Type d'article
Etat
Reliure
Particularités
Livraison gratuite
Pays
Evaluation du vendeur
Edité par Paris : Terry, 1840
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Assez bon. Edition originale. In-12° broché, 112 pp.
Edité par Paris : Imprimerie Royale, 1842
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-4° broché, sous couverture de l'époque reliée par une cordelette, 34 pp Ce rapport établit la préhistoire et l'histoire du livret ouvrier depuis les lettres patentes du 2 janvier 1749 jusqu'à la loi du 22 Germinal an XI et l'arrêté du 9 Frimaire an XII. Sont développés particulièrement : la délivrance des livrets, les droits et obligations des ouvriers et ceux des maitres.
Edité par Paris,, 1826
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Signé
Couverture souple. Etat : Assez bon. In-8° broché, relié par une cordelette, 24 pp. Fortes rousseurs. Signé par l'auteur.
Edité par Neuchatel, chez les principaux libraires, 1872
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture rigide. Etat : Très bon. Edition originale. In-12, 335 p. Reliure demi-chagrin d'époque. - - - - "Frère de Gustave Jeanneret, Georges Jeanneret avait appris le métier de graveur qu'il exerçait à Paris. Lors du siège de la capitale, il servit dans le 85e bataillon de la Garde nationale. Le trouvant trop « réactionnaire », il le quitta après la proclamation de la Commune. Le 18 mai 1871, il entra dans un bureau de la préfecture de police. Après la victoire des Versaillais, il se cacha à Paris jusqu'en novembre 1871. Ayant réussi à regagner Neuchâtel, il y publia l'un des premiers ouvrages sur la Commune, qu'il avait sans doute rédigé à Paris, alors qu'il s'y dissimulait. Pendant une partie de 1872 et de 1873, il résida à Bruxelles où il s'adonnait au commerce des livres et journaux socialistes. Rentré à Neuchâtel, il publia divers ouvrages et articles ; esprit exalté et peu équilibré, il y mena une existence agitée." [Maitron] - - Magis, catal Commune, 587.
Edité par Geneve, 1884
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-quarto broché, 26 pages.
Edité par Lévy frères (Paris), 1848
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture rigide. Etat : Très bon. Edition originale. In-8° relié demi-chagrin de l'époque, 82 pp. - - relié avec BOUND WITH : LOUIS BLANC : Organisation du travail - neuvième édition refondue et augmentée de chapitres nouveaux (Au Bureau du Nouveau Monde, 1850), 240 pp. - - relié avec BOUND WITH : THIERS : Discours prononcé à l'Assemblée Nationale sur le droit au travail (Paris, Michel Levy, 1848), 35 pp.
Date d'édition : 1839
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Signé
Couverture souple. Etat : Très bon. 9 documents manuscrits, de Jules Gossin, également officiant à Saint-Vincent de Paul et quatre fascicules de 4 pages chacun annotés par Jules Gossin : Compte rendu pour l'année 1939 (2 exemplaires), des résultats obtenus par la Société Charitable de Saint-François-Régis de Paris pour le mariage civil et religieux des pauvres 1840, et 1841. - - - CONTENU DES MANUSCRITS DE LA SOCIETE CHARITABLE De SAINT-FRANCOIS-REGIS : son activité principale s'articule autour du mariage chrétien des unions illégitimes et le baptême des enfants naturels. PROCES-VERBAUX, CORRESPONDANCE, RAPPORTS et DECISIONS :1835 à juillet 1839 - règlement de la Société ;- notice historique sur la Société ; liste des membres ; - tableau numérique des ménages illégitimes et des enfants naturels à légitimer adressés par les paroisses de Paris et banlieue en 1835 ; situation de la société au 1er janvier 1836 ; notice sur les indigents de la ville de Paris ; comptabilité pour 1836 ; état, année par année, des couples adressés à la Société du 1er mars 1826 au 31 décembre 1836. Juillet 1837 à janvier 1843 : règlement de la Société Saint Régis de Lyon ; tableau des membres de la Société ; arrêts au sujet des enfants trouvés de l'Administration des hospices et secours de Paris ;- liste des "mariages justifiés" pendant 1842 par paroisse. Janvier 1843 à octobre 1844 : comptabilité pour 1842 ; tableau des Sociétés charitables de Saint-Régis en 1843 ; comptabilité ; Signé par l'auteur.
Edité par Leipzig : Hübner, 1856
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture rigide. Etat : Très bon. Edition originale. In-12° relié demi-chagrin blond, titrre gravé, exemplaire de la bibliothèque de Michel Chevalier dédicacé par son traducteur allemand, J. E. Horn - - Michel Chevalier, né le 13 janvier 1806 à Limoges et mort le 28 novembre 1879 au château de Montplaisir, est un homme politique et économiste français. En 1830, après la Révolution de juillet, il devient un adepte de la doctrine saint-simonienne et éditeur du journal Le Globe, qui sera interdit en 1832 lorsque la « secte des Simoniens » est décrétée contraire à l'ordre public. En tant qu'éditeur, il est condamné à six mois de prison qu'il effectue à Sainte-Pélagie. À sa libération, le ministre de l'intérieur Adolphe Thiers l'envoie en mission aux États-Unis et au Mexique, pour y observer l'état industriel et économique des Amériques. À Mexico, il rencontre Andrés Manuel del Río, l'un des plus grands minéralogistes de son temps. En 1837, il publie Des intérêts matériels en France, qui marque le véritable début de sa carrière5. Il est nommé cette année-là chevalier de la Légion d'honneur6. En 1838, il est conseiller d'État. En 1841, il obtient la chaire d'économie politique au Collège de Francea. Il se fiance en 1844 avec Emma Fournier, avec qui il se marie un an plus tard. Il est plutôt d'obédience libérale et libre-échangiste. Il est élu député de l'Aveyron (« .et ne le fut pas longtemps », indique plaisamment son biographe J. Simon5) à la Chambre en 1845. Il participe à la rédaction du Journaliste au Journal des débats en 1848. Il devient en 1851 membre de l'Académie des sciences morales et politiques au fauteuil du Dr Villermé. Cette même année, après le coup d'État du 2 décembre, il se rallie à Napoléon III, dont il devient un conseiller économique très écouté. Il est nommé sénateur en 1869. Malgré l'opposition des grands industriels et des Chambres, Chevalier tente d'imposer ses conceptions libre-échangistes à la politique commerciale de la France. Avec Richard Cobden et John Bright, il est l'un des artisans aidé par François Barthélemy Arlès-Dufour du traité franco-britannique de libre-échange de 18601, surnommé « traité Cobden-Chevalier ». En 1867, il est président du jury international à l'Exposition universelle après avoir participé aux précédentes expositions en tant que président de la Commission d'économie domestique à l'exposition de Paris en 18555 et chef de la délégation française à l'exposition de Londres de 1862. À la chute de l'Empire en 1870, s'étant retiré de la vie publique, il fonde une société d'études pour la réalisation d'un tunnel sous la Manche avec Thomé de Gamond. La concession du tunnel sera obtenue en 1880, quelques mois après sa mort, mais les travaux seront vite abandonnés. Un de ses frères cadets, Auguste Chevalier, fut normalien section scientifique, ingénieur, secrétaire général de la Présidence, député de l'Aveyron, saint-simonien et disciple de Prosper Enfantin, ami cher d'Évariste Galois, qui lui dédia sa dernière et célèbre lettre la nuit précédant sa mort. Il fut un économiste et un homme d'affaires.
Edité par Les éditions d'aujourd'hui, 1976
Vendeur : LIBRAIRIE GIL-ARTGIL SARL, RODEZ, France
Livre
Les éditions d'aujourd'hui, 1976. In-8 broché de 237 pages. Collection Les introuvables. Dos insolé sinon Bon état Livres.
Edité par Paris : [s.n.], 1832
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Couverture rigide. Etat : Très bon. In-8° relié cartonnage bradel, 78 pages. Le Corsaire, sous-titré journal des spectacles, de la littérature, des arts et des modes, est un quotidien français paru à Paris du 11 février 1823 au 14 novembre 1858. Le Corsaire était au nombre des publications qualifiées, par un député de l'époque, de « journaux marrons », dans la mesure où, pendant la Restauration, la presse française prenait la littérature, et surtout les moeurs, comme prétexte pour pouvoir parler de politique1. Le Corsaire, qui avait pourtant, à ses débuts, juré ses grands dieux qu'il n'en ferait rien, mais n'avait pas tardé à se laisser entrainer par ses instincts, et, répondant un jour au très conservateur Journal des Débats, qui morigénait ce qu'il appelait les » petits journaux » : « Que nous reproche-t-on ? disait-il. De chercher à entrer dans le domaine de la politique par une porte dérobée ; et pourquoi nous ferme-t-on la porte cochère ? » Le Corsaire, qui ne faisait que ce que faisaient tous les petits journaux d'alors, sauf à rester sur le carreau, dura jusqu'en 1852, mais non sans avoir subi force interruptions et transformations Un grand nombre de littérateurs devenus plus ou moins célèbres ont passé par les bureaux de rédaction de cette feuille : Alphonse Karr, Léon Gozlan, Joseph Méry, Louis Reybaud, Paul de Musset, Jules Sandeau, Henry Murger, Champfleury, Arnould Frémy et d'autres comme Banville, Charles Nodier, Baudelaire, Boussenard, Cabanon, Chennevières-Pointel, Marc Fournier (de), L. de Senneville, Henri Murger, Gustave Le Vavasseur, Jean Wallon ou Alexandre Weill. Dans les derniers temps de la monarchie, le Corsaire, qui avait fusionné avec le Satan, une petite feuille du même genre dirigée par Petrus Borel, parut, du 7 septembre 1844 au 12 mars 1847, sous le titre le Corsaire-Satan, était devenu, sous la direction d'un vieux journaliste, Le Poitevin Saint-Alme, une sorte de collège d'adultes où une foule de débutants littéraires faisaient leurs premières armes journalistiques. Après la Révolution de 1848, le Corsaire passa, sous l'influence d'Alfred de Coëtlogon et René de Rovigo, du parti de l'opposition libérale au légitimisme. Des tentatives furent encore faites, par la suite, pour relever ce journal, notamment en 1858, par Jean-Louis Viennot (d), son ancien directeur, et par Jules Lermina, en 1867, mais toujours sans succès. Parmi les rédacteurs ont figuré notamment : Théodore de Banville Charles Baudelaire Louis-Henri Boussenard Émile Cabanon Champfleury Jean de Falaise Marc Fournier (de) Léon Gozlan Alphonse Karr Louis Ménard qui signait L. de Senneville Joseph Méry Henri Murger Charles Nodier Jules Sandeau Gustave Le Vavasseur Jean Wallon Alexandre Weill.
Edité par Paris, Prévost, Rouannet, Pilhout et comp., décembre 1841, 1841
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Couverture rigide. Etat : Très bon. In-8, (2), 68 p. Cart. bradel. EO. Dans cette brochure, Cabet réfute l'idée développée par le pouvoir selon laquelle les réformistes et les communistes pacifiques auraient pu avoir un quelconque rôle d'instigateur ou d'inspirateur dans l'attentat contre le duc D'Aumale. Il accable en revanche Quénisset et les conspirateurs communistes, dont les actes sont selon lui voués d'avance à l'échec. Prudhommeaux, A 56.
Edité par Paris : Imp. de Lacrampe et Fertiaux, (s.d, 1848
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale Signé
Couverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-4° broché, 2 pages. Louis Lebrun commercant 18 rue Saint-Marc Feydeau est né dans une famille d'ouvriers très pauvres. Il abandonne le poste de Professeur au Lycée Charlemagne pour se consacrer au commerce et à des activités politiques. Signé par l'auteur.
Edité par Bordeaux, Lanefranzue, 1842
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-4° broché, 79 pages. Très nombreux tableaux explicitant les dépenses et l'administration de l'établissement. Vital Carles, grand chantre et chanoine de l'église cathédrale, dont la fortune était immense, rédigea, le 24 décembre 1390, un testament en gascon faisant don à la ville « à perpétuité et à jamais » de deux maisons (maison de Lambert et Maison de la Prébenderie), et d'un vaste jardin. Il fut le premier hospitalier de Saint-André, et le demeura jusqu'à sa mort, le 15 mars 1398. Un siècle plus tard, les guerres, les malversations et l'administration déplorable des différents hospitaliers contribuent à transformer l'hôpital en un lieu insalubre qui ne remplit plus son rôle d'hôpital. À la fin du xve siècle, Louis XII, de passage à Bordeaux, ordonna une enquête sur la gestion de l'hôpital. Cette enquête fut confiée en 1527, sous le règne de François Ier, à Nicolas Bohier, président du parlement. Ce fut la seconde chance de l'hôpital Saint-André. Horrifié par ce qu'il découvrit, Nicolas Bohier légua, par son testament du 25 mars 1538, la presque totalité de ses biens à l'hôpital pour alimenter et nourrir à jamais les pauvres de Dieu " Portant désormais le nom d' " hôpital Neuf ", on entreprit dès 1539, la construction de bâtiments nouveaux. Cette période faste pour l'hôpital Saint-André, se poursuivit jusqu'en 1614, date à laquelle l' " hôpital Neuf " s'avéra lui aussi insuffisant pour recevoir les milliers de personnes frappées par les épidémies de grippes infectieuses et de peste. Enfin, en 1825 fut lancé, grâce à l'appui du Duc de Richelieu, un concours pour la construction d'un nouvel hôpital, les fonds étant fournis par la dotation Richelieu et par le produit de ventes des rentes et d'emprunts. Et le 4 novembre 1829 était remises au maire de Bordeaux les clés du nouvel hôpital, fruit du travail de l'architecte Jean Burguet, devant une foule enthousiaste. Après 440 ans d'existence, et de " bons et loyaux services ", le viel hôpital de Vital Carles n'est plus, et ses locaux sont transformés en caserne. EN 1938, un arrêté de Maire ordonne sa totale démolition et ouvre une voie sur son emplacement. En 1860 cette voie sera baptisé rue Vital Carles.
Edité par Paris, P. Didot, 1818
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture rigide. Etat : Très bon. Edition originale. In-8 de (VI)-420 pp., cartonnage moderne, pièce de titre, entièrement non rogné. Edition Originale. Analyse et remèdes par le philosophe Pierre-Simon Ballanche au malaise qu'il discerne dans la société française de la Restauration, dix ans avant la publication des Essais de Palingénésie Sociale. Besoin d'institutions nouvelles ; Du trouble des esprits au sujet du sentiment religieux ; Nouvelles preuves que la société a été imposée à l'homme ; Conséquences de l'émancipation de la pensée dans la sphère des idées religieuses. de la littérature et des arts. des idées politiques, etc.
Edité par Paris : C.F. Patris, 1803
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-8° broché de (4)-281 pp., exemplaire en état de parution à grandes marges, non rognées. Au début du XIXe siècle, Etienne Pacot, ex-curé d'Heuilley-le-Grand, fut condamné à mort pour avoir empoisonné un cabaretier de son village et son épouse. Cette affaire connut un grand retentissement à l'époque. Les déboires du prêtre s'achevèrent après qu'il se fut pourvu en cassation : un nouveau procès eut lieu devant le tribunal criminel de Lons-le-Saunier et il fut innocenté.
Edité par Paris : Librairie phalanstérienne, décembre, 1850
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture rigide. Etat : Très bon. Edition originale. In-8° relié cartonnage bradel, pièce de titre de chagrin, plats de couvertures conservés, 63 pages et catalogue de l'éditeur in fine. Ce manifeste socialiste est un catéchisme sur les idées de liberté et d'égalité, impliquant la démocratie directe au sens rousseauiste du terme. Au départ disciple de Fourier, Prosper-Victor Considérant (1808-1893) fonda sa propre voie vers le socialisme en fondant le "mouvement sociétaire" dont le manifeste fut publié en 1841.
Edité par Paris, Pagnerre, 1848
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Couverture rigide. Etat : Très bon. In-16, 36 p. Rare EO de ce manuel qui fut composé à l'initiative du ministre de l'Instruction Carnot. Rapidement rédigé par Renouvier, il fut publié en mars. Exprimant « en formules parfois très accentuées un idéal politique parfois voisin du socialisme, qui dépassait à coup sûr les conceptions libérales et généreuses, mais exempte de tout socialisme systématique du ministre républicain » (Foucher, Jeunesse de Renouvier, p. 155-167), ce Manuel précipita en juillet la démission de Carnot, accusé par des députés conservateurs d'avoir utilisé l'argent public pour disséminer des « écrits dangereux ». La destruction de cette première édition ayant été ordonnée par le ministre nouvellement nommé, Renouvier en reprit la propriété et prépara une deuxième édition revue et augmentée qui parut en décembre 1848. Magis 48, 332.
Edité par Genève, 1813
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, paginé 269-404 - - - Exemplaire en état de parution - - Parmi les autres contributions citons : DUGALD STEWART : Note sur un enfant aveugle et sourd - MARY EDGEWORTH : THE ABSENTEE La famille irlandaise - - - - - Emmanuel de Fellenberg Philipp Emanuel von Fellenberg, pédagogue et agronome suisse, né à Berne le 27 juin 1771, d'une riche famille patricienne, mort le 21 novembre 1844 à Münchenbuchsee. Il étudie le droit à l'université de Tübingen (1789) et commence à travailler à Colmar dans l'Institut d'éducation de Pfeffel. Après avoir étudié les divers modes d'éducation, ceux surtout de Johann Heinrich Pestalozzi, de Gottlieb Konrad Pfeffel, de Saltzmann, il voyage en Suisse, au Tyrol, en France (1795) et en Allemagne puis, lorsqu'éclate la révolution de Berne en 1798, accepte de commander le district supérieur du canton. En 1799, il démissionne et fonde, dans le domaine jusque-là désert d'Hofwyl, près de Berne, un Institut agricole, auquel il joignit successivement un Institut de Pauvres ou école d'industrie, un Institut de jeunes Nobles (1808), qui offrait un système complet d'études, un Institut normal pour former des instituteurs, embrassant ainsi toutes les parties de l'éducation et une salle d'asile. Ces divers établissements, où affluaient des élèves de toutes les parties de l'Europe, prospérèrent de son vivant ; mais ils succombèrent peu après sa mort. Fellenberg voulait faire de l'agriculture un moyen d'éducation pour les pauvres, et couvrir par le produit du travail des élèves les frais d'éducation. En 1833, il devient landaman de Berne et correspondant de l'Institut de France.
Edité par (Paris) : Impr. de Cellot, (date de publication non identifiée, 1872
Vendeur : Librairie Lalibela, Ckelles, PARIS, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Très bon. Edition originale. In-4° broché sous couverture de papier ancien relié par une cordelette, 15 pp Charles Longuet, né le 14 février 1839 à Caen (Calvados) et mort le 5 août 1903 à Paris, est un militant socialiste, membre de l'Association internationale des travailleurs, et personnalité de la Commune de Paris, par la suite devenu le gendre de Karl Marx en épousant sa fille aînée Jenny Marx. Né dans une famille monarchiste, Charles Longuet commence son droit à Paris en 1860 et devient opposant au Second Empire. Il fonde les journaux Écoles de France et Rive Gauche où il publie, en anglais, le préambule et les statuts provisoires de l'Association internationale des travailleurs rédigés par Karl Marx. Ses activités politiques le contraignent à s'exiler en Belgique, puis en Angleterre, où il entre dans la franc-maçonnerie. En 1866, il devient secrétaire correspondant pour la Belgique au conseil général de l'Internationale. Il est arrêté, début 1866, lors d'une réunion au Café de la Renaissance, place Saint-Michel à Paris, en compagnie de Gustave Tridon, Raoul Rigault, des frères Levraud, Dacosta, A. Verlière, Genton, Eugène Protot, Largilière et Landowski. C'est l'avocat Gustave Chaudey qui assure leur défense. Il revient à Paris en 1870. Pendant le siège de Paris par les Allemands (septembre 1870-mars 1871), il devient membre du comité central républicain des Vingt arrondissements et chef du 248e bataillon de la garde nationale. Du 27 mars au 12 mai, il est rédacteur en chef du Journal officiel (édition de Paris). Aux élections complémentaires du 16 avril, il est élu au conseil de la Commune par le 16e arrondissement et siège à la commission du Travail et de l'Échange. Il vote contre la création du comité de Salut public et fait partie de la minorité au conseil de la Commune. Après la Semaine sanglante, il se réfugie à Londres. Il est condamné à la déportation par contumace par le conseil de guerre. Redevenu membre du conseil général de l'Internationale, il vote l'exclusion de Mikhaïl Bakounine en 1872. La même année, il épouse Jenny Marx, la fille aînée de Karl Marx. Le couple aura quatre enfants : Jean (1876-1938), Edgar (1879-1950)3, Marcel (1881-1949)4 et Jenny (1882-1952). En 1874, il est nommé professeur au King's College d'Oxford. Il revient à Paris après l'amnistie de 1880. Il collabore au journal La Justice de Clemenceau et s'oppose à Jules Guesde dans la diffusion des idées marxistes par vulgarisation à la française Il participe en 1880-1881 à l'Alliance Socialiste Républicaine et il est candidat à diverses élections législatives dans la Seine (1885, 1889 et 1890, sénatoriales de 1900), mais échoue. Il est conseiller de Paris pour le Quartier de la Roquette (XIe arrondissement) de février 1886 à avril 1893. En 1894, Il devient inspecteur de l'enseignement des langues vivantes dans les écoles de Paris.
Date d'édition : 1933
Vendeur : PRISCA, Paris, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Moyen. Edition originale. IN-8 broché, 160 pages. Sommaire : Fédor Dostoïevski, Boris de Schloezer: Les carnets de L'Idiot, Pages 545-567 --- Paul Claudel: Le point de vue de Ponce Pilate, Pages 568-583 --- Antoine de Saint-Exupéry: Une Planète, Pages 584-587 --- Bernard Groethuysen: À propos de Kafka, Pages 588-606 --- Franz Kafka: Le Terrier, Pages 607-615 --- André Malraux: La Condition humaine (IV), Pages 616-643 --- Alain: Propos, Pages 644-645 --- Marcel Arland: Portrait français de Montaigne, Pages 646-653 --- Marcel Arland: Sur le roman, Pages 654-663 --- Marcel Arland: Les Fiançailles, par Jacques de Lacretelle, Pages 654-663 --- Marcel Arland: Le Mémorial secret, par Guillaume Gaulène, Pages 654-663 --- Benjamin Crémieux: L'anti-réalisme au théâtre, Pages 664-670 --- Boris de Schloezer: Richard Wagner, Pages 671-675 --- Denis de Rougemont: Pétrarque, par Charles Albert Cingria (Les Cahiers Romands), Pages 676-678 --- Jean Grenier: Corse et Provence, par Charles Maurras (Flammarion), Pages 678-681 --- Jean Grenier: Promenade italienne, par Charles Maurras (Flammarion), Pages 678-681 --- Jean Grenier: Le Voyage d'Athènes, par Charles Maurras (Flammarion), Pages 678-681 --- A. Rolland de Renéville: Les Minutes de sable mémorial, par Alfred Jarry (Fasquelle), Pages 682-686 --- A. Rolland de Renéville: L'Amour Absolu, d'Alfred Jarry (Les Marges), Pages 682-686 --- A. Rolland de Renéville: La dernière Mode, par Stéphane Mallarmé (Publications of the Institute of French Studies), Pages 687-688 --- Léon-Paul Fargue: Routes, par Marcel Abraham (Les Terrasses de Lourmarin), Pages 688-689 --- Jean Wahl: Poems 1909-1925, by T. S. Eliot (Faber and Faber), Pages 689-690 --- Bernard Groethuysen: The Arts of painting and sculpture, by Roger Fry (Victor Gollancz), Pages 690-691 --- Julie Sazonova: Les marionnettes de Salzbourg, Pages 691-693 --- André Lhote: Dessins de Matisse (Galerie Pierre Colle), Pages 693-695 --- Julien Benda: Saint François de Sales, Introduction à la vie dévote, par Fabius Henrion (Mame), Pages 696-696 --- Jean Guérin: Correspondance, de Benjamin Constant et d'Anna Lindsay (Plon), Pages 696-696 --- Emmanuel Boudot-Lamotte: Paul Lecène, par Henri Mondor (Masson), Pages 696-697 --- Jean Guérin: La Tourmente, par Fred Bérence (Rieder), Pages 697-697 --- Jean Guérin: Le Ressac, par Maurice Betz (Émile-Paul), Pages 697-697 --- Jean Guérin: Au large de l'Éden, par Roger Vercel (Albin Michel), Pages 698-698 --- Denis Saurat: Le roman des Quatre Jours, par Pierre Jeanneret (Alexis Redier), Pages 698-698 --- Jean Guérin: Comme un vol d'oiseau, par Kathleen Coyle (Plon), Pages 698-698 --- Denis Saurat: Les Trois Soeurs, par May Sinclair (Alexis Redier), Pages 698-699 --- Jean Guérin: Le meilleur des mondes, par Aldous Huxley (Plon), Pages 699-699 --- Henri Pourrat: Roses, Coeurs, Châteaux, par A.-P. Herbert (Plon), Pages 699-699 --- André Gide: Le communisme et le problème de la guerre, Pages 699-702 --- Jean Guérin: Transition, Pages 702-703 --- Anonymes: Mémento, Pages 703-704 --- Anonymes: M. Chastenet, directeur du Temps, faisait récemment une conférence., Pages 704-704 --- Anonymes: Le Phare de Neuilly publiera dorénavant, dans chacun de ses numéros., Pages 704-704 --- Anonymes: Pour un Tableau de la Poésie en France, Pages 704-704.
Edité par Nouvelle Revue Française, 1934
Vendeur : PRISCA, Paris, France
Couverture souple. Etat : Bon. IN-8 broché, 160 pages. Sommaire : André Suarès: Vues sur l'Europe (I), Pages 641-655 --- Léon-Paul Fargue: Les quatre journées d'Acajon Barogne : Démons, Pages 656-659 --- Robert Sébastien: Les Plaisirs de l'Amour (Fin), Pages 660-680 --- Jean Wahl: Connaître sans connaître, Pages 681-685 --- André Chamson: L'année des vaincus (Fin), Pages 686-720 --- J. Pouterman: Le Congrès des Écrivains soviétiques, Pages 721-750 --- Alain: Propos, Pages 751-753 --- Albert Thibaudet: La Comédie politique, Pages 754-762 --- Marcel Arland: Anny, par Marc Bernard, Pages 763-768 --- Marcel Arland: Blanc, par Louis Francis, Pages 763-768 --- Marcel Arland: Les Idoles, par Maurice Meunier, Pages 763-768 --- Marcel Arland: La Mauvaise Fréquentation, par Gaston Bonheur, Pages 763-768 --- Marcel Arland: Impatience, par Irène Jeanne, Pages 763-768 --- Julien Benda: Du corporatisme, Pages 769-774 --- Charles-Albert Cingria: Richard Wagner, par Paul Claudel (La Revue de Paris), Pages 775-780 --- Charles-Albert Cingria: Écoute, ma fille, par Paul Claudel (Éditions de la Nouvelle Revue Française), Pages 775-780 --- Charles-Albert Cingria: Positions et Propositions, II, par Paul Claudel (Éditions de la Nouvelle Revue Française), Pages 775-780 --- Julien Benda: Les origines de l'Europe et de la civilisation européenne, par Christopher Dawson (Rieder), Pages 780-782 --- Jean Schlumberger: Comme il vous plaira, de Shakespeare (Théâtre de l'Atelier et Théâtre des Champs-Élysées), Pages 782-784 --- Benjamin Crémieux: As you like it, Pages 784-786 --- André Lhote: Sur la matière picturale, Pages 786-790 --- Jean Grenier, Jean Guéhenno: Journal d'un homme de quarante ans, Pages 790-791 --- Aldo Capasso: Celle qui annonce la nuit, Pages 791-792 --- Anonymes: Mémento, Pages 792-792 --- H. Le Savoureux: Réponse à M. Mourgue, Pages 793-794 --- Jean Schlumberger: Élections au village, Pages 795-796 --- Julien Benda: La récolte est abondante, Pages 796-796 --- Julien Benda: En marge d'un régicide, Pages 796-797 --- Antonin Artaud: Annabella au Théâtre des Champs-Élysées, Pages 797-797 --- Jacques Audiberti: Chiens écrasés, Pages 798-798 --- René Daumal: La pataphysique du mois, Pages 798-799 --- Henri Pourrat: Octobre, Pages 799-800.
Edité par Chez l'auteur, 1978
Vendeur : Librairie Françoise Causse, COURTENAY, France
Livre
Couverture souple. Etat : Bon. Broché, 147 pages. 14,5x21 cm. Second plat de couverture partiellement déchiré et recollé. Intérieur comme neuf.
Edité par Paris, Hachette, 1935 - 1936,, 1936
Vendeur : Librairie Historique F. Teissèdre, PARIS, France
Membre d'association : ILAB
Edition originale
3 vol. in-16, 518 pp., un f. n. ch., avec un portrait hors texte ; 395 pp., un f. n. ch. ; 409 pp., un f. n. ch., brochés. Édition originale. L'ouvrage fait suite aux Intimités du Second Empire (1931, en trois volumes), qui avaient essentiellement été rédigés par des souvenirs recueillis de témoins d'une génération au-dessus de celle de Ferdinand Bac (1859-1952). Ici, il s'agit des mémoires mêmes de l'auteur, dont l'exceptionnelle longévité fit le témoin de tant de personnes et d'événements : il fréquenta en effet Adolphe Thiers, Gambetta, Richard Wagner, Victor Hugo, Taine, Villiers de L'Isle-Adam, Paul Verlaine, Maurice Barrès, Barbey d'Aurevilly, Alphonse Daudet, Guy de Maupassant, Verdi, Gounod, Pierre de Nolhac, et on en oublie. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT.
Avant-propos, traduction et annotation philologique par Louis-Pilate de Brinn' Gaubast. Etude critique et commentaire musicographique par Edmond Barthélemy. Paris : Editions Dentu, 1894. In-8 demi-toile à la bradel avec pièce de titre (reliure de l'époque), 633 pages. Une petite tâche au dos de la reliure et papier jauni en marges sinon bon état. Livres.
Date d'édition : 1900
Vendeur : LIBRAIRIE PIMLICO, MELUN, France
Edition originale Signé
Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. Catulle Mendès, né à Bordeaux le 22 mai 1841 et mort à Saint-Germain-en-Laye le 7 février 1909, est un écrivain et poète français. Catulle Mendès est issu d'une lignée de Juifs portugais. Après une enfance et une adolescence à Toulouse, Mendès arrive à Paris en 1859. Il se fait connaître en 1860 en fondant La Revue fantaisiste, à laquelle collabore notamment Villiers de l'Isle-Adam. Il publie en 1863 son premier recueil de poèmes, Philoméla, et sympathise avec Théophile Gautier jusqu'à ce qu'il décide d'épouser sa fille, Judith Gautier, le 14 avril 1866. Théophile Gautier n'assistera pas à la noce À la suite d'un voyage en Allemagne qui le laisse ébloui, Catulle Mendès se range avec ardeur dans le camp des défenseurs du compositeur Richard Wagner.Il entre ensuite dans le groupe d'écrivains qui se réunit chez Louis-Xavier de Ricard tout d'abord, chez Leconte de Lisle ensuite, où François Coppée, Léon Dierx, José-Maria de Heredia et Théodore de Banville comptent parmi les habitués. Sous l'impulsion de Louis-Xavier de Ricard et de Catulle Mendès, naît le Parnasse, dont Mendès se fera l'historien en publiant plus tard La Légende du Parnasse contemporain. Il participe activement aux recueils du Parnasse contemporain. Le couple Mendès/Gautier ne durera pas. Vers 1869, peut-être même dès 1866, Catulle Mendès entretient une liaison avec la compositrice Augusta Holmès. Après la séparation de son couple en 1878, Mendès s'installe chez Augusta Holmès. Mendès et Holmès auront cinq enfants : Raphaël (1870-1896), Huguette, Claudine, Hélyonne et Marthian (+ jeune avant de se séparer en 1886, après qu'Augusta eut, semble-t-il, été ruinée par Mendès3. Les trois filles sont le sujet du tableau d'Auguste Renoir, Les Filles de Catulle Mendès. Hélyonne, épousera Henri Barbusse. Par la suite, Mendès, qui avait trois autres fils, Marcel, Raymond et Robert, se remarie avec la poétesse Jeanne Nette, qui sera sa compagne et dont il aura également un fils, Primice Catulle Mendès5 (1897 - Chemin des Dames, 23 avril 1917, mort pour la France), filleul de Sarah Bernhardt. D'une dernière relation avec la comédienne Marguerite Moreno (1871-1948), il aura un dernier fils. Le 8 juin 1891 il se bat en duel avec René d'Hubert directeur du Gil Blas. Le corps sans vie de Catulle Mendès est découvert le 7 février 1909 dans le tunnel de chemin de fer de Saint-Germain-en-Laye : on a supposé qu'il avait ouvert la porte de son wagon en se croyant à destination. L'oeuvre de Catulle Mendès, très abondante, est tombée dans l'oubli. Il est considéré comme le représentant d'une esthétique fin-de-siècle, utilisant, avec une certaine préciosité, un vocabulaire recherché et brillant. Les critiques de l'époque lui reprochaient une superficialité et une manière ostensible de suivre la mode du jour. Sa poésie, au parfum décadent, était très appréciée de Verlaine. Il est également l'auteur de courts récits érotiques. Signé par l'auteur.
Edité par Michael O'Mara books, 1990
Vendeur : Frederic Delbos, Lussan, OC, France
Livre
Couverture rigide. Etat : Comme neuf. Ref 47712. Reliure editeur sous jaquette illustree. Ouvrage en langue anglaise.
Vendeur : librairie le vieux livre, Illiat, AIN, France
Premières loges ,2005 ,in-8 de 178 pages ,broché ,Bon état , .Isbn : 9782843852060.LA LIVRAISON par la poste en lettre suivie ou colissimo suivi est de 5,90 euros par commande (FRANCE métropolitaine) ,quelque soit le nombre de livres commandés. CONFIRMATION de l'expédition par mail, SUIVI de commande en ligne. Merci pour votre commande !.
Vendeur : librairie le vieux livre, Illiat, AIN, France
Plon ,1960 ,in-8 de 497 pages ,broché ,Bon état , .LA LIVRAISON par la poste en lettre suivie ou colissimo suivi est de 5,90 euros par commande (FRANCE métropolitaine) ,quelque soit le nombre de livres commandés. CONFIRMATION de l'expédition par mail, SUIVI de commande en ligne. Merci pour votre commande !.
Edité par Editions Artistiques "Miranda", 1935
Vendeur : Librairie du Cardinal, GRADIGNAN, France
Edition originale
souple. 1 vol. in-4 br., Album Souvenir par les Editions Artistiques "Miranda", 20 ff., s.d. [ 1935 ] Belle plaquette de luxe éditée à l'occasion de la représentation, contenant notamment une belle illustration par Jacques Le Tanneur, et un bois gravé par Vettiner. Bon état. Langue: Français.
Edité par Paris : Muller et Cie
Vendeur : PRISCA, Paris, France
Edition originale
Couverture souple. Etat : Bon. Edition originale. In-8° broché, 61 pages Textes français et allemand en regard. Traduction en prose de J. G. Prod'Hommes avec introduction et analyse de l'oeuvre.