Présentation de l'éditeur :
A Argenteuil, dans la famille où sa mère l'a placé, on l'appelle " l'affreux " car il ne peut s'empêcher, sans cesse, de dire des " affreusetés ". De plus, il n'est pas très beau. Mais à cet affreux, qui se prénomme Aristide, il reste la ressource du charme, de la dérision ou de l'humour pour plaire à des jeunes filles comme Nathalie, ou à des femmes comme Madame Bergson... Accusé d'un crime qu'il n'a pas commis, ce curieux personnage - une sorte de bâtard à la Mark Twain, un peu arabe, un peu zonard - sera condamné à fuir, et ce roman raconte avec drôlerie l'histoire picaresque de sa galère à travers la France. Au passage, Aristide en tire une philosophie très personnelle: " Si les gens croyaient en Dieu, dit-il ainsi, ils seraient moins méchants. Je me demande s'il ne faudrait pas leur envoyer une nouvelle fois Jésus-Christ pour les convaincre. Mais il ne voudra jamais revenir... "
Tel est Aristide : comique, cosmique, malin et moraliste.
Quatrième de couverture :
Aristide est un brave garçon, pourtant, sa mère a décidé qu'il irait vivre chez ses grands-parents près d'Avignon. Mais parce qu'ils n'aimaient pas ses cheveux trop bouclés, ils n'en ont plus voulu. Il est donc placé dans une famille à Argenteuil, les Foucard. Ils sont plutôt gentils, même s'ils l'appellent «l'affreux». Chez eux, la vie n'est pas désagréable, surtout grâce à Nathalie, la fille aînée qui a une sacrée poitrine, et à Mme Bergson, la prof de français. Mais voilà, un jour, Mme Bergson est assassinée et tout le monde l'accuse. Aristide s'enfuit alors à Marseille, à la recherche de son père… Avec L'affreux, Franz-Olivier Giesbert raconte les tribulations tragi-comiques d'Aristide Galupeau, «comique, cosmique, malin et moraliste», et livre une fable contemporaine, racontée avec humour et tendresse, sur l'exclusion ordinaire.
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