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  • SEVERINI, Gino.

    Edité par 1918. (c.1918)., (Paris?)., 1918

    Vendeur : Sims Reed Ltd ABA ILAB, London, Royaume-Uni

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    Manuscrit / Papier ancien Signé

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    4to. (270 x 210 mm). [2 leaves]. Manuscript text in French in blue ink, concluding in black, recto and verso with occasional excision and correction in pencil on cream wove paper with the watermark 'EXTRASTRONG', text with title to initial leaf, numbered at upper right and signed at conclusion. Autograph manuscript by Gino Severini contrasting and comparing Futurism and Cubism and making reference to Seurat, Blake, Baudelaire, Apollinaire and Matisse. One of the leaders of Italian Futurism and an important theoretician of the technicalities of painting in his own right, Gino Severini, writes here of Futurism and Cubism, its interprenetrating relationship, its derivations and inspirations and its place in a wider artistic context. The MSS starts with Severini's arrival in Paris together with Modigliani in 1906: 'Au temps de notre jeunesse, lorsque Modigliani et moi . arrivâmes à Paris, les idées n'etaient pas très claires pour personne . '. He discusses the differences between the two movements, their similarities and Blake's 'The Marriage of Heaven and Hell': 'Cette opposition m'a beaucoup torturé l'esprit, je l'avoue, mais j'ai trouvé depuis, dans W. Blake, une consolation: 'Sans contraires il n'y a pas de progrès', dit-il, dans ses: 'Proverbes de l'Enfer''. After a discussion of the beginnings of both movements, their reception and importance (he compares this to the discovery of perspective), he concludes with the lines: 'En conclusion, et selon moi, on ne peut opposer ces deux mouvements, même si leur points de départ s'opposent; je soutiens cette idée (qu'Apollinaire et ensuite Matisse ont approuvée) . la poésie [underlined] était le contenu et la raison d'étre de l'art.' This discrete manuscript by Severini appears to be unpublished. Although it certainly has a bearing on his technical, analytical and historical essay 'Du Cubisme au Classicisme' of 1921 we can find no published version in French or Italian.

  • Image du vendeur pour La Châtelaine Gentiane mis en vente par Librairie Walden

    BATAILLE (Georges)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

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    [Paris], [1921], 6 pp. en 4 ff. (195 x 250), à l'encre violette et noire, sur papier à en-tête de La Chambre des Députés. Manuscrit complet, original et seul connu du premier texte de fiction connu de Georges Bataille, resté inédit de son vivant. L'univers de La Châtelaine gentiane est celui du moyen âge et de la chevalerie, thèmes au centre des préoccupations du jeune étudiant qu'est alors Georges Bataille. Il est, depuis 1919, élève de l'Ecole des chartes et prépare sa thèse sur une édition de L'Ordre de chevalerie, un conte en vers du XIIIe siècle qui trouve dans la Première épître de Saint Paul aux Thessaloniciens. Plongé dans le textes de Léon Gautier, La Chevalerie, il souhaite dissocier l'esprit chevaleresque du christianisme. On retrouve cette idée très présente dans La Châtelaine gentiane, ce qui laisse supposer une rédaction strictement contemporaine de ces premières années d'études à l'Ecole des chartes. Un à-coté littéraire du jeune étudiant, influencé aussi par les voyages et recherches qu'il effectue alors, notamment à Londres et dans le sud de l'Angleterre.Plusieurs éléments des futures fictions sont déjà réunis, comme par exemple le lieu où se déroule le récit, le château de Louvres-haut, qui est le premier des fameux châteaux imaginaires et lugubres que l'on retrouvera dans bon nombre de ses romans.Ce précieux texte restera longtemps inédit, puisqu'il n'est exhumé qu'en 2004, au moment de l'entrée de Bataille dans la collection de La Pléiade. Bien qu'il y ait ici des maladresses certaines de forme, « on ne peut nier la valeur documentaire et ?prophétique' du récit qui, en dépit de sa maigreur, constitue par son sujet même une première ébauche de ce que l'écrivain appellera ?la société de consumation des amants' ; La Châtelaine peut être lue comme l'illustration de la formule qui ouvrira en 1957 L'Erotisme, "l'approbation de la vie jusque dans la mort" : un château isolé au milieu d'une campagne sinistre et enneigée, cadre d'une initiation à l'amour noir de la châtelaine Gentiane et de son jeune amant. Animés l'un et l'autre par des sentiments contradictoires, il sont destinés dans un sursaut de délire à se retrouver dans la mort. » (in Notes de l'édition Pléiade)Ce texte, si précieux dans la chronologie batalienne, n'avait été communiqué aux rédacteurs de l'édition Bataille que par une photocopie. Il y sera présenté dans la sections des Récits retrouvés, en compagnie de deux autres manuscrits de jeunesse : Ralph Webb et Evariste.Le papier à en-tête utilisé par Bataille confirme l'époque de la rédaction de ce texte : c'est celui de son propre frère, Martial Bataille, présent à la Chambre des députés entre 1919 et 1924, comme élu de Mauriac, dans la Cantal, près du fief familial de Riom-ès-Montagnes. La rédaction de la Châtelaine Gentiane « remonterait donc bien au plus tôt aux années 1920/1921 [.] et au plus tard à l'été 1922, date à laquelle l'écrivain entre au département des Imprimés de la Bibliothèque nationale.» (Pléiade, Romans et Récits, 1341). Intéressante provenance et dédicace : la première page porte dans l'angle supérieur droit « à mademoiselle Eugénie Droz », un des ses compagnons d'études à la Bibliothèque Sainte-Geneviève. Diplômée de l'Ecole pratique des Hautes Etudes, la jeune neuchâteloise crée en décembre 1924 sa petite maison d'édition, avec pour adresse le 13 avenue Félix-Faure, dans le XVe arrondissement, son adresse personnelle, avant de s'installer au 25 rue de Tournon, dans une maison donnée par un roi à un poète : celle que François Ier donna à Clément Marot en 1539. Rien moins que ça. L'érudite demoiselle, qui publiera rapidement plusieurs travaux de chartistes, resta à Paris jusqu'en 1947, date de son installation au 8 de la rue Verdaine à Genève. Toujours en première page, Bataille a titré son manuscrit « La Chatelaine Gentiane » ; en marge gauche du titre, il donné quelques autres indications, sans doute destinées à une future mise au propre pour publication « 73 lignes / de 45 lettres » et la mutiplication de « 365 x 292 ». Envisageait-il, et Eugénie Droz avec, de le faire publier dans la jeune maison d'édition ? Nombreuses ratures, corrections et ajouts.

  • CHATEAUBRIAND (Vicomte de)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

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    Edition originale

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    Paris, Eugène et Victot Penaud frères, 1849-185012 vol. (135 x 218 mm). Brochés. Édition originale. Bien complet de l'avant-propos de l'éditeur, de la liste des souscripteurs et de la lettre de Chateaubirand à Delloye - et avec l'erreur de pagination tome II (p. 164 pour p. 364). Ces feuillets disparaitront lorsque le solde de l'édition fut cédé au libraire Dion-Lambert. Assurément l'oeuvre la plus moderne et la plus appréciée de Chateaubriand, les Mémoires sont un mélange de souvenirs de sa jeunesse bretonne, d'investigation psychologique personnelle, de témoignages historiques souvent partiaux, mais toujours passionnants. « L'OEuvre et la personnalité de Chateaubriand (1768-1848) dominent tout le XIXe siècle littéraire. »Il était né, dit Barbey d'Aurevilly, comme Napoléon, avec une étoile sur la tête, et quand celle de l'empereur pâlit et s'éclipsa, la sienne resta lumineuse. Chateaubriand eut l'admiration, l'influence, les yeux du monde fixés sur lui et une minute dans le gouvernement de son pays. Et, chose prodigieuse, il resta poétique. Une nouvelle manière de sentir et de penser, de s'exprimer et de comprendre date de Chateaubriand. Il ouvrit l'ère du Romantisme » » (Talvart).

  • Image du vendeur pour Admirable lettre de Flaubert, alors en pleine rédaction de L Éducation sentimentale mis en vente par Le Manuscrit Français

    Gustave FLAUBERT

    Date d'édition : 1867

    Vendeur : Le Manuscrit Français, Versailles, France

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    Manuscrit / Papier ancien Signé

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    Pas de couverture. Etat : Bon. FLAUBERT, Gustave (1821-1880) Lettre autographe signée « Gve Flaubert » à Pauline Sandeau [Croisset], samedi [16 novembre 1867], 3 p. in-8° sur papier vergé bleu Traces de pliures d époque, quelques légers frottements, ancienne trace d onglet sur le dernier feuillet Admirable lettre de Flaubert, alors en pleine rédaction de L Éducation sentimentale « Si je vous écrivais chaque fois que je pense à vous, je me ruinerais en timbres-poste. Comment d ailleurs ne songerais-je pas à votre jolie mine, puisque je l ai là, devant moi, clouée sur mon armoire aux pipes ! Je voudrais bien la voir en nature. C est tout ce que j ai à vous dire. Que faites-vous ? Que lisez-vous ? etc. Et votre cher fils ? Vous devez maintenant être revenue à l Institut ? Comment va madame Plessy ? On m a conté qu elle était ou avait été très malade. Quant à votre ami, il espère, à la fin de janvier, avoir terminé la seconde partie de son roman [L Éducation sentimentale]. Comme il m embête ! Comme il m embête ! Après celui-là, bonsoir ! Je dirai adieu aux bourgeois pour le reste de mes jours(1). J oubliais de vous remercier de votre dernière lettre qui était ravissante. Le mot est bien usé, n importe ! Ici, je le maintiens bon. Pourquoi est-on si attaché à vous ? Une de vos prédilections m est revenue à la pensée, dernièrement, en lisant, dans le dernier volume de Michelet(2), son jugement sur Rousseau(3). Ce jugement-là(4) (qui est le mien et que, par conséquent, j admire) a dû vous choquer. Car vous aimez ce vieux drôle, autrement vous ne seriez pas femme. À toutes les objections que l on fait contre lui, on vous répond qu il n avait « tant de c ur » ! Moi aussi, j en ai, mais je n ai pas précisément toutes ses habitudes, ni sa descente(5) ni son style, hélas ! Nous ne nous sommes pas vus depuis que votre ami Feuillet a publié Camors(6). Je trouve cela très remarquable. Jamais il n a si bien fait. Et votre époux ? « a-t-il quelque chose sur le chantier » ? Je voudrais bien produire une uvre qui vous enchantât, car vous êtes une des personnes dont j estime le plus le goût malgré votre voisinage à l Académie(7) Envoyez-moi quelques fois votre écriture. Je vous baise les deux mains aussi longtemps que vous le permettrez. Gve Flaubert » 1- Flaubert pesta toujours contre le milieu bourgeois en particulier et dont il se savait issu. Il aurait voulu le voir se comporter autrement, surtout dans le domaine artistique, qui était si cher à son esprit. On connait l une de ses célèbres citations à ce sujet : « J appelle bourgeois quiconque pense bassement ». 2- Histoire de France au XVIIIe siècle (t. XIX, Louis XV et Louis XVI) venait de paraître. 3- Michelet dresse dans son ouvrage un portrait peu flatteur de Rousseau : « Il [Jean-Jacques Rousseau] veut qu on ait dans chaque État un Code moral [ ]. Il faut que chacun déclare, confesse, articule sa foi (et sous peine de mort, dans le Contrat social). La discordance de Rousseau avec l Encyclopédie et l esprit même du siècle, là, était tranchée, terrible. Là commence un cours nouveau d idées qui ira tout droit à la Fête de l Être suprême. Puis, la réaction l exploite, de Robespierre à De Maistre » Flaubert approuve cette critique assassine sur Rousseau et renchérie dans une lettre adressée à Michelet, écrite quatre jours avant la nôtre : « Quant à votre jugement sur Rousseau, je puis dire qu il me charme, car vous avez précisé exactement ce que j en pensais. Bien que je sois dans le troupeau de ses petits-fils, cet homme me déplait ? Je crois qu il a eu une influence funeste. C est le générateur de la démocratie envieuse et tyrannique. Les brumes de sa mélancolie ont obscurci dans les cerveaux français l idée du droit ». 4- Dans sa jeunesse, Flaubert a lu les Confessions, avec admiration. Mais son jugement change quand il aborde les écrits politiques de Rousseau, qu il a lus et annotés pour L Education sentimentale, vers 1864. 5- Rousseau souffrait vraisemblablement d une hernie inguinale de la vessie, qui. Signé par l'auteur.

  • Honore de Balzac love letter autograph

    Vendeur : Markus Brandes Autographs GmbH, Kesswil, TG, Suisse

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    Autograph letter,3 1/4 pages (on two conjoined sheets), 5,25 x 8 inch, [Paris, 16.01.1835], in French, beautiful love letter to the Marquise de Castries, who had rejected him two years earlier, written in black ink,with intersecting letter folds,andscattered mild signs of wear - in fine condition.Provenance: Baron Roger d'Aldenburg (natural son of Mme de Castries and Victor de Metternich, son of the Chancellor of Austria; Metternich sale, Vienna, November 19, 1907, no. 1836).In parts:"Votre lettre me fait bien de la peine. Oui, vous me connaissez bien peu, si vous croyez qu'il existe des succès qui puissent ou m'enivrer ou me faire oublier ce que j'aime. Pour moi le succès n'est rien, car le succès vient du monde ; le bonheur est tout et ne vient que d'une seule personne, aussi est-elle plus que le monde. Ce n'est pas en faisant la Soeur Marie [Soeur Marie des Anges, projet abandonné en partie repris dans les Mémoires de deux jeunes mariées] que je puis ne pas penser à celle dont vous parlez. Quoiqu'elle se soit à plaisir retirée de moi, j'ai toujours été près d'elle. Vous dites que je ne crois qu'à moi. Ne me faites ni sot ni léger, ce sont deux espèces d'hommes en qui je ne me transformerai jamais. Si vous [me] connaissiez, si vous aviez voulu me connaître, vous auriez en étendant un peu la main interrogé la profondeur d'un coeur qui garde tout, d'un coeur qui n'oublie que le mal, d'un ami fidèle jusqu'à la bêtise, dévoué jusqu'à ne considérer comme rien l'offrande de sa vie ; et d'une pensée assez grande pour croire que la plus difficile des tâches humaines est de demeurer pendant toute une vie, chaque jour plus aimant qu'on ne l'était la veille. Il vous serait bien difficile de me reprocher autre chose que des distractions à de grands travaux ; quant à ce que disent ces 7 ou huit cents sots dont se compose le monde je vous crois trop grande et trop élevée pour penser que vous adoptiez les niaiseries avec lesquelles ils s'imaginent pouvoir corroder un caractère ou obscurcir une destinée. Non, ne me préférez pas votre corniche, quoique ce soit votre créature elle ne me vaut pas moi qui ai tant fait pour la remplacer. Vous vous trompez, je suis sur le seuil de la jeunesse, l'âge me chasse de cette belle maison où tout reluit, où le plaisir explique tout ; vous êtes la dernière figure que j'y verrai, et vous croyez que l'on renonce à la dernière image du bonheur ; vous m'y avez ./. fait croire et vous avez lentement détaché, un à un, les innombrables liens que je m'étais plu à prendre, mais votre privilège à vous est de tout renouer d'un mot. Croyez-vous donc que je sois assez petit pour mener la vie d'un fat ! Si je ne vous connaissais pas j'aurais pris le mot succès pour une épigramme. Quand je voudrai mener une vie dissipée je vous le dirai et je tâcherai de faire tout en grand, mais il m'est venu tant de choses en lisant votre lettre et j'ai si peu de tems que je n'ai d'autre ressource que de vous aller voir.Je trouverai un moment ce soir. Je vous apporterai Mme de B.t [probablement le manuscrit de La Femme abandonnée, dont l'héroïne est Mme de Beauséant], car je ne sais plus quand je partirai, la Revue ne m'a pas envoyé d'épreuves hier, à tantôt donc."Translated:"Your letter pains me very much. Yes, you know me very little, if you believe that there are successes which can either intoxicate me or make me forget what I love. For me success is nothing, because success comes from the world; happiness is everything and only comes from one person, so it is more than the world. It is not by doing Sister Marie [Sister Marie des Anges, abandoned project partly taken up in the Memoirs of two young brides] that I can not think of the one you are talking about. Although she gladly withdrew from me, I was always close to her. You say that I only believe in myself. Don't make me stupid or frivolous, they are two kinds of men I will never transform myself into. If you knew [me], if you had wanted to know me, you would have, by stretching out your hand a little, questioned the depth of a heart that guards everything, of a heart that only forgets evil, of a faithful friend to the point of stupidity, devoted to the point of considering the offering of his life as nothing; and of a thought big enough to believe that the most difficult of human tasks is to remain for a lifetime, each day more loving than one was the day before. It would be very difficult for you to reproach me for anything other than distractions from great works; as for what these seven or eight hundred fools of which the world is made up say, I believe you are too great and too lofty to think that you adopt the nonsense with which they imagine they can corrode a character or darken a destiny. No, do not prefer your cornice to me, although it is your creature, it is not equal to me, who have done so much to replace it. You are mistaken, I am on the threshold of youth, age chases me from this beautiful house where everything shines, where pleasure explains everything; you are the last figure I will see there, and you believe that one renounces the last image of happiness; you have me there./.made believe and you slowly undid, one by one, the innumerable bonds that I had taken pleasure in taking, but your privilege is to reconnect everything with a word. Do you believe that I am small enough to lead the life of a fop! If I didn't know you I would have taken the word success for an epigram. When I want to lead a dissipated life I will tell you and I will try to do everything on a grand scale, but so many things have occurred to me while reading your letter and I have so little time that I have no other resource than to go and see you.I'll find a moment tonight. I will bring you Mme de B.t [probably the manuscript of La Femme abandoned, whose heroine is Mme de Beauséant], because I no longer know when I will be leaving, the Revue did not send me any proofs yesterday, see you later.".

  • Image du vendeur pour Bookworks Archive includes: Think/Leap /Re-Think/Fall; Notebook; Primer; Souvenirs de Jeunesse Interpretes par Christian Boltanski; Chinese Whispers; For Publication; Dialogo della Vedova Paradisiaca; Modular Drawings; The North Woods; Walls Paper; Various Small Fires; 16 Variationen von 2 Diagonalen Linien; Statements; Ship s Log;Manifestos mis en vente par ANARTIST

    Bookworks, the first exhibition of artist s books at the Musuem of Modern Art, was curated by Barbara London and ran from March 17- May 17 1977. The 9 page stapled catalog for the exhibition included a page of text by London and an alphabetical listing of the 189 included items by 147 different artists. Some of the books were displayed in vitrines, while those intended for public reading had a grommet hole punched into the upper left corner and were secured to prevent theft. This archive includes 15 of the grommet hole books that were in the original exhibition as well as a vintage copy of the 9 page checklist: Vito Acconci Think/Leap /Re-Think/Fall 1976; Laurie Anderson Notebook 1977; Mel Bochner Primer 1973; Christian Boltanski Souvenirs de Jeunesse Interpretes par Christian Boltanski nd c. 1975; Helen Douglas and Telfer Stokes Chinese Whispers 1976; Dan Graham For Publication 1975; Rebecca Horn Dialogo della Vedova Paradisiaca 1976; Sol Lewitt Modular Drawings 1976; Richard Long The North Woods 1977; Gordon Matta-Clark Walls Paper 1973; Edward Ruscha Various Small Fires, 2nd ed. 1970; Fred Sandback 16 Variationen von 2 Diagonalen Linien 1972; Lawrence Weiner Statements 1968; William Wiley Ship s Log nd c. 1969; Dick Higgins ed. Manifestos Something Else Great Bear Pamphlet 1966. The condition of the books is generally only good since all have been handled by the original visitors and show moderate signs of handling, creases, yellowing, rubbing and edgewear; a few of the metal grommets are missing; Statements has a 2-inch tear to bottom of spine; the Sandback has a rough spine edge; the Ruscha has a pen mark to front cover. The books were acquired directly from Barbara London.

  • Image du vendeur pour Rare et longue lettre de jeunesse, évoquant son dés uvrement artistique et son désir ardent de retrouver son cercle d amis mis en vente par Le Manuscrit Français

    Eugène DELACROIX

    Date d'édition : 1820

    Vendeur : Le Manuscrit Français, Versailles, France

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    Manuscrit / Papier ancien Edition originale Signé

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    Pas de couverture. Etat : Bon. Edition originale. DELACROIX, Eugène (1798-1863) Lettre autographe signée « E. Delacroix » à Félix Guillemardet [Souillac], « le 30 8bre [octobre] 1820 », 3 p. 1/2 grand in-4° très remplies Bris de cachet sur le second feuillet avec petit manque, Infimes trous de corrosion d encre par endroits, Quelques mots caviardés de sa main Adresse autographe sur la quatrième page : « À Monsieur Félix Guillemardet, rue Louis-le-Grand, à Paris » Rare et longue lettre de jeunesse, évoquant son dés uvrement artistique et son désir ardent de retrouver son cercle d amis « Vous êtes des amis fidèles et exacts. Je vous remercie bien tous de ne pas m oublier ; je te dois en particulier des remerciements. Au moment de rentrer pour longtemps dans la poussière d une étude, c est quelque chose que de sacrifier une promenade par un beau temps, pour prendre la plume pendant une heure ou deux. Mais je suis un sot et je dois juger d après mes propres sentiments de ce que tu éprouves en écrivant à un ami. C est un plaisir bien doux [ ] C est une chose si pénible que l absence ! avec quelle avidité on s attache à ce papier qui vous apporte la pensée de votre ami. On prend en lisant sa lettre un plaisir d avare [ ] Je ne pense jamais à aller en Italie1 sans être effrayé de ce que j aurai à souffrir durant ce long voyage. Vous me manquez tellement depuis deux ou trois mois. De quel il lirai-je donc vos lettres, quand je serai pour des années éloigné de vous, isolé au milieu d une ville de silence et peuplée de tombeaux, qu il me faudra de ferveur pour l étude, pour adoucir cet ennui. Vous serez deux encore vous autres. Il y aura toujours des St-Sylvestre et des réunions amicales. Qu il serait charmant de partir une caravane d amis pour aller s enfoncer et se faire oublier de la terre entière dans ce pays de poètes. Ma! comme dit l Italien : Ma et toujours Ma dans les affaires de ce monde. Si j osais, je me marierais. Ma! je m ennuie au milieu des requêtes, j aimerais mieux voyager que de grossoyer Ma! je voudrais bien être philosophe et résister au choc de cent misères qui m affligent, me domptent et ne méritent que le mépris d une âme élevée Encore une fois Ma. Ce serait pourtant par ce dernier point qu il serait important de commencer : car lui gagné, tous les Ma qui naissent des contrariétés de cette vie perdraient tous leurs aiguillons, se dissiperaient en fumée à la première sortie d une philosophie bien ferme et bien assise. Tu serais donc d avis de ne pas inutilement user nos souliers sur le pavé St-Jacques, sans profit pour notre instruction. Quand nous sortons de là, nous allons nous promener et nous divertir au soleil, comme des académiciens qui ont dans leur poche leur jetons de présence et qui descendent les degrés de l Institut avec un visage épanoui et un air de complaisance. Que dis-je : non satisfaits d insulter la sainteté de la matière par notre paresse au travail, nous rions sans pitié de ces piocheurs vigoureux qui ne perdent pas un mot, qui couchent jusqu à Messieurs sur le papier et qui pour rien n y mettraient l eau sucrée, les lunettes et l Ave Maria s il y en avait. Voilà des crimes : Voilà les nôtres de l année tout entière. Et puis, ayez la fièvre, vous vous plaignez comme une femme, et cent autres faiblesses qui en dérivent. Pour en finir sur ce sujet, attendons et nous verrons si nos forces seront encore au-dessous de notre volonté. Je suis bien aise de voir que tu apprécies Piron [Achille Piron (1798-1865), son ami d enfance]. C est un jeune homme sincèrement attaché à ses amis. S il se pique quelque peu d une légère négligence, c est que lui-même ne néglige point, et qu il fait tout pour leur être utile. Je me suis beaucoup attaché à lui. La dernière année que je fis au Lycée2 [Impérial, actuel Lycée Louis-le-Grand à Paris], je n eus presque de commerce qu avec lui : nous avons supporté ensemble les fureurs du Sieur Burnouf [Jean-Louis Burnouf (1775-1844), professeur de grecque et latin], nous avons ensemble dormi aux éternelles séances. Signé par l'auteur.

  • Image du vendeur pour Journal d'un officier Guerre d'Espagne. 2 mars 1807. - Octobre 1812 mis en vente par Librairie Historique F. Teissèdre

    [MANUSCRIT]

    Edité par S.l., s.d. (1807-1812), 1812

    Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, PARIS, France

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    petit in-8, [2] ff. n. ch. (initium : Journal commencé le 2 mars 1807. 1807, 1808, 1809, 1810, 1811 ; un f. vierge), 80 pp., couvertes d'une écriture fine, très lisible (environ 25 lignes par page), quelques biffures et corrections, certains paragraphes entièrement rayés, [7] ff. n. ch. d'un autre jet, contenant des ajouts pour 1812, ainsi qu'une table, demi-vélin rigide à coins, dos muet Restaurations aux coiffes, coupes abîmées. (reliure de l'époque). Intéressante relation personnelle, qui se compose à la fois d'une mise en forme soignée de notes prises au fil des événements (pp. 1-80, écriture régulière, peu de biffures), et d'un brouillon rédigé à mesure, sans soin (ff. non chiffrés à la fin) ; le tout étant quand même entièrement au passé simple, ce qui rapproche plus l'ensemble du style convenu des "Mémoires" que de celui d'un "Journal".1. Ceci posé, l'identification de l'auteur, accessible à l'aide des données du Service historique des Armées, ne résulte en revanche pas des indications fournies ici : obstinément anonyme, le récit ne procure qu'un minimum d'indications biographiques : "Lorsqu'à l'âge où l'on commence à réfléchir sur la carrière que l'on doit parcourir, il me fallut faire un choix, les succès de nos armées dans le Nord, les récits que j'entendois faire journellement, décidèrent bientôt pour le militaire le goût que j'avois manifesté dès mon enfance, et m'enflammèrent du désir d'aller partager la gloire de la brillante jeunesse que j'avois vu traverser la France. Mes parents, loin de contrarier mon dessein, l'approuvèrent avec plaisir, et firent les démarches nécessaires pour me faire entrer à l'École militaire de Fontainebleau. J'y fus reçu le 2 mars [1807], mais mon séjour n'y fut pas de longue durée. L'Empereur demanda bientôt des officiers pour les placer dans les légions qu'il formoit alors dans l'intérieur de la France, et je fus du nombre de ceux qu'on lui présenta. Appelé à l'emploi de sous-lieutenant dans la 2me Légion, par décret impérial du 1er juin, je quittai Fontainebleau le 11 pour me rendre à Metz où se formoit mon régiment." Et c'est à peu près tout.2. La presque-totalité du service de notre officier se déroule en Espagne, où il entra en décembre 1807 après un bref séjour à Bayonne. Placé dans le 2e corps d'observation de la Gironde sous le commandement de Dupont de l'Étang, il fut envoyé à Valladolid, Tolède, Madrid (où il se trouvait lors du déclenchement du Dos de Mayo), Ségovie. Versé dans le 3e corps de l'Armée d'Espagne sous les ordres de Moncey, il participa à la bataille de Tudela du 23 novembre 1808. À l'issue de cet engagement, il fut choisi par le général Anne-Gilbert de La Val (1762-1810) pour remplacer son aide de camp tué à Lerin. C'est à ce titre qu'il quitta son régiment pour participer au siège de Saragosse, qu'il décrit assez minutieusement aux pp. 8-12, non sans insister sur la désolation extrême causée par les opérations.Le 3e corps passa ensuite dans l'armée d'Aragon sous les ordres de Suchet. Le général de La Val en commandait l'avant-garde, menant des opérations contre le général Joaquin Blake y Joyes : batailles d'Alcaniz (mai 1809), de Belchite (juin 1809), siège de Tortosa (juin à août 1810). Mais le général de La Val mourut de maladie à Mora le 11 septembre 1810 (c'est la date donnée par le manuscrit, toutes les autres mentions parlant du 6). On lira son éloge funèbre assez convenu p. 40 (évidemment il était non seulement un vaillant capitaine, mais le père de ses soldats .). Du coup sans affectation, l'auteur est versé un temps à l'état-major de Suchet (avec lequel il servit au siège de Lerida), puis rejoignit son bataillon en octobre 1810. Placé ensuite dans la brigade des généraux Paris et Abbé, il effectua plusieurs opérations en Catalogne, dont le siège de Tarragone (mai-juin 1811), celui de Sagonte (septembre-octobre 1811), celui de Valence (décembre 1811-janvier 1812). L'auteur reçoits la Légion d'honneur à l'issue de ce dernier siège. Le récit s'achève brusquement en novembre 1812, sans raison donnée, peut-être par suite de la mort du rédacteur. La table finale semble cependant de la même main. ON JOINT : un volume petit in-4 carré (demi-toile chagrinée bouteille, plats de toile gaufrée, grande pièce de titre cerise sur le plat supérieur, tranches mouchetées de violet, pages de papier bleuté) et regroupant quatre textes :1. Une transcription moderne du manuscrit précédent (pp. 1-126), enrichie de 21 planches hors texte (une carte, 2 plans des sièges de Lerida et de Tarragone, et 18 gravures, toutes extraites de la France militaire d'Abel Hugo, et relatives aux opérations de la Guerre de l'Indépendance). 2. Encore un mot sur Bonaparte. Traduit de l'anglais de Tyler, par Mr *** (pp. 129-155 ). Avec une erreur d'orthographe du patronyme, il s'agit d'une copie partielle d'un opuscule de 148 pages paru à l'adresse de Paris en 1816 : Bonaparte à Sainte-Hélène, ou Relation de M. James Tyder, concernant ce qui est arrivé de remarquable à l'ex-empereur pendant sa traversée, à son débarquement et dans les premiers jours de son séjour dans l'île. Ouvrage traduit de l'anglais, avec des observations politiques, géographiques et historiques, et une vue du port. Par M. M***. Peu commun, cet ouvrage (absent de Davois) est censé former la relation de l'arrivée à Jamestown de l'escadre anglaise conduisant l'Empereur au lieu de son exil et de son installation subséquente. Son auteur serait un chirurgien de la marine anglaise parti le 15 juin 1815 de Bombay sur le vaisseau Le Blackstone, arrivé dans l'île vers le 1er octobre, témoin des événements et qui, en plus, aurait été présenté à Napoléon. Le problème est que son nom n'apparaît nulle part dans le répertoire très complet d'Arnold Chaplin, ni dans les autres monographies de Sainte-Hélène. De surcroît, il ne semble exister aucun original anglais de ce texte. Il s'agit certainement d'une fiction, comme il en a fleuri un certain nombre sur le séjour de l'Empereur à Sainte-Hélène, avan.

  • Image du vendeur pour Nouvel Atlas Portatif destine principalement pour l'instruction de la Jeunesse.; [New Portable Atlas intended primarily for the instruction of Youth] mis en vente par Argosy Book Store, ABAA, ILAB

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    hardcover. Etat : very good. Third. Illustrated with 52 fine double page copper plate maps with original hand outline color, plus a plate numbered 47(2). 7 pp. including table of contents. Beautifully engraved title page, has paper label torn off, and a stamp underneath. 4to (11.5" x 9.75"), minor scuffing to original marble board binding, with gilt and leather spine in 7 compartments. Many maps have paper and glue residue in margin (from early tab inserts?). Paris: 1784. Fine atlas including four world maps and several of the Americas (with a particularly nice map of Mexico) Europe, the Holy Land, Africa and Asia.

  • EUR 4 600

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    Etat : sehr guter Zustand. Feder in Braun und Weiß, über Skizze in schwarzer Kreide und Pinsel in Grau, auf Bütten, unten doppelt von alter Hand mit Feder bezeichnet G. Poussin". 28,5:42 cm. Einriß im linken Rand restauriert. Provenienz: Großherzogliches Museum zu Schwerin, Lugt 2273. Über mehrere Auktionen wurden 1926 und 1927 Zeichnungen und Graphiken aus dieser Sammlung veräußert. Lantara war Landschafts-, Architektur-, Genremaler und Radierer. Er lernte in Paris und stellte 1771 und 1773 im Salon de la Jeunesse, 1783 im Salon de la Correspondance aus. Er wurde von der Generation um 1830 als Nachfolger Claude Lorrains (1600 - 1682) und als Vorläufer der Landschaftsmalerei des 19. Jahrhunderts entdeckt". Eine Zeitlang arbeitete er für Anne-Claude-Philippe Comte de Caylus (1692-1765), der Archäologe, Kunstschriftsteller und Sammler war.

  • Image du vendeur pour Poème autographe de jeunesse signé et dédié à Léon-Paul Fargue : « Aube adieu ! Je sors du bois hanté ; j'affronte les / routes, croix torrides » mis en vente par Librairie Le Feu Follet

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    Pas de couverture. - circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - Remarquable poème de jeunesse autographe signé d'André Breton, titré "Poème" et dédié à Léon-Paul Fargue, 21 vers à l'encre noire sur papier vergé, daté par l'auteur du 19 février 1916 et probablement composé dix jours plus tôt. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a été adressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection (« André Derain »), composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, le présent manuscrit est une version plus ancienne du poème « Age », dédié à Léon-Paul Fargue. Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes, furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes « Décembre », « Age », et « André Derain », tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie « L'an suave ». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème « Facon » (1916) en ces termes : « Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon » (Lettre de juin 1916, uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de.

  • Image du vendeur pour L'An Suave" : poème autographe de jeunesse dédié à Marie Laurencin : « Ai-je omis la Nymphe miraculeuse, / Icare au buissons neigeux [.] » mis en vente par Librairie Le Feu Follet

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    Pas de couverture. - circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui. - Remarquable poème de jeunesse autographe d'André Breton dédié à Marie Laurencin, intitulé "L'an Suave", 15 vers à l'encre noire sur papier vergé, composé en avril 1914. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a été adressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection (« André Derain »), composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, une version plus ancienne du poème « Age », dédié à Léon-Paul Fargue, figure dans notre collection sous son nom originel « Poème ». Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes « Décembre », « Age », et « André Derain », tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie « L'an suave ». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème « Facon » (1916) en ces termes : « Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon » (Lettre de juin 1916, uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nan.

  • Image du vendeur pour Les Plans et Statuts des différents établissements ordonnés par Sa Majesté Impériale Catherine II pour l'éducation de la Jeunesse, et l'utilité générale de son Empire. Écrits en Langue Russe par Mr. Betzky et traduit en Langue Françoise, d'après les originaux, par Mr. Clerc. mis en vente par Bonnefoi Livres Anciens

    2 tomes reliés en 1 vol. in-4 de VI-(2)-160-42-(2) pp. (4)-160 pp., veau porphyre, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin vert, triple filet doré d'encadrement sur les plats, tranches marbrées (reliure de l'époque). Première édition française, rare dans ce format, ornée de nombreuses et larges vignettes gravées sur cuivre, 4 planches allégoriques dont deux frontispices, 3 plans repliés de la Maison impériale d'éducation, 1 feuille et 3 tableaux repliés, conformes à l'avis au relieur. « Traduction d'une poignée de pamphlets publiés par le comte Betskoï de 1763 à 1768, et rassemblés en un seul volume en 1774. Le rôle de Diderot se borna à superviser la traduction française du docteur Nicolas- Gabriel Clerc, et d'ajouter quelques commentaires à sa façon » (Adams). Principal collaborateur de Catherine II en matière d'éducation, Ivan Ivanovitch Betzky (1704-1795) fonda l'institut Smolnyï pour les jeunes filles nobles et plusieurs maisons d'éducation à Moscou et à Saint-Pétersbourg. Le tome premier contient le projet de création d'un hôpital des enfants-trouvés à Moscou suivi dans le second d'un programme d'éducation pour les garçons et pour les filles.Les Réflexions sur l?Education des Demoiselles, par le traducteur Nicolas Gabriel Le Clerc, suivi de l'Addition de l'éditeur, M. D**** (Diderot) concluent le recueil. Bel exemplaire provenant de la bibliothèque du Marquis de Vichy avec ex-libris armorié.Adams, II, PV1, pp. 360-361.

  • MARTIN DU GARD Roger.

    Edité par Nouvelle Revue Française, Paris, 1913

    Vendeur : Librairie Pierre Adrien Yvinec, Paris, France

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Edition originale. In-4 (215 x 163 mm), 514 pp., 1 f. n. ch. Maroquin noir, dos à nerfs, auteur et titre dorés, coupes filetées, doublure de maroquin citron, gardes de soie moirée noire, tranches dorées sur témoins, couvertures et dos conservés, étui bordé (P. L. Martin). Édition originale. Elle est ornée en frontispice d'une photographie de L'Esclave enchaîné de Michel-Ange, symbolisant pour l'auteur "la vie de Barois, l'homme prisonnier des mythes et qui ne parvient pas à s'évader de ses liens". Un des 30 exemplaires sur vergé d'Arches, seul tirage de tête. Dans un projet de préface, Roger Martin du Gard décrivait ainsi son troisième roman: "L'auteur s'est efforcé de présenter, sous un jour impartial, la courbe psychologique d'une âme qui, façonnée par les croyances de son enfance, s'étant librement développée et dégagée de toute croyance, revient à la fin de sa vie aux espérances consolantes de sa jeunesse." C'est dans la forme que réside une grande part de l'originalité de Jean Barois: l'ouvrage est presque entièrement composé de scènes dialoguées, à la manière du découpage cinématographique. La mise en scène du procès de Zola - une des premières apparitions littéraires de l'affaire Dreyfus - enthousiasma André Gide et Jean Schlumberger. Présenté dans la Nouvelle Revue française en juillet 1913 et publié en décembre, le roman rencontra le succès et fit de Roger Martin du Gard un auteur de premier plan dans la galaxie Gallimard. Pierre-Lucien Martin (1913-1985) fut l'un des artisans les plus remarquables du XXe siècle. Formé à l'école Estienne, il a d'abord travaillé comme ouvrier dans plusieurs ateliers avant de s'installer à son compte après guerre. Ses pleines reliures furent vite remarquées pour leur qualité d'exécution et, encouragé par les bibliophiles, il se lança dans les décors modernes où s'exerça pleinement son talent. Il reçut en 1948 le Prix de la reliure originale. Deux ans après sa mort, la Bibliotheca Wittockiana lui consacra une grande exposition. Ex-libris de Marcel de Merre, un des grands noms de la bibliophilie belge (vente, 2007, n°381). Parfait exemplaire en maroquin doublé de Pierre-Lucien Martin. Talvart & Place, Bibliographie des auteurs modernes, XIII, p. 196. «Histoire d'un livre : Jean Barois de Roger Martin du Gard» [en ligne sur le site de Gallimard]. Laffont-Bompiani, Dictionnaire des oeuvres, III, p. 779. Jean Toulet, «Pierre-Lucien Martin», Encyclopedia Universalis.

  • RADIGUET Raymond.

    Edité par Grasset, Paris, 1924

    Vendeur : Librairie Pierre Adrien Yvinec, Paris, France

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    Livre Edition originale

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    Couverture rigide. Etat : Bon. Edition originale. In-12 (188 x 123 mm), xv pp., 239 pp. Reliure japonisante à la Bradel, papier marbré marron rehaussé de peinture laquée rouge et de poudre d'or, auteur et titre en doré au dos, couvertures et dos conservés, non rogné, boîte marron doublée de velours rouge, pièce de titre en maroquin rouge sur le plat supérieur, petit accroc en coiffe de tête. Édition originale, un des 150 exemplaires sur Hollande Van Gelder. Des coupures de presses ont été contrecollées sur des feuillets blancs montés après la préface et en fin de volume: deux portraits de l'auteur par Jean Cocteau, un petit extrait de la Revue européenne d'août 1924, une reproduction d'une photographie de Radiguet au moment de l'écriture du roman et une longue et belle critique de Joseph Kessel parue dans Le Figaro du 14 juillet 1924: «C'est dans la manière dont il peint, dans la délicatesse ou la brutalité des touches, dans l'accent, dans le frémissement intérieur des lignes que se cache son vrai visage. Et qui niera [. . .] cette finesse de plume, cette candeur secrète qui pare le cynisme d'ingénuité et qui donne, malgré la maturité et la fermeté du dessin, un air de vraie jeunesse à chaque ligne. Et voici que ces traits marquent plus fortement encore et d'une façon définitive Le Bal du comte d'Orgel.» Un chef d'oeuvre du roman moraliste. Raymond Radiguet est mort peu de temps après avoir remis à son éditeur Bernard Grasset le manuscrit de son second roman. C'est son ami intime et mentor, Jean Cocteau, aidé entre autres par Joseph Kessel, qui se chargea de la correction des épreuves et rédigea l'émouvante préface du Bal du comte d'Orgel, encore sous le choc de la mort du jeune prodige emporté par une fièvre typhoïde en décembre 1923. «On s'effraie d'un enfant de vingt ans qui publierait un livre qu'on ne peut écrire à cet âge», écrit-il alors. Bien que l'intrigue soit classique, un triangle amoureux entre un jeune aristocrate et un couple à la mode, le roman brille en effet par ses analyses psychologiques au point d'être ce «roman où la psychologie devient romanesque.» Bel exemplaire dans un joli cartonnage japonisant non signé.

  • BRETON (André)

    Edité par Paris, s. e., chez l'auteur, Collection Littérature, imprimé par les Presses du Montparnasse, 15 novembre 1923, 1923

    Vendeur : Librairie Faustroll, Paris, France

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    Couverture souple. Etat : Très bon. 1ère édition. In-8 (28,5 x 19,5 cm), broché, couverture blanche imprimée en noir, 1 f., n. ch.,78 pp., 1 f. blanc. Rare édition originale de ce recueil de poèmes automatiques écrits entre 1920 et 1923, précédés de cinq récits de rêves. Illustré en frontispice de la reproduction d'une eau-forte de Picasso représentant André Breton de trois quarts. L'un des 200 ex. sur offset (après 3 Chine, 10 Japon, 25 Hollande, 2 Géranium), le nôtre non justifié. Exemplaire enrichi d'un magnifique envoi autographe signé d'André Breton : "A Jean Baldensperger / Jamais il ne faut dédier un livre / cela porte malheur / C'est comme une clé qui fondrait / dans une serrure / comme la soustraction de nombres décimaux / C'est comme un troupeau d'aigles sur / lequel viendrait planer un mouton noir / Merde pour les dédicaces littéraires / Je voudrais valoir mieux / que ce que je pourrai dire à / Jean Baldensperger / André Breton". Quelques petites piqûres en marge du premier plat de couverture. Exemplaire très désirable. "Le titre, Clair de Terre, indique le renversement d'éclairage auquel Breton entend soumettre l'acte poétique. Cette inversion est également suggérée par la typographie de la couverture.". Jean Baldensperger fut un proche des surréalistes de la première heure. Parmi ses faits d'armes, il participa à la septième séance des Enquêtes sur la sexualité, organisée le 6 mai 1928, séance consacrée notamment à la bestialité et au plaisir féminin. Dans les minutes manuscrites de ces réunions (Vente André Breton 2003, n°2144) Jean Baldensperger évoqua des souvenirs de jeunesse : "j'avais "une ânesse qui vit toujours avec laquelle j'ai eu pendant un an des rapports très étroits". Signé par l'auteur. Livre d'occasion.

  • HOUELLEBECQ (Michel) & MORAWETZ (Gabriela)

    Edité par Paris et Avrilly, Le renard pâle / foxlink, Collection foxfolio, 2016, 2016

    Vendeur : Librairie Faustroll, Paris, France

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    Etat : Neuf. 1ère édition. Présenté dans une boite de bois peint en gris (42 x 34 cm), titrée à froid sur le couvercle, contenant trois volets de carton articulés, sur le premier deux photographies de 39,8 x 30 cm contrecollées recto verso, sur le second, de couleur noire, glace sans tain encastrée de 16 x 22,8 cm, sur le troisième également encastrés une couverture volante de carton noire titré à l'envers (titre se lisant par réflexion dans la glace sans tain) et texte imprimé au recto d'un leporello à 10 volets, perforé dans ses parties supérieure et inférieure, de 23 x 17,5 cm une fois replié, noué de deux cordelettes noires, troisième photographie contrecollée au fond de la boite. Edition originale de ce poème inédit écrit par Michel Houellebecq entre 1975 et 1980. Illustré de 3 photographies tirées en sérigraphies originales de Gabriela Morawetz au sein d une « uvrelivre » conçue par l artiste, Patricia Dupuy et Bernard Soria. Texte imprimé sous forme de leporello, sur du papier aux extrémités perforées, évoquant le papier utilisé par les premières imprimantes d'ordinateur. Tirage limité à 45 exemplaires signés par les auteurs, répartis comme suit : - 25 exemplaires présentés dans une boite en bois peint en gris (format: 42 x 34 cm), du numéro 1 au numéro 25 ; - 20 exemplaires de voyage (format: 25 x 19 cm), du numéro 26 au numéro 45, comportant les mêmes uvres et les mêmes procédés de mise en abyme, sous une forme compactée dans un étui de carton et bois. Un des 25 ex. sous boite en bois peint (le n°19). Cette édition originale a été mise en uvre à Paris, Avrilly et à La belle étoile, au cours du printemps en 2016. Michel Houellebecq évoque à ce propos : « C est un texte de jeunesse, la fin est influencée par Burroughs. J ai certainement également été influencé par les listings de code informatique, je voulais produire quelque chose qui donne l impression d auto-engendrement. ». Le texte sera repris un an plus tard dans le numéro de L'Herne consacré à Michel Houellebecq. Signé par l'auteur. Livre d'occasion.

  • BRETON (André)

    Edité par Paris, Editions des Cahiers Libres, 1932, 1932

    Vendeur : Librairie Faustroll, Paris, France

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    Couverture souple. Etat : Bon. 1ère édition. Petit in-8 (19,4 x 14,3 cm), broché, couverture rempliée imprimée en noir, 1 f. n. ch. blanc, 172 pp., 1 f. n. ch. (achevé d'imprimer). Edition originale. Un des 25 ex. numérotés imprimés sur Japon impérial (seul grand papier avant 2 000 ex. sur vélin Omnia), celui-ci, probablement surnuméraire car numéroté en chiffre arabe, portant le n°8. Exemplaire imprimé spécialement pour la mère de Paul Eluard, portant cette mention imprimée : "Exemplaire imprimé pour Madame Jeanne Grindel", sans la couverture repliée portant la composition en rose de Max Ernst. Exemplaire broché, non coupé, tel que paru, à l'état de neuf. Provenance : Jeanne Grindel, mère de Paul Eluard (exemplaire nominatif). Marguerite Bonnet et Étienne-Alain Hubert soulignent l'importance du livre, "qui mérite pleinement d'être considéré comme un troisième manifeste. Il marque pour Breton, après les expériences douloureuses des années 1931-1932, un de ces ressaisissements dont il est coutumier quand les crises individuelles et collectives menacent son intégrité intellectuelle et psychique ainsi que l'existence même du groupe. Mais il va bien au-delà. Tentative pour penser la totalité de la vie à la fois à partir de l'exploration du monde intérieur menée grâce à l'apport de Freud et à partir de la présence du monde tel que permettent de l'appréhender - après et parfois avec Hegel - Marx, Engels et Lénine, le livre s'achève par une méditation sur la place de l'intellectuel dans le combat révolutionnaire - méditation qui va jusqu'à l'interrogation sur la place de l'homme dans le perpétuel devenir" (André Breton, Oeuvres complètes, II, 1992, p. 1369). Jeanne-Marie Cousin (1875-1955), épouse de Clément-Eugène Grindel et mère d'Eugène-Émile-Paul Grindel, dit Paul Eluard, du nom de jeune fille de sa grand-mère maternelle, était couturière et toute sa vie fut marquée par sa jeunesse pauvre et malheureuse. Son père ayant abandonné la maison familiale et sa mère étant morte très jeune, Jeanne garda sa vie durant le sentiment de malheur, l'angoisse de la pauvreté et le souci des petites économies, malgré une réussite indéniable et un embourgeoisement consécutif de la famille. Le poète gardera toujours pour sa mère un profond attachement (c'est elle qui s'occupera de sa fille, Cécile, après la séparation avec Gala), et communiquera cet attachement à ses amis, et au premier d'entre ceux-là, André Breton. Livre d'occasion.

  • Image du vendeur pour Autograph manuscript "Faiblesse". mis en vente par Antiquariat INLIBRIS Gilhofer Nfg. GmbH

    Montherlant, Henry de, essayist and novelist (1895-1972).

    Edité par No place, [1913]., 1913

    Vendeur : Antiquariat INLIBRIS Gilhofer Nfg. GmbH, Vienna, A, Autriche

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    Manuscrit / Papier ancien

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    8vo and 4to. Ca. 66 pp. Stored loosely in wrappers. Valuable early notes which Montherlant later used for his works "La Ville dont le Prince est un enfant" (1951) and "Les Garçons" (1967). - In the epilogue of "La Ville dont le Prince est un enfant" Montherlant writes that he remembers his notes for this work, which he made when he was seventeen years old ("cette pièce est le plus anciennement conçu de mes ouvrages [.] J'ai sous les yeux, en effet, les notes, les fragments de scènes que j'en rédigeai en 1913, c'est-à-dire à dix-sept ans. Je ne parvins pas à mettre sur pied cette uvre"). When he published "Les Garçons" in 1967, he explains that he first had the idea for this work ("La Ville") in 1912/13, but then wanted to write a novel and created "Les Garçons". - The wrappers are captioned "Faiblesse. 4 actes prose" in blue pencil and "Ville" in red pencil. Montherlant tries to come to terms with having been expelled from the Catholic school of Sainte-Croix de Neuilly for being a "corruptor of souls" on 5 April 1912, when aged almost seventeen. The piece revolves around the 17-year-old Jacqueline, an educator called Bernard and a director, M. Lachâtre. Montherlant has the girl's mother think: "un homme de 40 ans sous la surveillance de qui se trouve une petite fille de 17, et qui abuse de son autorité sur elle pour l'entraîner, c'est déjà quelque chose de pas bien propre, mais quand cette petite est un être d'une faiblesse et d'une impulsion exceptionnelles [.] je ne sais pas si vous trouvez ça beau ou esthétique, mais moi, je trouve ça dégoûtant". In Act IV a fight occurs between Bernard and Lachâtre which anticipates the final scene of "La Ville", in which Soubrier and the Abbé de Pradts quarrel: "Et nous nous croyons les justes et les exceptions, et nous ne songions pas à notre faiblesse, à nos deux faiblesses devant un petit être qui, avec son désarroi et sa jeunesse, a été le seul qui tint bon. Quelle faiblesse, mon Dieu! Allez, on n'est pas coupable d'avoir foi en soi [.]". - With annotations and corrections throughout. Some browning.

  • Image du vendeur pour Autograph letter signed. mis en vente par Antiquariat INLIBRIS Gilhofer Nfg. GmbH

    [Béranger, Pierre-Jean de, French poet (1780-1857).] - Loir, Maurice, French naval historian (1852-1924).

    Edité par Tche-fou (Yantai), China, 26. VI. 1884., 1884

    Vendeur : Antiquariat INLIBRIS Gilhofer Nfg. GmbH, Vienna, A, Autriche

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    8vo. 2½ pp. on bifolium. Accompanied by the autograph copy of a letter by Pierre-Jean de Béranger, 4 pp. on bifolium (thus, two bifolia with 6½ pp., all in Loir's hand). Includes an autograph envelope in Béranger's hand, addressed to the poet Louise Colet in Paris, postmarked Passy-Les-Paris, 29 September 1843. To an unidentified scholar engaged in a study of the late French poet and songwriter Pierre-Jean de Béranger, sending him the copy (handwritten in Loir's own hand) of a heartfelt letter by Béranger to a young French writer, Thalès Bernard: "Monsieur, Puisqu'en ce moment, à le que m'apprennent es journaux, vous vous occupez de Béranger, voulez-vous me premettre de vous communiquens une lettre de lui." The letter he chooses to include is, he claims, "sans date, mais vraisemblablement en 1843", when Béranger was at the height of his fame. Béranger's addressee Bernard (1821-73) was a young and relatively unknown poet, who would go on to share with Elisa Fleury the Prix Lambert for literature in service of the public interest. - Béranger had faced much difficulty of his own as a young poet and often sought to give aid and patronage where he could. He scolds Bernard for a previous letter: "Ç'est que votre lettre m'a donné à réfléchir; que même elle m'a un peu fâché contre vous; fâché, direz-vous? Oui, vraiment!" Concerned that the youth are placing famous writers on a pedestal at the expense of both themselves and their idols, Béranger exclaims, "Savez-vous ce qu'il résulte de la bonheur où vous placez ceux qu'il vous plait d encenser? Vous désespérez bien vite d'atteindre jusqu'à eux et l'abattement vous saisit. Le pauvre Escousse est un triste exemple de le que je vous dis là. Dans la lettre qu'il laisse pour moi il me traitait aussi de modèle parfait et désespérant; fatale illusion! Ah! Repoussez la loin de vous. Il y a bien mieux que moi dans notre malheureuse temps". - The "poor Escousse" to whom he alludes is Victor Escousse, the pen-name of Victor Laserre (1813-32), who died by suicide. Béranger urges Bernard along a different path: "Ce que vous devez vous dire, vous tous jeunes hommes, c'est que les véritables préparateurs de l'avenir ne sont pas encore venus ; tout au plus le nez de quelque petit précurseur s'est montré à travers la toile comme au théâtre, il arrive, quand un acteur vient regarder par le trou du rideau si la salle est bien garnie. Qui sait ? Le bon Dieu va peut être bientôt frapper les trois coups. Bientôt peut être un nouvel acte du Grand Drame va commencer. Vous autres, qui devez le jouer, êtes-vous prête? Savez-vous vos rôles? Quoi, vous vous amusez à encenser les vieux dont le rôle est fini, comme si vous avez du temps a perdre. Quand le temps du repos sera venu, retournez-vous, soit! et dites quelques prières sur la tombe de ceux qui ont encourage votre jeunesse [.] Mes enfants, avez foi en vous, si non vous ne ferez rien, vous cette foi que donne l'orgueil, mais celle que donne l'amour de les semblables à qui vous devez consacres toute votre vie.".

  • Image du vendeur pour Delle opere di Gabbriello Chiabrera in questa ultima impressione tutte in un corpo novellamente unite. mis en vente par Librairie L'amour qui bouquine

    Gabriello CHIABRERA (1552-1638)

    Edité par In Venezia [Venise], 1757. Presso Angiolo Geremia., 1757

    Vendeur : Librairie L'amour qui bouquine, ALISE SAINTE REINE, France

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    EUR 4 500

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    De France vers Etats-Unis

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    Couverture souple. Etat : Comme neuf. Gabriello CHIABRERA (1552-1638) Delle opere di Gabbriello Chiabrera in questa ultima impressione tutte in un corpo novellamente unite. In Venezia [Venise], 1757. Presso Angiolo Geremia. 5 volumes in-12 (14.5 x 8cm) de XLIV pages (faux-titre, titre, au lecteur et vie de Chiabrera) 313 pages ; 288 page ; 272 pages 1 feuillet non chiffré (index) ; 4 feuillets non chiffrés (titre et au lecteur) 278 pages 1 feuillet non chiffré (index) & 4 feuillets non chiffrés (faux-titre, titre, au lecteur et index) 256 pages 2 feuillets non chiffrés (errata). Complet. Reliure de l époque en maroquin vert souple à dos lisse ornés de caissons et de fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison en maroquin grenat, roulette d encadrement dorée sur les plats, coupes guillochées, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrure. Excellent état, très frais. Quelques rares rousseurs claires. Quelques ombres aux reliures. Texte en italien. Ce type de reliure en maroquin souple est des plus rares. Rare édition des uvres du grand poète et littérateur baroque italien Gabriello Chiabrera appelé le Pindare italien. Ces uvres complètes avaient déjà été publiées à Rome en 1718, mais leur édition très incomplète avait reçu de nombreuses critiques, et l imprimeur Angiolo Geremia en avait redonnée une édition corrigée en 1730, mais avec les 4 premiers volumes uniquement : notre édition est donc à préférer. Les poésies lyriques de Gabriello Chiabrera, publiées en 3 parties à Gênes (1586, 1587, et 1588), ont été souvent réimprimées. Il a aussi composé des tragédies, des comédies, des poèmes épiques, des fables. On a publié en 1796 à Gênes des poésies inédites de Chiabrera. Né à Savone, petite ville située sur le territoire de la République de Gênes, Gabriello Chiabrera passa son enfance et sa jeunesse à Rome, où il étudia auprès des Jésuites. Il s'intéressa surtout aux poètes grecs et latins, qu'il étudia avec ardeur. En 1576, il fut banni des États pontificaux et contraint de retourner à Savone. Impliqué dans un homicide en 1579, puis dans une rixe en 1581, il fut également chassé de sa ville natale. TRÈS BEL EXEMPLAIRE DANS UNE FINE RELIURE DE L ÉPOQUE EN MAROQUIN SOUPLE. EXEMPLAIRE DE CHOIX POUR BIBLIOPHILE EXIGEANT.

  • RACINE

    Date d'édition : 1666

    Vendeur : Librairie Camille Sourget, Paris, France

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    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    EUR 4 500

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    De France vers Etats-Unis

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Paris, Théodore Girard, 1666.In-12 de (10) ff., 72 pp. mal chiffrées 84. Quelques mouillures. Relié en vélin souple de l'époque, dos lisse. Etui. Reliure de l'époque. 139 x 80 mm. --- Rarissime contrefaçon de l'édition originale de l'une des principales tragédies de Racine, non mentionnée par les bibliographes. C'est l'une des pièces les plus recherchées de Racine. La présente édition, qui n'est mentionnée par aucun bibliographe, possède la même pagination que l'originale, hormis l'extrait du privilège qui ne figure évidemment pas dans les feuillets préliminaires, et elle reproduit les erreurs de pagination de l'originale. Le titre, au lieu de la marque « à l'Envie » de Girard gravée sur cuivre, est orné d'un panier de fleurs gravé sur bois. Alexandre le Grand, seconde pièce de Racine, fut représentée à Paris à compter du 4 décembre 1665. « Dans cette ?uvre de jeunesse, Racine cède au goût héroïco-galant, avec un Alexandre parfait amant, un Porus à la fois amoureux et héros au langage fleuri de préciosité. La tragédie plut : l'amour y était traité avec grâce ; nous trouvons çà et là quelques traits plus sentis qui font présager le futur poète de la femme et de l'amour ». (Dictionnaire des ?uvres, I, 81). Bon exemplaire conservé dans sa première reliure en vélin souple de l'époque. Nous n'avons pu localiser aucun exemplaire de cette contrefaçon dans l'ensemble des Institutions publiques du monde (OCLC). /// Paris, Théodore Girard, 1666.12mo [139 x 80 mm] of (10) ll., 72 pp. misnumbered 84. A few waterstains. Bound in contemporary limp vellum, flat spine. Slipcase. Contemporary binding. --- Extremely rare counterfeit publication of the first edition of one of Racine's main tragedies, not mentioned by bibliographers. It is one of the most sought-after plays by Racine. The present edition, which is not mentioned by any bibliographer, has the same pagination as the first one, except of course the extract of the privilege which does not appear in the preliminary leaves and it reproduces the same mistakes of pagination as the first one. The title, instead of the copper-engraved mark "à l'Envie" of Girard, is decorated with a wood-engraved basket of flowers. Alexandre le Grand, Racine's second play, was performed in Paris from December 4th 1665. « In this work of youth, Racine gave in to the heroic and gallant taste, with an Alexandre who is a perfect lover, a Porus who is a man in love and a hero with a language blossoming of preciosity. The tragedy was appreciated: love was treated with grace; we find here and there some touches that are more profound and let portend the future poet of woman and love. » (Dictionnaire des ?uvres, I, 81).A good copy preserved in its original binding in contemporary limp vellum. We haven't been able to locate any copy of this counterfeit edition in any Public Institution in the world (OCLC).

  • Image du vendeur pour Les ?uvres de D. Francisco de Quevedo Villegas, Chevalier Espagnol, divisées en deux volumes. mis en vente par Librairie Camille Sourget

    EUR 4 500

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    De France vers Etats-Unis

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Paris, chez Helie Josset, et se vendent à Bruxelles, Josse de Grieck, 1698. Soit 2 ouvrages en 2 volumes in-12 de : I/ (2) ff. y compris le frontispice gravé, 336 pp., (4) ff. de table et 7 figures à pleine page hors texte; II/ (2) ff. y compris le frontispice gravé, 205 pp. et 9 figures à pleine page hors texte, (1) f. de titre, 272 pp. et 3 figures à pleine page hors texte. Plein vélin ivoire de l'époque, dos lisses, tranches mouchetées. Reliure de l'époque. 146 x 78 mm. --- Édition originale de la traduction française des ?uvres de l'un des principaux auteurs espagnols de l'époque classique. Brunet, IV, 1017. C'est aussi la première édition admirablement illustrée par J. Harrewyn de 2 frontispices et 19 figures à pleine page en premier tirage. Elle fut réimprimée dès 1699, puis en 1700 et 1718. Méon et Labédoyère la possédèrent. « Quevedo y Villegas (1580-1645,) un des plus grands écrivains d'Espagne, brilla dans les genres les plus variés : poésie, philosophie, critique littéraire, roman, politique, théâtre, religion ». Enrique Moreno Baez. Les ?uvres comprennent les visions et des nouvelles. « Les Visions comprennent 5 fantaisies satiriques à tendance moralisatrice, dont la plupart datent de la jeunesse de l'écrivain. La censure refusa tout d'abord (1610) d'autoriser l'ouvrage, sous prétexte que l'Écriture sainte y était tournée en ridicule. Quoi qu'il en soit, les Sueños ne parurent qu'en 1627, non en Castille mais seulement à Barcelone, Valence et Saragosse, et sous le titre: ?Sueños discursos de verdades descubridoras de abusos, vicios y engaños en todos los oficios y estados'. Ce fut un grand succès ; mais Quevedo, en butte aux remontrances du Saint-Office, fut contraint de publier à Madrid (1631) une édition expurgée. » « Ces visions se ressentent, certes, de la formation humaniste de Quevedo : les modèles classiques dont il s'inspire (Lucien, Cicéron, Juvénal, Horace, Pétrone) ont été parf /// Paris, chez Helie Josset, et se vendent à Bruxelles, Josse de Grieck, 1698.A total of 2 works in two 12mo volumes [146 x 78 mm] of: I/ (2) ll. including the engraved frontispiece, 336 pp., (4) ll. of table and 7 full-page figures out of pagination; II/ (2) ll. including the engraved frontispiece, 205 pp. and 9 full-page figures out of pagination, (1) l. of title, 272 pp. and 3 full-page figures out of pagination. Full contemporary ivory vellum, flat spine, mottled edges. Contemporary binding. --- First edition of the French translation of Quevedo's Works, one of the major Spanish authors from Classical time. Brunet, IV, 1017. It is also the first edition admirably illustrated by J. Harrewyn with 2 frontispieces and 19 full-page figures in first state. It has been reprinted in 1699, then in 1700 and 1718. Méon and Labédoyère owned it. "Quevedo y Villegas (1580-1645), one of the greatest Spanish writers, shined in the most varied genres: poetry, philosophy, literary critic, novel, political, theater, religion". Enrique Moreno Baez. The works enclose the visions and short stories. "The Visions enclose 5 satirical fantasies that tend to be moralistic, most of which dating from the author's youth. Censorship first refused (1610) to authorize the work, giving as a pretext that the Holy Scripture was held up to ridicule. However that may be, the Sueños weren't published before 1627, not in Castile but only in Barcelona, Valencia and Saragossa, and under the title: ?Sueños discursos de verdades descubridoras de abusos, vicios y engaños en todos los oficios y estados'. It was a great success; but Quevedo, exposed to the remonstrance of the Holy Office, was forced to publish in Madrid (1631) an expurgated version." Here, more than in any other work, stands out the singular genius of the author, a genius where the liking for intellectual combinations is united to the most ferocious and macabre fantasies." Precious wide-margined copy preserved in its attractive.

  • JOUHANDEAU (Marcel).

    Edité par Paris Gallimard et Grasset 1921-1958, 1958

    Vendeur : Librairie Vignes Online, Paris, France

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    Edition originale Signé

    EUR 4 500

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    EUR 38 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    Etat : 6. 14 vol. in-4 et in-8, demi-maroquin à gros grain rouge à coins, dos lisses, plats de papier rouge, têtes dorées, non rognés, couvertures et dos conservés (Alix). Importante réunion en édition originale des principales oeuvres de Marcel Jouhandeau provenant de la collection d'un de ses amants qui les a fait établir dans de fines reliures d'Alix, la plupart des volumes lui ayant été offerts avec de très beaux envois autographes signés de l'auteur. La série compte les titres suivants : - La jeunesse de Théophile. Histoire ironique et mystique. Gallimard, 1921. Un des 113 exemplaires de tête réimposés et numérotés sur vergé pur fil Lafuma-Navarre. - Les Pincengrain. Gallimard, 1924. Un des 108 exemplaires de tête réimposés et numérotés sur vergé Lafuma-Navarre.- Monsieur Godeau intime. Gallimard, 1926. Un des 109 exemplaires de tête réimposés et numérotés sur vergé Lafuma-Navarre, envoi. Exemplaire truffé d'une lettre autographe signée inédite de Jouhandeau à André Gide (2 p. in-8, Paris "27 bd de Grenelle", 12 avril 1924).- Prudence Hautechaume. Gallimard, 1927. Un des 109 exemplaires de tête réimposés sur vergé Lafuma-Navarre, envoi daté de 1955.- Opales. Gallimard, 1928. Un des 110 exemplaires de tête réimposés sur vergé Lafuma-Navarre, envoi daté de 1956 et billet autographe au même joint.- Astaroth. Gallimard, 1929. Un des 109 exemplaires de tête réimposés sur vergé Lafuma-Navarre, envoi daté de 1957.- Le journal du coiffeur. Gallimard, 1931. Un des 109 exemplaires de tête réimposés et numérotés sur vergé Lafuma-Navarre, envoi daté de 1955 et lettre autographe au même (Rueil-Malmaison, 5 janvier 1968, 3 pages in-8, enveloppe conservée).- Nouveau bestiaire. Grasset, 1952. Un des 36 exemplaires de tête numérotés sur Montval, envoi et lettre autographe au même (Rueil-Malmaison, 2 janvier 1962, 2 pages in-8).- De la grandeur. Grasset, 1952. Un des 162 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma, envoi daté de 1953.- Du pur amour. Gallimard, 1955. Un des 40 exemplaires de tête numérotés sur vergé de Hollande, envoi daté de 1956.- Le langage de la tribu. Gallimard, 1955. Un des 30 exemplaires de tête numérotés sur vélin de Hollande van Gelder, envoi daté de 1955, carte postale autographe jointe.- Jaunisse. Gallimard, 1956. Un des 30 exemplaires de tête numérotés sur vélin de Hollande van Gelder, envoi de 1957, billet autographe joint daté de 1960.- Réflexions sur la vieillesse et sur la mort. Grasset, 1956. Un des 52 exemplaires de tête numérotés sur Montval, envoi daté de 1957 et billet joint (1959).- Les chemins de l'adolescence. Gallimard, 1958. Un des 30 exemplaires de tête numérotés sur vélin de Hollande van Gelder, envoi daté de 1958.Infimes épidermures à quelques dos, sinon très belle série en reliures uniformes. Ex-libris gravé Vincent Morel.

  • EUR 4 488,26

    Autre devise
    EUR 32 Frais de port

    De Espagne vers Etats-Unis

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    Hardcover. Etat : Good. Prunier, James; Galeron, Henri (illustrateur). 8434837250.

  • Image du vendeur pour GRAND THEATRE DES ANIMAUX SAVANTS mis en vente par Wallace & Clark, Booksellers

    Hervilly, Ernest d'

    Edité par Nouvelle Librairie de la Jeunesse, Paris, 1893

    Vendeur : Wallace & Clark, Booksellers, Houston, TX, Etats-Unis

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    Livre

    EUR 4 426,80

    Autre devise
    EUR 7,47 Frais de port

    Vers Etats-Unis

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    Hardcover. Etat : Very Good +. Meggendorfer, Lothar (illustrateur). (Meggendorfer, Lothar) illustrator. GRAND THEATRE DES ANIMAUX SAVANTS by Ernest d'Hervilly. Paris: Nouvelle Librairie de la Jeunesse, [circa 1893]. Oblong folio - 14-1/4" x 10-1/4". Red cloth backed color pictorial rebacked boards with minor rubbing to the tips, a hint of shelf wear and light soiling to the upper board for what is a lovely copy of the book. [17] pp. The book consists of eight pages of verses printed on versos and eight very fine and elaborate chromolithograph pull-tab activated mechanical figures featuring anthropomorphic animal on the facing rectos. The first text page with two tiny inconsequential stains not effecting the text and the rest of the pages are clean. The moveables are amazing. They are bright, clean, complete and fully functional, showing Meggendorfer at his absolute best. The condition of the book is VERY GOOD +. EXCEEDINGLY RARE; no copies listed in OCLC/WorldCat.

  • Image du vendeur pour Mon Chat mis en vente par L'Ancienne Librairie

    BEUCLER (André); PARAIN (Nathalie)

    Vendeur : L'Ancienne Librairie, Paris, France

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    Edition originale

    EUR 4 332

    Autre devise
    EUR 26 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    [Paris], librairie Gallimard, 1930. In-folio, [9] ff. non paginés, en feuilles, portefeuille original illustré, liens rouges (petits frottements et déchirures du portefeuille, petites mouillures des coins, marges empoussiérées). Édition originale du premier livre illustré des compositions en couleurs de Nathalie Parain. L'influence du constructivisme russe chez cette artiste ayant fui l'U.R.S.S. provient de ses études aux Vkhoutemas moscovites, notamment dans l'atelier de Piotr Kontchalovski. On y retrouve cette ligne simple et géométrique, des aplats de couleurs franches et l'utilisation du dégradé pour la suggestion des volumes comme chez Malevitch. Il comporte également une nette influence du cubisme, Parain, pour certaines de ses illustrations ayant procédé à des collages de papiers figurant des matériaux diverses. Un véritable livre d'artiste qui ne semble pas avoir rencontré son public à l'époque mais qui est désormais un des incontournables de l'histoire de l'édition pour enfants. De la jeunesse chez Gallimard, p. 37. Voir photographie(s) / See picture(s).

  • Image du vendeur pour Nos Gentils Hommes a Gout mis en vente par David Brass Rare Books, Inc.

    CHAM (pseudonym of Amédée de Noé)

    Edité par Paris: Chez Aubert & Cie.,, 1846, 1846

    Vendeur : David Brass Rare Books, Inc., Calabasas, CA, Etats-Unis

    Membre d'association : ABAA ILAB

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    Art / Affiche / Gravure Edition originale

    EUR 4 330,56

    Autre devise
    EUR 9,34 Frais de port

    Vers Etats-Unis

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    The Pleasures of Youth. Young Parisian Gentlemen At Play CHAM (pseudonym of Amédée de Noé). Nos Gentils Hommes a Gout. Tournure, Elégance, Moeurs et Plaisirs de la Jeunesse Dorée. Par Cham Paris: Chez Aubert & Cie., n.d. [1846]. First (only) edition, complete. Folio (13 x 9 5/8 inches; 330 x 245 mm.). Hand-colored lithographed title page and twenty hand-colored lithographed plates, all heightened with gum arabic. Original pictorial lithographed green boards. Minimal rubbing to board edges and corners, near fine. Rare, with OCLC recording only six copies in institutional holdings worldwide, and only one auction record since 1923. We have only seen one other copy of this title. A satire of the bustle, behavior, customs, and pleasures of young, Parisian gentlemen - golden youth. Of Amédée de Noé, "known as Cham (that is, Ham, the son of Noah).it was said that he had â an idea a day' for Le charivari. A good proportion of his thousands of lithographs were gathered into albums. His contributions to the Album du siège (173), in which Daumier was his collaborator, are typical of his work" (Ray, pp. 155-156). The Plates: 1. Ne vous effrayez pas! 2. Un objet de prix pour ne rien prendre 3. Fol de carrossier. 4. Un maitre dans une peau de domestique. 5. Des gages fabuleux. 6. Ton vicomte est un cuistre! 7. Pauvre créancier! 8. L'ami de coeur. 9. Tiens! C'est le m'sieu du château! 10. Palsambleu quél bon petit chic!! 11. L'etat d'heritier a bien ses charges! 12. Monsieur le baron après souper. 13. Prenez y garde, John! 14. Un ci-devant. 15. Tachez donc de faire aller mes cheveux! 16, Le tir des pigeons. 17. Oh he! Ce cavalier! Ohe! 18. Bravo Marquis! Tu arrives le premier. 19. Dieu! La belle chasse. 20. Au diable les préjugés!.

  • Image du vendeur pour Clichy mis en vente par David Brass Rare Books, Inc.

    GAVARNI, Paul [pseudonym of Guillaume Sulpice Chevallier]

    Edité par Paris: En vente Au Bureau du Journal Amusant.et au Bureau du Charivari, 1840, 1840

    Vendeur : David Brass Rare Books, Inc., Calabasas, CA, Etats-Unis

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    Gavarni's Memories of his Time in the Debtors Prison 'Clichy' Depicted in Twenty-One Lithographed Plates GAVARNI [pseudonym of Guillaume Sulpice Chevallier]. Clichy. Album par Gavarni. Paris: Au Bureau du Charivari, [n.d., 1840-1841]. Large quarto (13 3/4 x 10 1/2 inches; 349 x 267 mm.). Publisher's yellow front wrapper with printed title. Twenty-one superb numbered lithographed plates. All plates in first printing, second state with printed titles and "Chez Bauger" & "Imp. d'Aubert" with the exception of plates 17 & 19 which are in the third state. Modern quarter light blue cloth over light blue cockerel boards, smooth spine lettered in gilt. Original yellow lithographed front wrapper bound in as title. These plates were initially published in Le Charivari with the exception of the nineteenth plate which was produced for La Caricature. "In 1835 [Gavarni] was arrested for debt and sent to Clichy. Far from being overwhelmed, he saw this experience as a fresh opportunity for observation. Indeed, he made a lithographic series from his memories: Clichy, twenty-one lithographs, 1840-1841" (Ray, The Art of the French Illustrated Book, p. 217). "So assured did Gavarni's position seem at the end of 1833, that he began to publish the weekly Journal des gens du monde, for which he also provided much of the text and illustrations. It failed after twenty numbers, only eighteen of which were issued, leaving him with obligations which were to embarass him for many years. In 1835 he was arrested for debt and sent to Clichy. Far from being overwhelmed, he saw this experience as a fresh opportunity for observation. Indeed, he made a lithographic series from his memories: Clichy, twenty-one lithographs, 1840-1841" (Armelhault & Bocher p. 1-25) On the 23rd of July 1867 the French government abolished the ancient law decreeing imprisonment for debt. In Paris, the ninety-seven inmates of the Clichy Debtor's Prison were promptly released. Exceptionally rare. According to OCLC & KVK there are no copies in libraries and institutions worldwide. We have been unable to locate any copies at auction over the past 100 years. Armelhault & Bocher, nos. 429-448. The Plates: 1. Enfoncé!!! Sunk!!! 2. Je viens déjeuner chez toi. Ah! bon! Et diner chez toi. Ah! bah!! Et coucher chez toi! Ah! fichtre!!! I'm coming to have lunch with you. Ah! Well! And have dinner at home. Ah! bah!! And sleep at home! Ah! damn!!! 3. "Au moins un Dieu sourit encore à la jeunesse et lui rend, enc e lieu, de ces jours qu'on lui prend. Qui n'aurait pas pitiè des beaux ans qu'elle y laisse?" "At least one God still smiles at youth and gives them back, in place, those days that are taken from them. Who would not pity the beautiful years she leaves there?" 4. Vous le voyez, le chagrin ne m'aigrit pas! Et je donnerai un conseil à mes créanciers, dans leur intèrêt: s'ils veulent me tirer d'ici qu'ils se hâtent, car on ne pourrait bientôt plus me passer par la porte. You see, grief does not embitter me! And I will give advice to my creditors, in their interest: if they want to get me out of here, let them hurry, because soon they won't be able to get me out the door. 5. Petit homme nous t'apportons ta casquette, ta pipe d'ecume, et ton Montaigne. Little man, we bring you your cap, your meerschaum pipe, and your Montaigne. 6. Enfin, à la fin, je l'ai tant mijotè, je l'ai tant mijotè, qu'il a dit: eh! bien, qu'il paye seulement les frais et j'accorderai du tems pour le reste. Et encore, il a dit, voyez-vous, Mademoiselle, c'est par consideration pour vous. Le vieux gueux!.j'espère bien que quand tu sortiras tu lui ficheras une pile soignée à celui-là! Finally, at the end, I simmered him so much, I simmered him so much, that he said: hey! Well, let him just pay the cost and I'll allow time for the rest. And again, he said, you see, Mademoiselle, it's out of consideration for you. The old beggar! I really hope that when you go out you'll give him a neat pile on that one! 7. L'amour est parti? V'là l'amitiè. Love is gone? That's friendship. 8. Dites donc, l'ancien, c'est aujourd'ui Dimanche. Ou'est-ce que ça te fait? Tiens! Le Dimanche on se fiche du Garde-du-commerce: çà me fait que je pourrais aller me promener, si je pouvais sortir. Say, the old one is today Sunday. What does it do to you? Here! On Sundays we don't care about the Garde-du-commerce: that makes me think I could go for a walk, if I could go out. 9. Ne donnez pas d'acomptes! Voyez vous, le créancier qu'on ne paye pas n'est qu'un créancier; le créancier qu'on paye est un tigre! Do not give deposits! You see, the creditor who is not paid is only a creditor; the creditor one pays is a tiger! 10. Dites donc, voisin, on a peu boissonné chez vous hier! ça allait rondement! ça va bien ce matin? Pas mal, et vous? Say, neighbour, we had a little drink at your house yesterday! it was going smoothly! how are you this morning? Not bad and you? 11. Le portrait du créancier. The portrait of the creditor. 12. Voyons! Pour aller à Tivoli ce soir, il faudrait d'abord payer au greffe dix-huit-mille-cinq-cents francs pour le capital et onze-cent-vingt-neuf francs, cinquante centimes de frais.et encore, non (je suis bête!) Tivoli coûte trois francs d'entrée, et je n'ai que quarante deux sous. Let's see! To go to Tivoli this evening, you would first have to pay the clerk's office eighteen thousand five hundred francs for the capital and eleven hundred and twenty-nine francs, fifty centimes for costs.and again, no (I'm silly!) Tivoli costs three francs to go, and I only have forty-two sous. 13. Aux Gardes-du-Commerce: que le bon Dieu les patafiole! At the Gardes-du-Commerce: may the good Lord spoil them! 14. Quand nous voulons danser, Tivoli est là, mon cher: Entre Tivoli et nous il n'y que deux murs et un coup de fusil. When we want to dance, Tivoli is there, my dear: Between Tivoli and us there are only two walls and a gunshot. 15. Mon cher Monsieur, je vous laisse la guérite comme je l'ai prise et la consigne.

  • Image du vendeur pour La troisième jeunesse de Madame Prune. Illustré de dix-sept compositions originales gravées en couleurs par Foujita. mis en vente par Bouquinerie Aurore (SLAM-ILAB)

    [FOUJITA (Tsuguharu)] - LOTI (Pierre).

    Edité par Paris, Éditions d'art Devambez, 1926, 1 vol. in-4° (272 x 225 mm), reliure à la Bradel maroquin gris ardoise, plats incrustés de simili galuchat, tête dorée, couvertures conservées, étui bordé (BOICHOT), de (3) ff. (faux-titre, titre et avant-propos) - 175 pp. - (1) f. (achevé d imprimer).Couvertures conservées légèrement tachées, très bel exemplaire., 1926

    Vendeur : Bouquinerie Aurore (SLAM-ILAB), BELMESNIL, France

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    Première édition illustrée de 18 COMPOSITIONS ORIGINALES EN COULEURS de FOUJITA (la page de titre n en annonce que 17) : Frontispice, 12 eaux-fortes hors texte et 5 entêtes de chapitre.Tirage à 458 exemplaires. Ici, exemplaire sur Japon noté « EXEMPLAIRE D'AUTEUR » au justificatif, avec les eaux-fortes en trois états (noir avec remarques, couleurs seules, définitif en couleurs).Notre exemplaire possède donc une eau-forte hors texte supplémentaire, placée en page 136, elle représente un couple allongé tête bêche, elle est aussi en 3 états.Imprimé sous la direction artistique d Edouard Chimot, sur les presses du Maître imprimeur B. Coulouma à Argenteuil pour le texte et pour les eaux-fortes par les ateliers d art d imprimerie en taille-douce « La Roseraie », à Paris pour la Société Nouvelle d Edition d Art Devambez.Réf. biblio. : Carteret, illustrés, IV-247 - Buisson, Foujita, T. II, 26.198 (qui ne référencie pas l eau-forte supplémentaire).