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  • Image du vendeur pour [Photographie] Extraordinaire réunion de photographies de Maurice Blanchot prises dans la sphère familiale mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    (BLANCHOT Maurice)

    Date d'édition : 1907

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Photographie Edition originale

    EUR 40 250

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    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    autre. - ca.1907-2003, Un album photographique de 30x32cm contenant 260 photographies. - Album de 260 photographies originales, composant le seul corpus photographique de Maurice Blanchot et de sa famille, à l'exception de quelques photographies isolées, d'identité ou tardives publiées dans le cahier de l'Herne consacré à l'écrivain. «?Blanchot mit longtemps au défi photographes et caricaturistes de la presse littéraire. Minimalistes et rarissimes, sur tant d'années, sont les esquisses d'illustrations?: en 1962 dans L'Express, une main brandit un livre, sur fond de page ; en 1979, dans Libération, un carré vierge au milieu de la page, portant pour toute légende le nom de Maurice Blanchot et une citation de l'Entretien infini («?un vide d'univers?: rien qui fut visible, rien qui fut invisible?»)?» (C. Bident, Maurice Blanchot). En 1986, à l'occasion d'une exposition de portraits d'écrivains, Maurice Blanchot demande que sa photo soit remplacée par un texte manifestant son désir d'«?apparaître le moins possible, non pas pour exalter [ses] livres, mais pour éviter la présence d'un auteur qui prétendrait à une existence propre?» . Une photo prise à son insu par un paparazzo sur un parking de supermarché, fera longtemps office de portrait de l'écrivain avant que son ami Emmanuel Levinas ne dévoile quelques rares portraits de leur jeunesse. Que Maurice Blanchot ne se soit pas opposé à cette divulgation, que celle-ci soit le fait de son plus proche ami, pourrait s'expliquer par ce que Bident nomme «?l'espacement de l'inquiétude?», l'inactualité des portraits dévoilés faisant écho aux publications reportées de L'Idylle, Le Dernier Mot, L'Arrêt de mort. Seules quelques photographies rassemblées dans les pages centrales du numéro des Cahiers de l'Herne consacré à Maurice Blanchot paru en 2014 complètent ces clichés uniques de l'écrivain le plus secret du XXè siècle. Dans son chapitre «?L'indisposition du secret?», Christophe Bident consacre plusieurs pages à l'absence presque totale d'image de ce partenaire invisible, s'interrogeant sur les motivations intellectuelles et psychologiques de l'écrivain conscient pourtant de l'inévitable révélation à venir?: «?Tout doit devenir public. Le secret doit être brisé. L'obscur doit entrer dans le jour et se faire jour. Ce qui ne peut se dire doit pourtant s'entendre. Quidquid latet apparebit, tout ce qui est caché, c'est cela qui doit apparaître.?» Maurice Blanchot, L'Espace littéraire) Maurice Blanchot refusait généralement d'être photographié, même dans le cadre privé, comme le confirme la famille de sa belle-s ur Anna qui, dans une lettre à son neveu, lui confirme n'avoir pris aucun cliché de l'écrivain, respectant ainsi ses v ux. Pourtant, les photographies prises au sein de sa famille proche, nous montrent un Blanchot parfaitement consentant, et jouant même avec raffinement avec son image offerte au photographe, généralement son frère. Ainsi découvre-t-on un homme élégant posant fièrement sur un ponton de bateau ou sur les quais de Seine, ou plus mystérieux, jouant avec les effets de lumière dans le coin d'une pièce nue. On constate alors une véritable mise en scène photographique, et une réappropriation symbolique de l'image, notamment dans cet étonnant portrait assis de l'écrivain tenant dans ses bras le masque mortuaire de l'«?Inconnue de la Seine?», célèbre tête en plâtre d'une jeune femme supposée noyée et qui orna les ateliers d'artistes après 1900. Véritable légende romantique, cette sculpture au mystérieux sourire post mortem est au c ur du roman d'Aragon, Aurélien, et hante les uvres des artistes du début du siècle dont Rainer Maria Rilke, Vladimir Nabokov, Claire Goll, Jules Supervielle, Louis-Ferdinand Céline, Giacometti ou Man Ray qui, à la demande d'Aragon, en fit un inquiétant portrait photographique. Maurice Blanchot décrira l'inconnue comme «?une adolescente aux yeux clos, mais vivante par un sourire si délié, si fortuné, [.] qu'on eût pu croire qu'elle s'était noyée dans.

  • Image du vendeur pour RARE COLLECTION de 1000 photos argentiques de presse originales" avec au dos le cachet de l'Agence ansi que la description détaillée et datée de l'événement photographié, provenant de l'Agence ROL / G. DEVRED, couvrant toute l'actualité événementielle et politique française et internationale des années 1931 et 1932, aux format: 18x13cm, toutes en très bon état sinon parfait état mis en vente par Mad-Museum

    Pas de couverture. Etat : Très bon. Edition originale. "RARE COLLECTION de 1000 photos argentiques de presse originales" avec au dos le cachet de l'Agence ainsi que la description détaillée et datée de l'événement photographié, provenant de l'Agence ROL / G. DEVRED, couvrant toute l'actualité événementielle et politique française et internationale des années 1931 et 1932, aux format: 18x13cm, toutes en très bon état sinon parfait état / Collection visible sur rendez-vous près d'Avignon (Téléphone: 04 90 38 56 82).

  • ÉLUARD (Paul) - MAN RAY

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Edition originale Signé

    EUR 25 000

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    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Paris, GLM, (24 octobre) 1935. 1 vol. (185 x 240 mm), non paginé. Broché. Édition originale.Illustrée de 12 photographies rayogrammes de Man Ray, en héliogravure. Un des 25 premiers exemplaires sur japon, celui-ci hors commerce. Envoi signé : « à Edouard de Rouvre avec mes très vives sympathies. Paul Eluard. » Ouvrage culte des surréalistes, Facile forme selon Parr et Badger un parfait ménage à trois en unissant la poésie, la photographie et la typographie, l'ensemble célébrant l'amour et le corps de Nusch. «This small has come to be regarded as one of the iconic French photobooks of the 1930 by virtue of its inclusion in many exhibitions devoted to the Surrealist movement [.] Man Ray's pictures of Nusch are appropriately simple, either done in high key tones, often solarized, or mysteriously dark and backlit» (Parr-Badger). Paul Éluard, Man Ray, Guy Levis Mano réunis autour de cinq poèmes et douze photographies, créent un jalon de l'édition illustrée marquant le réveil de l'érotisme dans l'art des années 1930, où, dans les nus de Man Ray, le corps n'apparaît jamais dans sa totalité selon un procédé propre à l'Homme-Lumière. La tête entière ne se montre qu'une seule fois ; les yeux jamais. « C'est en raison de l'intégration des images au texte que cet ouvrage a été fondamental pour le modernisme et une source d'inspiration pour des générations de graphistes » (Parr & Badger). Précieux exemplaire, offert sans doute au sortir de la guerre à un jeune homme prometteur âgé d'une vingtaine d'année : Evrard de Rouvre. Petit-fils de Charles Bourlon de Rouvre, qui lui légua une fortune considérable, le jeune homme fonde, à vingt et un ans, les Éditions Vrille, en 1944. Le premier livre publié est son propre recueil de poèmes, Instant, dont Éluard put avoir eu connaissance ; vient ensuite la revue Vrille, dont le premier numéro sur « La peinture et la littérature libres » est illustré par Oscar Dominguez : il réunit des textes et oeuvres de Georges Bataille, Henri Michaux, Max Ernst, Pablo Picasso, Salvador Dalí, qu'il voit défiler dans sa galerie d'antiquités du 38 avenue Pierre-Ier-de-Serbie, Présence des arts. Curieux, politiques, grands industriels et grands collectionneurs s'y presseront des années durant. La bibliophilie ne lui était pas étrangère : sa bibliothèque - dispersée en deux vacations (1979 et 1980) - ne contient que des livres choisis, voire somptueux, en grands papiers et belles reliures. Éluard y est le poète le plus représenté. Cet exemplaire de Facile n'y figure pas. Éluard s'est étrangement trompé sur le prénom - ce ne sera ni le premier ni le dernier - en orthographiant Evrard « Edouard ». De Rouvre connaîtra par la suite une longue carrière de producteur de cinéma, tout en poursuivant la direction de nombreuses autres sociétés. Il meurt tragiquement en 1979, assassiné par son majordome. Les exemplaires sur japon de Facile sont d'une grande rareté. Les exemplaires hors commerce ne semblent pas avoir été tous pourvus de la photographie originale solarisée normalement jointe aux exemplaires sur japon. Certains l'ont ; d'autres, non, et l'on rencontre également des exemplaires sur vélin enrichi d'un tirage original : il est fort probable qu'elles aient navigué, au gré des exemplaires et des dédicataires.

  • [Frith, Francis]. - Poole, Sophia u. Reginald (Text).

    Edité par London, James S. Virtue, (1858-1859)., 1859

    Vendeur : Versandantiquariat Wolfgang Friebes, Graz, Autriche

    Membre d'association : ILAB VDAO

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Edition originale Signé

    EUR 24 000

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    EUR 24,80 Frais de port

    De Autriche vers Etats-Unis

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    Etat : 0. Erste Ausgabe dieses in 25 Lieferungen erschienenen frühen Fotografiewerks über den Nahen Osten. - Die Fotografien (ca. 14,5 x 16,5 bis 21,5 x 23 cm) tlw. in der Platte signiert u. in der Platte oder der gedruckten Legende meist 1857 datiert. Die Trägerkartons mit typographischer Bezeichnung. - Francis Frith (1822-1898) war der größte Verleger der Ansichtsfotografie seiner Zeit. Vor allem die Aufnahmen seiner drei Orientreisen (1856-1859) begründeten seinen Ruhm. - Francis Frith is undoubtetly one of the best-known photographers to work in the Near East. His trips to the Levant were a brilliant commercial success as well as an artistic one" (Perez). - Neben einem Porträt des Fotografen in orientalischer Tracht mit Aufnahmen aus Abu Simbel, Assuan, Baalbek, Bethlehem, Damaskus, Gizeh, Hebron, Jerusalem, Karnak, Luxor, Nazareth, Philae, Tiberias, Wadi Kardassy u.a. - Einbände etw. berieben u. bestoßen. Vordere Rückenkanten an den oberen Kapitalen etw. angebrochen, oberes Kapital des zweiten Bandes kaum merklich geklebt. Vorderdeckelbezug des ersten Bandes m. Fehlstellen. Vorsatzblätter m. Quetschfalten u. kl. Läsuren. Text schwach gebräunt bzw. fleckig, nur vereinzelt etw. stärker. Die Trägerkartons (bes. Ränder) wie meist unterschiedlich stockfleckig, die überwiegend sauberen Fotografien meist in schönen, kräftigen Abzügen. - Ibrahim-Hilmy I, 249; Travelers in Ancient Lands" S. 193; The Photobook I, 28; Gernsheim, History 286; Blackmer 1942; Hannavy 561; Perez, Focus East 165; Van Haaften/White XII u. XV. Sprache: Englisch Gewicht in Gramm: 10000 Gr.-Fol. (45 x 33 cm). Mit zus. 76 auf Untersatzkartons mont. Orig.-Fotografien (Albumin) von Francis Frith u. 82 nn. Bll. Text. HLdr.-Bde. d. Zt. m. goldgepr. Rückentiteln u. marmor. Schnitt.

  • Image du vendeur pour Voyage d'exploration a la Mer Morte a Petra et sur rive gauche du Jourdain. mis en vente par Peter Harrington.  ABA/ ILAB.

    LUYNES, Honoré Théodoric d'Albert, duc de.

    Edité par Paris: Arthus Bertrand, 1874, 1874

    Vendeur : Peter Harrington. ABA/ ILAB., London, Royaume-Uni

    Membre d'association : ABA ILAB PBFA

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Edition originale

    EUR 23 370,88

    Autre devise
    EUR 16,29 Frais de port

    De Royaume-Uni vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Rare complete set, conspicuously well-preserved, of "the first systematic attempt to survey and photograph the geological features and cities of the Dead Sea basin in present-day Jordan, the expedition was among the most important scientific and archaeological missions of the 19th century" (Getty). Parr and Badger describes the portfolio as "one of the finest photo-mechanically printed books of the era". This monumental work is notable for the 64 high-quality photogravure plates of the portfolio, among the earliest published photographs of Jordan and the Dead Sea basin. In 1856, de Luynes had sponsored a competition with the Societe Française de Photographie to discover the best and most practical system of photo-mechanically reproducing photographs, an initiative that is credited with launching the development of the photobook. One of the participants in the contest was Charles Nègre, and although he did not win the 7,000-franc prize, de Luynes selected him in 1865 to reproduce the photographs by Vignes and Jardin, published in this official account of the expedition, paying him 23,250 francs for the commission. The duc de Luynes (1802-1867) inherited an immense fortune and spent his life conducting scientific, archaeological and artistic pursuits. On this privately-funded 1864 expedition he was accompanied by Louis Vignes, a career naval officer, who served as the expedition's photographer, as well as the distinguished geologist Louis Lartet, who would go on to discover the first Cro-Magnon skeletons. Voyage d'exploration a la Mer Morte was published posthumously and seen through the press by de Luynes's grandson, the ninth duke, and the Comte de Vogüé. Volume I comprises de Luynes's own narrative; the second, Vignes's account of Petra and Palmyra, coupled with that of a separate expedition, also sponsored by de Luynes, from Jerusalem to Karak and Chaubak (Shoubak, site of the crusader castle of Montréal), by the archaeologist Christophe Edouard Mauss and the photographer and Arabist Henri Sauvaire; volume III comprises geological observations by Lartet. Hannavy, Encyclopedia of Nineteenth-Century Photography I pp. 982-5 (Nègre); Parr & Badger I p. 33; Röhricht 2824 (calling for only 86 plates). Not in Blackmer or Atabey. 4 volumes including atlas, folio. Original light blue printed wrappers; the atlas in original portfolio of printed boards with dark green diaper cloth spine, hessian ties. 14 plates in the text volumes (including 2 double-page colour maps & 2 double-page colour cross-sections), wood engravings in the text; the atlas with 85 plates and maps, including 2 folding coloured maps; 1 engraved plate of the expedition's vessel; 64 photogravure plates by Charles Nègre after photographs by Louis Vignes and Jardin (illustrating the de Luynes expedition) numbered 1-64 (including one double-paged plate); 18 plates (numbered 1-18), including four maps and plans (one double-page), and 14 tinted lithographed plates by Eugene Ciceri after photographs by Vignes and Sauvaire (illustrating the Mauss expedition). Wrappers with minor chips or tears to extremities, portfolio with occasional marks and small repair to front cover, lacking one tie and starting at inner hinges, some foxing as usual to contents and wrappers, untrimmed and largely unopened. A very good set.

  • Marcel PROUST

    Date d'édition : 1909

    Vendeur : Le Manuscrit Français, Versailles, France

    Membre d'association : ILAB

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    Manuscrit / Papier ancien Edition originale

    EUR 22 000

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    De France vers Etats-Unis

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    Pas de couverture. Etat : Bon. Edition originale. PROUST, Marcel (1871-1922) Dessin original, dédicacé à Reynaldo Hahn : « R.H. (Bininuls) » S.l.n.d [c. 1909 ?], 1 p. in-8° oblongue à l encre noire sur papier vergé Pliure centrale d époque due à la mise sous pli, annotations au crayon d une autre main au verso Rare dessin original de Proust, représentant quatre voiliers chahutés par les vagues Le dessin, intitulé « Le Départ (gros temps) » représente quatre petits voiliers naviguant sur de hautes vagues, presque verticales, avec à leur bord chacun deux passagers tentant de maintenir avec difficulté les focs et grand-voiles. On peut observer la minutie avec laquelle Proust s est appliqué dans les détails, même les plus petits, rendant ce dessin assez aboutit. Proust pastiche Turner Admiratif des uvres de William Turner reproduites dans The Harbours of England de John Ruskin, l inspiration de Proust laisse peu de doutes tant les analogies sont frappantes entre son dessin et les reproductions figurant dans l ouvrage. Ce n est d ailleurs pas seulement dans les livres de Ruskin que Proust a pu voir les uvres de Turner. Kazuyoshi Yoshikawa explique que dans un passage de La Prisonnière, le narrateur, attendant le retour d Albertine, feuillette « un album d Elstir, un livre de Bergotte » (RTP, III, p. 55). Toutefois, dans une paperolle préparatoire se référant au même passage, Proust écrit : « Je prenais simplement un livre de Bergotte » (cahier 53, f° 20v°), et avait ajouté ensuite en interligne « feuilletais un album de Turner », avant de remplacer le nom de ce dernier par celui d Elstir. Derrière le peintre de La Recherche apparaît ainsi William Turner en figure spectrale, aux côtés de Paul-César Helleu, Claude Monet ou encore Whistler. Si la datation des dessins de Proust est presque toujours incertaine, celui-ci est à rapprocher de la lettre-dessin n°02041 (BIP n°52, François Proulx et Caroline Szylowicz), où figure la légende vue de Lincoln (bensonge) , datée par Philip Kolb du [vendredi 26 novembre 1909]. Ce dessin est aujourd hui dans les archives du Harry Ransom Center au Textas. On peut de même citer une autre lettre-dessin inédite signalée dans Turner dans le port de Carquethuit, de Kazuyoshi Yoshikawa, où on trouve la légende Entrée du Port de Dulwich par Turner (insvations et bensonge) . Ces trois dessins pourraient former une série, que Proust aurait envoyée à Reynaldo Hahn vers la même date, soit le 26 novembre 1909. Proust évoque dans d autres lettres des séries de dessins qu il élabore pour Hahn, par exemple dans sa lettre du [21 ou 22 mai 1906] où il écrit : Je vous ai fait trente si jolis dessins que je suis on ne peut plus fasché de les avoir perdus [ ] car ils constituaient une critique hardie des différentes écoles de peinture (Corr., t. VI, p. 87). « (Ci-joint letterch de Picquart) » Dans l idiome d inspiration médiévale qu il n utilise qu avec Hahn, Proust ajoute cette énigmatique légende : « Ci-joint letterch de Picquart ». Ceci indiquerait-t-il que Proust aurait écrit une lettre-pastiche dans le style des lettres de Picquart ? Une autre conjecture plausible serait la copie d une lettre du colonel Picquart publiée dans le journal Le Siècle du 9 juillet 1898 et envoyée en coupure par Proust à Hahn (cf. Jean Denis Bredin, L Affaire, Julliard, 1983, p. 294). À moins qu il ne s agisse d une lettre au sujet du sursit des treize jours de service militaire que Proust essayait d obtenir pour son valet de chambre en demandant la médiation de Hahn auprès de Picquart, devenu ministre de la Guerre (Corr., t. VIII, p. 187-188). Provenance : Autographes littéraires et historiques, Lettres de Marcel Proust [Marie Nordlinger], (Drouot, 15 et 17 décembre 1958, lot 149 / n°1). Après la mort de Reynaldo Hahn en 1947, sa cousine Marie Nordlinger, qui avait aidé Marcel Proust dans sa traduction de Ruskin, en hérita. Bibliographie : BIP n°52, Les dessins de Proust à Reynaldo Hahn Un inventaire, François Proulx et Caroline Szylowicz, 2022, p. 37, n°80099.

  • Image du vendeur pour Religions et religion mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    HUGO Victor

    Edité par Calmann Lévy, 1880

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Livre Edition originale Signé

    EUR 20 700

    Autre devise
    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Couverture rigide. - Calmann Lévy, Paris 1880, 15,5x24cm, relié. - Édition originale. Reliure en demi maroquin noir à coins, dos à quatre nerfs sertis de pointillés dorés et orné de doubles caissons dorés décorés en angles, date et mention «?Ex. de J. Drouet?» dorées en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure signée de René Aussourd. Quelques petites rousseurs principalement en début et fin de volume. Précieux envoi autographe signé de Victor Hugo à Juliette Drouet, le grand amour de sa vie?: «?à vous, ma dame. Humble hommage. V.?» L'exemplaire provient de la bibliothèque de Pierre Duché. Ce dernier avait acheté en bloc la bibliothèque de Juliette Drouet et avait confié les volumes à René Aussourd pour les faire relier de manière uniforme avec l'inscription permettant leur identification en queue. Ex-libris encollés sur un contreplat et une garde. C'est à la fin de l'année 1878, soit après plus de quarante ans de relation, que Victor Hugo et son amante emménagent enfin ensemble avenue d'Eylau, dans le petit hôtel où le poète finira sa vie. «?À partir de ce moment, on peut dire que la vie de Juliette ne fut plus guère qu'une tristesse ininterrompue, une servitude de toutes les heures. Elle souffre elle-même d'un cancer à l'estomac, elle sait qu'elle est condamnée, condamnée à mourir de faim?!?» (Louis Guimbaud, Victor Hugo et Juliette Drouet, Paris, 1927) Malgré ses souffrances et sa grande faiblesse physique, elle tient toujours avec fidélité le rôle de garde-malade de son «?Toto?». C'est d'ailleurs à cette époque que Bastien Lepage peint d'elle un portrait d'un réalisme frappant?: «?De son visage de déesse, sérieux et calme, la maladie impitoyable a fait une pauvre figure humaine, tirée et creusée, sillonnée de rides dont chacune semble conter quelque douleur.?» (op. cit.) Religions et religion paraît deux ans avant la disparition de Juliette ; il s'agit de l'un des derniers ouvrages qu'Hugo dédicace humblement au grand et dévoué amour de sa vie. Hugo rendra d'ailleurs hommage au dévouement sans faille de sa compagne en lui offrant une photographie sur laquelle il inscrit?: «?Cinquante ans, c'est le plus beau mariage.?». Exemplaire de la plus intime provenance. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND].

  • Image du vendeur pour Le Chien de coeur mis en vente par Librairie Walden

    CHAR (René)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

    Membre d'association : ILAB

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    Edition originale Signé

    EUR 20 000

    Autre devise
    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Paris, GLM, (janvier) 1969. 1 vol. (150 x 215 mm) de 25 p., [2] et 1 f. Plein veau naturel teinté gris anthracite, estampé d'une eau-forte originale composée à partir d'une lithographie de Joan Miró, dos lisse, tranches dorées sur témoins par Jean-Luc Bongrain, couvertures et dos conservés, gardes de chèvre velours, chemise et étuis bordés, titre à la chinoise sur la chemise, au film crème, par Claude Ribal (reliure signée de Louise Bescond, 2022). Édition originale. Un des 95 premiers exemplaires sur vélin d?Arches (n° 65) contenant la lithographie originale en couleurs de Joan Miro, signée. Envoi signé : « Pour Gisèle, hommage d?amitié, Miro, VI/69 ». En mai 1968, à l'écart des événements qui secouent la France, René Char fait une crise cardiaque, première d'une longue série d'accidents cardiovasculaires. De cette « expérience », il tire Le Chien de coeur, qu'il publie un an après : « Je crus que la mort venait, mais une mort où, comblé par une compréhension sans exemple, j'aurais encore un pas à faire avant de m'endormir, d'être rendu éparpillé à l'univers pour toujours. » Composé pendant l'été aux Busclats, le recueil donne à lire six poèmes dont la plupart dénoncent les distorsions de la société moderne et l'écart grandissant entre l'homme et la nature. Soeur cadette du peintre Mario Prassinos, Gisèle Prassinos produit, dès quatorze ans, des textes automatiques que son frère, par le biais d'Henri Parisot, montre aux surréalistes. Man Ray la photographie lisant ses poèmes au Café Dynamo, tandis que ses premiers poèmes paraissent en 1934 dans Minotaure. Son premier recueil, La Sauterelle arthritique, sera publié l'année suivante aux Éditions GLM, avec une note de Paul Éluard et une photographie de Man Ray. Elle est la seule femme retenue par André Breton dans la première édition de l'Anthologie de l'humour noir et garde une position éminente dans l'histoire du surréalisme. Gisèle Prassinos poursuivra par la suite une carrière d'illustratrice, livrant en 1946, La Chasse au snark de Lewis Caroll et se met à la peinture en 1967 puis compose des installations plastiques au milieu des années 1970. Magnifique reliure composée et façonnée par Louise Bescond. Provenance : Gisèle Prassinos (envoi) ; ?Sous le signe de Maeght', (Paris, de Baecque, avril 2015).

  • Image du vendeur pour Photographs 1920-1934. (Avec un Portrait par Picasso - Textes de André Breton, Paul Eluard, Rrose Sélavy, Tristan Tzara - Préface by Man Ray). mis en vente par Antiquariat Haufe & Lutz

    Man Ray (d. i. Emmanuel Rudnitzky oder Radnitzky).

    Edité par Hartford Connecticut, James Thrall Soby (1934)., 1934

    Vendeur : Antiquariat Haufe & Lutz, Karlsruhe, BW, Allemagne

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    Edition originale Signé

    EUR 14 500

    Autre devise
    EUR 22,49 Frais de port

    De Allemagne vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    4°. [7] Bl. (Text) u. 103 Heliogravuren nach Photographien, davon 19 "Rayographien" von M. Ray. Farbig illustr. OKart. mit Kunstoff-Spiral-Bindung. Auer 210. Bouqueret, Paris 148 ff. Roth, The Book of 101 Books 80 f ("deuxième édition"). - Sehr seltene erste Ausgabe ("Copies with the original title page are exceedingly rare" (D. Levy Srauss). - Mit eigenhändiger Widmung von Man Ray "for Rosalind my next subject! Man Ray Paris 1955". - Texte in Englisch, Französisch und Deutsch (P. Sélavy). - "[T]his was Man Ray s first monograph, and his friends pulled out all the stops to herald it . attempted to generate demand where none existed by suggesting the edition had sold out. After replacing the title pages of these copies with one stating second edition, he returned them for sale. . It begins with a portrait drawing of Man Ray by Pablo Picasso and consists of 104 photographs divided into five sections. . Man Ray made several different studies for the cover; until finally settling on this image of his own bust looking down on a blue-eyed blonde contemplating a plaster hand cradling, a fragile lithtbulb that mirrors a catching toy (a ball an a peg)" (D. Levy Srauss in Roth). - "Man Ray s work introduced a particular note [to Surrealism], since he used photography and recognized early on that this medium could reproduce the effects of object-based art in two-dimensional form. Photography was in a position to preserve the ordinary and to unleash surreal effects" (P. Stepan, Icons of Photography 26). - Bei der Widmungsempfängerin handelt es sich um die amerik. Kunstsammlerin Rosalind Gersten Jacobs (1925-2019), die mit allen wichtigen Künstlern der Dada- und Surrealistenbewegung befreundet war. Sie und ihr Mann Melvin Jacobs lernten Man Ray und seine Frau Juliet 1954 auf einer Geschäftsreise in Paris kennen und waren lebenslang mit dem Paar eng befreundet. Zwischen 1956 und 1958 porträtierte Man Ray R. Gersten Jacobs mehrfach. 1955 freundete sich Gersten auch mit Lee Miller und Roland Penrose an und die beiden Paare besuchten sich häufig in Chiddingly (GB) und New York. Einen signierten Abzug von Lee Millers Portrait von Charlie Chaplin (1930) erwarb Gersten für ihre Sammlung. Das Herzstück der Sammlung war Man Rays wohl bekanntestes Foto "Le Violon d'Ingres" von 1924. Der signierte Abzug wurde im Frühjahr 2022 bei Christies in New York für den Rekordpreis von 12.500.000 $ versteigert. R. Gersten war am 18. November 1976 an Man Rays Bett in seinem Pariser Studio und las ihm vor, kurz bevor er starb. - Sehr gutes Exemplar eines der wichtigsten Fotobücher des 20. Jahrhunderts. - Rare first edition, inscribed by Man Ray for Rosalind Gersten Jacobs. Sprache: englisch.

  • Image du vendeur pour K.H. HÖDICKE - with a original gouache 1984 (100x70cm) mis en vente par °ART...on paper - 20th Century Art Books

    Schwarz, Michael - Wilhelm Burger - Hödicke, Karl Horst

    Edité par Karlsruhe: Badischer Kunstverein, 1977, 1977

    Vendeur : °ART...on paper - 20th Century Art Books, Lugano, Suisse

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    Livre Edition originale

    EUR 14 275,12

    Autre devise
    EUR 25 Frais de port

    De Suisse vers Etats-Unis

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    Soft cover. Etat : Very Good. 1st Edition. gr 8° - 120 pp - Reproductions in colour b/w of Paintings, installations, objects etc by the versatile artist Karl Horst Hödicke (1938) contemporary German artist known for his Neo-Expressionist paintings. Exhibition catalogue, with a original gouache 1984 (100x70cm). Text in german. Very good condition.

  • Image du vendeur pour Mort à Crédit mis en vente par L'Ancienne Librairie

    CÉLINE (Louis-Ferdinand)

    Vendeur : L'Ancienne Librairie, Paris, France

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    Livre Edition originale

    EUR 13 680

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    Paris, Denoël et Steele, [1936]. Fort in-8 (217 x 134 mm) de 2 ff. blancs, 697-[1] pp. et 3 ff. blancs ; maroquin noir janséniste, dos lisse, titre or, doublure et gardes de velours rouge bordées d un listel de box gris perle, couverture et dos conservés, tranches dorées sur témoins, chemise avec dos et rabats du même maroquin, étui bordé (J.-P. Miguet). Édition originale.Un des 65 exemplaires numérotés sur papier de Hollande, après 47 Japon.Celui-ci, un des 35 mis dans le commerce (n° 31), comporte, comme la grande majorité des exemplaires de Mort à crédit, des blancs à la place des passages « obscènes », supprimés par Céline à la demande de l éditeur. D après Jean-Pierre Dauphin et Pascal Fouché, sur les 1012 exemplaires du tirage total seuls les 117 hors commerce numérotés en chiffres romains 22 Japon, 30 Hollande, 25 pur fil et 40 Alfa contiennent le texte intégral du roman. Il faudra attendre 1981 et la publication du premier volume des uvres dans la Bibliothèque de la Pléiade pour que le texte complet de Mort à crédit, l un des incontestables chefs-d uvre de Céline, soit enfin mis à la disposition du public.Très bel exemplaire, sobrement relié par Miguet.Deux infimes taches brunes au premier plat de la couverture ; légère reprise aux mors de la chemise. * Voir photographie(s) / See the picture(s). Livres.

  • Image du vendeur pour Gefesselter Blick. 25 kurze Monographien und Beiträge über neue Werbegestaltung. Mit Unterstützung des "Rings der Werbegestalter des Schweizer Werkbundes" u. a. herausgegeben und mit einer Einleitung versehen. mis en vente par Antiquariat Haufe & Lutz

    EUR 13 500

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    111, (1 w.) S. mit 140 Abb., teils in Orangerot u. Schwarz gedruckt u. 1 Bl. (Errata). OLn. (Vorderdeckel aus durchsichtigem Zelluloid). Fleischmann, Drucksachen S. 354. Dokumentations-Bibliothek VI, 91.Heidtmann 8618. Heiting/Jaeger II, 350 ff. Die Lesbarkeit der Kunst. Katalog Berlin 1999. Nr. 40. - Seltene Original-Ausgabe. - "Eine der hervorragendsten Publikationen über Werbegestaltung. . Typographisch hervorragend gestaltet, in einem neue Wege gehenden Einband mit wirkungsvollem Titel in Rot und Blau (sic!), der durch die durchsichtige Zelluloidfolie wie aus einem Schaufenster sichtbar wird" (H. Bolliger). - Kurze monographische Texte über 26 (nicht 25 wie auf dem Titel angegeben) progressive Werbegestalter der späten zwanziger Jahre, die alle heute zu den Klassikern gehören, unter anderen O. Baumberger, W. Baumeister, M. Bill, M. Burchartz, W. Cyliax, W. Dexel, H. Elias, W. Graff, J. Heartfield, El Lissitzky, R. Michel, L. Moholy-Nagy, H. Richter, K. Schwitters, Mart Stam, K. Teige, Jan Tschichold, Vordemberge-Gildewart und Piet Zwart. - "Der von Heinz und Bodo Rasch herausgegebene Band 'Gefesselter Blick' wurde Ende Mai 1930 ausgeliefert. Im Buch selbst wird der Titel allerdings nicht erwähnt, auch nicht in der Einleitung. Lediglich in der Selbstdarstellung von Otto Baumberger findet sich die Formulierung "Fesselung des Blickes" (S. 17). Diese Irritation setzt sich beim Untertitel '25 kurze Monografien und Beiträge über neue Werbegestaltung' fort. Denn tatsächlich sind es 26 Gestalter, die in der Namensliste darunter aufgeführt und im Buch vorgestellt werden. Vermutlich wurde die Zahl '25' von den Herausgebern für markanter gehalten. Ferner fällt auf, dass der Ring 'neue werbegestalter' in der Titelei - scheinbar - nicht vorkommt, obgleich seine Mitglieder und Gäste den Hauptanteil des Buches ausmachen. Stattdessen findet sich auf Titelblatt und -streifen der prominente Hinweis: "Mit Unterstützung des 'Ringes der Werbegestalter des Schweizer Werkbundes' u. a." Diese Formulierung ist von der Fachliteratur stets wörtlich übernommen, aber nie kritisch hinterfragt worden. Denn einen 'Ring der Werbegestalter des Schweizer Werkbundes' hat es nie gegeben. Vielmehr dürfte hier ein Fehler bei der Zeichensetzung vorliegen. Im Sinne einer Aufzählung müsste es wohl richtig heißen: "mit Unterstützung des 'Ringes der Werbegestalter', des Schweizer Werkbundes u. a." Für diese Deutung spricht auch die Danksagung im Impressum, die an Kurt Schwitters (für den Ring 'neue werbegestalter') und Hans Schmidt (für den Schweizer Werkbund) gerichtet wird." (R. Jaeger in Heiting/Jaeger). - Rücken etwas berieben und leicht aufgehellt, der Zelluloid-Deckel etwas gebräunt und leicht fleckig, im oberen Falz teils schwach braunfleckig, sehr gutes Exemplar mit dem Errata-Blatt. Sprache: deutsch.

  • Image du vendeur pour La septième face du dé. Poèmes - découpages. Couverture de Marcel Duchamp. mis en vente par Antiquariat Haufe & Lutz

    Hugnet, Georges.

    Edité par Paris, Éditions Jeanne Bucher (1936)., 1936

    Vendeur : Antiquariat Haufe & Lutz, Karlsruhe, BW, Allemagne

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    EUR 13 500

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    4°. [42] Bl. mit 20 teils farb. Foto-Collagen. Illustr. OKart., als Blockbuch gebunden. Auer 236. W. Arensberg Collection, Philadelphia Museum of Art 1950. Bouqueret 192 ff. Koetzle 213 f. Parr/Badger 109 (im Text zu "Guide Rose"). Roth, The Book of 101 Books 92 f. Schwarz, Duchamp 444. - Nr. 33 von 250 num. Exemplaren (GA 294 Exemplare). - Mit beil. Verlagsanzeigenblatt von Jeanne Bucher. - Meilenstein der surrealistischen Buchkunst. Der berühmte Umschlag, den M. Duchamp eigens für dieses Buch entworfen hat, zeigt dessen Skulptur "Why Not Sneeze Rose Sélavy?" (152 Marmorwürfel in Form von Zuckerwürfeln mit Thermometer und Tintenfischgräte in einem Vogelkäfig) von 1921 nach einer Photographie von Man Ray. - "Als großer Liebhaber der Malerei, der mit Picasso, Dominguez, Duchamp und Dalí persönlich befreundet war, ließ Hugnet . es sich nicht nehmen, auch in den Bereich der bildenden Künste vorzustoßen, und zwar mit Collagen, auf denen er Fotografien mit verschiedenartigen Materialien verbindet" (E. Jaguer in Kotzle). - "Hugnet had joined the Surrealists by 1932, and the collages on the right-hand pages, centered around nude images cut out of Paris Magazine, rehearse typical Surrealist themes. . The cover by Marcel Duchamp spells out the title in letters containing the names of a whole Surrealist pantheon including Sade, Freud, Rimbaud, Paracelsus, Swift, Heraclitus, Roussel, Chaplin, Jarry, Uccello, and Saint-Just, and also a Man Ray photograph of Duchamps assisted readynade "Why Not Sneeze, Rrose Sélavy?" consisting of 152 marble cubes the size of sugar cubes, a thermometer, and a cuttlebone inside a small cage. Duchamp's object was included this same year in the exhibition Fantastic Art, Dada, and Surrealim, organized by Alfred Barr at the Museum of Modern Art in New York, Hugnet wrote the preface for the catalogue" (D. L. Strauss in Roth). - "Georges Hugnet est depuis 1936 un membre très actif du groupe surréaliste. Si l'on excepte Schwitters, Rodchenko et surtout Heartfield, il séra l'un des premiers à découper des images dans des magazines, notamment de femmes légères, tel Paris-Magazine, et à les utiliser dans des collages. Dans La Septième Face du dé, ces collages illustrent 20 poèmes, sans entretenir de rapport évident avec eux, sauf, bien sûr, dans une logique surréaliste. Il existe 81 collages originaux de La Septième Face du dé, répartis entre collections publiques et privées. L'édition de luxe de l'ouvrage est pourvue d'une somptueuse couverture composée de trois cigarettes roulées sans papier, que Hugnet conçut avec son complice du moment, Marcel Duchamp" (C. Bouqueret). - Provinienz/Provenance: Collection of Rosa and Aaron Esman, New York. - Außergewöhnlich schönes und sauberes Exemplar mit dem meist fehlenden Verlagsanzeigenblatt. - Exceptionally beautiful and clean copy with the publisher's advertisement sheet mostly missing. Sprache: französisch.

  • Image du vendeur pour Présentation d'un spécimen de photographies d'un passage artificiel de Vénus, obtenu avec le révolver photographique. Offprint from the Comptes rendus hebdomadaires des Séances de l'Académie des Sciences, Tom. 79, 6 July, 1874. Bound with 57 other offprints by Janssen from the Comptes rendus mis en vente par SOPHIA RARE BOOKS

    First edition. "THE PRECURSOR OF THE MOVIE CAMERA" - "THE FIRST 'FILM'" (SINGER). First edition, extremely rare offprint, of Janssen's epoch-making description of his 'photographic revolver' and of its first results, "the first 'film'" (Singer, A History of Technology V, p. 739). "The first practical device for sequential photography, invented to record the transit of Venus in 1874, was later recognized as the precursor of the movie camera . Janssen's 'revolver photographique'" (Launay & Hingley, p. 57). With this apparatus, the first to photograph successive phases of a single movement, Janssen "realized one of the operations necessary for cinematography" (DSB). Indeed, it was Janssen's invention of this device which spurred Étienne Jules Marey to use it (first in March 1882) to record the flight of birds, to which Janssen responded in 'Note sur le principe d'un nouveau révolver photographique,' 3 April 1882 (also included here). These papers of Janssen led to Marey's momentous experiments which resulted in the birth of cinematography, as presented by him to the Académie des Sciences on 29 October 1888. Janssen "was in the chair on this historic occasion . . . but few of the other members could have realised that these small strips of photographic paper marked the foundation of a new art and a new industry" (ibid., p. 741). "Janssen's photographic revolver was a genuine scientific cine camera in embryo. It had a motor, an optical system, a variable shutter, and sensitive material in movement. It did not yet allow for the dynamic reproduction of movement, but it did permit its analysis . This was an anticipation of so-called time-lapse cinematography, by which . it is possible to assess movements too slow to be appreciated by the human eye" (Tosi, p. 39). Janssen constructed his photographic revolver in order to record a transit of Venus across the Sun on 8 December, 1874, as observed in Japan (in the UK, the Astronomer Royal, Sir George Bidell Airy, had all of the British transit expeditions equipped with a 'Janssen'); these observations were important because the accuracy with which the moment of transit can be determined, as observed from different places, is directly related to the accuracy with which one can determine the distance of the Earth from the Sun. Janssen's great paper here constitutes one of a remarkable collection of 58 offprints of his works. Many of these deal with questions in astronomy and astrophysics, including papers describing a micrometer designed to measure solar images, on the passage of hypothetical bodies between Mercury and the Sun, sunspots, solar temperature, eclipses, and the application of photography to spectral analysis. One of these, 'Sur la constitution de la surface solaire et sur la Photographie envisagée comme moyen de découverte en Astronomie physique,' a visionary disquisition on the potential of photography in astronomy, has an actual photograph of the solar surface pasted onto the final page, an 'épreuve photoglyptique obtenue sans aucune intervention de la main humaine.' A non-astronomical paper is 'Sur le phonographe de M. Edison,' 23 April 1889, which Janssen encountered at the meeting of the British Association for the Advancement of Science in Bath, September 1888. All of these offprints are extremely rare. OCLC records copies at the Paris Museum of Natural History or Observatory, or not at all. In the eighteenth century, several expeditions had been mounted to observe the transits of Venus of 1761 and 1769, notably those led by Captain Cook. All these efforts were in vain, because the measurements of the times of contact, i.e., the moment at which Venus begins to cross the face of the Sun, were insufficiently accurate because of the infamous "black drop" effect, which made the limb of the planet appear to be linked to that of the Sun by a dark thread, making any accurate determination of contact impossible. By the time the next transits were due to take place, on 8/9 December 1874 and 6 December 1882, photography was chosen as a means of resolving the difficult problem of accurately determining the contacts. Instead of having an observer giving a mark, an estimate of greater or lesser accuracy, at the instant of contact, and a helper recording the corresponding time, it would suffice to record the exact time that each image was exposed, and which could be examined later. Each of the French transit expeditions were equipped with a 'photographic equatorial', but this was not to Janssen's satisfaction, because it gave images that were much too small. Janssen therefore had a special instrument built by means of which he was able to produce photographic images of 11 or 12cm in diameter (see [1] - numbering as in the list of contents below). "Could he not, however, do even better? Could he not, for example, design a mechanical arrangement capable of automatically recording, on the same photographic material, at each of the four contacts, a sequence of images taken at very short and regular intervals? There would then only be the need to record the time of the first exposure, and the photographic plate, the equipment's mechanism and, after the expedition's return, a microscope would do the rest . The idea of combining chronometry and photography had been on his inventor's mind for some time, and on 15 February 1873, just 5 days after his election to the Académie des Sciences, Janssen presented the committee with a method, which would eventually solve the difficult problem of determining the exact times of the planet's contacts with the solar disk by a simple, objective, and durable means. By using an annular plate, Janssen planned to record 180 images on a disk, at the rate of one per second, with the appropriate exposure time being obtained by shutter having a variable slit . "After his account of the principle of the 'contact apparatus,' Janssen modified his plans to have the instrument built. The disk would no longer record 180 images, but just 48, and th.

  • Pas de couverture. Etat : Bon. Edition originale. DORVAL, Marie (1798-1849) Ensemble de vingt-deux lettres autographes, dont trois signées, à Alfred de Vigny [Paris, Reims, Versailles et Rouen], 72 p. (en divers formats) in-8°, in-12 et in-24°, deux enveloppes autographes Quelques petits défauts et bris de cachet Remarquable ensemble de vingt-deux lettres à son amant Alfred de Vigny, datant pour l essentiel du premier semestre 1833 Entre déclarations enflammées, tromperies et crises de jalousies, cette correspondance témoigne de la période d amour la plus ardente entre les deux amants Lettre autographe, [Paris, mardi 12 février 1833], 2 p. 1/2 petit in-8° : PREMIÈRES DÉCLARATIONS ENFLAMMÉES : MARIE DORVAL DONNE RENDEZ-VOUS CHEZ ELLE À SON AMANT ALFRED DE VIGNY, EN L ABSENCE DE SON MARI « MON MARI NE DÎNE PAS CHEZ LUI TU PEUX VENIR SITÔT QUE TU LE VOUDRAS » « Mon Alfred, on ne joue pas de tragédie ce soir aux [Théâtre] Anglais. Ce n est pas la peine d y aller, viens chez moi mon amour. Je suis si heureuse depuis hier ! J ai de l amour pour toi comme cent mille femmes. Je voudrais bien que nous puissions aller à la Porte-Saint-Martin [on y jouait Lucrèce Borgia de Victor Hugo]. Je vais tâcher. [la lettre a été interrompue, le temps d aller chercher des places au théâtre] Mon amour, j ai une loge de six places. Veux-tu venir avec quelqu un de tes amis ? 2ième de côté n° 50. On commence à 7 1/2. Je tiendrais beaucoup à ce que tu visses la fin du 1er acte. Mon mari ne dîne pas chez lui, tu peux venir sitôt que tu le voudras. Je vais porter moi-même cette lettre. À ce soir donc. Je vous baise, je vous rebaise comme hier. » Cette lettre de l actrice est la première connue succédant à la fameuse épître érotique du poète du 7 janvier 1833, souillée par lui de sa semence. Acquise par le collectionneur Alfred Bégis pendant la seconde moitié du XIXe siècle, ce dernier la revendit à M. Chéramy. Au décès de Chéramy, le directeur du Gaulois, Arthur Meyer, fit retirer la lettre de la vente Chéramy pour être détruite par les soins des notaires Delapalme et Dutertre. C est sans doute le célèbre marchand Charavay qui fit prendre in-extremis la photographie par laquelle nous connaissons aujourd hui cette lettre scandaleuse du poète. *** Lettre autographe, s.l [jeudi 14 février 1833], 1 p. in-8° : Infime manque en marge gauche « Cher ami, tu sais combien j ai de désir de voir Smithson [l actrice Harriet Smithson qui tenait alors le rôle d Ophélie dans Hamlet, et qui épousa Berlioz la même année]. Voici M. de Custine qui vient m enlever. Il voulait aller te prendre chez toi j ai pensé que cela ne te serait pas très agréable mais je compte que tu viendras me retrouver n est-ce pas mon ange ? Je te baise tant que je peux. » *** Lettre autographe, s.l [lundi 18 février 1833], 6 p.1/4: PASSION TOUJOURS PLUS GRANDISSANTE ET PREMIÈRES JALOUSIES RÉCIPROQUES « QUE JE T AIME ! QUE JE SUIS JALOUSE, QUE JE SUIS MISÉRABLE D EN ÊTRE VENUE À COMPTER TES CARESSES, À NIER TES SOUFFRANCES » « Cette journée qui a été bien triste pour moi a fini par le plus grand chagrin de tous, la crainte de te savoir malade. À 8h 1/4 l impatience m a pris ; à 8j 1/2 la fièvre ; à 9h, je suis montée avec Jenette [Jeannette, la domestique de Marie Dorval] pour ne pas rentrer sans t avoir trouvé, sans avoir un mot de toi, de toi, mon tourment ! Mais quelle fatalité, quel malheur ai-je maintenant sur moi, que tu ne crois plus à mon amour quand j en suis si entièrement, si cruellement possédée je t assure mon Alfred. Oui je sens que je ne suis plus aimable, et j en souffre horriblement et je ne suis prendre sur moi.- tu ne sais pas comme je pleure la nuit. Je deviens sauvage et méchante et cependant non, car tu n es pas au bas de mon escalier que je dis : mon Alfred ! Mon pauvre cher ange ! et mille tendresses dont tu n as pas l idée et mon c ur est tout attendri du chagrin que je t ai fait et que tu emportes avec toi. Ah que je suis malheureuse. Que je t aime ! que je suis jalouse, que je suis misérable d en être venue à. Signé par l'auteur.

  • Image du vendeur pour [LOY Mina]. PHOTOGRAPHIE ORIGINALE, 1917. mis en vente par Librairie Benjamin Pitchal

    [LOY Mina]

    Date d'édition : 1917

    Vendeur : Librairie Benjamin Pitchal, Bruxelles, Belgique

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Edition originale

    EUR 12 000

    Autre devise
    EUR 14,50 Frais de port

    De Belgique vers Etats-Unis

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    Pas de couverture. Etat : Comme neuf. Edition originale. Tirage argentique d époque (182 x 122 mm), monté sur un support original de papier vergé et carton (230 x 160 mm), signé par le photographe sur le support en bas à gauche. Rehauts à la mine de plomb sur le tirage. Portrait photographique inédit de la poétesse, variante du cliché illustrant le premier article que lui consacra la presse américaine (New York Evening Sun, 17 février 1917), avec cette légende : Mina Loy, Painter, poet and playwright, doesn t try to express her personality by wearing odd looking draperies her clothes suggest the smartest shops, but her poems would have fuzzled grandma. Après avoir fréquenté les futuristes à Florence, où en 1914 elle écrivit notamment son Manifeste Féministe, Mina Loy arriva à New-York en 1916 et fut accueillie dans les cercles littéraires et artistiques. Joseph Stiglitz lui avait déjà ouvert les pages de sa revue Camera Works en publiant en 1914 Aphorisms on Futurism . La parution Songs to Joannes dans Others puis Poetry, sera saluée par Ezra Pound et William Carlos William. Bien que l original ait été perdu, le portrait illustrant l article de l Evening Sun est l un des plus célèbres de la poètesse. On le trouve reproduit dans tous les ouvrages qui lui sont consacrés. Who is she, where is she, what is she this modern woman that people are always talking about ? [.] Try Mina Loy ; you know she writes free verse and things like that. If she isn t the modern woman, who is, pray ? En 1917, Mina Loy fit la rencontre d Arthur Cravan, qui venait de se signaler en donnant, dans son style caractéristique, ivre mort et torse nu, une conférence sur l art moderne au terme de laquelle les agents du Grand Central Palace le conduisirent au commissariat. Loy et Cravan se marièrent en janvier 1918 à Mexico ; leur fils naquit quelques mois après la mystérieuse disparition du poète-boxeur, en novembre 1918, au large de Salina Cruz. Provenance : Florence Gilliam, femme de lettre américaine vivant à Paris, elle dirigea les revues modernistes Quill et Gargoyle. Son article Paris Women in Arts (Charms, mars 1925) évoque longuement la figure de Mina Loy. 12 000 .

  • Christian Boltanski

    Edité par Dilecta

    Vendeur : Okmhistoire, St Rémy-des-Monts, SARTH, France

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    Livre Edition originale

    EUR 12 000

    Autre devise
    EUR 33 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Couverture rigide. Etat : Neuf. Edition originale. Paris 2019. Sous coffret, l'édition limitée Ave Maria, l image cachée contient 8 tirages sérigraphiques du même format recouverts d encre grattable. Ces panneaux que rien ne distingue sont complémentaires les uns des autres et constituent, une fois réunis, l image d une photographie de classe prise en juillet 1942 à l école Ave-Maria. Le propriétaire de l uvre, dans laquelle le hasard et le destin s associent comme dans nombre d interventions de Christian Boltanski, sera libre de dévoiler ou non tout ou partie de cette image historique.******************* Édition constituée de 12 exemplaires + 2 EA + 1 HC 8 tirages sérigraphiques sur papier Rives 350 g sous encre scratch off. Proposé dans un emboîtage cartonné accompagné d'un certificat d'authenticité numéroté et signé par l'artiste. Dimensions de chaque sérigraphie: 60 × 80 cm.

  • Image du vendeur pour LLANTO POR IGNACIO SANCHEZ MEJIAS mis en vente par Librairie Benjamin Pitchal

    GARCIA LORCA Federico

    Edité par Madrid, Cruz y Raya, 1935

    Vendeur : Librairie Benjamin Pitchal, Bruxelles, Belgique

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Livre Edition originale Signé

    EUR 12 000

    Autre devise
    EUR 14,50 Frais de port

    De Belgique vers Etats-Unis

    Quantité disponible : 1

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    Couverture souple. Etat : Très bon. Pas de jaquette. Edition originale. In-4 (290 x 225) de 22 pp. Broché ; chemise à dos carré de demi-maroquin rouge, étui. Édition originale ornée en frontispice d'un portrait d'Ignacio Sanchez Mejias, ami du poète et célèbrissime matador de son temps. Tirage unique à 2000 exemplaires illustrés de deux planches hors-texte par José Caballero. Dessin d'une petite liane feuillue et envoi autographe signé : A la magnifica Eugenia Errazuriz, Recuerdo cariñoso de admiraciòn, Federico, Madrid 1935. Mayo Créatrice de mode et importante mécène d'origine chilienne, Eugenia Huici de Errazuriz (1860 1951) est connue pour avoir été notamment la protectrice de Picasso (La Belle chilienne), de Stravinsky ou de Cendrars, qu'elle recevait à Biarritz dans sa villa de La Mimerosaie. On joint une rare photographie originale du poète (tirage argentique d'époque, 145 x 115 mm, sur papier Gevaert) émise par le gouvernement républicain à l'occasion de l'exposition universelle de 1937. Tampon au verso du Servicio español de informacion et note tapuscrite: «El insigne poeta Federico Garcia Lorca, vilmente asesinado por las hordas fascistas de Granada. ». Dédicacé par l'auteur.

  • Image du vendeur pour Jean le Bleu mis en vente par Librairie Walden

    GIONO (Jean)

    Vendeur : Librairie Walden, Orléans, FR, France

    Membre d'association : ILAB

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    Edition originale Signé

    EUR 12 000

    Autre devise
    EUR 30 Frais de port

    De France vers Etats-Unis

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    Paris, Bernard Grasset, (15 novembre) 1932. 1 vol. (135 x 190 mm) de 316 p. Maroquin bleu janséniste, dos lisse, titre doré, tranches dorées sur témoins, doublure et gardes de veau velours jaune, couverture et dos conservés, chemise et étui bordé (reliure signée de C. et J.-P. Miguet). Édition originale. Un des 12 premiers exemplaires sur japon impérial (n° 1). Précieux exemplaire de tête, admirablement établi et enrichi d'une belle lettre autographe, datée du 2 août [1932], qui accuse réception des épreuves de Jean le Bleu : « Je vais me mettre à la correction », indique Giono, qui tient à la disposition de son interlocuteur - peut-être Bernard Grasset lui-même -, « une série de photographies » : Giono jeune, à six ans, à 18 ans, avec sa mère., en évoquant cette jeunesse et sa mère - autant d'éléments constitutifs du livre. A la suite, une photographie originale de Walter Kardas - le photographe allemand, ami de Giono, avec lequel il signera quatre ans plus tard Les Vraies Richesses, illustré de 112 photographies - est montée : c'est une vue de Manosque, depuis le chemin qui mène à la maison de l'écrivain. On y aperçoit une femme de dos qui le descend : il s'agit d'Elise Giono ; celle à qui l'écrivain dédicacera, en 1935, Que ma Joie demeure : « À Elise dont la pureté m'aide à vivre». Jean Giono et Elise Maurin se marient en 1920 ; elle lui survivra trente-cinq ans et mourra en 1998, à l'âge de 101 ans, après s'être occupée, toute sa vie durant, à faire vivre la mémoire de Giono ; l'homme, et l'oeuvre. Une photographie originale de Walter Kardas - le photographe allemand, ami de Giono, avec lequel il signera quatre ans plus tard Les Vraies Richesses, illustré de 112 photographies - est également montée en tête : c'est une vue de Manosque, depuis le chemin qui mène à la maison de l'écrivain. On y aperçoit une femme de dos qui le descend : il s'agit vraisemblablement d'Elise Giono ; celle à qui l'écrivain dédicacera, en 1935, Que ma Joie demeure : « À Elise dont la pureté m'aide à vivre ». Jean Giono et Elise Maurin se marient en 1920 ; elle lui survivra trente-cinq ans qui mourra en 1998, à l'âge de 101 ans. Jean le Bleu évoque la jeunesse provençale de Giono : solaire, musicale, saturée de parfums et de portraits, entre une mère repasseuse et un père cordonnier. Les simples deviennent des héros, les animaux voisinent avec les anges et la nature se gorge de mythes, dans une langue magnifique. Un récit autobiographie, une autofiction poétique : un double éveil, celui de la sensualité et de l'imagination. « J'ai autant inventé ce livre-là que les autres ; l'invention y est cependant fondée plus qu'ailleurs sur le réel [.] », avouera Giono en 1956 lors de la réédition au Livre-club des libraires. « Pour ma jeunesse, j'ai fait exactement pareil. C'est à côté de la vérité, mais c'est dans la vérité que moi, jeune, j'ai connue. [.] C'est ma vie intérieure que j'ai voulu décrire dans Jean le Bleu ». Cette vie qui était essentiellement magique (Jean Giono, Entretiens avec Jean Amrouche et Taos Amrouche [1952], Gallimard, 1990, p. 77). Exemplaire de choix.

  • Pas de couverture. - Paris 12 août 1916, 6,3x8,6cm, une feuille. - Photographie originale prise par Jean Cocteau le 12 août 1916, représentant Manuel Ortiz de Zarate, Moïse Kisling, Max Jacob, Pablo Picasso et sa petite amie de l'époque, le mannequin Pâquerette, posant devant l'iconique café La Rotonde, boulevard du Montparnasse à Paris. Tirage argentique d'époque, sans doute unique, provenant des archives personnelles de Jean Cocteau puis du fonds Maurice Sachs. Cette image a été publiée dans l'ouvrage de Billy Klüver intitulé A day with Picasso?: twenty-four photographs by Jean Cocteau (1997). Klüver précise cependant qu'il n'a pas eu connaissance de la photographie originale et que le cliché illustrant son ouvrage est un tirage moderne d'après le négatif des archives Jean Cocteau. Nous n'avons trouvé aucun autre tirage original d'époque de cette photographie dans les collections publiques internationales. «?Billy Klüver a rassemblé et commenté les vingt et une photographies prises par Jean Cocteau le 12 août 1916 à Montparnasse, tout près de cette intersection du boulevard Raspail et du boulevard du Montparnasse qui a été baptisée en 1994 place Pablo-Picasso. Elles nous conduisent du café La Rotonde, devant quoi un Picasso radieux en casquette parle avec Max Jacob dont la calvitie luit au soleil, derrière eux Henri-Pierre Roché en uniforme et Manuel Ortiz de Zarate, à une table à la terrasse du même café où Pablo est à côté de Pâquerette épanouie et du jeune peintre polonais Moïse Kisling. C'est Pâquerette, cheveux pris en bandeau, robe chic, la reine de la rencontre. [.] C'est la vie détendue de l'arrière. Pâquerette ou plutôt Emilienne Pâquerette Geslot est alors mannequin vedette du couturier [Paul] Poiret qui fait fureur. Un vrai film d'une journée de Picasso hors de son atelier.?» (Pierre Daix, Picasso) Dans son ouvrage, Klüver s'interroge sur la présence, dans un Paris déserté par la guerre, de toutes ces sommités artistiques en devenir. La réponse est, selon lui, à chercher du côté du Salon d'Antin, exposition organisée par André Salmon en juillet 1916, à laquelle participent - à l'exception de Pâquerette - tous les protagonistes de notre photographie. C'est en outre à cette occasion que Picasso révèle au public ses Demoiselles d'Avignon. Cette rarissime image, réalisée par Jean Cocteau avec l'appareil Kodak de sa mère, immortalise un moment d'allégresse mettant en scène le tout-Montparnasse artistique de ce début de XXè siècle. Provenance?: archives personnelles de Jean Cocteau, fonds Maurice Sachs, puis collection de Max-Philippe Delatte. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Original photograph likely unique taken by Jean Cocteau showing Pablo Picasso and Co in Montparnasse in front of the café La Rotonde, the 12 August 1916 Paris 12 august 1916 | 6,3 x 8,6 cm | one photograph Original photograph by Jean Cocteau taken on 12 August 1916, showing Manuel Ortiz de Zárate, Moïse Kisling, Max Jacob, Pablo Picasso and the model Pâquerette, his girlfriend at the time, posing in front of the famous café La Rotonde on Boulevard du Montparnasse in Paris. Contemporary silver print, probably unique, from Jean Cocteau's personal archives then the Maurice Sachs collection. This image was published in Billy Klüver's book entitled A day with Picasso: twenty-four photographs by Jean Cocteau (1997). However, Klüver states that he didn't know the original photograph and used a modern reprint from the negative in the Cocteau archives for his work. We have not found any other copy of our original photograph in international public collections. Billy Klüver has assembled and commented on the twenty-one photographs taken by Jean Cocteau on 12 August 1916 in Montparnasse, close to this intersection of the Boulevard Raspail and the Boulevard du Montparnasse, which was named Place Pablo-Picasso in 1994. They take us to the café La Rotonde, before which a beaming Picasso in a cap speaks with Max Jacob whose baldness shines in the sun, behind the.

  • Image du vendeur pour Photographie originale inédite de Pablo Picasso à la Casa di Marco Lucrezio, Pompéi printemps 1917 mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    COCTEAU Jean [PICASSO Pablo]

    Date d'édition : 1917

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

    Membre d'association : ILAB

    Evaluation du vendeur : Evaluation 4 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Photographie Edition originale

    EUR 11 500

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    De France vers Etats-Unis

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    Pas de couverture. - Paris 1917, 6,3x8,6cm, une photographie. - Photographie originale, représentant Pablo Picasso au printemps 1917 à la Casa di Marco Lucrezio à Pompéi, une brindille à la main, devant un mur sur lequel apparaît une fresque pompéïenne. Tirage argentique d'époque, peut-être unique, provenant des archives personnelles de Jean Cocteau puis du fonds Maurice Sachs. Exceptionnelle photographie inédite prise par Jean Cocteau lors de son séjour pompéien avec Picasso. Le 16 avril 1917, Picasso visite Pompéi en compagnie de Jean Cocteau et Léonide Massine afin de préparer le ballet Parade, première uvre qualifiée de sur-réaliste par Guillaume Apollinaire, pour la nouvelle saison des Ballets russes de Serge de Diaghilev. Ce voyage initiatique lui inspire, dès son retour, une peinture monumentale?: le rideau de scène de Parade, véritable signature visuelle du ballet, marquant les débuts de la période néo-classique de Picasso, et aujourd'hui conservé au Musée national d'Art Moderne Georges Pompidou. Pierre Daix, dans sa biographie consacrée au peintre, relate le choc esthétique engendré par la découverte des fresques pompéiennes?: «?Giovanni Carandente, à qui l'on doit les meilleures études sur ce voyage, souligne que Picasso "fut fortement frappé par l'animation et la sensualité que le cataclysme de l'an 79 après J.-C. avait brutalement anéanties". S'il est exact, comme il l'écrivit à Gertrude Stein, qu'il dessina sur-le-champ "beaucoup de fantaisies pompéiennes qui sont un peu lestes", attiré comme il le fut par l'exaltation érotique qui se dégage de ces peintures licencieuses [.] ces souvenirs se sédimentèrent en lui pour affleurer avec force par la suite. [.] Tout ce qui avait constitué l'univers pompéien était conservé sur le site ainsi qu'au Museo Archeologico de Naples [.]. Dans sa singularité, cet univers contribua à enrichir le patrimoine culturel de Picasso de quelque chose de plus vivant, de plus frémissant que ce que ses visites de musées lui avaient donné jusqu'alors. Il aimait tout particulièrement la concision des peintures?: deux ou trois ans plus tard, les impressions ressenties à Pompéi devaient se traduire par une véritable explosion créatrice, une série de tableaux qui tous portaient des traces de ces souvenirs jamais enfouis. Cette source devait rester vivante jusqu'à La Danse de 1925.?» (Pierre Daix, Picasso) Unique et précoce photographie originale de Picasso, prise et tirée par son ami Jean Cocteau, dans un lieu mythique qui influencera durablement son esthétique. Provenance?: archives personnelles de Jean Cocteau puis le fonds Maurice Sachs puis Max-Philippe Delatte. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Original photograph, likely unique and unpublished, of Pablo Picasso at the Casa di Marco Lucrezio, Pompeii spring 1917 Paris 1917 | 6,3 x 8,6 cm | one photograph Original photograph depicting Pablo Picasso in the spring of 1917 at the Casa di Marco Lucrezio in Pompeii, holding a twig, in front of a wall on which there is a Pompeian fresco. Contemporary silver print, perhaps unique, from Jean Cocteau's personal archives then the Maurice Sachs collection. Exceptional almost undiscovered and probably unpublished photograph taken by Jean Cocteau during the stay. On 16 April 1917, Picasso visits Pompeii accompanied by Jean Cocteau and Léonide Massine to prepare the ballet Parade, the first work described as "surrealist" by Guillaume Apollinaire, for the new season of Serge de Diaghilev's Ballets Russes. On his return, this initiatory journey inspired his monumental painting: the Parade stage curtain, a real visual signature of the ballet, marking the beginnings of Picasso's neo-classical period, and today preserved at the Musée national d'Art Moderne Georges Pompidou. Pierre Daix, in his bibliography dedicated to the painter, recounts the aesthetic shock caused by the discovery of the Pompeian frescoes: "Giovanni Carandente, to whom we owe the best studies on this trip, highlights that Picasso "was stron.

  • Image du vendeur pour Portrait photographique dédicacé d'Alfred Dreyfus mis en vente par Librairie Le Feu Follet

    [DREYFUS Alfred] GERSCHEL Charles

    Edité par Gerschel, 1899

    Vendeur : Librairie Le Feu Follet, Paris, France

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    Livre Edition originale Signé

    EUR 11 500

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    De France vers Etats-Unis

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    autre. - Gerschel, Paris s.d. (1899), 10,7x16,3cm, une photographie au format carte-cabinet. - Portrait photographique original sur papier albuminé, contrecollé sur un carton du studio photographique Gerschel. Quelques restaurations. Rarissime envoi autographe signé d'Alfred Dreyfus en marge haute du cliché : "Souvenir reconnaissant et affectueux. A. Dreyfus" Ce portrait a été pris par Charles Gerschel le 27 septembre 1899 dans le jardin de Joseph Valabrègue, beau-frère d'Alfred Dreyfus, à Carpentras où le capitaine, gracié depuis une semaine, était venu chercher isolement et repos dans l'attente de sa réhabilitation. Nous n'avons pu retrouver qu'un unique autre exemplaire de cette photographie, dédicacée à Bernard Lazare, aujourd'hui au Musée de Bretagne. Ce même musée conserve une lettre de Charles Gerschel - à Lucie Dreyfus - femme du capitaine, attestant de la rareté de ces portraits : « Il n'en est pas sorti une épreuve de chez moi si ce n'est pour en donner (et non en vendre, j'insiste sur ce point) à quelques amis sûrs et dévoués. Quant aux portraits du capitaine effectivement j'ai appris qu'un de mes employés s'est permis d'en remettre à un marchand. Par téléphone j'ai immédiatement fait arrêter ce trafic. » Les portraits photographiques originaux de Dreyfus sont rarissimes et celui en notre possession a été tiré à tout petit nombre uniquement pour Alfred Dreyfus et probablement dans le but d'être offert à ses soutiens. Provenance : de la bibliothèque d'Anselme Weill. Le Docteur Anselme Weill fut celui qui annonça à la famille Dreyfus sa condamnation à perpétuité et sa dégradation. Dans son ouvrage Affaire Dreyfus, L'honneur d'un patriote, Vincent Duclert raconte : "Mathieu [Dreyfus, frère d'Alfred] avait chargé un parent de la famille Hadamard, le docteur Weill, d'attendre l'annonce du verdict et de porter la nouvelle rue de Châteaudun, dans l'appartement où attendait une petite foule d'amis et de membres de la famille. Il arriva à 7 heures et demie du soir." Il révèle également qu'Anselme Weill avait témoigné en faveur d'Alfred Dreyfus lors de son procès : "D'autres allégations purent être détruites, par exemple celles qui furent prêtées au docteur Weill, dont la femme était cousine au troisième degré de Lucie Dreyfus. « J'affirme, et les rapports très fréquents, presque journaliers que j'ai eus avec lui comme parent, comme médecin et comme ami, me permettent de le faire, j'affirme que Dreyfus a toujours été un mari parfait, et que jamais je ne l'ai connu joueur, ni libertin. Or, c'est juste le contraire que l'on me fait dire, et je proteste contre ces allégations. Je n'ai rien à ajouter. », déclara-t-il à la cour." [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] Original albumen print, cabinet card mount with the stamp of the Gerschel studio. Bottom margin skillfully restored, a trace a folding in the left corner. Extremely rare signed inscription by Alfred Dreyfus in the top margin: "Souvenir reconnaissant et affectueux. A. Dreyfus" ("Grateful and affectionate souvenir"). This portrait was taken by Charles Gerschel on September 27, 1899 in the garden of Dreyfus' brother-in-law Joseph Valabrègue in Carpentras. A week after his official pardon, the captain had come to Carpentras seeking isolation and rest while awaiting his rehabilitation. We have only been able to locate one other copy of this photograph, inscribed to Bernard Lazare, now in the Musée de Bretagne. This same museum has a letter from Charles Gerschel to the captain's wife Lucie Dreyfus proving the rarity of these portraits: "I did not put any prints out there other than to give (and not to sell, I insist on this point) to a few faithful and devoted friends. As for the portraits of the captain [Dreyfus], I learned that one of my employees took the liberty of giving them to a dealer. By telephone I immediately had this traffic stopped." Original photographic portraits of Dreyfus are rare and this one was printed in small numbers for Alfred Dreyfus and probably as a gift to h.

  • [PROUST] Paul BOYER

    Vendeur : Le Manuscrit Français, Versailles, France

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    Photographie Edition originale

    EUR 11 000

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    Couverture rigide. Etat : Bon. Edition originale. [PROUST] BOYER, Paul (1861-1952) Photographie originale par Paul Boyer (successeur Otto Van Bosch) Tirage albuminé d époque (c. 1891). Format carte de visite (90 x 58 mm) contrecollé sur carton fort au nom du photographe. Liseré doré sur la tranche. Petites taches, annotations au verso. Cachet humide de la collection Mante-Proust au verso. Remarquable état de conservation Célèbre portrait de Proust par Paul Boyer, seul tirage d époque connu À l image de son portrait par Jacques-Émile Blanche peint à la même époque, on retrouve ici la même fine moustache et les traits délicats de l écrivain. Le portraitiste Paul Boyer reprend le studio parisien d Otto Van Bosch en 1888. Installé boulevard des Capucines et à Trouville, il exerce jusqu en 1909 Ce précieux tirage a été conservé par la famille Proust jusqu en 2016 Bibliographie : Proust. Documents iconographiques G. Cattaui, Pierre Cailler, 1956, n°35 Passion Proust L album d une vie, J. Picon, Paris, Textuel, 1999, p. 46 Marcel Proust, l Arche et la Colombe, M. Naturel, Michel Lafon, p. 59 Exposition : Marcel Proust, BnF,1965, n° 103 (celle-ci ou l autre pose, prise lors de la même séance) Provenance : -Famille Proust -Puis Suzy Mante-Proust (fille unique de Robert Proust), par descendance -Puis Patricia Mante-Proust (petite fille de Suzy Mante-Proust), par descendance -Puis Collection particulière.

  • Image du vendeur pour Lower Egypt, Thebes, and the Pyramids. mis en vente par Kunstbroker GmbH

    Frith, Francis.

    Vendeur : Kunstbroker GmbH, Goldach, Suisse

    Membre d'association : ILAB VEBUKU

    Evaluation du vendeur : Evaluation 5 étoiles, Learn more about seller ratings

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    Edition originale Signé

    EUR 10 500

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    EUR 20 Frais de port

    De Suisse vers Etats-Unis

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    Frith, Francis. Lower Egypt, Thebes, and the Pyramids. Mit gestochenem Titelblatt, 1 gest. Vignette und 37 Original-Photographien (davon 1 als Titelvignette). Albumin-Abzüge, ca. 12 x 16,5 bis 15,5 x 23 cm, zumeist im Negativ signiert und nummeriert, teils datiert. London, Glasgow und Edinburgh, William Mackenzie, o. J. [1862]. 44,5 x 32,5 cm. [38] Bll., Tafeln. Roter Halbmaroquin-Einband der Zeit mit goldgeprägtem Rückentitel und reicher Rückenvergoldung, Vollgoldschnitt. - Foster/Heiting/Stuhlman, Imagining Paradise S. 64f. ? Gernsheim S. 195 - vgl. Parr/Badger I, 28. - Misselbeck S. 93 und Krichbaum S. 66. - Erste Ausgabe. - Der englische Photograph Francis Frith (1822?1898) war Gründungsmitglied der Liverpool Photographic Society. Mitte der 1850er Jahre verkaufte er seine Lebensmittelgeschäfte und Druckereien, um sich ganz der Photographie zu widmen. Er bereiste darauf mehrfach den Orient und dokumentierte dort Landschaft und Architektur. Seine Aufnahmen publizierte er nach seiner Rückkehr bei verschiedenen Verlagen. Der vorliegende Band enthält Aufnahmen aus Kairo, Gizeh mit Pyramiden und der Sphinx sowie zahlreiche Ansichten von Theben. Erstmals wurden hier eine Innenansicht der Säulenhalle von Karnak veröffentlicht. Im Gegensatz zu früheren Reisephotographen, wie Maxime du Camp u. a., photographierte Frith die Baudenkmäler systematisch (Detail- und Gesamtaufnahmen und aus verschiedenen Perspektiven). - Jede Aufnahme mit Erläuterungen auf einem Textblatt. - Auf dem Träger jeweils mit gedruckter Legende. - Einbandkanten leicht berieben, Ecken schwach bestossen, Deckel etwas beschabt; Text und Träger in den Rändern leicht gebräunt, teils schwach stockfleckig (ausserhalb der Photographien; Vorsätze etwas stärker).

  • Pas de couverture. Etat : Bon. Edition originale. HUGO, Victor (1802-1855) Lettre autographe à Alphonsine Masson
[Marine Terrace, Jersey], 5 août [1855], 4 pp. petit in-12°, d une écriture appliquée et serrée
Enveloppe autographe timbrée et oblitérée
[Cachets postaux :] ANGL 5 Augt [départ] / CHEVREUSE 9 août [arrivée]
Remarquable état de conservation Longue lettre inédite aux accents mystiques adressée à son amie médium Alphonsine Masson, au travers de laquelle Victor Hugo adresse un message à son amour de jadis, Léonie Biard Le poète exilé y exprime, à la façon d un poème en prose et tel un rêve éveillé, la force du souvenir amoureux pour celle qu il fut contraint de quitter lors du coup d État du 2 décembre 1851 Nous n en transcrivons ici que quelques fragments « Comme toutes les femmes de c ur et d esprit, vous avez, Madame, outre toutes vos grâces personnelles, des hasards profonds et éloquents. Avec ce mot : elle partie, c est ma lumière disparue, vous avez remué en moi tout un monde sombre et charmant, vous m avez fait revivre et mourir, vous avez fait monter jusqu au bord de ma paupière tout le flot des larmes non versées et qui sont toujours là. Je vous remercie de cette exquise souffrance que je vous dois. [ ]. Rien ne vous manque ; vous charmez de près et vous consolez de loin.
Je suis heureux des deux douces lettres que j ai reçues. Je sais bien ce qui manque à l une, mais elle le sait aussi. Et qui connaît l avenir ?
Vous me faites un adorable tableau ; je vous vois toutes deux dans cette belle nature qui vous aime, parce qu elle voit vos âmes ; vous êtes là, dans les fleurs, sous les astres, harmonies vous-mêmes ; vous causez ; je retiens mon souffle, et il me semble que je vous entends.
Et tous les soirs, je regarde là-haut, je fais des signes d intelligence aux yeux célestes de la nuit, et il me semble que je la vois.
Je suis avec elle dans l inexprimable. Elle qui pourtant devrait tout comprendre, elle ne comprend pas cela. Elle me dit : écrivez-moi donc. [ ] Je regarde les étoiles en songeant à elle, et je lui dis : traduisez-moi.
Soyez heureuse. Soyez heureuses. La beauté lui revient. Est-ce qu elle était partie ? Est-ce qu elle partira ? Qu elle ouvre la sombre poitrine de l absent ; il y a là un miroir. Qu elle s y regarde.
Je dis l absent. Et vous, vous n êtes pas absentes, où vous êtes, où elle est, la présence est. Je regarde avec dédain et pitié ce Paris qui me fait l effet d un grand vide, depuis qu elle n y est plus.
Je veux m arrêter, car il y a des portes d écluses qu il ne faut pas rouvrir. À quoi servirait le flot qui en sortirait ?
Pardonnez-moi toutes deux ce mélange de rêves et de souvenirs. [ ]. Qu elle en prenne ce qu elle voudra. Qu elle y lise ce qu elle voudra. Je suis sûr des commentaires de votre noble et charmant c ur. [ ]
Un jour elle me comprendra. En attendant, elle fait ce qu elle peut pour croire à un abîme ; elle dit toujours fini, à moi qui ne sait pas d autre mot qu infini. Qu elle me voie donc où je suis ; dans la mort et dans le ciel ; dans la mort par l absence, dans le ciel par sa pensée. » Le souvenir amoureux de Léonie Biard depuis l exil
Grand amour de Victor Hugo, Léonie Biard (1820-1879) fut la seule femme pour laquelle l écrivain hésita à quitter Juliette Drouet. Issue d une famille de la petite noblesse, Léonie Thévenot reçoit une bonne éducation, avant d épouser le peintre François Biard. Au printemps 1843, elle rencontre Victor Hugo, peut-être dans le salon de Fortunée Hamelin. Ils deviennent amants en décembre de la même année. Léonie lui inspirera de nombreuses poésies, dont on trouve trace dans Les Contemplations. En juillet 1845, les deux amants sont surpris en flagrant délit d adultère. Léonie Biard est arrêtée puis jetée à la prison de Saint-Lazare où elle reste du 5 juillet au 10 septembre. Elle est ensuite transférée au couvent des Dames de Saint Michel, grâce à l intervention d Adèle Hugo, bien aise de voir une concurrente à Juliette Drouet. Condamnée par le tribunal de la Seine, elle perd la gar. Signé par l'auteur.

  • Image du vendeur pour Histoire naturelle mis en vente par L'Ancienne Librairie

    ERNST (Max)

    Vendeur : L'Ancienne Librairie, Paris, France

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    Edition originale Signé

    EUR 9 690

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    De France vers Etats-Unis

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    Paris, aux éditions Jeanne Bucher, 1926. In-plano, [2]-XXXIV ff., en feuilles, portefeuille original à dos de toile bleu, lien bleu (petits frottements et taches, petites déchirures marginales, rousseurs). Édition originale de cet album réunissant 34 planches reproduisant par héliogravures des frottages de Max Ernst. Un des 250 exemplaires sur vélin, signé par l'artiste à la justification. L'introduction est de Jean Arp. C'est en 1925, alors qu'il est dans sa chambre d'hôtel à Pornic, qu'il vient à Ersnt l'idée de frotter un crayon sur une feuille posée sur le plancher. Il diversifie cette technique en utilisant différents supports et l'intègre bientôt à sa pratique de la peinture. On y retrouve les motifs organiques (feuille, oeil, animal.) typiques de son style surréaliste unique. Voir photographie(s) / See picture(s).

  • Image du vendeur pour Dessins mis en vente par L'Ancienne Librairie

    BALTHUS

    Vendeur : L'Ancienne Librairie, Paris, France

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    Edition originale

    EUR 9 690

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    De France vers Etats-Unis

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    Paris, éditions de la tempête et éditions Enrico Navarra, 1994. In-plano, 6 pl., en feuilles, emboîtage éditeur de toile écrue (quelques petites taches, un fermoir manquant). Édition originale de cet album réunissant 5 lithographies en noir sur fond crème et 1 en couleurs signées par Balthus, tirées sur vélin d'Arches par l'atelier Desjobert. Un des 25 exemplaires numérotés en chiffres romains. Les planches sont précédées par un texte de Claude Roy. Peu commun quand il est complet comme ici. Voir photographie(s) / See picture(s).

  • Image du vendeur pour Kamaitachi. (Dance Tatsumi Hijikata. Preface Shuzo Takigushi. Poem Toyoichiro Miyoshi. Design Ikko Tanaka). mis en vente par Antiquariat Haufe & Lutz

    Hosoe, Eikoh.

    Edité par Tokyo, Gendai Shicho Sha (1969)., 1969

    Vendeur : Antiquariat Haufe & Lutz, Karlsruhe, BW, Allemagne

    Membre d'association : ILAB VDA

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    Edition originale Signé

    EUR 9 500

    Autre devise
    EUR 22,49 Frais de port

    De Allemagne vers Etats-Unis

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    Folio (38 x 31 cm.). [3] Bl., 34 Tafeln, [2] Bl., alle ausfaltbar u. 1 Orig.-Photographie (Silbergelatine, 24,5 x 16 cm.) auf dem Trägerkarton und verso signiert und mit Stempel des Fotografen, dat. 1971. Illustr. OLn. mit Blau bedrucktem Klarsichtschutzumschlag in Orig.-Pappschuber u. Orig.-Versandkarton mit Deckelschild. Auer 497. Heiting/Kaneko 394 f., 306. Parr/Badger I, 284. The Open Book 248. - Erste Ausgabe. - Eines von 1000 num. Exemplaren. - Von E. Hosoe signiert und mit rotem Signaturstempel T. Miyoshi und mit beil. Orig.-signiertem Silbergelatine Abzug. Plate # 32 (1965, "drei Generationen"). - "Many Japanese photobooks are designed around the ritual of removing them from their slipcases or covers and opening their pages. The second book collaboration between Hosoe and the dancer Tatsumi Hijikata makes a complex ceremony even of viewing each photograph. Every picture page is a blue gatefold that must be carefully unfolded before the image can be viewed. Looking at this book cannot be done in a hurry. Kameitachi derives from a journey that Hosoe made to the far north of Japan's main island after returning home from a European trip in 1964. He travelled with Hijikata to the Tohoku region. Both had been born there" (Parr/Badger). - "Hijikata was dissatisfied with the Japanese modern dance scene, feeling that it was merely a copy of the work being done in the West. He wanted to find a form of expression that was purely Japanese, and one that allowed the body to speak for itself, thru [sic!] unconscious improvised movement. His first experiments were called Ankoku Butoh, or the Dance of Darkness. This darkness referred to the area of what was unknown to man, either within himself or in his surroundings. His butoh sought to tap the long-dormant genetic forces that lay hidden in the shrinking consciousness of modern man" (Eikoh Hosoe). - Versandkarton mit geringf. Gebrauchsspuren, 2 Tafeln im rechten Rand mit leichten Knickspuren, sonst tadellos. Sprache: japanisch.

  • MAN RAY. ARAGON (Louis). PERET (Benjamin).

    Vendeur : Librairie Fourcade, Paris, France

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    Edition originale Signé

    EUR 9 500

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    De France vers Etats-Unis

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    S.l.n.e. (Bruxelles, Éditions de la Revue Variétés, 1929), in-4 (30 x 20 cm), broché, à grandes marges, 26 p. Edition originale tirée à 215 ex., celui-ci num. sur Montval. L'ouvrage ne porte pour titre général que la date 1929 inscrite en gros chiffres sur la couverture puis deux titres se rapportant chacun à un semestre de l'année. Les poèmes du premier semestre (janvier à juin) sont de Péret, ceux du second (juillet à décembre) d'Aragon. Les 4 photographies de Man Ray sont titrées de l'une des quatre saisons (Printemps - Eté - Automne - Hiver) et contrecollées. Une des particularités de cet ouvrage pornographique est que les auteurs, Man Ray, Péret et Aragon, par défi, l'ont signé en toutes lettres, ce qui n'était pas en usage pour ce genre de production. Il fut publié par les soins de la revue bruxelloise Variétés dans le but de compenser les frais occasionnés par la publication du Surréalisme en 1929. Pour ce numéro spécial E.L.T. Mesens et P.G. Van Hecke, le directeur, laissèrent le soin à André Breton et ses amis d'écrire ou de choisir les textes et les reproductions hors-texte à y insérer. Pour 1929, c'est Man Ray, Péret et Aragon qui s'y collèrent. D'ailleurs, selon la légende, encore bien répandue, c'est la bite de Péret que l'on pourrait voir sur les photos ou celle de Man Ray, sans doute à cause de l'angle de vue, ou encore que le modèle féminin ne serait autre que la célèbre Kiki de Montparnasse, compagne du photographe dans ces années. On a aussi, plus tard, prétendu avoir retrouvé les modèles qui auraient participé aux séances (Dutel, 1986). Il y a d'autres hypothèses Très bel exemplaire dans son papier cristal d'origine.

  • LEFRANCQ (Marcel G.).

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    Images et poèmes présentés par Armand Simon. Mons (Belgique), Éditions de " Haute Nuit ", 1948, petit in-4, en feuilles, sous couvertures illustrées rempliées. Édition originale de cet album de photographies originales. Tirage unique à 126 exemplaires contenant 11 feuillets de texte et 25 tirages photographiques originaux en noir et blanc, format 30 x 16,5 cm. Membre du Groupe Surréaliste en Hainaut, aux côtés d'Achille Chavée, Fernand Dumont et Armand Simon, Marcel Lefrancq (1916-1974) publia des photographies dans L'Invention collective, dans les publications du Surréalisme révolutionnaire puis dans la revue Cobra. Aux Mains de la lumière est le seul album qu'il réalisera. Références : Marcel-G. Lefrancq, catalogue d'exposition, Charleroi, Palais des Beaux-Arts, 1982. Marcel-G. Lefrancq, Aux Mains de la lumière, Musée de la photographie, Charleroi, 2003.