fiction religieux (277 résultats)

Couverture souple. Etat : Très bon. Un aventurier rescapé de l'insurrection des Chouans et de la Révolution, Antoine de Phélippeaux. Une jeune femme qui doit se rendre en Orient pour retrouver un énigmatique manuscrit religieux du XIIIe siècle, qui prêche l'entente des trois religions du Livre. Un ennemi commun, Bonaparte, qui lance une expédition en Terre sainte, dans l'espoir de devenir un nouvel Alexandre le Grand. Une lettre des Juifs d'Europe, dont le jeune général corse s'empare pour se présenter comme le nouveau Messie. Et un fabuleux récit épique, qui est d'abord une histoire d'amour. Avec ce voyage initiatique des maquis vendéens à Saint-Jean-d'Acre, de Paris sous la Terreur à la Haute Galilée, c'est toute la tradition du roman d'aventures qui revit sous la plume d'Olivier Weber. La Bataille des anges, une vaste parabole aux accents stendhaliens sur le rejet du fanatisme, est un hymne à la liberté. FRAIS DE PORT GRATUIT POUR LE MONDE ENTIER.LIVRE (S) ENVELOPPÉ (S) DANS DU PLASTIQUE A BULLES, ENVOI RAPIDE ET SOIGNÉ.

Couverture souple. Etat : Très bon. Résumé : Au milieu du XIXe siècle, une caravane de voyageurs progresse dans le désert sur une route proche de La Mecque. Se croisent alors neuf destinées qui toutes basculent, en un après-midi, au moment où chacun entre en possession d une sacoche remplie de textes dont la teneur reste mystérieuse jusqu à la fin du roman. Se succèdent ainsi un voleur romantique épris de liberté ; une jeune fiancée encline à la divination ; un chef de bandits rêvant de toute-puissance ; un affairiste roublard ; un pèlerin dont la quête spirituelle aboutira à la résolution de l énigme des sables ; un religieux inquisiteur à la dévotion excessive ; ambitieux mais incapable, un espion de Sa Majesté déguisé en derviche ; enfin, accompagnant tous les personnages dans leur périple, un cadavre doté de la capacité de percer leur intériorité. A mesure que la narration progresse, chaque protagoniste prend tour à tour en charge un moment et un aspect de l aventure collective de la caravane, qu il enrichit de sa perception singulière, tandis que la brève possession de la sacoche lui ouvre, sur sa propre vie, des perspectives bouleversantes. Récit empreint de mysticisme, livre d espérance et d illumination, le roman de Bahiyyih Nakhjavani procure un plaisir sans mélange, dans sa capacité à envoûter le lecteur, à susciter sa propre convoitise, à faire naître en lui le désir de cet objet merveilleux, symbole de toutes les quêtes et de toutes les révélations : la sacoche. FRAIS DE PORT GRATUIT POUR LE MONDE ENTIER.LIVRE (S) ENVELOPPÉ (S) DANS DU PLASTIQUE A BULLES, ENVOI RAPIDE ET SOIGNÉ.

Couverture souple. Etat : Très bon. Suzanne Lardreau livre ici ses souvenirs d'orpheline qui, pour faire face au malheur, utilisa l'orgueil comme arme. Elle restitue la misère affective et le carcan religieux des orphelinats où elle passa son enfance entre 1942 et 1956 et explique comment elle a réussi sa vie malgré une jeunesse difficile. FRAIS DE PORT GRATUIT POUR LE MONDE ENTIER.LIVRE (S) ENVELOPPÉ (S) DANS DU PLASTIQUE A BULLES, ENVOI RAPIDE ET SOIGNÉ.

Couverture souple. Etat : Très bon. Suzanne Lardreau livre ici ses souvenirs d'orpheline qui, pour faire face au malheur, utilisa l'orgueil comme arme. Elle restitue la misère affective et le carcan religieux des orphelinats où elle passa son enfance entre 1942 et 1956 et explique comment elle a réussi sa vie malgré une jeunesse difficile. FRAIS DE PORT GRATUIT POUR LE MONDE ENTIER.LIVRE (S) ENVELOPPÉ (S) DANS DU PLASTIQUE A BULLES, ENVOI RAPIDE ET SOIGNÉ.

Couverture souple. Etat : Très bon. Elle est le Samildanach.Le dernier enfant du Saîman. Celle qui devra faire entrer Gaelia dans un âge nouveau. Car Gaelia se meurt. Sur l'île partout la guerre fait rage. On chasse même les loups ! Le feu de la haine déferle nourri par les fanatismes religieux et la soif de pouvoir pendant que la magie lentement disparaît. Oui Gaelia se meurt et le temps presse. FRAIS DE PORT GRATUIT POUR LE MONDE ENTIER.LIVRE (S) ENVELOPPÉ (S) DANS DU PLASTIQUE A BULLES, ENVOI RAPIDE ET SOIGNÉ.

Couverture souple. Etat : Très bon. Résumé : Pourquoi être heureux quand on peut être normal? Etrange question, à laquelle Jeanette Winterson répond en menant une existence en forme de combat. Dès l'enfance, il faut lutter: contre une mère adoptive sévère, qui s'aime peu et ne sait pas aimer. Contre les diktats religieux ou sociaux. Et pour trouver sa voie. Ce livre est une autobiographie guidée par la fantaisie et la férocité, mais c'est surtout l'histoire d'une quête, celle du bonheur. "La vie est faite de couches, elle est fluide, mouvante, fragmentaire", dit Jeanette Winterson. Pour cette petite fille surdouée issue du prolétariat de Manchester, l'écriture est d'abord ce qui sauve. En racontant son histoire, Jeanette Winterson adresse un signe fraternel à toutes celles - et à tous ceux - pour qui la liberté est à conquérir. LIVRAISON GRATUITE DANS LE MONDE ENTIER. LIVRE (S) ENVELOPPÉ (S) DANS DU PLASTIQUE A BULLES, ENVOI RAPIDE ET SOIGNÉ.

Couverture souple. Etat : Très bon. Résumé : Sud-ouest de la Chine, années 1990. À la Source de Printemps, sur le mont Nannuo, la culture du thé rythme la vie des habitants depuis toujours. Loin de connaître les progrès sans précédent qui se propagent au reste du pays, les Akha perpétuent des méthodes de récolte archaïques et des principes religieux très strictes. Li-yan, première personne de sa famille à savoir lire et écrire, rejette les traditions qui ont jusqu alors façonné son existence. Sur le point de débuter la formation qui fera d elle la prochaine sage-femme de la vallée, elle décide de poursuivre ses études malgré les réticences de la communauté. Malheureusement, lorsqu elle doit faire face à une grossesse non désirée, la loi akha tombe, et Li-yan n a d autre choix que tout abandonner jusqu à son enfant, qu elle dépose sur les marches d un orphelinat, accompagnée d une galette de thé. Les années passant, le souvenir de cette tragédie la hante, tandis qu à des milliers de kilomètres, une jeune femme se lance à la recherche de ses racines LIVRAISON GRATUITE DANS LE MONDE ENTIER. LIVRE (S) ENVELOPPÉ (S) DANS DU PLASTIQUE A BULLES, ENVOI RAPIDE ET SOIGNÉ.

Couverture souple. Etat : Très bon. LIVRAISON GRATUITE DANS LE MONDE ENTIER. LIVRE (S) ENVELOPPÉ (S) DANS DU PLASTIQUE A BULLES, ENVOI RAPIDE ET SOIGNÉ. Résumé : Un thriller théologique qui nous plonge dans l'atmosphère de la cours du roi Saint Louis et dans l'obscurantisme dogmatique de l'Inquisition contre les juifs, avec en toile de fond l'univers du livre le plus fascinant, mystérieux et subversif de la tradition juive : le Talmud. Paris, 1240. L'ombre du Moyen Age plane sur la cour de saint Louis. Complots, rumeurs, trafics, le meurtre mystérieux d'une enfant . jamais les enjeux de pouvoir n'ont été si violemment discutés. Au c ur de tous les débats, le dogme et le fanatisme religieux. Le sang coulera-t'il de nouveau? Justice sera-t'elle faite ?.

Couverture souple. Etat : Bon. Description : Numéro 30 dans la collection Présence du futur. Présentation en quatrième de couverture -- A cinquante années-lumière de la Terre, la planète Lithia, habitée par des sauriens intelligents qui ignorent tout système politique, économique et religieux, semble être un jardin d'Eden. Mais n'est-elle pas aussi une création du Malin ? Un jésuite, envoyé avec trois autres savants pour étudier les conditions d'exploitation de Lithia, se pose cette question, au risque de sombrer dans l'hérésie manichéenne. James Blish ne s'est pas contenté de créer une nouvelle histoire fantastique. Tout en respectant les lois du genre et en imaginant les péripéties les plus passionnantes, il donne au roman de « science-fiction » une dimension inhabituelle. -- | Titre original : Case of conscience | Traduction : Traduit de l'anglais par J.-M. Deramat.

Couverture souple. Etat : Très bon. Eddie Jones (illustrateur). Description : Numéro 15 dans le collection Le Masque Science-Fiction. Présentation en quatrième de couverture -- Cinq mille Herculéens ont survécu à la fin de l'Empire. Après l'anéantissement successif de leurs patries, ils s'enfuient vers les mondes frontaliers du système. A l'heure actuelle, les Herculéens sont dispersés sur cinquante astres, et se livrent à un culte religieux dont le centre est le monde de Myraa, ainsi nommé en hommage à une femme herculéenne qui est en communication avec tout ce qui renaît des cendres du passé. Né en 1945 en Autriche de parents polonais, fixé d'abord en Angleterre puis aux Etats-Unis, George ZEBROWSKI dès son plus jeune âge avait été attiré par la Science-Fiction. Il collabora à The Magazine of Fantasy and S.F., à Worlds of If, et d'autres revues pour devenir en 1969 rédacteur en chef du bulletin des écrivains de S.F. aux U.S.A. Il enseigne la Science-Fiction au Harpur Collège. « Le Point Oméga » est son premier roman. On y retrouve l'influence de Teilhard de Chardin et le reflet des films désespérés de Wajda. Jacques Van Herp. -- | Traduction : Traduit de l'américain par Gisèle Bernier.

Bon état. 1935. 2 Le théâtre religieux au moyen âge / Librairie Hachette 1935. Bon état.

Bon état. 1994. grand format broché de 290 pages aux éditions Albin Michel; 1994 édition originale (vendue 120FF à sa sortie). Durant l'automne 1993 Sa Sainteté le Dalaï-Lama a effectué le plus long de ses séjours en France. L'extraordinaire succès de ses conférences rassemblées ici avec les débats qui les accompagnèrent reflète bien l'intérêt grandissant des français pour ce personnage au charisme hors du commun. Qu'il s'exprime comme moine bouddhiste comme chef d'Etat en exil d'un pays envahi comme défenseur infatigable des Droits de l'Homme ou comme chercheur humaniste dialoguant avec les scientifiques Tenzin Gyatso en homme véritablement au-delà des dogmes ne se départit jamais d'une ouverture d'esprit fondée sur le respect de l'autre et la spiritualité. Ainsi peut-il répondre en toute liberté et avec une rare hauteur de vue aux mutiples questions de ses interlocuteurs français portant aussi bien sur l'usage du préservatif dans le cadre de la lutte contre le sida que sur la bioéthique l'homosexualité la surpopulation l'intégrisme religieux ou l'objectivité de l'investigation scientifique. Plutôt que de ressasser une ligne de conduite figée et à jamais inébranlable ce maître spirituel préfère toujours prendre conseil auprès des spécialistes analyser avec eux les différentes données pour proposer la conclusion la plus humaine possible. Bien qu'ancrée dans la tradition bouddhiste sa parole nous concerne tous en appelant chacun à prendre sa part de responsabilité universelle. voir nombreux ouvrages sur le bouddhisme ou la spiritualité dans ma boutique ( rubrique 'religion' ou 'ésotérisme'). en BON ETAT d''occasion complet et solide pas annoté; intérieur impeccable propre et frais. Bon état.

Très bon état. 2000. grand format broché aux éditions Guy Tredaniel; 304 pages ; édition originale 2000 ( vendue 120FF à l'époque). dialogue entre un Rabbin et un Médium. Dans cet exceptionnel échange de lettres le rabbin Shmuley Boteach et Uri Geller abordent un nombre impressionnant de thèmes d'actualité concernant la spiritualité la sexualité la famille la parapsychologie les rapports homme/femme les libertés l'argent. Dans ce livre l'un des rabbins les plus controversés de la planète et le médium le plus célèbre du monde mettent leurs âmes à nu en partageant leur sagesse. Uri cherche des sagesses qui vont plus loin que tout ce qu'il a pu comprendre par lui-même tandis que Shmuley examine la manière d'employer au mieux les forces déchaînées motivant le Nouvel Age Spirituel. Les styles des deux correspondants sont nettement opposés ce qui créé une relation dynamique invitant le lecteur à suivre sa progression au fur et à mesure qu'une vaste gamme de sujets est explorée. Le rabbin Boteach est un sceptique à l'esprit ouvert ayant son franc-parler un homme qui fait confiance à ses yeux et à ses instincts religieux. Son éducation de poids et son rôle de rebelle dans l'establishment judaïque sont certains. Uri Geller est un médium controversé tisseur de légendes qui n'a jamais trouvé la moindre explication à toutes les choses qu'il sait faire. Son éducation est extensive et hétéroclite et sa position établie de longue date en dehors de l'establishment. D'une portée considérable autant par son étendue que par sa profondeur ce livre présente un passionnant dialogue dans lequel chaque protagoniste finit par comprendre progressivement le coeur de l'autre nous montrant d'extraordinaires révélations jamais dévoilées auparavant. en TRES BON ETAT ; complet et solide sans déchirures ni annotations ; intérieur propre et frais. Bon état.

Très bon état. 2011. ouvrage broché 301 pages vendu 20 euros en librairie en TRES BON ETAT aucun défaut important à signaler « Je viens de lire ton message. Son contenu m'a consterné. Je me doutais que. nombre d'événements graves et obscurs se déroulaient au sein du Vatican mais . depuis l'élection du nouveau pape je découvre que j'étais bien en dessous de la. vérité. Une chose est sûre : jamais le monde ne devra être mis au courant des. terribles secrets dont le Vatican est dépositaire et que nous connaissons. aujourd'hui. Nous devons tout faire pour que jamais il ne sache ce qui est en. train de se tramer dans les coulisses. Notre devoir est de protéger l'humanité . Ad Majorem Dei Gloriam. Lorsque Marion Weinberg jeune lieutenant de police . commence à enquêter sur un meurtre à la signature singulière elle est loin de. se douter qu'elle-même sera intimement mêlée à une affaire impliquant les plus. hautes personnalités de l'Eglise. L'enjeu ? La lutte entre le Bien et le Mal. Très bon état.

Très bon état. 2005. ouvrage broché 196 pages avec photos couleur ( édition la Toison d'Or). les journées mondiales de la jeunesse de Toronto à Cologne. préface Cardinal Barbarin. en TRES BON ETAT d'occasion; complet et solide sans déchirures ni annotations;très peu de pliures sur la couverture; intérieur propre. Que L'esprit de Dieu souffle aux quatre vents Dans les clameurs de cette foule de jeunes que le Pape Jean-Paul II a rejoint sur tous les continents. D'étrangers tous deviennent frères font l'expérience de la fraternité chrétienne. Hélène l'auteur de ces pages toutes les joies et ardeur nous donne de partager aussi la douce brise de l'Esprit qui parle du c?ur de chacune et de chacun de ces innombrables pèlerins. Là jaillit la richesse de son témoignage. On saisit tout de l'intérieur: ce qui motive les jeunes de chaque diocèse leur découverte de la pertinence de la foi chrétienne aujourd'hui. La nécessité d'en vivre pour la partager au retour. Le tout est émaillé de bons et humoristiques flashs sur la vie en commun. Un vrai régal Les médias ne nous donnent souvent que des bribes de ces journées mondiales de la jeunesse. et une image chasse l'autre Ce livre nous permet au contraire de vivre du dedans la démarche initiée par Jean-Paul II. en particulier à Toronto et que poursuit le Pape Benoît XVI. Tous les jeunes et les accompagnateurs laïcs et religieux diacres prêtres et évêques. trouveront dans ces pages un bon guide pour proposer les JMJ de Cologne. Les plus anciens de nos communautés puiseront un appel à savoir qu'il fait toujours bon de faire Eglise l plaisir de. Quel plaisir de regarder une boîte à mouches bien garnie où v. Montre des mouches c'est non seulement facile mais cela fait partie de la pêche. Quels modèles réliser? Avec quels matériaux? Quel matériel faut-il? Comment choisir ses plumes? Où et comment les installer? Toutes ces questions et beaucoup d'autres trouvent ici leurs réponses. En suivant les conseils des auteurs vous remplirez vos boîtes à mouche. Très bon état.

Bon état. 1992. ouvrage broché de 151 pages édition originale aux éditions l'Harmattan collection Encres Noires. en BON ETAT complet et solide sans déchirures ni annotations. Larchipel de Fatoba est devenu une île puis une presquîle après maints boulerversements géologiques historiques politiques et architecturaux. NDouré le dernier en date de ses gouvernants reconverti en dresseur de lions convie un jour tous les souverains et chefs dEtat du monde à une grande exhibition dénommée la Grande Dernière. Pour des raisons mystérieuses la cérémonie tourne à la tragédie. Les fatobîliens et les Fatobîliennes désireux de prendre la succession du défunt Grand Maître acceptent de se soumettre au détecteur de mensonges. En ces temps où lon parle de conférence nationale par-ci de charte fondamentale par-là dEtat de droit et de démocratie partout en Afrique loccasion est belle pour brosser une galerie de portraits représentatifs des personnages évoluant au premier plan dans la plupart des pays africains et de passer en revue les errements idélogiques économiques et religieux du continent indépendant depuis maintenant plus de trente ans. Le réel et le fantastique voire linvraisemblabe servis par un humour caustique simbriquent au détour de chaque ligne pour donner un récit écrit dune plume alerte des allures dépopée africaine des temps modernes. Bon état.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, 40 pages - Articles originaux : "Bienheureux les pacifiques." - Une campagne en faveur du Repos hebdomadaire. - Religions nouvelles. - Régionalisme et unité. - Le Sillon et la Provence. - Dans l'attente et le silence. - Contre le Parti catholique. - La vie du Sillon : Le Congrès de Soissons. - Marc Sangnier en Vendée et en Bretagne. - Deux réunions contradictoires. - A travers le Limousin. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le re.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 201 à 240 - Articles originaux : Le Sillon dans la littérature. - Le Sillon à Reims et le Repos hebdomadaire. - Au Lycée : Deux lettres - Boycottage catholique. - La vie du Sillon : L'Éveil démocratique. - A Lourdes. - Le Congrès de Romans. - Le Congrès d'Aubusson. - Au Sillon de Louhans. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 281 à 320 - Articles originaux : Une expérience. - Un problème nettement posé. - Au Lycée. - Pour les Cercles d'études ruraux. - Ce qui diminue les hommes. - Le Centre allemand est-il un parti catholique ? - La vie du Sillon : Les Vraies Idées du Sillon. - Une Lettre de Mgr l'Évêque de Marseille. - Le prochain Congrès national. - Un Restaurant coopératif. - Le Congrès de Marvejols. - En province. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 161 à 200 - Articles originaux : Métier de roi, métier de citoyen. - Comment on vient au Sillon. - A propos du Congrès de Strasbourg. - La vie intellectuelle du Sillon. - Pour les Cercles d'études ruraux. - La force d'une élite (Extrait des oeuvres de Newman). - La vie du Sillon : Une réunion publique à Morlaix. - Dans l'Ile d'Oléron. - Dans la région parisienne. - Le Congrès de Rochechouart. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repri.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 81 à 120 - Articles originaux : La valeur des oeuvres. - En vacances. - Un précurseur : de Tocqueville. - Sommes-nous des révolutionnaires ? - La démocratie devant la "Science sociale". - Au Lycée. - Le Congrès de Paris. - La vie du Sillon : Le Sillon à Paris. - Une réunion publique à Gréasque. - Lettre d'Orléans. In-8° broché, voir le sommaire dans le scan de la couverture ou il figure. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 241 à 280 - Articles originaux : La lutte de classes est-elle fatale ? - La peur de l'unité morale. - Le sauveur. - La leçon des inventaires. - Le seuil de la porte (traduit du danois). - les aspirations démocratiques en 1846. - Après la Séparation. - Une affiche du Sillon. - La vie du Sillon : Après les élections ; Un réconfort ; Travail intérieur. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 41 à 80 - Articles originaux : Le Sillon est-il un mouvement personnel ? - Vie fraternelle. - "Par la Mort" (A propos d'une Première). - Confusions à dissiper. - Le Sillon et la Politique. - Contre le Parti Catholique. - Dans l'attente et le silence. - Le vie du Sillon : Le Congrès de Nancy ; Le Sillon de Dunkerque ; La "Maison du Sillon" à Châtenay. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 401 à 440 - Articles originaux : L'art et l'apologétique : "La vie profonde". - Une oeuvre sociale. - A propos des massacres de Russie : I. Un discours de Marc Sangnier. II. Une lettre de l'Archevêque de Cologne. III. Les catholiques et les événements de Russie. - Autour des arsenaux maritimes. - Sacrifice suprême. - Boycottage catholique. - Appels divins (Extrait des sermons de Newman). - La vie du Sillon. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, 40 pages - Articles originaux : Notre tâche. - Points de vue économiques ("Maison X*** frères). - La fonction royale. - Sur un projet de paix sociale. - Ivanowitch. - Les catholiques et le pacifisme. (deux lettres) - Le socialisme et le sens démocratique. - Dans un monastère. - La vie du Sillon. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 241 à 280 - Articles originaux : Régionalisme et Unité. - Syndicalisme et coopération (Le point de vue démocratique). - Le prix de la peur. - Pour les campagnes. - Enseignement social populaire (Les conférences de Marc Sangnier sur la Démocratie). - Lettre de Suisse. - Le Sillon et la famille. - La vie du Sillon : Chez le sculpteur Bartholomé ; A travers les Sillons de Province. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 441 à 480 - Articles originaux : Des hommes nouveaux. Qui fera la démocratie ? (Une affiche du Sillon). - Le rôle de Lacordaire. - Le respect de l'immoralité. - Souvenirs de Port-Royal. - Le terrianisme et le paupérisme. - La vie du Sillon : Le Sillon et les partis ; Travail intérieur. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 41 à 80 - Articles originaux : Le IV° Congrès National. - Conseils à mon fils (suite et fin). - Pour l'autre France. - L'Apostolat chrétien. - Les bons révolutionnaires. - Associations locales. - Une méthode de discussion. - Les Instituts populaires et la tradition (Extrait des Oeuvres de Lacordaire). - La vie du Sillon : Un livre nécessaire ; Luttes et conquêtes. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 161 à 200 - Articles originaux : Après le Congrès. - La réunion des journalistes. - Le Congrès des Cercles d'études et des Instituts populaires : Séance d'Ouverture ; Les Coopératives ; La Mese du Congrès ; La Réunion Publique ; Le Banquet. - Enseignement social populaire (Les conférences sur la Démocratie ; 1° conférence : L'évolution démocratique. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.

Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé de 321 à 360 - Articles originaux : Un anniversaire. - Les troubles révolutionnaires de Limoges. - Une dangereuse ignorance (Extrait du journal). - M. Wells, prophète. - Notre souscription. - Le vie du Sillon : La Correspondance sociale du Sillon ; Le Sillon : Esprit et Méthodes ; Le Congrès de Saint-Brieuc ; A travers la France. Marc Sangnier, né le 3 avril 1873 à Paris et mort le 28 mai 1950 à Paris, est un journaliste et homme politique français. Créateur du Sillon, il est un des promoteurs du catholicisme démocratique et progressiste. Il occupe aussi une place importante dans le mouvement de l'éducation populaire à travers les revues et mouvements qu'il a animés. Il est le pionnier du mouvement des auberges de jeunesse en France. Marc Sangnier reçoit une éducation chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, il décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898. Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du « Ralliement » des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum Novarum. En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des instituts populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés, l'année de la publication du roman de George Fonsegrive (qui avait permis le premier à Marc Sangnier d'exposer ses idées à un vaste public dans sa revue La Quinzaine), Le Fils de l'Esprit. Roman social, « livre de chevet de toute une jeunesse», où s'exprime par la fiction le projet de ces catholiques sociaux ralliés à la République. « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une oeuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » - - - « À cette époque, les catholiques épousaient les idées de la droite ou de l'extrême droite, par ailleurs le Syllabus du pape Pie IX de 1864 condamnait le libéralisme. Marc Sangnier, catholique fervent, mais « sans pantoufles cléricales », lui, se disait républicain de gauche, même d'extrême gauche. Ce qui créait un grand tumulte, la droite le traitant de traître et la gauche d'hypocrite affirmant qu'on ne pouvait être catholique et républicain ». Ainsi, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Péguy l'attaque violemment. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant une série d'articles dans la Revue d'Action française et dans La Gazette de France qui sera plus tard réunie dans son ouvrage Le Dilemme de Marc Sangnier, lui-même repris en 1921 dans le recueil intitulé La Démocratie religieuse.