur pour Charles Perrault, Contes, La Belle au bois dormant, "Ce n'étaient que des corps étendus d'hommes & d'animaux qui paraissaient morts" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. Léger manque dans le coin inférieur droit de la marge sans atteinte à la gravure. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (.) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Charles Perrault, Contes, La Barbe bleue, "Les voisines & les amies tant elles avaient d'impatience de voir toutes les richesses de sa maison" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. Petite pliure au coin inférieur droit sans atteinte à la gravure et rares piqûres en marge. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (.) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Charles Perrault, Contes, Peau d'Âne, "La joie de se trouver si belle lui donna envie de s'y baigner, ce qu'elle exécuta" - Gravure originale sur bois debout, tirée sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    Pas de couverture. - Hetzel, Paris 1862, planche : 29,9x42,1cm / sujet : 23,3x28,1cm), une feuille. - Gravure originale sur bois debout signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur chine et contrecollée sur vergé de Hollande à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in-folio des Contes de Perrault en 1862. Pliure dans le coin inférieur droit et très rares piqûres. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (.) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même." [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • CENDRARS Blaise. Lithographie de Stéphane MOIZAN.

    Edité par Lithographié par l'Artiste à Laval (Mayenne), en, 1987

    Vendeur : Bookinerie, LAVAL, France

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    Edition originale Signé

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    Pas de couverture. Etat : Comme neuf. Edition originale. Lithographie originale numérotée 11/30, titrée, datée et signée par l'artiste S. Moizan, format : 37x26 centimètres, la litho est signée dans la planche du monogramme de l'artiste SM (Stéphane MOIZAN), puis signée au crayon Moizan (19)87. 1 planche. Blaise Cendrars, né Frédéric-Louis Sauser, le 1er septembre 1887 à La Chaux-de-Fonds, canton de Neuchâtel (Suisse), mort le 21 janvier 1961 à Paris, est un écrivain d'origine suisse, naturalisé français en 1916. Il mène d'abord une vie d'aventurier et de bourlingueur avant d'écrire et de publier ses premiers poèmes : Les Pâques en 1912 (qui deviendra Les Pâques à New York en 1919), qu'il signe du pseudonyme de Blaise Cendrars, alors que malade, il se voulait renaissant à travers les braises et les cendres, tel le phénix, ou Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France en 1913. Il participe dès le début à la guerre de 14-18 comme engagé volontaire : gravement blessé en 1915, il sera amputé du bras droit. Le 28 septembre 1915, il est naturalisé français et reprend en 1917 l'écriture, mais lassé du milieu littéraire, il se tourne quelques années vers le cinéma. Il voyage alors au Brésil en 1924. Il s'oriente dès lors vers le roman avec L'Or en 1925, où il retrace le dramatique destin de Johann August Suter, millionnaire d'origine suisse ruiné par la découverte de l'or sur ses terres en Californie. Ce succès mondial va faire de lui, durant les années vingt, un romancier de l'aventure que confirme Moravagine en 1926, avant qu'il ne devienne dans les années trente, grand reporter. Abattu par le début de la guerre, il s'installe à Aix-en-Provence puis à Villefranche-sur-mer et ne reprend l'écriture qu'en 1943 en rédigeant des récits autobiographiques avec L'Homme foudroyé (1945), La Main coupée, Bourlinguer. De retour à Paris en 1950, il participe à des programmes artistiques et des entretiens radiophoniques réputés avant de mourir d'une congestion cérébrale le 21 janvier 1961. L' uvre de Blaise Cendrars, poésie, romans, reportages et mémoires, est placée sous le signe du voyage, de l'aventure, de la découverte et de l'exaltation du monde moderne où l'imaginaire se mêle au réel de façon inextricable. [Réf. 6521]. Signé par l'illustrateur.

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    Photographie,vintage CDV albumen carte de visite, Victor Henri de Rochefort-Luçay, né à Paris le 31 janvier 1831, mort à Aix-les-Bains le 1er juillet 1913, mieux connu sous le nom d'Henri Rochefort, est un journaliste, auteur de théâtre et homme politique français. Grand polémiste dans les pages de ses journaux (La Lanterne, La Marseillaise, L'Intransigeant), il défend des options politiques radicales voire extrémistes (anticlérical, nationaliste, favorable à la Commune, boulangiste, socialiste et antidreyfusard) qui lui vaudront le surnom de « l'homme aux vingt duels et trente procès », et des condamnations, notamment au bagne de Nouméa dont, fait unique, il parvint à s'échapper en 1874. Titulaire en 1849 du baccalauréat, il est un admirateur de Victor Hugo et renonce vite aux études médicales auxquelles le destinait son père, le prétendu « comte » de Rochefort-Luçay, auteur dramatique lui-même, connu sous le nom d'Armand de Rochefort. Il commence une carrière d'employé à l'hôtel de ville de Paris qui lui laisse le temps d'aiguiser sa plume. Il se tourne rapidement vers le journalisme en fondant avec Jules Vallès la Chronique parisienne, qui ne dure que quelques numéros. Il entre en 1856 au Charivari, chargé de la rubrique théâtre. Malgré une promotion en 1860, il démissionne de la ville de Paris dès que ses revenus littéraires le lui permettent. Son ?uvre théâtrale, une vingtaine de vaudevilles, connaît quelques succès sans marquer la postérité. Prenant pied peu à peu à la rédaction politique du Charivari, sa carrière de journaliste, en revanche, progresse régulièrement. Il contribue également au Nain jaune en 1863. C'est en entrant au Figaro qu'il oublie sa particule. À l'époque, la presse est sévèrement contrôlée, le Figaro n'a pas encore payé le cautionnement qui autorise à aborder les sujets politiques. Henri Rochefort se limite donc à la vie littéraire. Il s'en approche pourtant en ne ménageant pas les pièces du duc Charles de Morny ou en déclarant son admiration pour l'exilé Hugo. Il quitte Le Figaro pour rejoindre Le Soleil avant de réintégrer Le Figaro avec un salaire quadruplé. Le ton d'Henri Rochefort n'est pas toléré bien longtemps par l'Empire, et il doit quitter le journal. Durant sa détention au fort de l'Île-d'Yeu, Henri Rochefort approuve la création d'un conseil de famille dirigé par son beau-frère Jean Marie Gorges, mari de sa s?ur Caroline et ensuite par son secrétaire Jean-Marie Destrem. Il se marie trois fois, et a trois enfants avec Jeanne Renault, sa première épouse : Noémie (sa préférée) mariée au peintre et sculpteur suisse Frédéric Dufaux1, Henri Maximilien, suicidé à l'âge de 30 ans le 28 avril 1889 à Alger, et Octave qui réussit brillamment l'École centrale et devient professeur de physique chimie à l'université de Córdoba (Argentine). Henri Rochefort à l'époque de La Lanterne. La loi sur la presse devenant plus libérale, il décide de fonder son propre journal : La Lanterne, en mai 1868. Imprimé à 15 000 exemplaires, il faut lancer des tirages supplémentaires pour atteindre les 100 000 exemplaires vendus. L'éditorial du premier numéro restera célèbre : « La France compte 36 millions de sujets, sans compter les sujets de mécontentement? ». L'indifférence affichée par le pouvoir ne résiste pas longtemps au succès du journal car Rochefort ne connaît aucune mesure ; il va jusqu'à écrire : « La statue équestre de Napoléon III, représenté en César (rions-en pendant que nous y sommes) dont j'ai parlé dans mon dernier numéro, est l'?uvre de M. Barye. On sait que M. Barye est le plus célèbre de nos sculpteurs d'animaux2. » Après une interdiction à la vente publique, il est attaqué en justice et sévèrement condamné (amendes et prison). Rochefort rejoint alors à Bruxelles l'autre ennemi de « Napoléon-le-Petit » : Victor Hugo, qui l'héberge pendant plusieurs mois. En France, on continue de se délecter de La Lanterne, vendue clandestinement. Protégé par son exil, Rochefort adopte un ton encore plus acerbe dans ces critiques de l?Empire. L'ennemi juré des bonapartistes est sollicité par les électeurs parisiens lors des élections législatives de 1869, mais il est battu par Jules Favre (auquel se rallient les bonapartistes). En novembre, il est élu au siège laissé vacant par Léon Gambetta. La Marseillaise[modifier | modifier le code] Façade de la prison Sainte-Pélagie, rue du Puis-de-l'Ermite à Paris, par Eugène Atget (1898). Rochefort y sera emprisonné deux fois au cours de sa carrière de polémiste. Le 19 décembre 1869 sort le premier numéro de son nouveau journal, La Marseillaise, co-créé avec Lissagaray. Le quotidien accueille les collaborations de Eugène Varlin, Jules Vallès, Paschal Grousset et de Victor Noir. Celui-ci est assassiné le 10 janvier 1870 par Pierre Bonaparte. Les obsèques ont lieu le 12 janvier, suivies par 100 à 200 000 personnes en colère. Pour certains[Qui ?], Rochefort rate à ce moment une occasion de renverser l'Empire. Le gouvernement parvient à lever l'immunité parlementaire du député et, dans la foulée, obtient sa condamnation à six mois de prison. Il est conduit à la prison Sainte-Pélagie, où il est plutôt bien traité et peut continuer à écrire pour La Marseillaise et discuter avec ses camarades détenus, Paschal Grousset et Olivier Pain. C'est du fond de sa cellule qu'il apprend la déclaration de guerre à la Prusse. Par patriotisme et par prudence, espérant une libération prochaine, il suspend La Marseillaise. On préfère pourtant le maintenir en prison. Le militant républicain[modifier | modifier le code] La République[modifier | modifier le code] Napoléon III s'est rendu, la République est proclamée le 4 septembre 1870, Rochefort est libéré le même jour et porté en triomphe auprès du gouvernement provisoire qui siège à l'hôtel de ville. Le gouvernement de la Défense nationale est composé exclusivement des députés de Paris ou de députés ayant été élus à Paris mais ayant opté pour un autre département (Gambetta, Jules Simon). C'est donc de droit q.

  • Photographie originale / Original photograph

    Date d'édition : 1870

    Vendeur : photovintagefrance, ARNAVILLE, France

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    Photographie

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    Photographie,CDV vintage albumen. Petit-fils du romancier Guillaume Pigault-Lebrun, Émile Augier naît à Valence dans un milieu bourgeois. Son père, Victor Augier, est avocat à la cour de cassation. Il reçoit une éducation soignée et lorsque sa famille s'installe à Paris en 1828, il poursuit des études brillantes au lycée Henri-IV, où il a comme condisciple le duc d'Aumale, puis à la faculté de droit et se destine d'abord au barreau, tout en ébauchant des pièces de théâtre. En 1844, son drame La Ciguë, refusé par la Comédie-Française, a un énorme succès à l'Odéon. Il devient en 1848 le bibliothécaire de son ancien condisciple, Henri d'Orléans, duc d'Aumale. Ce début tonitruant lance sa carrière dramatique, qui est dès lors ponctuée de grands succès. Il est élu à l'Académie française en 1857. En 1862, Le Fils de Giboyer, qui attaque le cléricalisme, n'est joué que sur l'intervention personnelle de Napoléon III. Sa dernière comédie, Les Fourchambault, est jouée en 1878. Il est nommé sénateur à la fin de l'Empire, puis conseiller municipal de Croissy-sur-Seine. Un monument grandiose, dû à la duchesse d'Uzès où Émile Augier figure à six mètres de hauteur sur un socle de pierre entouré de muses, est inauguré en 1897 à Valence. Il est détruit en 1942, pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque le métal constituant les statues est réquisitionné par les occupants allemands. Un autre monument réalisé par Louis-Ernest Barrias en 1895 et installé sur la place de l'Odéon à Paris subit le même sort. Une rue du XVIe arrondissement de Paris, le boulevard Émile-Augier), ainsi qu'une rue de Valence et de Croissy-sur-Seine (nommé en 1864, de son vivant) portent son nom. // Circa 1870 // Tirage albuminé // Format (cm): 6,5x10,5.

  • Photographie originale / Original photograph

    Date d'édition : 1870

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    Photographie,CDV vintage albumen. Félix Aimé Pyat, né à Vierzon (Cher) le 4 octobre 1810 et mort à Saint-Gratien (Seine-et-Oise, aujourd'hui Val-d'Oise) le 3 août 1889, est un journaliste, auteur dramatique et homme politique français, personnalité de la Commune de Paris. Fils d'avocat, Félix Pyat devient lui-même avocat à Paris. Puis il se lance dans le journalisme au Figaro, au Charivari et à la Revue démocratique. Il est aussi auteur de pièces de théâtre, dont certaines sont jouées par l'acteur en vogue Frédérick Lemaître. En 1848, il se bat en duel avec Pierre-Joseph Proudhon. Après la révolution, le Gouvernement provisoire de la Deuxième République le désigne comme commissaire dans le département du Cher. Il s'y fait élire comme député de gauche à l'Assemblée constituante de 1848, où il fait, en septembre, un remarquable discours sur le droit au travail, en réponse à Thiers et à de Tocqueville. Puis, en 1849, il est reconduit dans l'Assemblée législative. Compromis dans l'émeute du 13 juin 1849, il doit se réfugier en Suisse, puis à Bruxelles et enfin à Londres. Il y fonde le parti révolutionnaire « La commune révolutionnaire » et publie et diffuse de nombreux textes révolutionnaires. Il adhère à l'Association internationale des travailleurs en 1864. Il revient en France en 1869. Au lendemain de l'assassinat du journaliste Victor Noir en 1870, il appelle à l'insurrection et repart en exil en Angleterre. Il est condamné, par contumace, à cinq ans de prison par la haute cour. Après la proclamation de la République le 4 septembre 1870, il rentre en France et fonde un journal Le Combat. Le 11 février 1871, par décision du gouvernement de la défense nationale Le Combat est supprimé. Le 8 février 1871, il est élu à l'Assemblée nationale mais en démissionne le 3 mars. En février 1871, il fonde un nouveau journal Le Vengeur, vite supprimé par le général Vinoy, gouverneur militaire de Paris, mais qui sera rétabli pendant la Commune. Le 26 mars, Félix Pyat est élu au Conseil de la Commune. Il fait partie de la Commission exécutive (1871), de celle des Finances et du Comité de Salut public (du 1er au 8 mai). Il ne participe pas à la Semaine sanglante et rejoint Londres. Il revient en France après l'amnistie de 1880. Il est élu sénateur du Cher en 1887 puis député des Bouches-du-Rhône en 1888. // Circa 1870 // Tirage albuminé // Format (cm): 6,5x10,5.

  • EUR 10 Frais de port

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    Photographie,Vintage CDV albumen carte de visite - Paul Déroulède est un poète, auteur dramatique, romancier et militant politique français, né le 2 septembre 1846 à Paris et mort le 31 janvier 1914 à Nice, sur le mont Boron. Son rôle de fondateur de la Ligue des patriotes et son revanchisme en font un acteur important de la droite nationaliste en France. Fils d'un avoué à la Cour d'appel de Paris et neveu par sa mère d'Émile Augier, il est l'arrière petit-fils de Pigault-Lebrun. Il suivit ses études aux lycées Louis-le-Grand, Bonaparte et de Versailles, puis à la faculté de droit de Paris où il obtient sa licence. Jusqu'à la Guerre de 1870, c'est un versificateur (admirant beaucoup Le Cid) qui fréquente les milieux littéraires républicains. La déclaration de guerre lui fait abandonner son pacifisme. Il rejoint son unité lors de la guerre franco-allemande de 1870 où il montre un certain courage (assaut de Montbéliard). Il est fait prisonnier à Bazeilles, s'évade et rejoint les tirailleurs algériens. Cité à l?ordre du jour et décoré en février 1871, il participe à la répression de la Commune de Paris lors de la Semaine sanglante de mai. À la suite d'une chute de cheval, il doit renoncer à la carrière militaire en 1874. Désormais, par son ?uvre littéraire et son action politique, il incarne la France de la « revanche » en réclamant le retour de l'Alsace et de la Lorraine. Il écrit les Chants du soldat (1872), vendus à plus de 100 000 exemplaires, dont le fameux Clairon, qui lui vaut la gloire et reste longtemps au programme scolaire. À l'instigation de Gambetta, Déroulède, dont la devise est « Qui vive ? France ! », crée la Ligue des patriotes en 1882. Cette passion pour la « revanche » sur l'Allemagne lui vaut de devenir également l'un des chefs du parti anticolonial. Pour lui, la conquête coloniale épuiserait l'énergie dont la France a besoin pour la future guerre contre l'Allemagne. De même, il estime que jamais les colonies ne pourraient offrir une compensation à la perte de l'Alsace-Lorraine et c'est dans ce sens qu'il répond au colonialiste Jules Ferry : « J'avais deux filles, et vous m'offrez vingt domestiques ». Adepte du général Boulanger (« celui qui nous délivrera des chinoiseries parlementaires et des bavards impuissants »), il est porté par sa notoriété à l'Assemblée nationale en 1889. Le 27 janvier 1889 il tente en vain de persuader le général Boulanger de marcher sur l'Élysée. Le Gouvernement dissout alors la Ligue des Patriotes, et après la fuite de Boulanger, Déroulède reste député de la Charente de 1889 à 1893 et de 1898 à 1901. Anticolonialiste au nom de la revanche (cela « disperse les énergies françaises »), défendant le catholicisme avec parfois des accents antisémites (repos dominical, refus de la séparation4), il attaque vivement Clemenceau lors du scandale de Panama. Lors de l'affaire Dreyfus (1894 - 1906), Paul Déroulède, quoique défendant l'armée, croit Dreyfus innocent5 ; d'ailleurs, malgré ses préjugés certains contre les Juifs, il a toujours refusé l'antisémitisme politique et n'a jamais rallié le slogan « À bas les juifs6 ». Profitant des obsèques de Félix Faure en 1899, il entreprend le coup d'État que le général Boulanger avait refusé dix ans plus tôt. Il tente en effet de faire tourner bride au général Roget et à ses troupes pour prendre l?Élysée7. Arrêté, acquitté en cour d'assises, jugé en Haute Cour et, finalement, banni (expulsé en Espagne), il bénéficie d'une amnistie en 1905. Il renonce à sa carrière politique après l'échec des élections de 1906 dans son département de la Charente. Il faut noter que parmi les transformations qu'il a demandées dans le domaine constitutionnel, beaucoup se sont retrouvées dans la constitution de la Ve République. Le personnage est complexe dans la limite où il a porté un jugement sévère sur ses poèmes et chansons, dont il savait bien la nature d??uvres de propagande, donc vouées à l?éphémère. Il estimait cependant ce sacrifice nécessaire. En 1908, malgré l'insistance de Maurice Barrès, Paul Déroulède refuse de poser sa candidature à l'Académie française lors de la mort de François Coppée : « Ma place n'est pas parmi votre élite, elle est dans la foule. Je puis m'en tenir à l'écart, mais je dois toujours être prêt à reprendre contact avec elle? L'habit à palmes vertes et l'épée à poignée de nacre me transformeraient trop. » Dès lors, Paul Déroulède se retire à Langely (commune de Gurat, Charente) où il entreprend la rédaction de ses Feuilles de route. Cependant, peu à peu, il se retrouve laissé de côté par les nouveaux nationalistes qui (comme l'écrivent les frères Tharaud) « pensent comme lui mais refusent d'admirer les moyens dont il s'est servi ». Il meurt d'une crise d'urémie dans sa propriété du mont Boron avec une bénédiction papale. Sa dépouille est ramenée à Paris, où le cortège funèbre est honoré par une foule énorme, estimée à plus de cent mille Parisiens. Il est enterré dans la chapelle funéraire familiale au cimetière de la Celle-Saint-Cloud8 en banlieue parisienne, où reposent aussi les écrivains Charles Pigault-Lebrun, son arrière-grand-père, et Émile Augier, son oncle maternel. // Circa 1870 // CDV, tirage albuminé, 6 x 10.5 cm, vintage albumen print // Format (cm): 6,5x10,5.