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Encuadernación de tapa dura. Etat : Muy bien. 1ª Edición. [Para pedidos desde fuera de España, por favor, consulte las condiciones de venta y envío, tipo B. / For orders to be delivered outside Spain, please, let you see our sale and shipping terms, type B. / Pour les commandes à livrer hors d'Espagne, s'il vous plait, voyez les conditions de vente et de livraison, type B.].- // Primera edición.- // 2 volúmenes, 8º, (180x110 mm.).- Vol. I: [2], XLVIII, 619 p.; sign.: [1], A-C8, A-Z8, Aa-Pp8, Qq6; portadilla.- Vol. II: [4], 664, [6] p.; sign.: [2], A-Z8, Aa-Ss8, Tt6, [1]; portadilla, tabla de materias (p. 622-664).- // Encuadernación de época en plena piel, lomo cuajado en dorado con nervios y doble tejuelo; filete dorado en los cantos; cortes tintados en aguas. Magníficos márgenes en un estupendo papel verjurado absolutamente limpio. Conserva registro en ambos volúmenes. Estupendo ejemplar, sin firmas, sellos, anotaciones, rasgaduras ni manchas, con el texto en un estado prístino, al que solo cabe reprochar el roce de una cofia y de puntas y cantos, un leve punto de taladro en la parte superior de la charnela trasera del v. 1, que no pasó de la encuadernación, y algún muy esporádico punto de oxidación.- // Proc.: Sin datos.- // Refs.: Cioranescu, XVIII, 10901.- // Nicolas Beauzée (miembro de la Académie a partir de 1772) fue quien, tras la muerte de Dumarsais en 1756, se hizo responsable junto a Jacques Douchet, de los artículos consagrados a la gramática en la Encyclopédie de Diderot, siendo suyos los que aparecen firmados como B.E.R.M y como E.R.M. Tras la colaboración con Diderot, la publicación de esta Grammaire générale que ofrecemos y el ingreso en la Académie, recibió diferentes ofertas, rachazando unas y aceptando otras. Así, rechazó unirse a la pléyade de intelectuales europeos que el mecenazgo de Federico II fue reuniendo en Berlín y, en cambio, aceptó la solicitud del editor Panckoucke para revisar los artículos de Dumarsais, Douchet y los suyos propios en la Encyclopédie y en su Supplement, para publicarlos, junto a los de Marmontel sobre literatura, en el Dictionnaire de Grammaire et Littérature que editó dentro de su magno proyecto de Encyclopédie méthodique (ver nuestra ref. C-0884). La Grammaire générale de Beauzée fue celebrada por rigurosa, precisa hasta la extenuación, y por su exhaustiva descripción y articulación del francés. Más recientemente, el conjunto de la obra de Beauzée ha sido celebrado también como precursor de la fonética(1), como antes lo fue del cambio en las teorías del ritmo prosódico(2). Para Beuazée, la gramática general "est donc la science raisonée des principes immuables et généraux du Langage prononcé ou écrit dans quelque langue que ce soit. (.) est une science, parce qu'elle n'a pour objet que la spéculation raisonée des principes immuables et généraux du langage. (.) La Science gramaticale est anterieure à toutes les langues; parce que ses principes ne supposent que la possibilité de las langues, qu'ils sont les mêmes que ceux qui dirigent la raison humaine dans ses opérations intellectuelles, en un mot qu'ils sont d'une verité eternelle." La incardinación de la concepción lingüística de Beauzée en el desarrollo del modelo teórico del lenguaje como sustrato del conocimiento resulta más que evidente: ?les termes techniques de Grammaire ne doivent pas être fondés sur des services accidentels, qui peuvent changer su gré de l?usage: la nomenclature des sciences & des arts doit être immuable comme la nature dont elle est chargée de réveiller les idées, & ne doit pas par conséquent tenir uniquement à ce qui est accidentel dans les choses?.- // (1) Christophe Rey: Nicolas Beauzée précurseur de la phonétique dans l?Encyclopédie de Diderot et d?Alembert, la Grammaire générale et l?Encyclopédie Méthodique de Panckoucke.- Paris: Honoré Champion, 2011.- (2) Jean-Michel Gouvard: ?L?analyse de la prosodie dans la Grammaire générale de Nicolas Beauzée?, en Semen. Revue de Sémio-linguistique des textes et discours 16 (2003). Libros.

In-4, reliure de cartonnage polychrome de Paul Souze décorée d'une composition florale, dessinée par A. Giraldon, dos lisse avec signature dorée "Magnier et ses fils Rel.", toutes tranches dorées, 2 ff. (faux titre et titre rouge et noir), 297 p., et un f. non chiffré (achever d'imprimer). Frontispice sous serpente par F. Thévenot, gravé par Louis Lucas. Bandeaux du peintre et illustrateur Albert Fourié (1854-1937), sous serpente, en tête de chaque poème, traités en héliogravure par Michel. Quatre illustrations hors-texte sous serpente d'E. Rudaux (Jeanne endormie), de Madeleine Lemaire (Le pot cassé) gravée par Louis Ruet, de Dantan (Mariée et mère) gravée par A. Mongin, et de Fourié (Jeanne endormie) gravée par Champollion. L'Edition nationale, qui compte 43 volumes, est une des plus belles oeuvres complètes de Victor Hugo. Notre exemplaire présente un beau et rare cartonnage polychrome de l'illustrateur Adolphe Giraldon (1855-1933), en très bel état. Une serpente déchirée dans son coin supérieure, marges extérieures légèrement jaunies. Bel exemplaire.(ThB67) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Size: 23 x 28.

Deux volumes in-8, 1811-1816, reliure demi-veau moderne, dos lisse orné de frises et de de fleurons dorés, auteur, titre et tomaison dorés, plats et gardes marbrés, tranches marbrées de l'époque. Volume I: Première partie, Magimel, 1811, deuxième édition, page de titre, 356 p., 3 tableaux d'ordre de bataille dépliants. [1] f. titré " Suite du traité des grandes opérations militaires, tome sixième". Deuxième partie, Magimel, 1811, deuxième édition, page de titre, 245 p., un tableau dépliant. Volume II: Troisième et dernière partie, Magimel, Anselin et Pochard, 1816, deuxième édition, titre, avis de l'éditeur, avertissement II-VIII-709 p. en pagination continue, mais séparée après la p. 336, par une page de faux titre intitulée "Suite du traité des grandes opérations militaires - tome huitième" suivie d'une page de titre, 6 tableaux dépliants. Notre exemplaire, qui constitue un ouvrage distinct, correspond aux tomes 5, 6 (1811) et 7, 8 (1816) de l'ensemble que Jomini avait intitulé en 1807 "Traité des grandes opérations militaires". Les campagnes de 1792-1793 et celles de 1794-1797 sont analysées de manière très didactique. Jomini conceptualise la "guerre moderne" en comparant Frédéric II et le système de guerre de Napoléon. Il trace les lignes de fractures stratégiques provoquées par la Révolution et l'Empire. Le système autrichien de défense "en cordon", de "vouloir tout couvrir", ou l'obsession "des boulangeries" y sont largement critiqués. Jomini démontre l'avantage à concentrer des forces sur une position centrale. L'intérêt de notre exemplaire en deuxième édition est la présence en fin de partie d'une conclusion en 1811 sous forme d'observations générales et d'un "Exposé des principes généraux sur lesquels l'art de la guerre repose" en 1816 (chapitre XL et dernier). Jomini avait rédigé ce chapitre à Posen en 1806. Il avait été imprimé pour la première fois dans une revue allemande en 1807. Jomini y développe treize principes "invariables", qui influencèrent profondément au XIXe siècle la pensée stratégique et les principes de la guerre. Elégante et très belle reliure, intérieur frais, étiquette de la librairie Roumanille (Avignon) au centre du premier contre plat.Très bon exemplaire.(B49) Size: 13 x 20,5.

Huit volumes in-12 brochés, dos de papier dominoté, couverture de papier bleu-gris, étiquettes de l'époque de date et de tomaison, étiquette de titres manuscrite de l'époque sur le premier plat, pages non ébarbées, table à la fin de chaque partie, daté du 1 janvier au 15 décembre 1768, réunissant 8 tomes, composés chacun de 3 parties, par quinzaine, soit 24 parutions d'une égale pagination de 167 p. A noter entre autres les articles sur "Le Masque de fer" dans les tomes VI et VII. Le Journal Encyclopédique (1756 - 1793) a joué un rôle de premier plan dans la diffusion des Lumières en Europe. Pierre Rousseau (1716-1785), son fondateur, en a assuré le succès. Originaire de Toulouse, il monte à Paris, et tâte du journalisme dans un journal d'annonces. Très vite il se lie aux hommes de l'Encyclopédie et lance en janvier 1756 à Liège, puis à Bruxelles, loin de la censure de France, le Journal de l'Encyclopédie. Voltaire le soutient. Il s'installe définitivement à Bouillon, protégé par le duc de la Tour d'Auvergne, ami des Lumières. Le Journal lui restera dédié en page de titre avec les armoiries du duc. Il fonde en 1768 la Société Typographique de Bouillon avec son beau-frère, Charles-Auguste Weissenbruch, mari également de la fille du libraire Marc Michel Rey, éditeur par ailleurs de Jean-Jacques Rousseau. L'entreprise prospère et diffuse les idées des Lumières aux marges du royaume de France. L'historien américain Robert Darnton évoque le parcours remarquable de Pierre Rousseau, du littérateur toulousain laborieux, au "Libraire-Philosophe". Le Journal parait deux fois par mois et publie des extraits d'ouvrages, des traités, des comptes rendus, des nouvelles politiques, des "réponses à" et couvre la littérature, les arts, les sciences, la médecine., souvent avec une approche internationale. Les collections complètes sont rares et le Journal de l'Encyclopédie reste une source importante pour l'histoire des Lumières en Europe, mais plus largement pour celle des idées et de la science au XVIIIème siècle. Dos en bon état, tranches non ébarbées poussiéreuses, globalement intérieur frais. Peu fréquent. (DromB43) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Size: 12 x 19.

Huit volumes in-12 brochés, dos de papier dominoté, couverture de papier bleu-gris, étiquettes de l'époque de date et de tomaison, étiquettes de titres manuscrites de l'époque sur le premier plat, pages non ébarbées, table à la fin de chaque partie, daté du 1 janvier au 15 décembre 1777, réunissant 8 tomes, composés chacun de 3 parties, par quinzaine, soit 24 parutions d'une égale pagination d'environ 190 p. Le Journal Encyclopédique (1756 - 1793) a joué un rôle de premier plan dans la diffusion des Lumières en Europe. Pierre Rousseau (1716-1785), son fondateur, en a assuré le succès. Originaire de Toulouse, il monte à Paris, et tâte du journalisme dans un journal d'annonces. Très vite il se lie aux hommes de l'Encyclopédie et lance en janvier 1756 à Liège, puis à Bruxelles, loin de la censure de France, le Journal de l'Encyclopédie. Voltaire le soutient. Il s'installe définitivement à Bouillon, protégé par le duc de la Tour d'Auvergne, ami des Lumières. Le Journal lui restera dédié en page de titre avec les armoiries du duc. Il fonde en 1768 la Société Typographique de Bouillon avec son beau-frère, Charles-Auguste Weissenbruch, mari également de la fille du libraire Marc Michel Rey, éditeur par ailleurs de Jean-Jacques Rousseau. L'entreprise prospère et diffuse les idées des Lumières aux marges du royaume de France. L'historien américain Robert Darnton évoque le parcours remarquable de Pierre Rousseau, du littérateur toulousain laborieux, au "Libraire-Philosophe". Le Journal parait deux fois par mois et publie des extraits d'ouvrages, des traités, des comptes rendus, des nouvelles politiques, des "réponses à" et couvre la littérature, les arts, les sciences, la médecine., souvent avec une approche internationale. Les collections complètes sont rares et le Journal de l'Encyclopédie reste une source importante pour l'histoire des Lumières en Europe, mais plus largement pour celle des idées et de la science au XVIIIème siècle. Dos en bon état avec quelques petits manques, taches sur la couverture du tome II, trois premières pages de la partie III du tome IV rognées dans l'angle supérieur, tranches non ébarbées poussiéreuses, globalement bon intérieur. Peu fréquent. (DromB43) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Size: 12 x 19.

Grand in-8, reliure demi-veau noir de l'époque, dos à quatre nerfs orné de quatre fleurons dorés, pièce de titre, auteur et titre dorés, plats de percaline noire, gardes marbrées, 368-VIII pp. Tables des noms de lieux et des noms de famille. Tiré à 80 exemplaires. Ouvrage de référence publié sous le pseudonyme de Jacques de Sornay, par l'érudit nivernais le comte Georges Richard de Soultrait (1822-1888). Il a été l un des fondateurs de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts en 1851. L'étude porte uniquement sur les monuments épigraphiques antérieurs à 1789, dans le cadre d'une approche cantonale et communale. Exemplaire en très bon état. Très rare.(VeiHome35) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Size: 16 x 25.

Deux grands volumes in-8, reliure demi-chagrin noir de l'époque, dos à quatre nerfs, titre et tomaison dorés, plats de percaline noire, gardes marbrées, XXXV-282 et 312-[2] pp. 31 planches de blasons gravées sur acier. In fine dictionnaire héraldique, bibliographie, dictionnaire des principaux noms de fiefs. Le comte Georges Richard de Soultrait (1822-1888), né au château familial de Toury-Lurcy, était le fils d un officier de la Garde Impériale. Il a été l un des fondateurs de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts en 1851. Edition la plus complète de cet ouvrage de référence pour le Nivernais. Quelques petites marques d'usures à la couverture, légères rousseurs éparses. Bon exemplaire.(VeiB15) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Size: 18 x 27.

Alain Buyse, 1985. In-folio en feuilles sous coffret cartonné (40 x 30 cm), composition originale en relief de Gérard Duchêne au premier plat. Textes de Michel BUTOR, illustrations de Gérard DUCHÊNE, réalisé par Alain Buyse en sérigraphie sur papier Arches. EDITION ORIGINALE, celui-ci le n° 37 est l'un des 50 exemplaires comprenant 15 sérigraphies accompagnant les 15 textes de Michel Butor, après 10 ex. de tête et 3 H. C.- Signé au colophon par l'artiste. Très bel état. On joint une lettre autographe signée de Alain Buyse.

Flächen- und grenzkolorierter Kupferstich Atlas nouveau Pierre (Pieter) Mortier in Amsterdam 1696 87 x 54 (mit typogr. Titel), 87 x 52 (nur Karte) cm Druck von zwei Platten. Schönes, breitrandiges Blatt mit einigen Läsuren am Blattrand und Spuren eines Wasserschadens oben rechts Pierre (Pieter) Mortier d. Ä. (1661-1711) "verkreeg in 1690 het privilege om kaarten en atlassen van Franse uitgevers in Holland te verspreiden" (RKD - Netherlands Institute for Art History). - Diese Ausgabe weder bei Brüggemann noch bei Oelrichs. Geht auf die gleichnamige Karte bei Jaillot in Paris 1684 zurück. Der Atlas erschien bei Mortier 1696 mit eigenem Verlagsnamen (liegt hier vor), 1692 noch mit Jaillot als Verleger. "In 1692 Pierre Mortier published his first edition of the Jaillot atlas with 99 maps, another edition followed in 1696 with 111 maps. In 1707/1708 Mortier issued an edition with 168 maps. Later editions by Mortier expanded the atlas even further - 1708, 200 maps; ca 1721, 300 maps; ca 1735, 400 maps. The atlas maps are large folio size with most maps made of two sheets." (Stanford Libraries). Die Verlagsbezeichnung "et Compagnie" wurde von Mortier bis 1711 verwendet.

Paris, Goupil & Cie, 1899 - in-folio, reliure cartonnée demi maroccain à coins, filets dorés sur les coins, titre doré sur dos à nerfs orné de fleurons dorés, tranche supérieure dorée, 102 pages de texte, 100 planches hors texte (pleine page) en photogravure et à l'eau forte sous serpentes, ainsi q'un fac-smilé en couleurs - tirage de luxe, 1 des 400 exemplaires numérotés et tirés sur Hollande - Très bel ouvrage, reliure en excellent état, rousseurs éparses mais rarement génantes.

Paris, Goupil & Cie, 1897 - in-folio, reliure cartonnée demi maroccain à coins, filets dorés sur les coins, titre doré sur dos à nerfs orné de fleurons dorés, tranche supérieure dorée, 102 pages de texte, 100 planches hors texte (pleine page) en photogravure et à l'eau forte sous serpentes, ainsi q'un fac-smilé en couleurs - tirage de luxe, 1 des 450 exemplaires numérotés et tirés sur Hollande - Très bel ouvrage, 2 légres frottements sur la reliure (par ailleurs en excellent état), rousseurs éparses mais rarement génantes.

Paris, Goupil & Cie, 1898 - in-folio, reliure cartonnée demi maroccain à coins, filets dorés sur les coins, titre doré sur dos à nerfs orné de fleurons dorés, tranche supérieure dorée, 102 pages de texte, 100 planches hors texte (pleine page) en photogravure et à l'eau forte sous serpentes, ainsi q'un fac-smilé en couleurs - tirage de luxe, 1 des 425 exemplaires numérotés et tirés sur Hollande - Très bel ouvrage, reliure en excellent état, rousseurs éparses mais rarement génantes.

Paris, Société française d'éditions professionnelles, médicales et scientifiques, Albin Michel / Laffont / Tchou, 1977-80. Collection dirigée par Jacques Poulet, Jean-Charles Sournia et Marcel Martiny. 8 vol. in-4 reliés skivertex marron clair, médaillon de bronze sur les 1ers plats, têtes dorées, chaque vol. sous emboîtage toile. Nombreuses illustrations en couleurs. Quelque 400 pages par volume. Les dos, mis côte à côte, restituent le titre, lettrage doré.Complet des 8 volumes, ensemble en parfait état.

Paris,Veuve Desaint en 1786. 9 vols.in-12 en veau raciné d'époque. Tranches rouges. Pièces de titre et de tomaison. Dos orné. Seconde édition corrigée et augmentée. Contenant l'Histoire et les Anecdotes les plus singulières de l'Italie.Bon état. Ex-libris "Bibliothèque du Château de Louppy".

Etat : Assez bon. Livre 1646, Jean Ribou, in-8 plein cuir noir de 411 pages, titrage doré sur dos à 5 nerfs, Le nouveau et scavant mareschal, qui enseigne à connaitre toutes les maladies des chevaux, et la manière de les guérir en peu de temps, ensemble un nouveau traité du haras pour eslever de beaux et bons chevaux avec un nouvel art de la bien embouscher, le tout enrichi de figures. Gravures présentes dans l'ouvrage : «Figure des veines du corps du cheval «, «Figure des os du cheval » + une en frontispice | Etat : Mauvais état et pourtant correct pour son age, mors avant complètement craqué, couverture usée avec quelques manques notamment aux coins, quelques pages abimées, quelques traces d'humidité (Ref.: G6425). Livre.

Etat : Assez bon. Livre 1894, C. Nizet, in-folio mi-cuir à coins noir non paginé, couverture marbrée, titrage doré sur pièce de cuir au dos à 5 nerfs, nombreuses illustrations, L'?uvre de Philibert de l'Orme, comprenant le premier tome de l'Architecture et les nouvelles inventions pour bien bâtir et à petits frais, reproductions en fac-similé par les procédés Motteroz, ouvrage signé de la main de C. NIZET «à mon cher confrère Paumier en souvenir de mes pérégrinations espagnoles, avril 1904, Nizet « | Etat : Assez bon état, quelques frottements sur le cuir, mors fendus, coiffes légèrement usées (Ref.: G7404). Livre.

Edición original. Ouvrage remarquable qui renferme des details intéressants sur les faits d'armes don l'Italie fut alors le thêatre; on sait que Mangourit, zélé franc-maçon, et commissaire des relations extérieures à Ancône, négocia la capitulation de cette place losqu'elle se rendit en 1799. XVI-318 páginas; 2 hojas (portadilla y portada), 302 páginas, 1 hoja. 14 estados plegados, 1 hoja de música. 5 láminas ilustran la obra: 1ª, el retrato del general Monnier, dibujado por Barbier l'aîné, y grabado por Ch. E. Gaucher; 2ª, Plano plegado: Topographie des gestes de Don Monnier dans les Dts. Adriatiques de la Rque. Romaine. Grabado por Tardieu; 3ª, Bombardement des port et ville d'Ancone; 4ª, Vista panorámica plegada (40x20 cm.): Vue prise le 17 Brumaire an 8, des tranchées et postes occupées par les Autrichiens, les Ruses, les Turcs et les insurgés, devant Ancone assiégee.Gravé par Letellier; 5ª. Arc triomphal de Trajan, gravé par de la Porte. Encuadernación de la época en media piel y cartoné color rosa, cortes pintados. Magnífico ejemplar. 2 volúmenes. 21x13 cm.

4°. M. 7 ganzs. Illustr. nach Radierungen v. (Almery) Lobel-Riche u.1 Taf. 199 S., 7 Bll. Hellbrauner Maroquinbd. m. farb. Lederapplikation , Tupfpapiervors. u. gepunzten Graphit eingefärbten Schnitt in Lwd.-Kassette m. Ldr.-RSchild. Nr. 312 v. 1000 Exempl. auf Velin d'Arches in unikaten Einband v. d. amerikan. Buchbinderin Constance K. Wozny im Druckverm. signiert. Exemplar f.d. 7. "Biennale Mondiale de la Reliure d'Art" 2003 , zur Förderung d. Kunst des Buchbindens wird alle 2 Jahre ein Titel der franz. Literatur ausgewäht und d. Teilnehmern zur Verfügung gestellt. - P. Benoit (1886 - 1962), franz. Schriftsteller u. Mitglied d. Academie Francaise, Präsident d. "Societe des gens de lettres". Für obigen Roman (dt.:"Die Königin von Atlantis" erhielt er d. "Grand Prixe d.Roman". Sein berühmtestes Werk "Königsmark" wurde 4 x verfilmt. - Almery Lobel-Riche (1880 - 1950), franz. Maler u. Kupferstecher, illustr. zahlr. Bücher u.a. v. Baudelaire, verlaine, Maupassant u. Flaubert. - Constance K. Wozny war Schülerin v. Tini Miura u. ist Mitglied d. "Society of Bookbinders".

Lausanne, André et Pierre Gonin, 1960, In-4, en feuilles, sous chemise cartonnée, dos en vélin titré, et étui de l'éditeur en papier gris illustré de têtes de chats, non paginé. Edition française tirée à 270 exemplaires numérotés, celui-ci sur vélin de Rives, signé par les éditeurs et imprimé spécialement pour Monsieur Schnaidt.Les lithographies en couleurs dessinées sur la pierre par Hans Fischer en 1957 ont été tirées dans les ateliers des Arts Graphiques J.-E. Wolfensberger à Zürich. Livres.

A Paris, Lucien Vogel, New York et Londres, Conde Nast pub., Genève, Naville & Cie, Buenos-Ayres, Rodriguez Giles et Cie, 1921, In-8, en feuilles, sous chemise éditeur. " Romances" par Marcel Astruc, " Et in Arcadia ego" par Gilbert Charles, " Musique de ce temps" par G.-A. Masson, " Mémoire instructif sur les modes, les femmes leurs robes et leur couturier" par Ramon-Fernandez, " Eclaircissements sur l'affaire Putiphar-Joseph" par Capitaine George Cecil et " Venise 1921" et Gérard Bauër.Dessins de Ch. Martin, George Barbier, Pierre Mourgue et Bénito.Planches hors-texte de Ch. Martin, Woodruff, Georges Lepape, André Marty, George Barbier, Siméon, Zenker et Pierre Brissaud. Livres.

Contenant la description de ces oiseaux, la manière de les élever, de les multiplier, de les nourrir, de les traiter dans leurs maladies, & d'en tirer profit, tant pour nos aliments, que pour nos médicaments, & pour les différents arts & métiers.Liège, chez F.J. Desoer, 1777.In-12 de XXVI+ (3) ff.+ 312 pp.Plein veau, dos à nerfs orné de caissons et de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, filet doré sur les coupes, tranches rouges. Reliure de l'époque.Une trace de choc sur un coin.Buc'hoz (1731-1807), originaire de Lorraine, fut médecin du roi Stanislas de Pologne, avant d'enseigner la botanique à Nancy. Superbe exemplaire, particulièrement bien conservé dans sa reliure caractéristique de l'époque.

Dietrich Langko mußte trotz seiner großen Neigung zur Kunst vorerst bei einem Stuben- und Decorationsmaler in die Lehre und als Geselle sein Brot verdienen. Doch zeichnete er in den Freistunden nach Radirungen niederländischer Meister, nach Waterloo, Swaneveld u. A., bis er nach fünfjährigen Mühen durch die Brüder Jakob (1808, 1845) und Martin Gensler (1811, 1881), welche außer dem Genrebild sich auch mit der Landschaft beschäftigten, den ersten Unterricht im Malen erhielt. Beide hatten auch schon Süddeutschland bereist und wußten ihm von da und der Stadt an der Isar vieles zu erzählen. Vorerst mußte sich L. freilich mit den Marschgegenden Hannovers begnügen, die ihm zu seinen ersten Bildern die Motive boten und auch später noch ernstlich beschäftigten. Erst im Sommer gelang es ihm nach dem vielberühmten München zu kommen, wo eine gute Zahl seiner Landsleute, wie Karl Marr, Konrad Hoff, Lichtenheld, Bernhard Stange u. A. schon in voller Thätigkeit waren und nach dem Vorgange von Albert Zimmermann und dessen Brüdern, mit Rottmann, Eduard Schleich um die Wette im eifrigsten Schaffen sich bewährten. L., angefeuert von diesen Genossen, förderte sich rasch, so daß schon 1842 eine Landschaft im Kunstverein angekauft wurde. Der Uebergang war ihm nicht leicht geworden, es gab noch schwere Kämpfe und Entbehrungen aller Art: aber Ausdauer, Fleiß und Begeisterung, das aneifernde Vorbild so vieler Gleichstrebenden, voraus die unerschöpfliche Schönheit des Landes: das alles wirkte trotz der unglaublichen Armuth mächtig zusammen auf diese fröhliche Jugend, die im künstlerischen ehrgeizigen Schaffen die höchste Befriedigung fand. Die oberbairische Hochebene mit ihren wechselnden Beleuchtungen und überraschenden Lichteffecten, die herrlichen Buchen- und Eichenwälder an den Geländen der Würm und des Starnbergersee, noch mehr der Ausblick von dem schön gelegenen Polling und Eberfing, wo sich die jugendliche Malercolonie niedergelassen hatte (deren Geschichte immer noch ungeschrieben ist, während die Worpsweder" und Dachauer" schon eingehende Monographien gefunden haben), fesselten ihn ebenso mächtig, wie die Erinnerungen an die heimathliche Elbe, die in seinen Bildern immer wieder neue Bearbeitung fanden. Der ganze Edelsinn seines Charakters spricht aus Langko s großartig concipirten, ebenmäßig durchgedichteten Schöpfungen, mochten es Wasserflächen sein, in welchen sich der Mond spiegelt oder von der Sonne durchleuchtete Waldpartien, auch die weiten Vorebenen mit den fernen Bergen: immer klingt daran die gleiche, ernste Ruhe, süße Melancholie und großartige Auffassung der Natur, wie in Eichendorff s Liedern. Im steten Wechsel zwischen Süd und Nord liebte L., ebenso wie E. Schleich, die Wirkung des von Wolkenschichten gebrochenen Sonnenlichts in allen möglichen Varianten darzustellen. Aehnliche Motive fanden sich überall, ebenso am lieblichen Chiemsee, wie an den trüben Moorflächen bei Königsdorf. In seiner Weise ein wahrer Poet entdeckte L. in den Isarauen, im Englischen Garten" und an der Thalkirchner Landstraße den verklärenden Zauber von Farben und Linien. Zur Abwechslung malte L. auch Schneelandschaften, so einen Wintermorgen" (1852), eine Waldpartie im Winter" (1853) u. dgl. Die neuere, coloristische Richtung übte nach E. Schleich s Beispiel auf L. bedeutenden Einfluß, ohne indessen im Charakter seiner Dichtungen und in der Feinheit der Stimmung etwas zu ändern, auch wurde sein Vortrag freier und breiter. Um sich vor Einseitigkeit und Manier zu schützen, zugleich aber aus allen fortschreitenden Erfahrungen Nutzen zu ziehen und sich zu jüngen, besuchte L. gerne die auswärtigen Expositionen in Paris, Brüssel und Antwerpen, wo seine Bilder längst schon ein ehrendes Gastrecht gefunden hatten. In München betheiligte er sich an allen Fragen, Controversen und Anliegen der Kunstgenossenschaft, opferte auch bereitwillig seine gute Zeit bei undankbaren Hängecommissionen und breitgezogenen Sitzungen, entzog sich keinem wahren Freunde der Kunst, der neue Einsicht brachte oder Belehrung wünschte. Die charakteristische Eigenthümlichkeit seiner Kunst besteht, wie A. Rosenberg bemerkt in einer seinen, stimmungsvollen Beleuchtung von gebrochenem Sonnenlicht, Abendroth oder Mondschein". Zu seinen Meisterleistungen gehört eine Mondnacht an der Elbe" und An der Maas bei Dortrecht", eine Canal-Ansicht von Schleißheim, Sonnenuntergang im Moorland", eine Abendlandschaft aus dem altbairischen Haespelmoor, darunter auch zwei Bilder in der Neuen Pinakothek: Partie bei München" und ein Waldende". Sein klarer Charakter und das neidlose Anerkennen wahrer Verdienste gewannen dem edlen, einfachen Mann ebenso viele aufrichtige Freunde und Verehrer wie seine adäquate Kunst. Den schönen Lebensabend des immer thätigen Künstlers trübte eine Verdüsterung des Augenlichts, welches er durch eine glückliche Operation wieder erhielt. Dann zog er sich, tactvoll wie immer, mit eigenen Schöpfungen aus der Oeffentlichkeit zurück und endete nach kurzer Krankheit. Den ganzen Erwerb seines Lebens stiftete er zur Münchener Künstlergenossenschaft. Ein Theil seiner Studien, Skizzen, Zeichnungen und Bilder wurde im Januar 1898 im Münchener Kunstverein ausgeboten, am ersten Tage schon war alles ausverkauft und in feste Hand gebracht. [Allgemeine Deutsche Biographie; herausgegeben von der Historischen Kommission bei der Bayerischen Akademie der Wissenschaften; Band 51 (1906) pp. 589 590].

Paris, Société d'Editions Géographiques, Martimes et Coloniales, 1924-1926 3 vol. réunis en un fort vol. in-4, reliure moderne en toile écrue, dos lisse titré en noir, couvertures conservées, 348p, illustrés comme suit: 86 fig. in-texte, 32 planches dans le texte, plusieurs dépl., XXXV planches h.-t. tirées en héliogravure sépia ou en noir. On joint les tables volantes du Tome I. /100E Très bonne condition - Very fine.

der seltenen Kasette "Träume des BIP" mit einem 4-seitigen Textblatt und 8 Lithographien in Handdrucken; Bernried 1968 [Marcel Marceau wuchs in Straßburg mit dem Familiennamen Mangel als Sohn eines jüdischen Metzgers auf. Sein Vater wurde von der Gestapo verhaftet und in Auschwitz ermordet. Schon während seiner Jugend fiel er dadurch auf, dass er wenig sprach und seine Eindrücke und Ideen lieber durch Mimik und Gestik ausdrückte. Die großen Stummfilm-Stars wie Charlie Chaplin und Buster Keaton weckten schon früh sein Interesse für die Schauspielbühne, um die "Kunst der Stille" (L'Art du Silence) zu seinem Beruf zu machen. Der Besuch der Schauspielschule wurde aber durch die Wirren des 2. Weltkriegs zunächst verzögert. 1942 schloß er sich in Limoges der französischen Widerstandsbewegung an und kämpfte später als Angehöriger der französischen Armee gegen die deutschen Besatzer. In dieser Zeit änderte er seinen Namen in Marceau und behielt ihn nach dem Krieg zur Erinnerung bei. Die Kriegserfahrung lehrte ihm wichtige Charakterzüge der Pantomime: Das Leben im Versteck, die erzwungene Stille, die Angst, sich zu verraten. Seine Ur-Szene spielte Marceau wohl bereits 1944, als er in der Pariser Metro von der Gestapo aufgegriffen wurde. Als ein gesuchter jüdischer Widerstandskämpfer mit falschen Papieren unterdrückte er seine Angst und gab die Rolle des harmlosen Zivilisten. Hier erkannte er den Wert körperlicher Selbstbeherrschung. 1946 begann er seine Ausbildung im Pariser Sarah Bernhardt Theater. Seine Lehrer waren Charles Dullin und Etienne Decroux, der auch Lehrer von Jean-Louis Barrault war. An der Seite von Barrault spielte er auf der Bühne den "Harlekin" in der Pantomime Baptiste nach dem Film "Kinder des Olymp". Die positive Kritik ermutigte ihn, eigene Mimodramen aufzuführen. 1947, im Alter von 24 Jahren, trat Marceau in Paris zum ersten Mal als "Monsieur Bip" auf. In dieser Clown-Rolle, die ihn weltberühmt machte, tourte er über 40 Jahre lang um den Globus. Die von ihm gegründete Compagnie de Mime Marcel Marceau war einzigartig auf der Welt und führte zahlreiche bekannte Theaterstücke als Mimodramen auf, u.a. Gogols Der Mantel und Tirsa de Molinas Don Juan. Seinen internationalen Durchbruch schaffte er schließlich in Deutschland. 1951 plante er ein viertägiges Gastspiel in Berlin, blieb dann aber für zwei Monate. Zu seinen Aufführungen kamen auch Bertolt Brecht und der Kritiker Friedrich Luft, der hinterher schrieb "Marceau macht eine neue Kunst, das muss man gesehen haben." Ähnlich erging es ihm 1955 bei seiner ersten Amerika-Tournee. Aus einem zweiwöchigen Gastspiel wurde eine sechsmonatige Erfolgstournee zwischen Broadway und Hollywood. In dieser Zeit lernte er auch seine Idole Charles Laughton, Buster Keaton, Stan Laurel, Oliver Hardy und die Marx Brothers persönlich kennen. Seinem größten Vorbild, Charlie Chaplin, begegnete er 1967 am Pariser Flughafen Orly. Seit den 1960er Jahren wurde er auch durch Solo-Auftritte über das Fernsehen bekannt. Neben seinen Tourneen und Fernsehauftritten kümmerte sich Marceau auch um den Nachwuchs. 1978 gründete er mit Hilfe des damaligen Pariser Bürgermeisters Jacques Chirac die kleine Schauspielschule Ecole International de Mimodrame de Paris, Marcel Marceau, in der nicht nur Pantomime, sondern auch Klassischer Tanz, Fechten und Schauspiel ausgebildet wurde. Mit den besten Absolventen formierte er 1993 eine neue Truppe, die Nouvelle Compagnie de Mimodrame. Erfolg hatte Marceau auch als Maler und Zeichner. Seine Werke wurden u.a. in Deutschland, Frankreich, Japan und in den USA gezeigt. Zudem schrieb er mehrere Bücher, darunter Die Geschichte des Bip und Pimporello, die Geschichte eines alten Straßenmimen und dessen Zuneigung zu einem kleinen verwilderten Mädchen, eine Hommage an Charlie Chaplin's The Kid.].

der seltenen Kasette "Träume des BIP" mit einem 4-seitigen Textblatt und 8 Lithographien in Handdrucken; Bernried 1968 [Marcel Marceau wuchs in Straßburg mit dem Familiennamen Mangel als Sohn eines jüdischen Metzgers auf. Sein Vater wurde von der Gestapo verhaftet und in Auschwitz ermordet. Schon während seiner Jugend fiel er dadurch auf, dass er wenig sprach und seine Eindrücke und Ideen lieber durch Mimik und Gestik ausdrückte. Die großen Stummfilm-Stars wie Charlie Chaplin und Buster Keaton weckten schon früh sein Interesse für die Schauspielbühne, um die "Kunst der Stille" (L'Art du Silence) zu seinem Beruf zu machen. Der Besuch der Schauspielschule wurde aber durch die Wirren des 2. Weltkriegs zunächst verzögert. 1942 schloß er sich in Limoges der französischen Widerstandsbewegung an und kämpfte später als Angehöriger der französischen Armee gegen die deutschen Besatzer. In dieser Zeit änderte er seinen Namen in Marceau und behielt ihn nach dem Krieg zur Erinnerung bei. Die Kriegserfahrung lehrte ihm wichtige Charakterzüge der Pantomime: Das Leben im Versteck, die erzwungene Stille, die Angst, sich zu verraten. Seine Ur-Szene spielte Marceau wohl bereits 1944, als er in der Pariser Metro von der Gestapo aufgegriffen wurde. Als ein gesuchter jüdischer Widerstandskämpfer mit falschen Papieren unterdrückte er seine Angst und gab die Rolle des harmlosen Zivilisten. Hier erkannte er den Wert körperlicher Selbstbeherrschung. 1946 begann er seine Ausbildung im Pariser Sarah Bernhardt Theater. Seine Lehrer waren Charles Dullin und Etienne Decroux, der auch Lehrer von Jean-Louis Barrault war. An der Seite von Barrault spielte er auf der Bühne den "Harlekin" in der Pantomime Baptiste nach dem Film "Kinder des Olymp". Die positive Kritik ermutigte ihn, eigene Mimodramen aufzuführen. 1947, im Alter von 24 Jahren, trat Marceau in Paris zum ersten Mal als "Monsieur Bip" auf. In dieser Clown-Rolle, die ihn weltberühmt machte, tourte er über 40 Jahre lang um den Globus. Die von ihm gegründete Compagnie de Mime Marcel Marceau war einzigartig auf der Welt und führte zahlreiche bekannte Theaterstücke als Mimodramen auf, u.a. Gogols Der Mantel und Tirsa de Molinas Don Juan. Seinen internationalen Durchbruch schaffte er schließlich in Deutschland. 1951 plante er ein viertägiges Gastspiel in Berlin, blieb dann aber für zwei Monate. Zu seinen Aufführungen kamen auch Bertolt Brecht und der Kritiker Friedrich Luft, der hinterher schrieb "Marceau macht eine neue Kunst, das muss man gesehen haben." Ähnlich erging es ihm 1955 bei seiner ersten Amerika-Tournee. Aus einem zweiwöchigen Gastspiel wurde eine sechsmonatige Erfolgstournee zwischen Broadway und Hollywood. In dieser Zeit lernte er auch seine Idole Charles Laughton, Buster Keaton, Stan Laurel, Oliver Hardy und die Marx Brothers persönlich kennen. Seinem größten Vorbild, Charlie Chaplin, begegnete er 1967 am Pariser Flughafen Orly. Seit den 1960er Jahren wurde er auch durch Solo-Auftritte über das Fernsehen bekannt. Neben seinen Tourneen und Fernsehauftritten kümmerte sich Marceau auch um den Nachwuchs. 1978 gründete er mit Hilfe des damaligen Pariser Bürgermeisters Jacques Chirac die kleine Schauspielschule Ecole International de Mimodrame de Paris, Marcel Marceau, in der nicht nur Pantomime, sondern auch Klassischer Tanz, Fechten und Schauspiel ausgebildet wurde. Mit den besten Absolventen formierte er 1993 eine neue Truppe, die Nouvelle Compagnie de Mimodrame. Erfolg hatte Marceau auch als Maler und Zeichner. Seine Werke wurden u.a. in Deutschland, Frankreich, Japan und in den USA gezeigt. Zudem schrieb er mehrere Bücher, darunter Die Geschichte des Bip und Pimporello, die Geschichte eines alten Straßenmimen und dessen Zuneigung zu einem kleinen verwilderten Mädchen, eine Hommage an Charlie Chaplin's The Kid.].

Milano, Bestetti, 1937. 2 vol. in-folio, cart. d'édition, dos lisse, orné de fleurons dorés à l'aigle et fleurs de lys, gardes moirées, vol. I: front.-68pp.-311pl. vol. II: 292 pl. (dont 24 pl. en couleurs). Etiquette ex-libris en page de garde. Reproduction en fac-similé de la bible manuscrite enluminée du XVe siècle de Borso d'Est. La Bible originale se trouve à la Bibliothèque Estense de Modène. /110F Mors du T.I fendu, plats un peu salies, bonne condition.

Paris, Firmin Didot frères, 1845. In-folio, reliure de l'époque demi-basane noire, dos lisse, titre doré, tranches mouchetées de noir, 28pp., 26 planches gravées. Bel album de 26 PLANCHES GRAVEES EN TAILLE-DOUCE par plusieurs artistes sous la direction de l'architecte qui acheva la construction du monument. / Manques au dos, épidermures, quelques rousseurs, 2 mouillures marginales affectant qqs gravures.

Lyon, A. Laurens, 1720. Pet. in-8, rel. de l'ép. pleine bas. blonde, dos à 5 nerfs rehaussés d'une roulette dorée, titre doré, caissons dorés fleurdelisés, filet doré et fleur de lys aux angles en encadrement sur les plats, roulette dorée sur les coupes, toutes tranches dorées ; [4]ff.-316 pp.-[6]ff. (table). Bel exemplaire de ce recueil de lois à l'usage des marchands, maîtres et ouvriers drapiers de Lyon. Exemplaire de M. Mogniat, (échevin de la ville de Lyon en 1738 et 1739), avec sur le plat supérieur, la mention "Mr. Mogniat, échevin" frappée en lettres capitales d'imprimerie en or. Bel ex-libris armorié (Francisci-Mariae Mogniat) au contreplat. /bureau Petite galerie de ver en tête du dos (sans gravité), frottements superficiels.

In-fol., rel. post. (XIXe) demi-basane marbrée à coins, dos orné romantique, tranches rouges. 1) Introduction à la science du blason, s.l.n.d. (vers 1720), 8 planches gravées d'environ 60 blasons chaque, représentant les meubles et couleurs héraldiques dont plus de 400 armoiries de familles nobles, françaises principalement. 2) [Blason ou art héraldique], s.l.n.d. (vers 1720), 8 pl. gravées au bur.: nom des couronnes, des casques et ordres militaires, armes des états européens et des provinces françaises, allemandes, espagnoles, italiennes, suisses, néerlandaises. 3) Livre du blason contenant une ample explication des métaux et couleurs avec leurs significations?, s.d. (XVIIe), soit 16 cuivres de texte et de blasons (titre et ff. 5, 13, 19, 20 et 21 manquants) répartis sur 4 planches in-folio. 4) Méthode facile pour apprendre le blason, où l?on a joint les armes accollées des princes et princesses, ducs et duchesses?, par Jacques Chevillard, à Paris, chez Vanheck (1749), attribuée aussi à Vaneck et Gallays, avec 72 cuivres (titre compris), le tout frappé sur 18 planches. Ex-libris Docteur Eugène Olivier. /S22-23 Dos et coins frottés, bel exemplaire au demeurant.

Nouvelle édition corrigée et consideralement augmentée. 2 Teile in einem Band. 8°. Originalradierung als Frontispiz, XX, 217 S.; 2 nn. Bl., XV, 244 S. Grünes Halbleder der Zeit mit goldgeprägtem Rückentitel, leichter Rückenvergoldung und Blindprägung, goldener Löwe und Initialen W.L. auf Vorderdeckel, (gering beschabt). Eines der maßgeblichen Werkverzeichnisse der Radierungen Rembrandts, herausgegeben durch den Kunstliebhaber Claussin. - Mit der Radierung als Frontispiz nach einem Selbstporträt von Rembrandt, gestochen von Claussin. - Etwas stockfleckig. // 2 tomes en un volume. 8vo. Eau-forte original sur la page de frontispice, XX, 217 pp.; 2 nn. feuillets, XV, 244 pp. Reliure contemporaine en demi-cuir vert, titre doré sur le dos avec une dorure légère et fer à froid, un lion doré et des initials W.L. sur le plat, (légèrement frottée). L'un des catalogues principales des eaux-fortes de Rembrandt, édité par Monsieur Claussin, l'amateur d'art. - Avec l'eau-forte original sur la page de frontispiece. Légèrement piqué.