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  • Image du vendeur pour Très importantes et dernières archives en main privées comprenant manuscrits, tapuscrits, épreuves corrigées, tirés à part, éditions originales mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    EUR 138 000

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    couverture souple. - S.n., s.l. 1887, divers, 11 pages sur 7 feuillets pour les manuscrits + 4 feuillets pour la transcription. - | Uniques archives en mains privées du fondateur du libéralisme et de la science économique moderne | Exceptionnel ensemble d'archives manuscrites et imprimées - le dernier en mains privées - du fondateur du libéralisme et de la science économique moderne, Léon Walras, conservées et annotées par William Jaffé. L'un des 5 plus importants ensembles d'archives de celui que Schumpeter considérait comme le « plus grand de tous les économistes ». Cet ensemble de 42 documents d'importance, comprenant des manuscrits autographes complets, des épreuves corrigées, des tirés à part abondamment annotés, et des ouvrages imprimés enrichis, fut adressés par Aline Walras puis Gaston Leduc à William Jaffé qui ajouta sur certain ses notes autographes et établit grâce à eux la première traduction des Eléments d'Economie politique Pure. Léon Walras, inventeur de la théorie de l'équilibre économique, a en effet bouleversé la conception classique en imposant des équations mathématiques pour expliquer et influencer l'économie. Concomitamment avec Jevons et Menger, il fonde la théorie marginaliste, qui deviendra un pilier de la Science économique du XXeme siècle, comme le notait déjà à Milton Friedman, dans son essai consacré à Léon Walras à l'occasion de la traduction par Jaffé des Elements of Pure Economics : « it belongs on [any student's] "five foot shelf." [.] A person is not likely to be a good economist who does not have a firm command of Walrasian economics » (Milton Friedman) Malgré l'importance de la pensée de Léon Walras, les documents originaux, autographes ou imprimés du fondateur de l'Ecole de Lausanne, sont d'une extrême rareté, tant en mains privées, qu'en ventes publiques ou en institutions. *** PROVENANCE ET HISTOIRE DES ARCHIVES WALRAS Fondateur de la Science économique avec Stanley Jevons et Carl Menger, on lui attribue la paternité du Libéralisme, omettant généralement son engagement social et humaniste. La théorie de l'équilibre économique élaborée par Walras a en effet bouleversé la conception classique de l'Economie qui, depuis Smith, Riccardo et Marx fonde la valeur sur le travail nécessaire à la production et sur l'opposition des classes sociales. Malgré l'importance de la production de Léon Walras, les documents originaux, autographes ou imprimés de l'un des plus importants économistes de la fin du XIXème siècle sont d'une extrême rareté, tant en mains privées, qu'en ventes publiques ou en institutions. Cette extrême rareté a contribué à une méconnaissance du nom de Walras, cependant que les co-fondateurs de la théorie marginale, sont souvent présentés comme ses prédécesseurs. Or comme l'écrit l'historien de la pensée économique Mark Blaug : « La Théorie de l'économie politique de Jevons (1871) n'a pas été bien accueillie lors de sa parution, mais elle a été lue. Les Principes d'économie de Menger (1871) furent à la fois lus et bien accueillis, du moins dans son propre pays. Mais l'ouvrage en deux parties de Walras, Éléments d'économie pure (1844-1877), fut monstrueusement négligé partout. (.] Walras s'est fixé une tâche qui allait au-delà de Jevons et Menger, ses co-découvreurs de la théorie de l'utilité marginale, à savoir écrire et résoudre le premier modèle multi-équationnel d'équilibre général sur tous les marchés. De plus, Walras allait bien au-delà de Jevons en employant un mode d'exposition mathématique, ce qui suffisait à effrayer la plupart de ses lecteurs contemporains. Mais alors que Jevons et Menger sont désormais considérés comme des monuments historiques, rarement lus uniquement pour eux-mêmes, l'appréciation posthume de l' uvre monumentale de Walras s'est si nettement développée depuis les années 1930 qu'il est peut-être aujourd'hui l'économiste du XIXe siècle le plus lu après Ricardo et Marx, notamment depuis la traduction des Éléments en anglais en 1954. » (1) Ce n'est en effet que gr.

  • Image du vendeur pour Succinte et Tres veritable, & authentique relation de la decouverte, .de l'isle de terre-neuve, le grand Banc, & Banc-Jacquet mis en vente par Arader Galleries - AraderNYC

    EUR 86 416,70

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    GODALLES, Thomas Bonaventure. Succinte et Tres veritable, &c authentique relation de la decouverte, & frequentation, que habitation, &c parqui, & en quel temps, de l'isle de terre-neuve, le grand Banc, & Banc - Jacquet, &c. dressee selon le rapport qu'en sont tous les Historiens, & copitateurs de ces temps la, qui sont francois, Espagnols, Portugais, Anglois, Italiens, & Belges, qui traittent de touttes les anciennes decouvertes, qui ont estee faites, en faveur de la navigation, & des droits de chaque nation. A S. Malo: Par le demaine Godalles Cosmographe- & Inegenieur du Roy, & Hydrographe de - la ville & communaute de S. Malo, professeur aux Mathematiques, 1710. Small 4to., (8 6/8 x 5 6/8 inches). Fine frontispiece coat-of-arms of the dedicatee Monsieur de Beauvais Grout, in pen and ink and grisaille wash. 39-pages of close manuscript. FINE LARGE FOLDING ORIGINAL MANUSCRIPT CHART: "Plan Geometral de l'isle de terre-neuve &c du grand Banc, & Banc Jacquet, que des autres isles & Bancs, qui luy sont adjacens, a Bise proche la coste de la nouvelle France en l'Amerique Septentrionale" (22 4/8 x 25 inches), black and red pen and ink with colour wash in part and in outline, showing the area extending from latitude 41 south to 54 degrees north degrees southeastern coast of Labrador, the whole of Newfoundland and the many other smaller islands and sandbanks that surround it, with numerous coastal place-names, the title upper middle, decorated with a fine compass rose middle right, a scale lower left, and legend lower left, watermarkED "H Cusson" (long closed repair to the Atlantic Ocean to the right of Le Grand Banc, some residual staining from early repairs, framed separately). Contemporary panelled vellum, title in manuscript on the spine. Provenance: Dedicated to Nicolas Grout, Seigneur de Beauvais, Capitaine Garde-Costes, St. Malo (1666-1751), with his engraved armorial bookplate on the front past-down and his arms as frontispiece. This MAGNIFICENT ORIGINAL MANUSCRIPT CHART OF NEWFOUNDLAND AND ADJACENT COAST AND ISLANDS predates the only slightly more detailed map by Jacques Nicolas Bellin (1703-1772) "Partie Orientale de la Nouvelle France ou du Canada" of 1755, by 45 years, the nmost comprehensive map of the region to be published since Champlain's map of 1613. The Bibliothèque Nationale in Paris holds four manuscript coastal charts by Godalles, one also of Newfoundland "Carte de la coste angloise de Terre- Neuve", dated 1712 (map GE SH 18 PF 128 DIV 3 P 4) and one of the coast of Argentina, "Brève et démontrée relation de la nouvelle découverte d'un grand enfoncement ou baye en la coste occidentale de la terre de feu en l'Amérique méridionale", dated Saint Malo, 15 October 1717 (map GE SH 18 PF 168 DIV 11 P 1 D); "Plan géométral du port et fort de Plaisance", dated 1712 (map GE SH 18 PF 130 DIV 4 P 13); and "Plan géométral du port et fort de Plaisance" also dated 1712 (GE SH 18 PF 130 DIV 4 P 14 D). New France existed for 250 years, from the instigation by Cardinal Richelieu of The company of New France or the Company of the 100 Associates in 1627, but the English were the first to claim the territory shown in this map in 1606 when King James I accorded a charter to the Virginia Company for a large part of the Atlantic seaboard from 34 degrees north, north of Cape Fear, to 45 degrees, south of Bangor. Both nations were drawn to the plentiful fishing grounds on the Grand Banks off the coast of Newfoundland, and and the English established colonies along the Atlantic coast. "They also became tenacious explorers of the Northwest Passage, venturing from their Hudson Bay trading posts across the Arctic and finally reaching the Pacific Ocean. The French, convinced that they had made the best choice by colonising the Gulf of St. Lawrence and the St. Lawrence River, criss-crossed the interior of the continent, heading not only northward but also westward, as far as the foothills of the Rocky Mountains, and southward, to the.

  • Image du vendeur pour Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des Sciences, des Arts et des Métiers mis en vente par Pingel Rare Books

    DIDEROT & D?ALEMBERT

    Edité par Paris chez Briasson, David, Le Breton, Durand, Panckoucke, Stoupe et Brunet & Neuchatel chez Faulche & Amsterdam chez Rey

    Vendeur : Pingel Rare Books, Paris, France

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    EUR 65 000

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    Etat : A. 35 volumes in folio ; veau marbré, dos à 6 nerfs richement ornés de caissons à fleurons et motifs dorés, pièces de titre bordeaux et lavallière (pour les 5 volumes de supplément), pièces de tomaison lavallière et vert (pour les 5 volumes de supplément), tranches rouges (reliure de l'époque).Provenance : De la bibliothèque de Henri Anne Salomon de La Tullaye, Marquis de Magnanne, conseiller du roi Louis XV, avec son ex libris manuscrit « HAS De La Tullaye » sur les titres des premiers volumes.35 volumes in-folio comprenant 17 tomes de texte, 11 tomes de planches, 5 tomes de supplément dont 1 de planches et 2 tomes de Table analytiqueÉdition originale de l'un des plus importants ouvrages jamais publiés.Magistrale « entreprise éditoriale, philosophique et scientifique » du siècle des Lumières dont l'objectif était de rassembler, vulgariser, synthétiser les connaissances de l'époque et ainsi favoriser la diffusion de la philosophie des Lumières, l'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers fut éditée de 1751 à 1772 sous la direction de Diderot et d'Alembert qui s'entourèrent de plus de 150 collaborateurs français et étrangers : écrivains, philosophes, savants, dessinateurs, graveurs. Parmi les grands esprits de l'époque : Daubenton (histoire naturelle), Montesquieu (littérature), Rousseau (musique), Turgot (économie), . et bien entendu Diderot (histoire de la philosophie) et d'Alembert (mathématiques).Edité par souscription, ce Dictionnaire universel des arts et sciences devait comporter 10 volumes. La publication ayant été frappée d'interdiction temporaire en 1752, puis définitive en 1759 avec révocation du privilège royal, Diderot, afin de dédommager les souscripteurs, obtint un nouveau privilège pour l'édition d'un recueil de mille planches en taille-douce sur les sciences, les arts mécaniques. Onze volumes furent ainsi publiés entre 1762 et 1772. Les premiers volumes de texte (tomes I à VII) et planches (I à XI) parurent à l'adresse des libraires associés Le Breton, Briasson, David et Durand.L'élaboration de l'Encyclopédie se poursuivit entre-temps dans l'ombre. Dix volumes de texte (tomes VIII à XVII) furent imprimés de manière clandestine sous la direction du libraire Le Breton, sans privilège, à la fausse adresse de Samuel Faulche à Neuchâtel et à la date de 1765.En 1768, Panckoucke, libraire de l'Imprimerie royale et de l'Académie des sciences, racheta les droits et les cuivres aux libraires associés. Cinq volumes de Supplément dont un de planches furent publiés en 1776 et 1777, à Amsterdam chez Rey, et à Paris chez Panckoucke, Stoupe et Brunet sous la direction de J.B. Robinet. Les deux volumes de Table analytique par Pierre Mouchon parurent en 1780 à l'adresse de Panckoucke à Paris, et de Rey à Amsterdam.L'ensemble des 35 volumes de cette première encyclopédie française totalise 2 889 planches simples, doubles ou triples comptées 3 129, et plus de 18 000 pages de texte comprenant près de 74 000 articles. Son succès retentissant entraîna de nombreuses réimpressions et contrefaçons.Exemplaire dans une reliure en plein veau de l'époque relativement homogène, bien complet des 3129 planches dont une grande partie dépliantes (les planches doubles comptant pour 2, les triples pour 3 et les quadruples pour 4), du frontispice gravé par le Prévost d'après Cochin et du feuillet d'explication du frontispice livrés en 1772, des 3 planches supplémentaires de l'Hermaphrodite, des tableaux dépliants présents dans les tomes I, VII et VIII de texte, les tomes I, II et III du Supplément et le tome I de la Table analytique, des 2 ff. de « Table alphabétique des matières. » et du f. « Etat général des volumes de discours et de planches. » au tome XI de planches (in fine).Défauts aux reliures : quelques légères différences dans les reliures (pièces de tomaison différente pour les volumes 1, 2, 5 et 6 de texte), teinte légèrement plus claire pour les volumes 3, 5 et 6, quelques coiffes, queues et charnières usé.

  • Image du vendeur pour Le Diverse et Artifiose Machine. Nelle quali si contengono varii et industriosi Movimenti, degni di Grandissima Speculatione, per cavarne beneficio infinito in ogni sorte d'operatione mis en vente par SOPHIA RARE BOOKS

    EUR 62 412,06

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    First edition. DIBNER 173: RENAISSANCE MECHANICAL ENGINEERING A LANDMARK IN BOOK DESIGN. First edition, in a beautiful contemporary binding, of one of the most famous illustrated books of the sixteenth century and a landmark in book design. "The military engineer Agostino Ramelli produced a remarkable illustrated book in 1588 describing a large number of machines that he devised. Called Le diverse et artificiose machine del Capitano Agostino Ramelli (The various and ingenious machines of Captain Agostino Ramelli); this work had a great impact in the field of mechanical engineering. The book contains 195 superb engravings of various machines along with detailed descriptions of each one in both French and Italian" (Brashear). About half of the engravings depict hydraulic devices, the rest showing military machines as well as fountains, bridges, cranes, foundry equipment, etc., and a smattering of innovative devices such as the famous 'reading wheel' or the bouquet with artificial singing birds. In addition to weapons, 13 chapters are devoted to machines for breaking and entering - forcing doors, lifting doors off their hinges, cutting through metal fences - and all of which Ramelli insists can be accomplished without the perpetrator being discovered! "The plates in Ramelli's treatise are artistically as well as technologically superb, the bilingual text beautifully printed, and both plates and text surrounded by handsome borders of typographic ornaments. The reasons for this sumptuousness were twofold: first Ramelli had dedicated the book to his patron Henri III; and second, he had previously had several designs stolen from him by a trusted associate (probably Ambroise Bachot, later engineer to Henri IV), who published them in corrupt and mutilated form and claimed them as his own. As a result of this experience Ramelli planned his treatise as a particularly lavish work that would be difficult to counterfeit, and produced and published it from his own house where he could maintain absolute control over the project" (Norman). Together with Agricola's De Re Metallica (1556), Ramelli's work was the most influential and copied of all the early illustrated manuals of inventions and machines. Its influence was felt in such later works as Böckler's Theatrum machinarum (1662), and it was even copied in China, where it had been taken by Jesuit missionaries. Provenance: Girolamo Cosmi Rovereto (Ownership signature on the title); Roger Paultre (small label on fly leaf - see his Catalogue, Grands siècles et grandes images, 1993, no. 247). "Ramelli was born in northern Italy, probably in 1531. As a young man he served under the famous Italian warlord, Gian Giacomo de' Medici, Marquis of Marignano, and became trained in mathematics and military engineering. His reputation grew and he eventually left for France to serve under the Duke of Anjou, later King Henry III. His year of death is unknown and usually given as 'circa 1600,' but since documents exist to show that he was still alive in 1608, circa 1610 is a more realistic approximation. "Ramelli was greatly influenced by the increasing importance placed on mathematics and geometry as an important tool for engineers and artists, and particularly by the writings of Guidobaldo del Monte (1545-1607) and Petrus Ramus (1515-1572). Ramelli's interest in mathematics is demonstrated in the preface to his book, 'On the excellence of mathematics in which is shown how necessary mathematics are for learning all the liberal arts.' Ramelli also wanted to make his book accessible to many engineers so, as an Italian living in France, he produced both Italian and French descriptions of the machines. "The book itself is a fine example of the exquisite work of late sixteenth-century French printers and artists. It is a large book in folio format thus allowing great detail to be placed in the numerous engraved plates which total 195 in all (although plates 148 and 149 are combined into one image). Twenty of the plates are two-page spreads. Ramelli's bilingual descriptions are much more detailed than those found in previous illustrated books of machines (popularly called 'theaters of machines') by Jacques Besson (Theatrum instrumentorum et machinarum, 1569) and Jean Errard de Bar-le-Duc (Le premier livre des instruments mathématiques mechaniques, 1584). "Ramelli's book had a great influence on future mechanical engineering as can be see in Georg Andreas Böckler's work, Theatrum machinarum novum, 1662, where he copied eighteen of Ramelli's plates. Ramelli's influence can also be seen in the well-known works of Grollier de Servière (Recueil d'ouvrages curieux de mathematique et de mecanique, 1719) and Jacob Leupold (the multi-volume set Theatrum machinarum, 1724-1739). Leupold's work helped pass along Ramelli's ideas to a large population of eighteenth-century engineers. "Of the 195 machines pictured in the book, the majority are of devices designed to raise water. The breakdown is as follows: 110 Water-raising machines 21 Grain mills 4 Other mills 10 Cranes 7 Machines for dragging large objects 2 Machines to raise excavated earth 2 Cofferdams 4 Fountains and artificial bird-calls 1 Book wheel 15 Military bridges 14 Screw jacks and other breaking devices 4 Hurling engines 1 Gunner's quadrant "Bachot was an apprentice and assistant to Ramelli, eventually becoming an architect and engineer to King Henry IV. As described in Gnudi's introduction to her translation of Ramelli, during the sixteen years he spent with Ramelli, Bachot learned a great deal about engineering but had a falling out with the elder engineer and attempted to pass off some of Ramelli's machine designs as his own in an attempt to gain patronage. These designs were published in 1587 in a book by Bachot, Le Timon, and the similarity in style between Bachot's engravings and Ramelli's is impressive. After intense research, Gnudi concluded that Bachot engraved the plates for his own work and most of those produced for Ramelli's.

  • Image du vendeur pour Mémoires mathématiques ou enseignement nécessaire tant pour la géométrie, construction des fortifications, que d'autres sciences mathématiques mis en vente par Hugues de Latude

    EUR 60 000

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    EUR 35 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    *** Magnifique manuscrit inédit, écrit à l'encre brune et rouge, illustré de très nombreuses figures à la plume et de 40 peintures à mi-page. Ces aquarelles sont très certainement l'oeuvre d'un artiste professionnel. Minutieuses, d'un coloris vif, elles représentent des paysages, souvent en bord de mer, avec des châteaux, des églises, des moulins. et sont animées à l'occasion de personnages. C'est ici l'oeuvre d'un gentilhomme militaire dans les Flandres (françaises ou belges). Dans ces paysages, qui sont manifestement imaginaires, des éléments de l'architecture flamande apparaissent : une maison, un clocher d'église à bulbe, un beffroi. D'après le style de la reliure, le papier, la calligraphie et l'orthographe, nous pouvons dater ce manuscrit du début du XVIIe siècle. Ce qui correspond aussi aux costumes des personnages que l'on voit sur les peintures. Ces "Mémoires mathématiques" commencent par des rudiments de géométrie, suivie d'une partie pratique, celle qui est illustrée des 40 peintures, puis, une partie sur la construction des forteresses, et enfin un "usage de la règle géométrique ou de proportion, dite de pantomètre". Filigranes : la lettre B dans un écu couronné et, en contremarque, un huchet surmonté d'un trait étoilé. Briquet reproduit sous le n° 8074 un filigrane très proche avec cette même contremarque sur un manuscrit de 1596, à Maëstricht. De nombreux feuillets sont restés blancs en début et fin d'ouvrage, et en tête de chaque partie. Remarquable manuscrit pour ses illustrations, sa calligraphie et sa splendide reliure. *** In-folio de (218) pp. Maroquin noir, dos à nerfs orné, sur les plats, un motif doré au centre en forme de losange, avec des encadrements doubles avec fleurons aux angles, tranches dorées. (Reliure de l'époque.) - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - * Unpublished manuscript illustrated by 40 splendid paintings. These watercolors are certainly the work of a professional. Detailed and brightly colored, they represent landscapes, often by the sea, with castles, churches, mills, etc., some animated by characters. This is the probable work of a military gentleman from Flanders (French or Belgian). In these landscapes, which are obviously imaginary, elements of Flemish architecture can be seen : a house, a bulbous church tower, a belfry. According to the style of the binding, the paper, the calligraphy and the handwriting, we can date this manuscript to the early 17th century. This also fits with the costumes of the characters that we see on the paintings. These "Mathematical Memoirs" begin with rudiments of geometry, followed by a practical part, the one illustrated in the 40 paintings, then, a part on the construction of fortresses, and finally a "use of the geometrical or proportional rule, called pantometer". Watermarks: the letter B in a crowned shield and, as a countermark, a huchet surmounted by a starry line. Briquet reproduces under n° 8074 a very close watermark with this same countermark on a manuscript of 1596, in Maëstricht. An outstanding manuscript for its illustrations and calligraphy. Splendid contemporary morroco binding. - -.

  • Image du vendeur pour Mémoires Mathématiques, Contenant ce en quoy s'est exercé le très-illustre, très-excellent Prince et Seigneur Maurice Prince d'Orange, Conte de Nassau . translate en François par Jean Tuning mis en vente par SOPHIA RARE BOOKS

    EUR 52 810,21

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    Hardcover. First edition. Double-entry bookkeeping. Very rare first edition in French of this collection of works, which was published almost simultaneously in Dutch, French and Latin. They deal, among other topics, with geometry, trigonometry, perspective, and double-entry book-keeping - Stevin was one of the first authors to compose a treatise on governmental accounting. The Appendice Algébraique, which Sarton called 'one of Stevin's most important publications,' is the first published general method of solving algebraic equations; it uses what is now called the 'intermediate value theorem,' a remarkable anticipation, as it was not rigorously formulated by mathematicians until the nineteenth century. All the works appearing in this volume were first published in this collection (with one exception, where the version here is the earliest extant - see below). Stevin (1548-1620) was perhaps the most original scientist of the second half of the 16th century (the major works of Galileo did not appear until the 17th century). "He was involved in geometry, algebra, arithmetic (pioneering a system of decimals), dynamics and statics, almost all branches of engineering and the theory of music" (Kemp, p. 113). "Stevin unconditionally supported [the Copernican system], several years before Galileo and at a time when few other scientists could bring themselves to do likewise" (DSB XIII: 48). In 1593 Prince Maurice of Nassau (1567-1625) appointed Stevin quartermaster-general of the Dutch armies, a post he held until his death. From 1600 Stevin organized the mathematical teaching at the engineering school attached to Leiden University. "The Prince used to carry manuscripts of [Stevin's lectures] with him in his campaigns. Fearing that he might lose them, he finally decided to have them published, not only in the original Dutch text [Wisconstighe Gedachtenissen] . but also in a Latin translation by Willebrord Snel [Hypomnemata mathematica] . and in a French translation by Jean Tuning [offered here]" (Sarton, p. 245). The Dutch and Latin editions were published in five parts, of which the fourth consisted principally of reprints of his works on statics that had appeared separately in 1586. This fourth part was not translated into French because, we are told at the beginning of the fifth part, of the printer's impatience - he was tired of keeping the sheets already printed and suggested that additional materials could be published later when the author had prepared them. The printer's impatience also accounts for the fact that several works that are announced on the title pages of the individual volumes did not in fact appear in the Dutch, French or Latin editions. The only other complete copy of this French edition listed by ABPC/RBH is the De Vitry copy, in a nineteenth-century binding (Sotheby's, April 11, 2002, lot 779, £15,200 = $21,935). OCLC lists Columbia, Harvard and UCLA only in US. Provenance: L. Cundier, early inscription on title-pages, i.e., Louis Cundier (c. 1615- 1681), French geometer, surveyor and engraver. He was professor of mathematics at Aix, and was responsible for a Carte géographique de Provence, published about 1640. Contemporary marginal annotation on R6v of final part. The first part of the work, entitled Cosmographie (1608), is a treatise on the trigonometrical techniques used in the observation of the heavens, together with extensive tables of sines, tangents and secants. "The first to use the term trigonometry seems to have been Pitiscus, whose book Trigonometria made its first appearance in 1595, but in 1608, when Stevin's book appeared, the term had not yet been generally accepted. The book consists of four parts, the first dealing with the construction of goniometrical tables, the second with plane triangles, and the remaining two parts with spherical trigonometry . It is mainly of interest to those who wish to see what trigonometry was like in the sixteenth century, long before Euler, in 1748, introduced the present notation. It also has some distinction as the first complete text on trigonometry written in Dutch; and one of the first - if not the first - written in any vernacular" (Works, IIb, p. 751). Part II, De la Practique de Géométrie (1605) [in Dutch, De Meetdaet], "is primarily a textbook for the instruction of those who, like Prince Maurice, wanted to learn some of the more practical aspects of geometry. The course was not one for beginners, knowledge of Euclid's Elements being a prerequisite, while the reader was also supposed to know something about the measurement of angles and Stevin's own calculus of decimal fractions . Parts of the contents were taken from the Problemata Geometrica, the book which Stevin published in 1583, but to which he, curiously enough, never refers. Other parts show the influence of Archimedes and of contemporary writers such as Del Monte and Van Ceulen. Although in accordance with the title strong emphasis is laid on the practical applications of geometry, many theoretical problems are discussed. For Stevin theory and application always went hand in hand. "The Meetdaet appeared in 1605, but it was drafted more than twenty years before. Already in the Problemata Geometrica Stevin refers to a text on geometry, 'which we hope shortly to publish' and in which the subject was to be treated by a method parallel to that used in arithmetic. At that time Stevin's L'Arithmétique was either finished or well advanced. We get the impression that in this period, 1583-85, Stevin decided to publish his full text on arithmetic, but of his text on geometry only those parts which he considered novel. The general outline of the two texts was laid out at the same time, and in close parallel. When at last the Meetdaet appeared, it had undergone many changes, resulting partly or wholly from lengthy discussions with the Prince of Orange. The underlying idea, however, remained the same. "In the introduction to the Meetdaet Stevin explains what he means by this parallelism of arithm.

  • Image du vendeur pour Protomathesis . [De arithmetica practica libri IIII; De geometria libri II; De cosmographia, libri V; De solaribus horologiis, et quadrantibus libri IV] mis en vente par SOPHIA RARE BOOKS

    FINÉ, Oronce

    Edité par Gérard Morrhy and Jean Pierre, Paris, 1532

    Vendeur : SOPHIA RARE BOOKS, Koebenhavn V, Danemark

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    Edition originale

    EUR 43 208,35

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    First edition. A MASTERPIECE OF ILLUSTRATED BOOK PRODUCTION - THE RICCATI COPY. First edition, the Riccati family copy, of this beautiful book, Finé's masterpiece of illustrated book production. One of the handsomest scientific books of the period, this work is especially remarkable for the fact that the author designed its illustrations himself. Although Finé had published a few works before 1532, and edited others, "it was only with the publication of the Protomathesis that he revealed himself as the inventor of a new kind of scientific book" (Pantin, p. 289). The first two parts of the Protomathesis deal with arithmetic and geometry, the third with cosmography, and the fourth with gnomonics. The part on cosmography provides a valuable account of the state of astronomy in the decade immediately preceding the Copernican revolution. A great variety of astronomical instruments are shown along with tables used in calculation (several of the instruments are shown with their composite pieces separated so that an instrument could be made from them, and in some copies of this book - but not this one! - the pieces have been cut out). "The Protomathesis is Oronce Finé's magnum opus, a work published shortly after his appointment as Lecteur royal en mathématiques, in order to set out his contribution (present and future) for the advancement of mathematics in France. As the first holder of a newly created and highly prestigious position, Oronce Finé (1494-1555) had worked towards a twofold end. He had wished to demonstrate his own mastery in the different fields of mathematics, and to expound his views on the discipline, as well as his teaching program. Thus, his Protomathesis - a collection of four textbooks - resembled a monumental epitome. Its content was relatively original and, above all, it adopted a new style in illustration and typographical design. No French mathematician had ever published such an ambitious work before. Moreover, the different elements of the book would become more or less the basis of the main part of Finé's abundant subsequent publications. For example, the third part, Cosmographia, served as a prototype for the many De mundi sphaera that Finé was later to publish: on the occasion of each new release, he introduced changes, but the original model was still recognizable. For all these reasons, the Protomathesis played an important role in establishing what can be called a Parisian tradition of mathematical textbooks" (ibid., p. 287). Provenance: Jacopo Francesco Riccati (1676-1754), Venetian mathematician after whom the 'Riccati equation' is named (bookplate on pastedown and title verso); likely by descent to his son Vincenzo (1707-75), Jesuit mathematician who introduced hyperbolic functions and contributed to the theory of differential equations, and thus to:) - Collegio di San Francesco Saverio in Bologna (inscription on title, where Vincenzo Riccati taught for 30 years). The Protomathesis (a Latin transcription of a Greek word meaning 'first instruction') begins with De arithmetica practica. Finé takes up, both in the dedicatory letter to François I and in the first section of the Arithmetica, the question of the utility of mathematics, and asks: "What would exist without mathematics? Without numbers we would have no music, no geometry, no philosophy, and no laws. Mathematics is thus not only useful, it is necessary" (Marr, p. 174). Thus, the Arithmetica served as a necessary introduction to the rest of the work. Its four books deal respectively with integers, common fractions, sexagesimal fractions, and proportion. Finé "considered the theory of proportion a crucial aspect of the mathematics of nature . It is notable that some major seventeenth century figures, such as Galileo and Kepler, thought in the same way, even after the appearance of Viète's symbolic algebra and Fermat's and Descartes's mathematics" (ibid., p. 175). Finé did not treat algebra in the Protomathesis; its introduction into French university instruction was left to Finé's three famous pupils, Jacques Peletier du Mans, Petrus Ramus and Pierre Forcadel. The second work in the volume, De geometria, "starts with an introduction dealing with the definition and the principles of geometry, that is with the theoretical basis of the subject. Book 1 contains definitions of figures (points, lines, surfaces, angles), general properties and axioms. It also deals with sinuses, chords and arcs (including a table). Book 2, which is properly practical, addresses the art of measuring lines, surfaces and bodies according to Euclid, before going on to elucidate the method of building a geometrical square or quadrant. The remaining chapters explain how to measure distances using the quadrant, staffs, Jacob's staff, and the geometrical square; how to measure surfaces (triangles, parallelograms, figures with multiple angles such as the pentagon or hexagon, and circles); how to demonstrate (according to the method of Archimedes) the relation between the circumference and the diameter of the circle; how to square the circle; and finally how to measure solid bodies (columns, pyramids, spheres, dodecahedrons, etc., the rhomb or 'almond' [that is, barrels]" (ibid., p. 57). Finé's 'proof' that the circle can be squared was, of course, incorrect - the circle cannot be 'squared' in the sense Finé intended, although this was not proved until the nineteenth century. Finé was certainly not alone among sixteenth-century (and later) mathematicians in his attempt to square the circle, but the errors in his attempt in the Protomathesis led to a series of attacks, first by the Portuguese mathematician Pedro Nunes, then by the Frenchman Jean Borel, the Italian Niccolò Tartaglia, and the Dutchman Adrian van Roomen. "Oronce Finé was no stranger to polemics. On the contrary, harsh criticism and the attacks of adversaries seem to have been frequent during his life. It is known that he was in prison for some time in 1523-1525 [probably for practising jud.

  • Image du vendeur pour Académie de l'Espée de Girard Thibault d'Anvers ou se demonstrent par Reigles mathematiques. mis en vente par Librairie La Jument Verte

    Thibault d'Anvers Girard

    Edité par Elzevier, Leyde, 1630

    Vendeur : Librairie La Jument Verte, Strasbourg, France

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    EUR 38 000

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    Académie de l'Espée de Girard Thibault d'Anvers ou se demonstrent par Reigles mathematiques sur le fondement d'un Cercle mysterieux la Theorie et Pratique des vrais et iusqu'a present incognus secrets du maniement des armes a pied et a cheval.A Leyde, imprimé en la typographie des Elzeviers, Au moys d'Aoust, l'an 1630. Le feuillet de titre indique 1628.Deux parties en un fort volume in-plano de (1) f. blanc + 1 feuillet de titre + 1 feuillet de portrait de l'auteur + 1 feuillet de dédicace + 9 feuillets d'armoiries + 3 feuillets de privilèges + 276 pp. (dont avertissement au lecteur) et 46 planches dont 45 en double page.Plein vélin, dos à nerfs, pièce de titre de maroquin rouge, double filet d'encadrement rouge sur les plats. Reliure légèrement postérieure.Format : 42 x 56 cmÉdition originale du plus somptueux des livres sur l'escrime et les combats d'épées jamais produit.Titre gravé par Schelte Adams Bolswert (Schelderie A. Bolsvert), un portrait de l'auteur gravé d'après Bailly, 9 planches d'armoiries de chacun des princes auxquels l'ouvrage est dédié. La première partie est illustrée de 33 planches, la seconde de 13 planches. Le tout gravé par Gelle, Lasman, Crispin de Pas, Bolswert, Stockius, Paenderen Haerlem et P. de Jode, etc Ouvrage spectaculairement imprimé par les frères Elzevier.Ce chef d'oeuvre de typographie brillamment illustré est une curiosité en tant que manuel d'escrime. Il tente de dépasser les règles complexes de l'école espagnole de l'époque."Somptueuse publication, imprimée en grands et beaux caractères sur un papier très fort, et recherchée encore aujourd'hui à cause des magnifiques planches dont elle est ornée" (Willems). De nombreux souverains et princes européens, dont les armoiries figurent en tête, apportèrent leur soutien à ce magnifique ouvrage. Plus de quinze artistes participèrent à la réalisation des planches, des lettrines, bandeaux et culs-de-lampe qui ornent le texte. Un des derniers adeptes de l'école espagnole d'escrime, dite aussi escrime euclidienne, fondée à la fin du XVIe siècle par Jéronimo de Carranza, Thibault d'Anvers base sa théorie sur celle du cercle magique. L'un des plus beaux livres d'escrime, remarquablement illustré. Références bibliographiques : Willems 302; Brunet V, 816; Lipperheide 2960.Provenance : Ex-libris "Moderatur et Urget" du XVIIIe siècle Hilaire Rouillé du Coudray (1716-1805). Paris, de Cuisy, de Boissy, dit le Marquis du Coudray. Maréchal de camp en 1761, lieutenant général en 1780, mort en émigration.

  • Laplace

    Edité par Veuve Courcier, 1813

    Vendeur : Librairie Amélie Sourget, Paris, France

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Laplace, Pierre-Simon de. Exposition du système du monde, par M. le Comte Laplace. Paris, Veuve Courcier, 1813. In-4 de (1) f. pour le portrait, VII pp., 457 pp. Maroquin à grain long rouge, plats ornés d'un multiple encadrement de filets droits et pointillés et guirlandes à motifs dorés avec grotesque et angelots dorés, armoiries frappées or au centre, dos lisse divisé en caissons par des filets dorés et ornés de motifs dorés, coupes décorées, dentelle intérieure dorée, gardes et doublures de tabis bleu, tranches dorées. Reliure armoriée de l époque. 252 x 194 mm. Edition en partie originale faisant apparaître un développement sur l ordre et la stabilité de l univers qui ne figurait pas dans les éditions antérieures.  C est dans cette édition de 1813 que l hypothèse cosmogonique prend toute son ampleur. Portrait gravé de l'auteur en frontispice. Pierre-Simon de Laplace (1749-1827) fut l'un des plus grands scientifiques de l'époque napoléonienne et l'un des plus influents. Il contribua de façon décisive à l'émergence de l'astronomie mathématique. Dans l'Exposition du système du monde, dont la première édition fut donnée en 1796, Laplace expose pour la première fois sous une forme accessible aux non scientifiques l'ensemble de son système. « L Exposition du système du monde, dit Arago, est la Mécanique céleste débarrassée de ce grand attirail de formules analytiques par lequel doit indispensablement passer tout astronome. C'est là que les personnes étrangères aux mathématiques puiseront une idée exacte et suffisante de l'esprit des méthodes auxquelles l'astronomie physique est redevable de ses étonnants progrès ». « A partir de cette édition (1813) apparaît un développement sur l'ordre et la stabilité de l'univers qui ne figurait pas dans les éditions antérieures. C'est dans cette dernière édition que l'hypothèse cosmogonique prend toute son ampleur » (J. Merleau Ponty, « Situation et rôle de l hypothèse cosmologique de Laplace », in Revue d'histoire des sciences, janvier 1976, pp. 21-49).  Superbe et précieux exemplaire conservé dans sa magnifique reliure en maroquin aux armes de Talleyrand et provenant de sa bibliothèque.  Provenance : de la bibliothèque du Château de Valençay, propriété du Prince de Talleyrand.

  • Image du vendeur pour Principes mathématiques de la philosophie naturelle mis en vente par Hugues de Latude

    CHATELET, Emilie, marquise du, NEWTON

    Edité par Desaint & Saillant, Lambert, 1756, Paris, 1755

    Vendeur : Hugues de Latude, Villefranche de Lauragais, France

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    *** Un des deux exemplaires connus datés de 1755. Première édition française et rarissime PREMIER TIRAGE. La page de titre du premier volume est datée de 1755, celle du second, 1756, on ne connaît qu'un seul autre exemplaire daté de 1755 et une douzaine d'exemplaires portant 1756. Les exemplaires que l'on trouve de cet ouvrage portent habituellement la date de 1759. D'après Cohen, ces exemplaires seraient une édition préliminaire distribuée en 1756. Mais pour Chambat et Varry, il est possible qu'une partie de l'ouvrage ait été imprimée entre 1746 et 1747 et que les feuillets aient été conservés jusque vers 1756, date à laquelle avait été prévue la distribution. Cette sortie a ensuite été retardée à 1759 par la perte de planches et le travail de Clairaut, ou par d'autres raisons inconnues. La préface de Cotes est présente. L' "Avertissement" est en premier état : le bandeau en tête de page est différent et on lit au bas de la page ii : "des ouvrages de Mr. Clairault, ou des cahiers qu'il donnait en forme de leçons à M. le Comte du Châtelet Lomont, fils de l'illustre Marquise". [2e tirage : "des cahiers qu'il avait anciennement donnés en forme de leçons à Madame la Marquise du Chastellet"] Autre différence p. iii : " M. Le Monnier a suffisament rempli cet objet dans ces éléments d'astronomie", [2e tirage : "M. l'abbé de la Caille a parfaitement rempli cet objet dans ses élémens d'astronomie, où il a beaucoup simplifié les opérations par lesquelles M. Newton avait enseigné à déterminer les orbites des comètes."] Emilie du Châtelet, amie intime de Voltaire, a par cette traduction annotée des "Principia" de Newton largement contribué à la diffusion des idées newtoniennes en France. "On trouvera souvent Newton plus intelligible dans cette traduction que dans l'original & même que dans la traduction anglaise." (Avertissement). Cohen, The French translation of Isaac Newton's Philosophiae., Archives internationales des sciences 21, 1968. Frédéric Chambat & Dominique Varry, Faut-il faire une description bibliographique des Principes mathématiques ?, Centre international d'étude du xviiie siècle. Des feuillets légèrement brunis. Bel exemplaire. Note manuscrite du XIXe sur un feuillet de garde : "Acheté de M. Mallet-Bachelier 24# " Spécialisé dans les mathématiques, l'éditeur Mallet-Bachelier a été actif de 1854 à 1863. *** 2 volumes in-4 de (4), XXXIX, (5), 437 pp., 9 planches. / (4), IV, 180, 297, (2) pp., 5 planches. Veau marbré, dos orné, tranches bleues mouchetées. (Reliure de l'époque.) - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - * First issue. One of two known copies dated 1755. First and sole French translation of Newton's "Principia". Title of first volume is dated 1755 and second 1756. Only one other copy is known with the date of 1755 and about 12 copies are known with the date of 1756. Copies of this work usually bear the date 1759. This edition was presumably issued in a very small number of copies and then quickly withdrawn on account of its imperfections. The Cotes preface is present. First state of the "Avertissement". "Known throughout intellectual Europe as Emilie, the name popularized by Voltaire, Mme du Châtelet - beyond the influence she had for some fifteen years on the orientation of Voltaire's works and on his public activity - contributed to the vitality of French scientific life to the parallel diffusion of Newtonianism and Leibnizian epistemology. Her affairs entertained the faishionable world of her period, yet her last moments revealed the sincerity of her scientific vocation. Although she limited her efforts to commentary and synthesis, her work contributed to the great progress made by Newtonian science in the middle of the eighteenth century". Some leaves slightly browned. Nice copy. Handwritten note from the 19th century on a flyleaf: "Acheté de M. Mallet-Bachelier 24#" Specialized in mathematics, the publisher Mallet-Bachelier was active from 1854 to 1863. - -.

  • Image du vendeur pour Alberti Dureri clarissimi pictoris et geometræ. De sym[m]etria partium in rectis formis hu[m]anorum corporum mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    DÜRER Albrecht

    Edité par In aedib. viduae Durerianae|[Hieronymus Andreae], 1532

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Livre Edition originale

    EUR 34 500

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    Couverture rigide. - In aedib. viduae Durerianae [Hieronymus Andreae], Norimbergae [Nürimberg] 1532, in-folio (20,5x32cm), (80) f. - Signatures : A-E?, F?, G-N?, O?, relié. - Édition originale de la traduction latine établie par Joachim Camerarius l'Ancien, l'ouvrage a paru en allemand en 1528 sous le titre Vier Bücher von menschlicher Proportion. Notre édition contient les deux premiers livres, les deux suivants seront publiés en 1534 sous le titre De varietate figurarum et flexuris partium ac gestibus imaginum. Il faudra attendre 1557 pour que la traduction française de Louis Meigret voie le jour. Notre édition est illustrée de 85 grands bois hors-texte et de beaucoup d'autres petits in-texte, les mêmes que ceux employés dans l'édition originale allemande. Page de titre présentant le célèbre monogramme de Dürer. Texte en gothique. Le dernier feuillet blanc, manquant dans la plupart des exemplaires, est ici présent. Exemplaire grand de marges, d'une grande fraîcheur. Reliure postérieure en plein vélin à lacets. Très bel exemplaire du plus recherché des ouvrages techniques d'Albrecht Dürer. Les illustrations nécessitèrent l'examen de plusieurs centaines de modèles hommes, femmes et - chose plus rare pour l'époque - enfants. De ces analyses extrêmement précises résultèrent d'impressionnants dessins anthropométriques montrant le corps humain dans son ensemble, mais également en détails (mains, pieds, têtes.). Chaque dessin, quadrillé ou coté en marge permet une reproduction facile des modèles, l'ouvrage étant destiné à éviter les erreurs de proportions chez les jeunes artistes. La traduction latine de Joachim Camerarius - humaniste et proche ami de l'auteur - eut à l'époque un rôle primordial?: elle conféra à l' uvre de Dürer, jusqu'alors rédigée dans un allemand archaïque, une importante audience ; sans Camerarius, Michel-Ange n'aurait par exemple jamais eu connaissance de la théorie des proportions de Dürer. Dürer - dont le parrain Anton Koberger édita en 1493 La Chronique de Nuremberg - fréquenta très tôt le monde de l'impression et de la gravure et contrairement à son contemporain florentin Léonard de Vinci qui ne publia rien, il donna pour sa part plusieurs traités théoriques. C'est à l'occasion d'un voyage en Italie en 1494 qu'il rencontre Jacopo de'Barbari (1445-1516) qui l'initie au rôle des mathématiques dans la perspective et à l'étude des proportions du corps humain. De retour en Allemagne, il ouvre un atelier, devient peintre de l'empereur Maximilien Ier de Habsbourg et intègre le Grand Conseil de la ville de Nuremberg. La reconnaissance est complète et Dürer devient alors un artiste internationalement connu, au savoir et à la capacité de réflexion appréciés. Dans les dernières années de sa vie, n'abandonnant pour autant pas les arts picturaux, Dürer, encouragé par ses amis humanistes, passe la plupart de son temps à écrire. Déterminé à laisser à la postérité le fruit de ses longues réflexions théoriques, il publie plusieurs traités?: Instruction sur la manière de mesurer (1525), Instruction relative aux fortifications des bourgs, villes et châteaux (1527) et enfin Traité des proportions du corps humain (1528). En totale adéquation avec les considérations artistiques de la Renaissance, le dessein de cet ultime traité est d'établir une base scientifique (géométrique et arithmétique) appliquée à l'esthétique et de fournir ainsi des directives pratiques visant à atteindre la perfection anatomique. Véritable testament artistique, cet ouvrage emblématique aura une influence considérable sur l'histoire de l'art occidental. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Alberti Dureri clarissimi pictoris et geometræ. De sym[m]etria partium in rectis formis hu[m]anorum corporum In aedibviduae Durerianae [Hieronymus Andreae] | Norimbergae [Nuremberg] 1532 | folio (20.5 x 32 cm) | (80) f. (A-E6, F4, G-N6, O4) | full parchment First edition of the Latin translation created by Joachim Camerarius, the work appeared in German in 1528 under the title Vier Büc (80) f. - Signatures : A-E?, F?, G-N?, O?.

  • Image du vendeur pour Théorie analytique des probabilités ; par M. le comte de Laplace? mis en vente par Librairie Camille Sourget

    LAPLACE, Pierre Simon, marquis de

    Date d'édition : 1812

    Vendeur : Librairie Camille Sourget, Paris, France

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    EUR 33 000

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    De France vers Etats-Unis

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Paris, Mme Ve Courcier, 1812 [-1820].In-4 de (3) ff., 464 pp., (1) f. d'errata, 34 pp., 50 pp., 36 pp. Des rousseurs. Relié en demi-maroquin aubergine à grain long, à coins, dos lisse orné de filets dorés. Coins et mors frottés. Reliure de l'époque fatiguée. 254 x 203 mm. --- Edition originale de l'un des ouvrages fondateurs de la théorie des probabilités. DSB XV, 367-376; UC Berkeley, First Editions of Epochal Achievements (1934), 12; Stigler, History of Statistics, pp. 146-148. « La ?Théorie analytique des Probabilités', outre une introduction qui se termine par une note historique sur le calcul des probabilités, renferme deux livres et quatre suppléments : Livre I. Du calcul des Fonctions génératrices ; Livre II. Théorie générale des Probabilités ; 1er supplément, composé en 1816. Sur l'Application du calcul des Probabilités à la philosophie naturelle ; 2e supplément, composé en 1817. Sur l'Application du calcul des Probabilités aux opérations géodésiques, et sur la Probabilité des résultats déduits d'un grand nombre d'observations ; 3e supplément, composé en 1819. Application des formules géodésiques de Probabilité à la Méridienne de France. C'est dans cet ouvrage que Laplace exposa sa belle théorie des fonctions génératrices. » (Hoefer, Nouvelle biographie générale, 547). "Pierre Simon Laplace est né en Normandie le 23 mars 1749 et mort à Arcueil le 5 mars 1827. Son père était un pauvre fermier et ne put faire faire des études à son fils que grâce à l'aide de mécènes. A dix-huit ans il se présentait à d'Alembert à Paris, qui parvint à le faire nommer professeur de mathématiques à l'Ecole militaire de Paris. Très doué pour l'analyse, à tel point qu'on a pu l'appeler ?le Newton de la France', il s'attachait au grand problème de la gravitation universelle dans les rapports des mouvements des corps célestes. A l'égal de Lagrange, il atteignit à de remarquables résultats dans ce domain /// Paris, Mme Ve Courcier, 1812 [-1820].4 to [254 x 203 mm], (3) ff., 464 pp., (1) l. of errata, 34 pp., 50 pp., 36 pp. Some foxing Bound in contemporary aubergine straight-grained half-morocco, flat spine decorated with gilt fillets. Corners and joints rubbed. Binding worn. --- First edition of one of the founding works of the theory of probability. DSB XV, 367-376; UC Berkely, First Editions of Epochal Achievements (1934), 12; Stigler, History of Statistics, pp. 146-148. "The ?Théorie analytique des Probabilités' contains besides an introduction two books and four supplements: Book I. Du calcul des Fonctions génératrices; Book II. Théorie générale des Probabilités ; first supplement, composed in 1816. Sur l'Application du calcul des Probabilités à la philosophie naturelle ; second supplement, composed in 1817. Sur l'Application du calcul des Probabilités aux opérations géodésiques, et sur la Probabilité des résultats déduits d'un grand nombre d'observations ; third supplement, composed in 1819. Application des formules géodésiques de Probabilité à la Méridienne de France. It is in this publication that Laplace expounded his beautiful theory of the generative functions." (Hoefer, Nouvelle biographie générale, 547). "Pierre Simon Laplace was born in Normandy on the 23rd of March 1749 and died in Arcueil on the 5th of March 1827. He was so talented for analysis that he was called "the French Newton"; he paid particular attention to the great problem of universal gravitation and motion of the celestial bodies. Like Lagrange, he attained remarkable results in this field, proving the stability of the solar system and making notables discoveries, which were recorded in the reports of the Académie des Sciences from 1784 [?]. In the ?Théorie analytique' (1812) Laplace gave a classical form to the calculation of probabilities." (Dictionnaire des auteurs, III, 40). Laplace who had carried out his first works about probabilities between 17.

  • KANGXI (ou QING SHENGZU, 1654-1722).

    Date d'édition : 1696

    Vendeur : Librairie Camille Sourget, Paris, France

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    EUR 30 000

    Autre devise
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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Chine, Pékin, 1696.In-folio de (52) pp. Trace d'une petite galerie de vers anciennement restaurée. L'ensemble est monté sous forme de dépliant « à l'accordéon » (Leperello). Cachet rouge en tête du volume.L'album est protégé par deux plats en bois massif. Il est conservé dans sa rare reliure du XVIIIe siècle, identique à celle de la Bibliothèque Nationale, Département des Estampes. Pièce de titre en papier sur le plat supérieur.348 x 282 mm. --- Edition originale de cet album commandité par l'empereur chinois Kangxi en 1696, comportant ses poèmes et ses sceaux. Il y eut plusieurs tirages de cette édition et le présent exemplaire ne présente pas le tout premier tirage des bois.Il s'agit d'un ouvrage majeur de la littérature illustrée de la dynastie Qing (1644-1912) que le savant Yao Shi commenta de la façon suivante : « Que ceux qui verront cet album ne le regardent pas à la légère ».L'ouvrage présente 46 poèmes composés et calligraphiés par l'Empereur de Chine, Kangxi ??.Cet empereur, contemporain de Louis XIV, régna de 1662 à 1722. C'était un souverain tolérant qui laissa la Chine ouverte aux influences bouddhistes et chrétiennes en utilisant les connaissances mathématiques, géographiques et astronomiques des Jésuites. L'album est orné de 46 superbes gravures sur bois de grand format (24 x 24 cm) qui illustrent chacun des poèmes de l'empereur.Elles représentent les travaux des champs et la vie quotidienne des paysans chinois au XVIIe siècle. Ces gravures furent réalisées à partir de peintures sur soie de Jiao Bingzhen.Après avoir commandité la publication du présent album réunissant ses poèmes, Kangxi ordonna la gravure de répliques fidèles sur des planches de bois des superbes peintures sur soie de Jiao Bingzhen, ??? (1689-1726), afin de les diffuser sous forme d'imprimé. A cette époque, la sériciculture n'était plus la technique secrète jalousement gardée.Les peintures originales sur /// Chine, Pékin, 1696.Folio [348 x 282 mm] of (52) pp. Traces of a small worm track anciently restored. The whole is mounted as brochure "in the style of an accordion" (Leperello). Red stamp at the head of the volume.The album is protected by two solid wooden boards. It is preserved in its rare 18th century binding, identical to the one in the National Library, Engravings Department. Paper lettering piece on the upper cover. --- First edition of this album financed by the Chinese emperor Kangxi in 1696, enclosing his poems and his seals.There were several issues of this first edition and the present copy doesn't belong to the very first issue.It is a major work in the Qing dynasty illustrated literature (1644-1912) that the erudite Yao Shi commented as follows: "May those who look at this album do not treat it lightly".The work presents 46 poems composed and calligraphed by the emperor of China, Kangxi ?? This emperor, a contemporary of Louis XIV, reigned from 1662 to 1722. He was a tolerant sovereign who let China open to the Buddhist and Christian influences by using the Jesuits mathematical, geographical and astronomical knowledge.The album is composed of 46 large superb woodcuts (24 x 24 cm) that each illustrates the emperor's poems. They represent country works and the everyday life of the Chinese peasants in the 17th century.These engravings were made after silk paintings by Jiao Bingzhen.After having financed the publication of this album gathering his poems, Kangxi ordained the engraving of faithful replicas on wood boards of the superb silk paintings by Jiao Bingzhen, ??? (1689-1726), in order to distribute them printed.At this time, sericulture wasn't the most jealously kept secret technique anymore.The original paintings on silk are today lost, and this work is a xylographic reproduction ordained by the emperor Kangxi in 1696. The poems of the emperor, printed in the blank space above the engravings, were translated by Bernhard Fuehrer, f.

  • Image du vendeur pour [Set of Nineteenth-Century Scientific and Mathematical Treatises]: Fisica de' Corpi Ponderabili ossia Trattato della Costituzione Generale de' Corpi del Cavaliere (1837-1841); Opuscoli matematici e fisici di diversi autore (1832-1834); Mémoire sur la Dispersion de la Lumière (1835-1836); Traité des fonctions elliptiques et des intégrales eulériennes, avec des Tables pour en faciliter le calcul numérique (1825-1828[-1832]); Géométrie Descriptive (1827); Leçons mécanique analytique l'École polytechnique (1810-1815). mis en vente par Shapero Rare Books

    11 vols in all, comprising: I) Fisica de' Corpi Ponderabili: first edition; 4 vols, thick 8vo; 18 folding plates, scattered light foxing, slight toning to leaves; II) Opuscoli Matematici e Fisici: first edition; 2 vols in one, 4to; 2 folding plates, scattered light foxing; III) Mémoire sur la Dispersion de la Lumière: first edition; 4to; numerous tables to text, many full-page, some browning to leaves; IV) Traité des fonctions elliptiques et des intégrales eulériennes: first edition; 3 vols, 4to; 4 folding plates, lacking portrait of Euler in volume 2, some leaves browned, scattered light foxing; V) Géométrie Descriptive: fifth edition; 4to; 28 folding plates, light dampstaining to prelims, scattered light foxing; VI) Mécanique Analytique: first edition; 4to; 4 folding plates, scattered light foxing, light dampstaining to plates; contemporary half vellum (7 vols) and full vellum (4 vols), bound to match, red and green morocco title labels with gilt lettering, gilt tooling to spines, light wear to extremities, overall an attractive set. An attractive set of nineteenth-century scientific and mathematical treatises, bound to match. I) First edition of Avogadro's magnum opus, containing the first announcement of 'Avogadro's Number'. A major treatise containing Avogadro's famous hypothesis that the number of integral molecules in any gas is always the same for equal volumes, or always proportional to the volumes. This was of great importance for nineteenth-century chemistry in effectively distinguishing between atoms and molecules. Avogadro first published this hypothesis in 1811, but it was largely ignored for another half century, partly because it was published first in Italian (when Italy was at the periphery of scientific research) and subsequently only in minor French, German and English scientific journals. II) First edition of this rare publication, considered an important scientific journal above all for being the means of dissemination of the mathematical theories of A.L. Cauchy in Italy. The second volume contains some of Cauchy's fundamental works translated into Italian, including Sulla meccanica celeste. III) First publication of Cauchy's equation, which determined the relationship between the wavelength of light and the refractive index of a material the light passes through. Cauchy produced this publication, which consisted of his own papers, in 1835 and 1836. This memoir was issued as eight parts of his periodical Nouveaux Exercices de Mathématiques, and was a successor to his earlier Exercices de Mathématiques, published from 1826 to 1830. A prolific and rigorous mathematician, Cauchy's works covered refraction and polarization of light, mechanics, elasticity, number theory and complex functions. IV) Rare first edition of Legendre's great work on the theory of elliptic functions, its application to geometry and mechanics, methods of constructing elliptical tables, Eulerian integrals, etc. This copy is complete with the three supplements published successively in 1828, 1829 and 1832. 'Legendre's research covers all areas of mathematics, including celestial mechanics, but his favourite subjects are elliptic functions and number theory. From 1786, he worked with elliptic integrals. His Exercices de calcul intégral (1811-1816) and the three volumes of his monumental Traité des fonctions elliptiques et des intégrales eulériennes (1825-1828), followed by three supplements in which he expounded the work of Abel and Jacobi, made him the undisputed specialist.' (from the French text) V) Fifth edition of this classic work on geometry. 'Monge should be considered the true creator of descriptive geometry, for it was he who elegantly and methodically converted the group of graphical procedures used by practitioners into a general uniform technique based on simple and rigourous geometric reasoning and methods. Within a few years this new discipline was being taught in French scientific and technical schools and had spread to several other Continental countries' (DSB). VI) First edition of this apparently unfinished work on analytical mechanics. Statics and dynamics were to have been augmented with hydrostatics and hydrodynamics, and possibly a fifth part giving applications. Scarce - the two parts are not often found bound together. Norman 89; Honeyman 168 (for Avogadro).

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    Couverture rigide. Etat : Très bon. Heidelberg, Jacobus Milius, 1582.(17) ff., (1) f.bl., 495 pp., (1) p. et 6 planches dépliantes.[Précédé de :]I - Peucer, Caspar. Elementa doctrinae de Circulis coelestibus et primo motu, recognita et correcta.Wittenb., Joh. Crato, 1576.(8) ff., 304 pp. (saut dans la pagination sans manque), 8 planches dépliantes.Soit deux ouvrages d'astronomie reliés en 1 volume in-8, plein vélin ivoire à recouvrement, traces de liens, dos lisse peint à l'époque avec auteur, titre et marques de bibliothèque calligraphiés à l'encre noire, tranches jaspées. Reliure de l'époque.155 x 98 mm. --- II/ Précieuse et rarissime édition originale de « l'Epitome Astronomiae », l'?uvre majeure du maître de Johannes Kepler (1571-1630), l'astronome Michael Maestlin (1550-1631).Caspar, Kepler S. 4/ ; Houzeau/L. 2747 ; Zinner 3041 ; vgl. Admas M 85 ff u. STC 585.« Michael Maestlin (aussi appelé Mästlin, Möstlin ou Moestlin), né le 30 septembre 1550 à Göppingen en Bade-Wurtemberg, mort le 20 octobre 1631 à Tübingen, est un astronome et mathématicien allemand, connu pour être le mentor de Johannes Kepler ».Maestlin a étudié la théologie, les mathématiques et l'astronomie au Tübinger Stift à Tübingen, une ville du Wurtemberg. Il a obtenu la maîtrise en 1571 et est devenu en 1576 un diacre luthérien à Backnang, tout en continuant ses études dans cette ville. En 1580, il est devenu professeur de mathématiques à l'université d'Heidelberg, puis à celle de Tübingen de 1583 jusqu'à sa mort.C'est en 1582 qu'il publie son fameux « Epitome astronomiae », véritable introduction populaire à l'astronomie qui influença tant Kepler, alors son étudiant.« Johannes Kepler? absolvierte zwar in Tübingen die Theologie, fand aber an den astronomischen Vorlesungen von Michael Mästlin (Göppingen 1550 ? Tübingen 1631 ; Prof. math. Heidelberg u. Tübingen) mehr Geschmack als an der damaligen Orthodoxie (Wolf i, 24).Kepler rejoint en 1589 l'université de T /// Heidelberg, Jacobus Milius, 1582.(17) ll., (1) bl. l., 495 pp., (1) p. and 6 folding plates.[Preceded by:]I - Peucer, Caspar. Elementa doctrinae de Circulis coelestibus et primo motu, recognita et correcta.Wittenb., Joh. Crato, 1576.(8) ll., 304 pp. (gap in the pagination without loss), 8 folding plates.Two astronomical works bound in one volume 8vo [155 x 98 mm], full overlapping ivory vellum, remains of ties, flat spine contemporary painted with the author's name, title and library marks handwritten in black ink, sprinkled edges. Contemporary binding. --- II/ Precious and extremely rare first edition of the "Epitome Astronomiae", the major work of Joannes Kepler's (1571-1630) master, the astronomer Michael Maestlin (1550-1631).Caspar, Kepler S. 4/; Houzeau/L. 2747; Zinner 3041; vgl. Admas M 85 ff u. STC 585."Michael Maestlin (also called Mästlin, Möstlin or Moestlin), was born on September 30th 1550 in Göppingen in Bade-Württemberg and died on October 20th 1631 in Tübingen. He was a German astronomer and a mathematician, known to be Johannes Kepler's mentor."Maestlin studied theology, mathematics and astronomy at the Tübinger Stift in Tübingen, a town of Württemberg. He obtained his master's degree in 1571 and became a Lutheran deacon in 1576 in Backnang while he was continuing his studies in this town. In 1580, he became a math teacher at the University of Heidelberg, then at the one of Tübingen in 1583 until he passed away.In 1582 he publishes his famous "Epitome astronomiae", a true popular introduction to astronomy which influenced Kepler so much, who was his student at that time."Johannes Kepler? absolvierte zwar in Tübingen die Theologie, fand aber an den astronomischen Vorlesungen von Michael Mästlin (Göppingen 1550 ? Tübingen 1631 ; Prof. math. Heidelberg u. Tübingen) mehr Geschmack als an der damaligen Orthodoxie (Wolf i, 24)."Kepler joined the University of Tübingen in 1589, where he received a complete training. "His professor.

  • Image du vendeur pour Introduction en l'art analytic, ou Nouuelle algebre de François Viete. Oeuure dans lequel sont veus les plus miraculeux effects des sciences mathematiques, pour l'inuention & solution, tant des problemes, que theoremes, proposez en icelles. Traduit en nostre langue & commenté & illustré d'exemples. Paris: J. Jacquin, 1629. [Bound with:] VIÈTE, François; VAULEZARD, Jean-Louis (translator). Les cinq livres des Zetetiques de Francois Viette. Mis en francois, commentez et augmentez des exemples du poristique, & exegetique, parties restantes de l'analitique. Soit que l'exegetique, soit traitté en nombres ou en lignes. Paris: J. Jacquin, 1630. [Bound with:] VAULEZARD, Jean-Louis. Examen de la Traduction faicte par Anthoine Vasset, des cinq Livres des Zetetiques de M. Viette. Paris: n.p. [J. Jacquin?], 1631 mis en vente par SOPHIA RARE BOOKS

    Hardcover. First edition. THE FIRST FRENCH TRANSLATION AND EXPOSITION OF VIÈTE. First edition, very rare, and in an unrecorded 1629 issue (usually dated 1630), of the first vernacular translation and exposition of Viète's In artem analyticum isagoge (Tours, 1591), the earliest work on symbolic algebra, here bound with a first edition of Vaulezard's translation of Viète's Zeteticorum libri quinque (Tours, 1593), which gives examples of the application of his 'analytic art' to problems from Diophantus' Arithmetica. The third work is a scathing criticism by Vaulezard of a later translation of the Isagoge, published in 1630, by Anthoine Vasset (generally believed to be a pseudonym for Claude Hardy); in a lengthy introduction to his translation, L'algèbre nouvelle de Mr. Viète (Paris: Rocolet, 1630), Vasset criticized Vaulezard's translation, to which Vaulezard responded in his Examen (thus, Vasset's translation definitely post-dates Vaulezard's). The greatest French mathematician of the sixteenth century, François Viète (1540-1603) was "the first extensively to use letters of the alphabet to represent numerical quantities" (Hutchinson's DSB, p. 690), and "the first mathematician of his age to think occasionally as mathematicians habitually think today" (Bell, p. 99). Viète used letters "both for known . and for unknown quantities" and "this innovation, considered one of the most significant advances in the history of mathematics, prepared the way for the development of algebra" (DSB); it earned him the sobriquet "the father of algebra" (ibid.). Zetetica is a Greek word meaning "those things to be sought out", and zetetics is the process of transforming a problem into an equation. In his preface to Les cinq livres des Zetetiques, Vaulezard tells us that in addition to the Zetetica he has added the second and third part of the Isagoge, i.e., the sections dealing with poristics (proving theorems through equations) and exegetics (solving equations), and that he has printed Viète's words in italic and his own commentary in Roman so that the difference may easily be seen. The first edition of In artem analyticem isagoge is among the rarest of the important works in the history of mathematics, and is hardly ever seen on the market. A copy was offered a few years ago by a prominent New York dealer for $450,000, and another copy sold at a German auction at about the same time for â 200,000 (plus premium), exemplifying Haskell Norman's dictum that rare books come in twos; we know of no other copy on the market since a copy offered by Sotheran in the 1920s (later in the Turner Collection at Keele University and now in private hands). The present works are almost as rare on the market, and are in fact even rarer than the Isagoge in institutional collections. ABPC/RBH records only one other copy (Macclesfield) of Les cinq livres (Sotheby's, November 25, 2005, lot 2049, £3,120 = $5,506) and no other copies of the other two works. OCLC lists, in the US, Brown, Harvard, Michigan, & NYPL for Introduction en l'art analytic and Les cinq livres; and Brown & Harvard only for Examen. There is no copy of any of the three offered works on COPAC, which lists five copies of the Isagoge. In artem analyticum isagoge is "a text in which Viète proposed nothing short of a complete refashioning of algebra as it was then understood . Rather than viewing algebra merely as the search for solutions of particular equations, he understood it as the analysis of an actual theory of equations" (Katz & Parshall, pp. 236-237). "The most important of Viète's many works on algebra . [It] introduced the use of letters both for known quantities, which were denoted by the consonants B, C, D, and so on, and for unknown quantities, which were denoted by the vowels. Furthermore, in using A to denote the unknown quantity x, Viète sometimes employed A quadratus, A cubus . to represent x2, x3, . This innovation, considered one of the most significant advances in the history of mathematics, prepared the way for the development of algebra" (DSB). "If this seems reminiscent in principle of our modern notation of x, y, and z for unknowns and a, b, c, etc. for indeterminate magnitudes, a convention which we owe to René Descartes in the seventeenth century, it is important to recognize that Viète's symbols or 'species', unlike ours, carried explicit geometrical meaning. They had dimension, and only expressions of the same dimension were commensurate . To Viète's way of thinking, then, the addition of a one-dimensional unknown A to a one-dimensional indeterminate B was denoted simply by A + B (we would write x + b), but in two dimensions, the sum appeared as A square + B plane (or our x2 + b) and in three dimensions as A cube + B solid (or our x3 + b)" (Katz & Parshall, pp. 238-239). Perhaps the most important part of the work is chapter 4, in which "he presents a mode of calculation carried out completely in terms of 'species' of numbers and calls it logistice speciosa - in contrast with calculation using determinate numbers, which is logistice numerosa. Of significance for the formation of the concepts of modern mathematics, Viète devotes the logistice speciosa to pure algebra, understood as the most comprehensive possible analytic art, applicable indifferently to numbers and to geometric magnitudes" (DSB). Viete's 'Analytic Art' comprises three stages. At the first stage, zetetics, a problem, whether of arithmetic or geometry, is translated into Viète's newly created symbol system or logistice speciosa in the form of an equation. At the second stage, poristics, equations are transformed according to rules into canonical forms; and finally at the third, exegetics, a solution to the problem is found on the basis of the derived equation. As Viète himself emphasizes, at this third stage the analyst turns either geometer, 'by executing a true construction,' or arithmetician, 'solving numerically whatever powers, whether pure or affected, are exhibited.' "In 1593 Viète published.

  • Image du vendeur pour Séances des Écoles Normales recueillies par des sténographes et revues par les professeurs [Leçons et Débats] mis en vente par Librairie Alain Brieux

    Couverture rigide. Etat : Bon. 7 volumes in-8, 28 [+ 2] A Paris, chez L. Reynier [et de l'Imprimerie du cercle social], an IV [1795], , 7 volumes in-8, 28 [+ 2] planches gravées en taille-douce, 6 volumes reliés veau havane de l'époque, dos à nerfs et fleuronnés, pièces de titre et de tomaison fauve ; et 1 volume broché sous couverture d'attente bleue, TRÈS RARE COLLECTION COMPLÈTE, EN ÉDITION ORIGINALE, DES COURS DONNÉS DANS LES ÉPHÉMÈRES ÉCOLES NORMALES ; bien complète du 7e volume de Débats, et des 28 planches gravées sur cuivre, dont 2 (planches 1 et 2 de l'histoire naturelle) sont répétées et reliées à la fin du volume 6. L'ensemble comprend donc : 24 planches de Géométrie descriptive, 2 planches de mathématiques et 2 planches d'histoire naturelle. Créées le 9 brumaire an III par décret de la Convention Nationale afin de former les instituteurs de langue française, les Écoles normales ont eu une durée de vie très courte ; 4 mois, du 1er pluviôse au 30 floréal de l'an III (20 janvier - 19 mai 1795). MONGE Y EXPOSA SA GÉOMÉTRIE DESCRIPTIVE ET LAPLACE SON HYPOTHÈSE COSMOGONIQUE. Les leçons qui étaient professées, par les savants les plus illustres, devaient être toutes improvisées, recueillies par la sténographie et publiées dans le journal de l'école créé à cet effet, de même que les débats ayant lieu une fois par décade, à l'occasion desquels les élèves discutaient avec les professeurs. Plus de 180 cours furent ainsi donnés, par 14 professeurs nommés par décrets : Lagrange et Laplace pour les mathématiques, Monge pour la géométrie descriptive, Haüy pour la physique, Daubenton pour l'histoire naturelle, Berthollet pour la chimie, Buache et Mentelle pour la géographie, Volney pour l'histoire, Bernardin de Saint-Pierre à la morale, Sicard à la grammaire, Garat à l'analyse de l'entendement, La Harpe pour la littérature et Vandermonde pour l'économie politique (Thouin, nommé pour l'agriculture, ne put jamais donner de cours). Ex-libris manuscrit de l'époque aux titres des 6 premiers tomes. Très bon exemplaire en reliure uniforme, sauf pour le tome 7, non rogné, sous couverture d'attente de l'époque (usagée). Petits accrocs au plat supérieur du tome 6 et à la coiffe inférieure du tome 5. Une lacune de 2 cm environ à un feuillet du tome II, avec perte de texte. Quelques annotations anciennes. Rares rousseurs. Ferdinand Buisson, Nouveau Dictionnaire de Pédagogie et d'Instruction primaire.

  • [ALMANACH SOUS VERRE]

    Vendeur : LIBRAIRIE CHAMONAL, Paris, France

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    (?) contenant les découvertes, inventions ou expériences nouvellement faites dans les sciences, les arts, les métiers, l'industrie, &c. &c. [titre de départ]. Paris, Deschamps, [puis:] Demoraine, [puis:] Vve Demoraine et Boucquin [et: Imp. de Poulet], 1768-1834, 2 vol. in-4, demi-basane brune, dos lisses ornés de filets dorés et de fleurons à froid, pièces de titre et de tomaison beiges et vertes, tranches marbrées [Rel. du XIXe siècle], rest. 1) 418 ff., soit 44 ff. de format très étroit (25 x 6,5 cm) pour les dix premières livraisons, le reste (35 livraisons, dont la réimpression des dix premières et la table) de format in-4 classique: 374 ff., les 25 derniers contenant la "Table alphabétique et analytique" (1813), 1 planche hors texte (globe aérostatique). Pagination par colonnes: 12, 8 (x 9), 4 (suppl.), 1364 et 96. Les dix premières livraisons sont un peu courtes de marge. - 2) 240 ff. (24 livraisons), 968 colonnes. Grand-Carteret 401: indique que cet almanach a paru de 1768 à 1831 ; la collection de la Bibliothèque historique de la ville de Paris s'arrête en l'an IX ; l'exemplaire de Paul Lacombe, également cité par Grand-Carteret, s'arrête en 1810. Monglond ne cite qu'un exemplaire (dernière livraison en 1831). Quelques fragments sont conservés à la BnF et au Muséum d'Histoire naturelle de Paris. Rarissime publication d'annonces et actualités scientifiques ou industrielles. Elle servait de notice au célèbre Almanach sous verre: "un simple almanach qui, au lieu d'être collé sur le recto et le verso d'un carton, constituait un fascicule broché en hauteur (24 centimètres en hauteur sur 8 de large), par colonnes de mois. Mais il avait un titre et donnait, en outre, le répertoire indicatif des articles de la notice". L'almanach était appelé sous verre "parce que chaque mois se plaçait sous une glace, ainsi que cela se rencontre encore quelquefois dans les campagnes, ces colonnes 'calendaires' ayant, de loin, l'aspect de quelque thermomètre. Peut-être aussi, les éditeurs le livraient-ils sous verre, mais ceci est une simple supposition". Cf. Grand-Carteret, qui n'a pas vu les dix premières livraisons de la Notice sous leur première forme (in-4 étroit), mais seulement la réimpression de 1778, de format in-4 ordinaire: ces dix livraisons, "qui ne se trouvent dans aucun dépôt public", ont été reliées au début de notre exemplaire. Ce périodique à vocation encyclopédique était une véritable "banque de données" constamment mise à jour, sorte de table annuelle des découvertes constituant aussi une précieuse source d'informations bibliographiques: chaque article, numéroté, est annoncé comme l'abrégé d'un texte plus développé, dont les éditeurs tiennent des copies à la disposition des lecteurs qui souhaiteraient approfondir la question. Une quinzaine de rubriques, avec leurs subdivisions, sont représentées de façon plus ou moins constante: Astronomie, Physique, Histoire naturelle, Médecine, Hygiène, Chirurgie, Epizootie, Mathématiques, Arts libéraux, Belles lettres, Economie et Industrie. Les travaux des chercheurs sont commentés et leurs efforts retracés sur plusieurs années. Parmi les principaux savants cités: Lavoisier, Daubenton, Euler, Buffon, Bernoulli, Halley, Herschel, Delalande, Laplace, Volta, Montgolfier, Ulloa, Watson, Benjamin Franklin, Chaptal, Lacépède, Saussure, Cuvier, Dupont de Nemours, Humboldt, Gay-Lussac, etc? Une "Table des noms, qualités et demeures des sçavants, artistes et auteurs des diverses découvertes", indexée selon le numéro de l'information correspondante, complète chaque livraison jusqu'en 1797, date à laquelle elle disparaît. Jusqu'en 1792, la Notice comporte une liste détaillée des cartes, estampes, portraits, etc. publiés dans l'année. Ce sont ainsi des centaines de noms de peintres, dessinateurs et graveurs qui sont offerts à la curiosité de l'amateur et de l'iconophile. Dans le tome II, qui couvre la période 1811-1834, les comptes rendus de voyages et explorations prennent une place toujours croissante, culminant avec les notices sur les grandes expéditions polaires ou africaines: découverte du lac Tchad (1826, p. 605), Voyage de Parry au Pôle Nord, Caillié à Tombouctou (1829, p. 725), projet de percement de l'isthme de Panama? Au même moment, apparaît et se développe une importante rubrique consacrée à l'archéologie: les fouilles de Pompéi et d'Herculanum sont régulièrement commentées. Le seul exemplaire complet. La traversée de la tourmente révolutionnaire explique sans doute en partie l'extrême rareté d'une collection complète de la Notice historique de l'Almanach sous verre, surtout lorsqu'elle contient, comme c'est le cas ici, les dix premières années dans leur condition originelle, imprimées sur des pages très étroites. La réédition de ces livraisons, imprimée par Demoraine vers 1797 et reliée à la suite du premier tirage, est d'une présentation plus aérée, identique à celle des années suivantes: mais elle est beaucoup moins complète que l'originale, l'éditeur ayant en fait sélectionné les informations qu'il jugeait encore d'actualité au moment de la réimpression et éliminé un grand nombre de rubriques, en particulier celle annonçant la publication d'estampes. Ensemble exceptionnel, très bien conservé.

  • Image du vendeur pour Carte postale autographe signée adressée au Professeur Ludwig Hopf mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    EINSTEIN Albert

    Date d'édition : 1910

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Edition originale Signé

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    Pas de couverture. - Zurich 21 juin 1910, 9x14cm, une carte postale. - | Einstein écrit à « l'ami des plus grands génies de son temps » | Carte postale autographe signée d'Albert Einstein adressée à Ludwig Hopf, 18 lignes écrites au verso et recto, adresse également de la main d'Einstein. Tampon postal indiquant la date du 21 juin 1910. Publiée dans The Collected Papers of Albert Einstein, Volume 5: The Swiss Years: Correspondence, 1902-1914, Princeton University Press, 1993, n°218, p. 242. *** Exceptionnelle et très esthétique carte d'Albert Einstein à « l'ami des plus grands génies de son temps » - selon Schrödinger - le mathématicien et physicien Ludwig Hopf, qui permit la rencontre d'Einstein avec un autre génie du XXe siècle : Carl Jung. Le maître invite ici son élève à un dîner comptant au nombre des invités le scientifique Max Abraham, futur grand rival des années zurichoises et fervent opposant à la théorie de la relativité d'Einstein. Le destinataire de cette carte, Ludwig Hopf, rejoint Einstein en 1910 en tant qu'assistant et élève à ses séminaires de physique et de théorie cinétique à l'Université de Zürich. Ils signent deux articles fondamentaux sur les aspects statistiques de la radiation et donnent leurs noms à la force de résistance « Einstein-Hopf ». Leurs échanges épistolaires retracent le complexe cheminement des travaux d'Einstein sur la relativité et la gravitation, témoignant de leur grande complicité et du précieux apport de Hopf dans les recherches du maître. Quelques mois après l'écriture de cette missive, Hopf trouvera même une erreur dans les calculs d'Einstein sur les dérivées de certaines composantes de la vitesse que ce dernier corrigera dans un article l'année suivante. Ils forment également un duo musical et interprètent les grands génies de la musique, Hopf accompagnant au piano le violon du maître sur des morceaux de Bach et Mozart. Einstein invite par cette carte son élève et ami Hopf à un dîner avec Max Abraham, à l'aube d'une controverse scientifique majeure qui les opposera à partir de 1911. La théorie de la relativité restreinte selon Abraham ne convaincra pas Einstein qui soulignera le peu de moyens de vérification par l'observation et son manque de prédiction de la courbure gravitationnelle de la lumière. En 1912, leur différend deviendra public par publications interposées. Abraham ne reconnaîtra jamais la validité de la théorie einsteinienne. Au cours de leurs brillants échanges artistiques et intellectuels, Hopf a sans doute réussi là où Freud avait échoué comme il lui avouera dans une lettre : « Je romprai avec vous si vous vous glorifiez d'avoir converti Einstein à la psychanalyse. Une longue conversation que j'ai eue avec lui il ya quelques années m'a montré que l'analyse lui était tout aussi hermétique que peut m'être la théorie de la relativité. » (Vienne, 27 septembre 1931). Fervent adepte de la psychanalyse, Hopf est en effet connu pour avoir présenté le célèbre psychanalyste Carl Jung à Einstein. Hopf et son maître partiront tous deux pour l'Université Karl-Ferdinand de Prague en 1911, où ils fréquenteront l'écrivain Franz Kafka et son fidèle ami Max Brod dans le salon de Mme Fanta. Avec l'avènement du régime nazi, les destins de ces deux théoriciens de la mécanique du monde seront marqués par les persécutions et l'exil, Einstein se réfugiant tout d'abord en Belgique, Hopf en Grande-Bretagne après sa mise à pied en 1934 de l'université d'Aix-la-Chapelle à cause de ses origines juives. Les deux savants continueront à entretenir une prolifique correspondance au c ur de la tourmente, Einstein suggérant à Hopf l'ouverture d'une université à l'étranger pour les étudiants allemands exilés. Hopf s'éteindra peu de temps après avoir pris la chaire de mathématiques du Trinity College de Dublin en juillet 1939. Précieuse invitation du grand physicien à l'ultime dîner réunissant la "vieille école" scientifique symbolisée par Max Abraham, à l'aube de la publication de la théorie de la relativité.

  • Image du vendeur pour [FIRST EDITION OF THE COMPLETE WORKS]. Scritti de Leonardo Pisano Matematico del Secolo Decimoterzo: II Liber Abbaci; Practica Geometriae, Opuscoli mis en vente par Michael Laird Rare Books LLC

    Fibonacci, Leonardo (Leonardo Pisano or Leonardo of Pisa)

    Edité par Tipografia delle Scienze Mathematiche e Fisiche, Rome, 1862

    Vendeur : Michael Laird Rare Books LLC, Lockhart, TX, Etats-Unis

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    Etat : Very good. 2 vols., folio. Numerous diagrams; occasional light spotting and foxing. Modern brown morocco, uncut. In slipcases. EDITIO PRINCEPS OF THE WRITINGS OF FIBONACCI, THE GREATEST MATHEMATICIAN OF THE MIDDLE AGES, STILL THE ONLY COMPLETE EDITION PUBLISHED. IN THE HISTORY OF MATHEMATICS THIS UNABRIDGED EDITION OF THE LATIN TEXT IS ESSENTIAL, AND WAS THE VEHICLE BY WHICH FIBONACCI'S WORKS WERE DISSEMINATED THROUGHOUT MODERN AND CONTEMPORARY CULTURE. Rare in private ownership. Sold at Sotheby's forty years ago, ours is ONLY copy that has ever appeared at auction according to Rare Book Hub which currently lists more than 13 million records in the Rare Book Transactions database; furthermore, it is the only copy currently available on the market. Leonardo of Pisa (ca. 1170-1250), a.k.a. Fibonacci, is justly considered to be the most important mathematician of the Middle Ages, if only for being the first Christian mathematician to systematically explain Arabic numerals. Indeed, the mathematical renaissance in the West began with him according to George Sarton. The first volume contains the the 'Liber Abaci,' devoted to problems of computation including algebraic quadratic problems; here Fibonnaci here introduces Arabic numerals, the fraction bar, and the numerical approach to square roots and cube roots. The second volume contains the 'Practica Geometriae,' devoted to the application of algebra to geometric problems; 'Flos,' written for Frederick II in answer to a number of mathematical problems posed by Magister Johannes; "Letter to Magister Theodorus" developing a general method for the solution of indeterminate problems; and finally the great "Liber quadratorum," described by Vogel as "a first-rate scientific achievement and showing Fibonacci as "a major number theorist." Vogel continues to assert (correctly) that Fibonacci was far ahead of his time, without a successor until 1621, when Bachet made the text of Diophantus available which in turn stimulated Fermat in founding number theory. "In addition to the antique manuscripts, there also undeniably exists, however, a vehicle that, notwithstanding the inadequate and problematic access to the manuscript sources, has spread the text of the Fibonaccian treatise throughout modern and contemporary culture: the well known Italian mathematician and historian of science Baldassarre Boncompagni Ludovisi, in fact, in his brilliant far-reaching project which brought into focus the personality of Fibonacci, as well as his surviving works, realized and published in Rome in 1857 [i.e. THIS EDITION] what can with ample justification be defined the editio princeps of the entire treatise." (Germano). Despite the flaws in Boncompagni's work, "it of course was a noteworthy editorial operation, especially as it made available in print to a vast number of interested parties a work which had almost fallen into oblivion and that up to that time could be consulted only from its manuscript sources, with all the difficulties and inconvenience which this could entail." (Germano). It is fair to say that Fibonacci's contributions to mathematics languished unappreciated until the rediscovery of his texts and their presentation in the present -- surprisingly rare -- volumes. Despite its flaws, Boncompagni's edition serves as the basis for only complete translation of the Liber Abici made into a modern language thus far, namely Lawrence E. Sigler's "Fibonacci's Liber Abaci. A Translation into Modern English of Leonardo Pisano's Book of Calculation" (2002). Whereas Sigler corrected some errors he introduced many others, usually on account of inability to understand and effectively translate the Renaissance Latin text. Before Boncompagni's edition, only the "Prologus" and Chapter XV of Fibonacci's Liber Abaci had received a respectful circulation in print that was due to G. Libri's "Histoire des sciences mathématiques en Italie, dépuis la renaissance des lettres, jusqu'à la fin du dixseptième siècle" (Paris, 1838) vol. II, respectively pp. 287-290 and 307-476. REFERENCES: Giuseppe Germano, "The Modern Dissemination in Print of the 'Liber Abaci' and its Pitfalls," Part 3 of his New Editorial Perspectives on Fibonacci's Liber Abaci (in: Reti Medievali Rivista, 14:2 [Firenze University Press, 2013], pp. 161-163 and passim). George Sarton, Introduction to the History of Science II, p. 611 et seq. On Boncompagni, see V. Cappelletti's in DBI, XI, pp. 704-709. M. Mazzotti, "For Science and for the Pope-King: Writing the History of the Exact Sciences in 19th-century Rome" in: British Journal for the History of Science, 33 [2000], pp. 257-282, especially pp. 259-265. On the strengths and weaknesses of Boncompagni's edition see R.E. Grimm, "The Autobiography of Leonardo Pisano" in: The Fibonacci Quarterly, 11 [1973], pp. 99-104. John D. Stanitz, Sources of Science and Technology: an Exhibit of One Hundred and One Books and Documents (Kent State, 1972) no. 14 (this copy). PROVENANCE: John D. Stanitz, (his sale Sotheby's New York, 25 April 1984, lot 268, with , with Sotheby's label on the slipcase of vol. II) --> Messrs. Bernard Quaritch (June 1984 Mathematics list, $3,000) --> James M. Vaughn (1939-2022), enigmatic American philanthropist and bibliophile who assembled the finest mathematics collection ever formed by a private individual: 125 rare and foundational books in the history of mathematics were donated to the Harry Ransom Center in 2021; our volume was kept in Vaughn's home in River Oaks, Houston, and sold to us by his estate. Vaughn funded the Mathematical Association of America and helped support the solution of the 300-year-old math puzzle, Fermat's Last Theorum; it is therefore meaningful that he owned this copy of the Editio Princeps of the complete works of Fibonacci. With J.M.V. bookplate in each volume.

  • Image du vendeur pour Y-KING, Antiquissimus Sinarum liber quem ex latina interpretatione P. Regis aliorumque ex Soc. Jesu P. P. Editit Julius MOHL. mis en vente par Librairie Voyage et Exploration

    EUR 17 500

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    Couverture rigide. Etat : Bon. Edition originale. Stuttgart & Tubingue, Cotta, 1834-1839. 2 volumes in-8 de [1] f., xvi-474-[1] pp., 4 planches dépliantes ; [1] f., 588 pp. Premier tome relié en demi-basane brune, dos lisse, titre doré, date en queue (reliure moderne) et second tome broché, couverture d attente, inscriptions manuscrites sur la couverture ("à Monsieur M. Barucchi - Directeur du Musée égyptien, professeur d'histoire à l'Université de Turin), dos usé avec qqs fentes. Les deux volumes réunis dans un emboîtage toilé bleu moderne. Très légères mouillures claires par endroits. Rarissime première édition typographique toutes langues confondues (le texte existait jusqu'alors uniquement en manuscrit) du Livre des Mutations ou Livre des Changes, connu sous le nom de I Chin ou Y-King, l'une des uvres les plus influentes et les plus importantes dans la culture chinoise l'histoire de la pensée chinoise et la pensée mondiale, notamment pour la conception du calcul moderne. Elle précède de plus de 40 ans la première impression du texte en Chine. Révélé à l'empereur Fu Hsi il y a 5000 ans, le Y-King enseigne la science du changement et du mouvement en accord avec les processus de la nature ("Tao"). Fu Hsi a découvert les 8 trigrammes originaux vers 3000 avant notre ère ; le roi Wen (fondateur de la dynastie Zhou) a inventé les 64 hexagrammes vers 1000 avant notre ère ; et les "dix ailes" ou commentaires ont été ajoutés au texte vers 300 avant notre ère. Outre les principes divinatoires basés sur l'interprétation de 64 hexagrammes possibles, le texte a donc développé au fil des siècles une série de commentaires philosophiques qui ont fini par intégrer le corpus, reconnu par l'Empire, des cinq classiques du confucianisme et par influencer le taoïsme, le bouddhisme et, après sa transmission à l'Europe, la science et les mathématiques occidentales. Cet ouvrage conforta Leibniz dans ses théories de l'arithmétique binaire et influença Carl Jung dans sa théorie de l'intuition. Leibniz semble avoir nourri l'idée du nombre binaire pendant quelques décennies, mais il semble que ses pensées se soient concrétisées et affirmées à la suite d'une correspondance sur le I Ching entamée par le jésuite Joachim Bouvet (mathématicien jésuite français entré au service de l empereur Kangxi en 1690 comme professeur, cartographe et légat de Louis XIV), qui avait reçu en 1697 un exemplaire de "Novissima Sinica" un recueil de lettres et d'essais jésuites relatifs à la Chine et édité par Leibniz. En février 1701, Bouvet reçut une lettre de Leibniz qui lui décrivait son principe des mathématiques binaires, et il y vit une similitude avec la structure des hexagrammes du I Ching. Il répondit à Leibniz, en lui envoyant une gravure sur bois de "l'ancienne carte céleste" de Shao Yong en mettant en valeur la logique binaire inhérente et en la comparant directement au propre système de Leibniz. La lettre, reçue 17 mois plus tard, fut une véritable révélation pour Leibniz qui publia en 1703 son célèbre article sur l'arithmétique binaire en citant "les anciennes figures chinoises de Fohy [Fu Hsi]". Cette édition est basée sur la traduction antérieure non publiée entreprise entre 1707 et 1723 par Jean Baptiste REGIS (qui avait accompagné Bouvet lors de sa mission en Chine) et deux autres érudits jésuites. La traduction de Regis a attendu plus d'un siècle avant d'être publiée sous la direction de Julius (ou Jules) Mohl, orientaliste française d'origine allemande. Dans les temps pré-modernes, son symbolisme et sa numérologie ont été appliqués à l'explication d'un large éventail de sciences - de la physique et de l'astronomie à la biologie, la chimie et la géologie - et les adeptes du livre cherchent aujourd'hui à appliquer son texte à l'étude de l'informatique et du séquençage de l'ADN. Le premier volume ne comporte pas, comme souvent, le demi-titre mentionné par Cordier. Très bon exemplaire, en reliure hétérogène mais bien conservés dans les 2 cas et dont le second volume est broché tel que paru. (Cordier 645.) Édition d'une insigne rareté, surtout complet des deux volumes (seulement 4 exemplaires présentés en vente publique en quarante ans), de ce texte ancestral fondamental, aux sources de notre société numérique actuelle.

  • Image du vendeur pour Journal Polytechnique, ou Bulletin du travail fait à l'Ecole Centrale des Travaux Publics, publié par le Conseil d'Instruction et Administration de cette Ecole. [Puis, dès le 2e Cahier : ] Journal de l'Ecole Polytechnique, ou Bulletin du travail fait à cette Ecole [.]. [Puis :] Journal de l'Ecole Royale Polytechnique [.]. [Puis :] Journal de l'Ecole Impériale Polytechnique [.]. -- Cahiers 1 (1794) à 8 et 10 à 49 (1881). mis en vente par L'Ancienne Librairie

    EUR 17 100

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    Paris, De l'Imprimerie de la République, Régent et Bernard, Bachelier, Mallet-Bachelier, Gauthier-Villars, An III (1794) - 1881. 48 tomes (1 à 8 et 10 à 49) in-4 reliés en 27 volumes, 160 planches hors-texte, quelques figures dans le texte, reliure demi-basane ou veau à coins (reliure frottée, manques à quelques coiffes, quelques mors fendillés, manque la moitié du dos au tome 11, dos du tome 20 tabîmé, mors supérieur du tome 1 fendu, rousseurs éparses). Tampons humides ("Bibliothèque de l'Université de France", "Echange autorisé", "Dons n° 12961", "Ecole Polytechnique") et ex-libris : Citoyen Messier (manuscrit), Lefebure de Fourcy 1869 (impr.) et "Monsieur Lefebvre" (manuscrit), Paul Serret (d'après un certificat de la Librairie scientifique A. Hermann, daté 1884 et signé par le libraire, qui confirme qu'il s'agit d'une collection ayant fait l'objet d'un échange autorisé avec la Bibliothèque de l'Université - cf. cachets, et par exemple l'ex-dono manuscrit suivant, répété : "à Mr. Lefebvre, Elève de l 'Ecole Polytechnique, De la part du Conseil de la dite Ecole"). Rare tête de série de 48 Cahiers (1 à 49 ; manque le cahier 9) du Journal de l'Ecole Polytechnique, une des plus anciennes revues scientifiques (au sens large, puisqu'elle contient aussi à l'origine, en sus de Mémoires de Mathématiques, Physique, Chimie, Géologie, Astronomie, etc., des cours de Beaux-Arts et de Belles-Lettres, par exemple). *** Contributions de Lagrange : Essai d'analyse numérique sur la transformation des fractions (Cahier 5), Solutions de quelques problèmes relatifs aux triangles sphériques [.] (Cahier 6), Leçons élémentaires sur les Mathématiques (Cahiers 7-8), Leçons sur le Calcul des Fonctions (qui occupe l'intégralité du Cahier 12 et de son Supplément), Eclaircissement d'une difficulté singulière qui se rencontre dans le Calcul de l'Attraction des Sphéroïdes très-peu différents d'une Sphère (Cahier 15). *** Contributions de Monge : Stéréotomie (Cahier 1), Sur les lignes de courbure de la surface de l'Ellipsoïde (Cahier 2), Mémoires sur la surface courbe, etc. (2 mémoires au Cahier 11, 2 au Cahier 13), Essai d'Application de l'Analyse à quelques questions de Géométrie élémentaire (Cahier 15), Construction de l'Equation des Cordes vibrantes (ibid.). *** Et de nombreuses contributions de scientifiques de premier plan, depuis Prony, Ampère, Berthollet, Laplace, Cauchy, Liouville, etc. jusqu'à Henri Poincaré. *** Le 3e Cahier contient l'Organisation de l'Ecole Polytechnique, le 4e Cahier diverses lois fondatrices la concernant (Examens, Ecoles du Service Public). *** Un quasi-centenaire, important, de l'histoire des sciences, en particulier mathématiques. * Voir photographies / See pictures. Livres.

  • Image du vendeur pour Problematum Astronomicorum Libri Septem mis en vente par Rossignol

    Monte, Guidobaldo Marchese Del

    Edité par Apud Bernardum Juntam, Io Baptistam Ciottum & socios, 1609

    Vendeur : Rossignol, Paris, France

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    Livre Edition originale

    EUR 17 000

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    Couverture rigide. Etat : Bon État. 1ere Édition. Venetiis, Apud Bernardum Iuntam, Io. Baptistam Ciottum, & Socios. MDCVIIII. Superiorum permissu. Reliure plein velin, dos à nerfs avec titres manuscrits. Dimensions: 22,5 x 33,8 cm. 1(f), titre avec vignette gravée, 1 feuille d'introduction, 4 feuilles d'index, 128 feuilles, 1(f). Erreur de numérotation de la feuille 17 à la feuille 40. Exemplaire complet de cette première édition, illustrée de très nombreuses gravures in texte. Habile restauration dans la marge du feuillet 22. Ouvrage prépondérant du maitre et ami de Galilée, Guidobaldo del Monte, ou Guidobaldi, ou encore Guido d'Ubalde1 (né le 11 janvier 1545 à Pesaro dans la province des Marches - mort le 6 janvier 1607 dans son château de Montebaroccio), Marquis del Monte, était un mathématicien, philosophe et astronome italien du XVIe siècle. Ses travaux de statique annoncèrent la notion de travail mécanique. Il développa de nouvelles méthodes de calcul du centre de gravité pour des surfaces et des volumes variés. Il était sûrement, d'après Galilée lui-même, un des plus grands spécialistes de mécanique et mathématiques du 16ème siècle. Size: In Folio.

  • Image du vendeur pour ACTA MATHEMATICA. Zeitschrift herausgegeben / Journal rédigé par mis en vente par Librairie Alain Brieux

    EUR 16 000

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    Couverture rigide. Etat : Bon. 26 tomes en 22 volumes Stockholm, Beijer, 1882-1902, in-4, 26 tomes en 22 volumes, 18 volumes demi-basane bleue et 4 volumes brochés, Très rare ensemble de la tête de collection de cette revue capitale, encore éditée aujourd'hui, fondée par le mathématicien Magnus Gustaf Mittag-Leffler (1846-1927), maître de conférence à l'université d'Uppsala en 1872, professeur à l'université d'Helsingfors (Finlande) en 1877 et à la faculté des sciences de Stockholm à partir de 1881. Certainement le plus prestigieux de tous les journaux consacrés à la recherche en mathématiques. Les Acta Mathematica se flattent de la contribution des plus grands mathématiciens de l'époque : Henri Poincaré, Sophie Kowalevski, Georg Cantor, Émile Picard, Paul Appell, Rudolf Lipschitz, Johan Jensen, David Hilbert, Émile Borel, Heinrich Martin Weber, etc. Ils contiennent entre autre le fameux travail d'Henri Poincaré sur la théorie du chaos, qu'il publia en remplacement de son mémoire initial sur la stabilité du système solaire. L'épisode relatif à ces 2 mémoires fait partie des temps forts de l'histoire de la revue : En 1889, Poincaré rédige un mémoire pour répondre au problème de savoir si les petites perturbations intrinsèques au mouvement des planètes pourraient, un jour, provoquer une collision entre elles ou bien si, comme l'avaient démontré Laplace, Lagrange et Gauss, le système solaire restera stable pendant au moins un million d'années. Le roi Oscar II de Suède lance un concours auquel répond le mathématicien français : en démontrant qu'un système très simple, formé de trois corps dont un de masse presque nulle, est un système stable, Poincaré obtient le prix du concours. Il est prévu que le mémoire soit publié dans les Acta Mathematica. L'article est imprimé, mais tout de suite après sa relecture, on constate une erreur fondamentale, qui non seulement invalide le raisonnement de l'auteur, mais plus encore, le conduit à une conclusion opposée : le système peut être instable. Poincaré dépense plus de la totalité de son prix à faire détruire les tirages et à faire réimprimer le numéro sans son article. Un an après, les Acta Mathematica publient son mémoire révisé, Sur le problème des trois corps et les équations de la dynamique, occupant la quasi intégralité du tome 13 (1890), qui fonde l'une des théories mathématiques les plus connues et les plus populaires, la théorie du chaos. Articles en allemand et en français. 2 portraits : Karl Weierstrass et Sophie Kowalevski Tables des matières aux tome 10 et 20. In fine au tome 11 : liste des 12 mémoires, anonymes, présentés au Prix Oscar II. Sans le portrait d'Abel annoncé au tome I. Volumes en demi-basane : dos épidermés et passés. Couvertures des volumes brochés fanées, dos muets refaits. Cachets annulé de l'Institut catholique de Paris et étiquettes en pied des dos.

  • Image du vendeur pour Traité de dynamique, dans lequel les loix de l'equilibre & du mouvement des corps sont réduites au plus petit nombre possible.; [bound with:] Traité de l'équilibre et du mouvement des fluides. Pour servir de suite au Traité de dynamique. mis en vente par Peter Harrington.  ABA/ ILAB.

    First editions of both the work outlining what is now known as d'Alembert's Principle, and its much lengthier companion volume, published a year later and rarely found together. The Traité de dynamique, "d'Alembert's magnum opus, was one of the first to give a unified view of mechanics. It started out from a minimum of principles, one of which came to be named after him" (Landmark Writings in Western Mathematics). The Principle states that the internal force of inertia must be equal and opposite to the forces that produce acceleration. "D'Alembert's Principle seems to have been recognized before him by A. Fontaine, and in some measure by Johann Bernoulli and I. Newton. D'Alembert gave it a clear mathematical form and made numerous applications of it. It enabled the laws of motion and the reasonings depending on them to be represented in the most general form, in analytical language" (Cajori, p. 242). The principle is based on the three laws of motion that d'Alembert presents earlier in this work, the law of inertia, the parallelogram of motion, and the law of equilibrium and the conservation of momentum; "he actually assumed the conservation of momentum and defined mass accordingly. This fact was what made his work a mathematical physics rather than simply mathematics' (DSB). This work was the foundation for Lagrange's classic book on analytical mechanics which codified the laws governing the motions of any systems of bodies. d'Alembert is also credited with laying to rest, in the Traité, the vis viva controversy by investigating its philosophical basis and dismissing its ontological reality. 'In this way d'Alembert was clearly a precursor of positivistic science'" (ibid.). In the companion volume, Traité de l'équilibre et du mouvement des fluides, d'Alembert uses his principle to describe fluid motion and mechanics. His treatment was an alternative to that already published by Daniel Bernoulli in his Hydrodynamica (1738), and d'Alembert often arrives at the same conclusion. Cajori, A History of Western Mathematics, p. 242; En Français dans le Texte 147; Landmark Writings in Western Mathematics pp. 159-167; Norman 31 and 33; Parkinson p. 159; PMM 195; Poggendorff I, col. 28; Roberts and Trent p. 7; Roller and Goodman I, p. 26; Trente livres de mathématiques qui ont changé le monde, pp. 193-201. 2 works bound in 1 volume, quarto (213 x 162 mm). Contemporary speckled calf, rebacked preserving parts of the original spine, spine with raised bands, decorated in gilt in compartments, red morocco label, blindstamp rule border to boards, marbled endpapers and edges. With 4 folding engraved plates in first work, 10 folding plates in second work. Early 19th-century book label of J. B. Tailhand to front pastedown, early signature to initial binder's blank, and early inscription to title page with an annotation below the imprint "c'est un tribut rendu aux connoissances et pas moins aux qualités du coeur de Monsieur." folded in. Binding firm with light rubbing, corners restoreddarkening to rear cover, sporadic light browning and foxing, all folding plates without tears with a few plate numbers a little cropped, light dampstaining in upper inner margin towards end of second work with terminal binder's blank and rear free endpaper loosening a little at head. Very good copies.

  • Image du vendeur pour Explication de l'arithmétique binaire. [Contained in:] Histoire de l'Académie Royale des Sciences Année MDCCIII. Avec les Mémoires de Mathématiques & de Physique, pour la même Année. [pp. 58-63 of the Histoire and 85-9 of the Mémoires.] mis en vente par Peter Harrington.  ABA/ ILAB.

    First edition of this momentous volume of the journal of l'Académie Royale des Sciences, containing Leibniz's invention of binary arithmetic, the foundation of the electronic computer industry. Binary notation reduces all numbers to expressions involving only 0 and 1. It was a topic that had interested Leibniz for over two decades. "This explanation of binary arithmetic was the first publication on this topic to result in a significant impact on the scientific community" (Glaser, History of Binary and other Nondecimal Numeration, p. 39). Although other mathematicians had experimented with binary previous to Leibniz, including Pascal, Leibniz's paper was the first to have a notable influence on scientific thought. After its publication, the binary system became a popular subject of study. As modern computing is based on the binary system, the paper can be seen as the basis of computational science, both theoretical and in practice. Leibniz had conceived of a calculating machine based on the binary system as early as 1679, but this was never constructed. Binary arithmetic had broader implications for Leibniz beyond just its mathematical function. "In the domain of mathematics, Leibniz regarded binary notation as intrinsically superior to decimal notation. Over and above this advantage, however, he believed that it contained the key to resolving both the problem of conceptual primitives and the problem of adequate characters. If it could be established, as Leibniz speculated from about 1679 onwards, that the only truly primitive concepts were those of God and Nothingness (or Being and Privation), then the symbols 1 and 0 would form the basis for an adequate characteristic, whose simplest signs would stand in an immediate relation to the two conceptual primitives" (The Cambridge Companion to Leibniz, pp. 236-7). This was the second of Leibniz's great trilogy of works on mathematics and computation, following Nova methodus pro maximis et minimis (1684), his independent invention of calculus, and preceding Brevis descriptio machinae arithmeticae (1710), his (decimal) mechanical calculating machine. Also included in the volume is Bernard Le Boyer de Fontenelle's Nouvelle Arithmétique binaire (pp. 58-63), written as secretary of the academy, which offers an editorial comment on Leibniz's paper. Ravier 166. 2 parts in 1 volume, quarto (245 x 173 mm). Recased in contemporary black morocco, rebacked and recornered, fragments of original spine laid down with new red morocco labels, gilt border to covers enclosing gilt arms of Louis XIV, marbled endpapers (reinforced in hinges), gilt edges. Engraved frontispiece, 11 plates, (of 12), of which 9 folding. Contemporary armorial bookplate on title verso. Binding firm, contents a little toned, title page excised at head, plate 12 (the heart of the American tortoise) lacking, sporadic light foxing; a very good copy.

  • Image du vendeur pour Un vestige du "Pantoscome" de Morgard, datable vers 1615 mis en vente par Le Zograscope

    [MORGARD (Noël Léon)]

    Vendeur : Le Zograscope, Paris, France

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    Le seul exemple survivant connu de cet astrolabe astronomique Un vestige du "Pantoscome" de Morgard, datable vers 1615 Cet instrument universel est constitué d'un disque en acajou de 24 cm sur lequel est collée une feuille de papier imprimée et vernie, de deux bras d'index en laiton avec deux trous/alidades de visée à chaque extrémité, et d'un support en forme de fleur de lys avec anneau de suspension monté sur pivot. La partie en papier est une forme complexe de rete (ou d'araignée) mais avec de nombreuses informations astronomiques et astrologiques supplémentaires, tels les climats, les aspects des planètes pour chaque Zodiaque, etc. L'« Index Solaire » est gravé d'échelles circulaires, l'« Index Lunaire » d'un aspectarium et d'une volvelle de phase lunaire. Noël Léon Morgard était professeur de sciences mathématiques à Paris au début du XVIIe siècle. Il décrit l'invention, la construction et l'utilisation de son astrolabe, nommé Pantoscope, dans un livre rare daté de 1612 intitulé "Déclaration, instruction et usage du pantocosme ou instrument universel concernant les observations astronomiques". Aucun autre exemplaire de l'instrument ne semble connu.

  • Image du vendeur pour Annales de mathématiques pures et appliquées. Recueil périodique mis en vente par Librairie Alain Brieux

    GERGONNE (Joseph-Diez)

    Date d'édition : 1810

    Vendeur : Librairie Alain Brieux, Paris, France

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    Couverture rigide. Etat : Bon. 22 tomes en 21 volumes in-4, Nîmes, Imprimerie de la veuve Belle [P. Durand-Belle], 1810-1832, , 22 tomes en 21 volumes in-4, 71 planches, demi-chagrin noir de la seconde moitié du XIXe siècle, dos à faux nerfs, Tout ce qui a paru des Annales ; ensemble comprenant de nombreuses planches gravées sur cuivre et signées par le rédacteur lui-même, « J[oseph] D[iez] G[ergonne] fecit ». Oeuvre capitale de Gergonne (1771-1859), professeur d'astronomie à la Faculté de Montpellier, les Annales furent fondée à Nîmes en collaboration avec J.E. Thomas-Lavernède ; cette initiative est alors unique, puisqu'elle constitue le premier journal de mathématiques pures, qui deviendra à partir de 1836, sous la direction de Joseph Liouville, le Journal de Mathématiques Pures et Appliquées. Le dernier volume des Annales (22) est resté inachevé. "Gergonne's Annales played an essential role in the creation of modern projective and algebraic geometry". Elles renferment plusieurs grands noms des mathématiques contemporaines : Ampère, Poisson, Poncelet, Cauchy, Chasles, Servois, Dupin, Lamé, etc. Evasriste Galois y publie son premier article, la "Démonstration d'un théorème sur les fractions continues périodiques" (t. XIX), qui s'inscrit dans la recherche des solutions d'une équation polynomiale. D'autre part, les Annales se singularisent par la participation de mathématiciens de tous niveaux, y compris des élèves de Gergonne, qui étaient amenés à y prendre part en résolvant quelques problèmes complexes pour lesquels le maître établissait une sorte de concours. "Il serait impossible (.) d'énumérer et d'analyser les mémoires ou articles que Gergonne à consignés dans ses Annales ; il nous suffira de rappeler qu'ils se rapportent de préférence à cette géométrie supérieure, d'origine Newtonienne, et qui, entre les travaux de Monge et ceux de M. Chasles, n'eut pas de vulgarisateur plus habile et infatigable que le professeur de Montpellier. L'algèbre, la théorie des nombres, l'astronomie, la mécanique, et enfin la philosophie mathématique ont également fourni à Gergonne le sujet de nombreux mémoires. Parmi ces travaux si variés, les savants spéciaux ont surtout remarqué ceux qui ont pour objet diverses questions de dioptrique, les miroirs sphériques, les surfaces caustiques, la théorie des polaires, le problème des contacts des cercles sur un plan des sphères dans l'espace et des cercles sur la sphère, solution neuve et élégante de questions qui avaient déjà occupé Viète, Descartes et Newton" (Bouisson). Gergonne lui-même est l'auteur de nombreux articles, certains publiés sans nom d'auteur ou bien sous pseudonymes ; il lui arrivait de s'adresser à lui-même des objections sous forme de lettres écrites par de prétendus contradicteurs. Notices biographiques sur Gergonne reliées en tête du premier volume : Bouisson (F.). Notice biographique sur J.-D. Gergonne. Montpellier, Boem, 1859. 14 pages. Tiré à part extrait du Montpellier médical, août 1859. Lafon (A.). Gergonne, sa vie et ses travaux. Discours de réception. 50 pages. Tiré à part extrait des Mémoires de l'Académie de Stanislas, contenant la liste des 245 travaux de Gergonne publiés dans les Annales. Les tables des matières et les "Correspondances entre les questions posées et les questions résolues" des tomes 5, 10 et 11 sont manquantes et ont été remplacées par des feuillets manuscrits. Sans l'errata du tome 5. Il manque quelques feuillets de titre ou de faux-titre. Une planche du tome VII remplacée par un fac-similé. Cachets annulés de l'Institut Catholique de Paris et étiquettes ex-libris d'Henri Viellard. Rares rousseurs. Une planche réparée (t. IV, pl. 1), une déchirure sans manque à une planche (t. VI, pl. 2) DSB V, p. 367-369.

  • Image du vendeur pour Cosmotheoria, libros duos complexa. [Et] Monalosphaerium partibus constans quatuor mis en vente par Librairie Alain Brieux

    FERNEL, Jean

    Date d'édition : 1528

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    Couverture rigide. Etat : Bon. 2 ouvrages en 1 volume, Paris, Simon de Colines, 1528 [1527] et 1526 [1527], in-folio, 2 ouvrages en 1 volume, [6]-46 ff. ; [6]-36 ff, Veau havane à l'imitation, Deux rares et précieux traités d'astronomie du savant et humaniste Jean Fernel (1497-1558), en grand format, parus chez l'éditeur parisien Simon de Colines. Les titres sont placés dans l'encadrement sur bois à fond criblé attribué à Oronce Finé, réservé par Simon de Colines aux ouvrages scientifiques ; huit personnages allégoriques, historiques et mythologiques à mi-corps apparaissent dans les entrelacs (l'Astronomie, Ptolémée, la Musique, Orphée, la Géométrie, Euclide, l'Arithmétique et Al-Khwârizmî). Le corps des ouvrages, en lettres rondes, emploie des lettrines florales à fond criblé, attribuables à Geoffroy Tory. Les pièces sont reliées dans l'ordre suivant : 1? Joannis Fernelii Ambianatis Cosmotheoria. 1528 [1527]. Première édition, second état, avec la page de titre datée de 1528 (le premier état est de 1527). L'explicit indique la date de 1527 (Excudebat Simon Colinaeus Parisiis Anno Christi, caelorum & siderum conditoris MDXXVII ad calendas februarii). Nombreuses figures sur bois dans le texte, dont 5 grandes sur feuillets dépliants ; 1 feuillet a été replié pour reproduire, dans son intégralité, une petite figure imprimée très en marge (f. 31). L'auteur traite ici de la structure et de la forme de la terre. Il propose une mesure de la grandeur de la terre, établie d'après un voyage fait entre Paris et Amiens, en comptant le nombre de tours de la roue de sa voiture : il réalise ainsi des calculs qui lui permettent d'établir la longueur du degré de méridien de 56 746 toises, valeur extrêmement proche de celle qui sera établie au siècle suivant par l'Abbé Jean Picard, 57 060 toises (Jean-François Cordier, "Jean Fernel et l'esprit humaniste". Bulletin de l'Académie nationale de médecine, 2011, 195, n° 6, 1399-1407, séance du 7 juin 2011). BP16_105648. Houseau & Lancaster 2406. Renouard, Colines, pp. 116-117 (pp. 97-98 pour le premier état). Renouard, ICP, III, 1459. Sherrington, 2B. USTC 181052. 2? Joannis Fernelii Ambianatis Monalosphaerium partibus constans quatuor. 1526 [1527] Première édition, premier état (le second état est daté, au titre, de 1527). L'explicit précise la date du 9 mars 1527. Cet ouvrage de mathématiques "comprend notamment la description d'un astrolabe pour déterminer l'heure et la mesure du temps, avec une discussion des jours et les divisions de l'année. Il inclut une analyse astrologique des signes du zodiaque qui témoigne des discussions d'alors sur l'influence des astres sur la santé" (Cordier, op. cit.). Selon Renouard (Colines, p. 428), deux volumes de planches (Secundum Monalosphaerii instrumentum), littéralement introuvables, accompagnaient le volume de texte. BP16_105386. Houzeau & Lancaster 3260. Renouard, Colines, pp. 85-86. Renouard, ICP, III, n° 1204. Sherrington, 1A. USTC 184658. Jean Fernel fut l'un des médecins les plus célèbres de son temps. Il est à l'origine des termes "pathologie" et "physiologie". Il pratiquait, en outre, la philosophie, l'astronomie et les mathématiques. L'éclectisme de ses ouvrages témoigne de son esprit profondément humaniste. Mouillures angulaires sur plusieurs feuillets et une tache de moisissure sur le dernier, non active. Remarquable reliure à l'imitation.

  • Image du vendeur pour Oeuvres mathématiques, pp. 381-444 in: Journal de Mathématiques pures et appliquées ou Recueil mensuel de mémoires sur les diverses parties des mathématiques; publié par Joseph Liouville, Tome XI, Année 1846 mis en vente par SOPHIA RARE BOOKS

    First edition. THE FIRST PUBLICATION OF GALOIS' MOST IMPORTANT WORKS. First edition, a remarkable copy uncut in the original printed wrappers and very rare thus, of Galois' collected mathematical works, for the most part previously unpublished. Their posthumous publication was due to Joseph Liouville, editor of the leading French journal on pure and applied mathematics. "There have been few mathematicians with personalities as engaging as that of Galois, who died at the age of twenty years and seven months from wounds received in a mysterious duel. He left a body of work - for the most part published posthumously - of less than 100 pages, the astonishing richness of which was revealed in the second half of the nineteenth century. Far from being a cloistered scholar, this extraordinarily precocious and exceptionally profound genius had an extremely tormented life. A militant republican, driven to revolt by the adversity that overwhelmed him and by the incomprehension and disdain with which the scientific world received his works, to most of his contemporaries he was only a political agitator. Yet in fact, continuing the work of Abel, he produced with the aid of group theory a definitive answer to the problem of the solvability of algebraic equations, a problem that had absorbed the attention of mathematicians since the eighteenth century; he thereby laid one of the foundations of modern algebra. The few sketches remaining of other works that he devoted to the theory of elliptic functions and that of Abelian integrals and his reflections on the philosophy and methodology of mathematics display an uncanny foreknowledge of modern mathematics" (DSB). "Évariste Galois created mathematics which changed the direction of algebra. His revolutionary ideas date from around May 1829 to June 1830, the twelve to thirteen months surrounding his eighteenth birthday. An article published in June 1830 created the theory of Galois imaginaries, a fore-runner of what are now known as finite fields; his so-called Premier Mémoire created group theory and Galois Theory-the modern version of the theory of equations. The Lettre testamentaire, the letter that he wrote to his friend Auguste Chevalier on 29 May 1832, the eve of the duel, is an extraordinary summary of what he had achieved and what he might have achieved had he lived to develop and expound more of his mathematical ideas" (Neumann, p. vii). The Oeuvres were considered definitive until 1906; in addition to the memoirs published in Galois's lifetime (except for the last) and the letter to Auguste Chevalier, this edition contains the following previously unpublished memoirs: 'Mémoire sur les conditions de résolubilité des équations par radicaux,' pp. 417-433; and 'Des équations primitives qui sont solubles par radicaux,' pp. 434-444. "Galois's terse style, combined with the great originality of his thought and the modernity of his conceptions, contributed as muchas the delay in publication to the length of time that passed before Galois's work was understood, recognized at its true worth, and fully developed . It was only with the publication in 1866 of the third edition of Alfred Serret's Cours d'algébre supérieure and, in 1870, of Camille Jordan's Traité des substitutions that group theory and the whole of Galois's oeuvre were truly integrated into the body of mathematics" (DSB). "In 1828 [Galois] began to study certain recent works on the theory of equations, number theory, and the theory of elliptic functions. This was the period of his first memorandum, published in March 1829 in Gergonne's Annales de mathématiques pures et appliquées; making more explicit and demonstrating a result of Lagrange's concerning continuous fractions, it reveals a certain ingenuity but does not herald an exceptional talent. "By his own account, in the course of 1828 Galois wrongly believed-as Abel had eight years earlier-that he had solved the general fifth-degree equation. Rapidly undeceived, he resumed on a new basis the study of the theory of equations, which he pursued until he achieved the elucidation of the general problem with the help of group theory. The results he obtained in May 1829 were communicated to the Académie des Sciences by a particularly competent judge, Cauchy. But events were to frustrate these brilliant beginnings and to leave a deep mark on the personality of the young mathematician. First, at the beginning of July came the suicide of his father, who had been persecuted for his liberal opinions. Second, a month later he failed the entrance examination for the École Polytechnique, owing to his refusal to follow the method of exposition suggested by the examiner. Seeing his hopes vanish for entering the school which attracted him because of its scientific prestige and liberal tradition, he took the entrance examination for the École Normale Supérieure (then called the École Préparatoire), which trained future secondary school teachers. Admitted as the result of an excellent grade in mathematics, he entered this institution in November 1829; it was then housed in an annex of the Collège Louis-le-Grand, where he had spent the previous six years. At this time, through reading Férussac's Bulletin des sciences mathématiques, he learned of Abel's recent death and, at the same time, that Abel's last published memoir contained a good number of the results he himself had presented as original in his memoir to the Academy. "Cauchy, assigned to report on Galois's work, had to counsel him to revise his memoir, taking into account Abel's researches and the new results he had obtained. (It was for this reason that Cauchy did not present a report on his memoir.) Galois actually composed a new text that he submitted to the Academy at the end of February 1830, hoping to win the grand prix in mathematics. Unfortunately this memoir was lost upon the death of Fourier, who had been appointed to examine it. Brusquely eliminated from the competition, Galois believed himself to be the obj.