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    Couverture souple. Etat : Neuf. #Broché : 224 pages #Parution : octobre 2023 #Résumé : Pour le Koongo dont le mental est de souche, lusàmbulu (la prière) implique une action. Pour en comprendre la nature, observons le bouc qui frappe les tombes du village avec sa patte. Lusàmbulu représente un travail de la volonté et des mouvements. Mwaana (l'enfant). Dans toutes les civilisations, l'enfant représente l'espoir d'un monde meilleur. Au-delà de cet espoir, les Koongo de souche le rattachent au nombre 12, représentation du monde dans sa globalité. Les grands ngaanga considèrent que l'enfant est constitué de 12 énergies qui lui permettront plus tard de rénover le lignage et le monde. En effet, l'univers mental koongo est constitué de 12 lignages issus des Ancêtres Nsaku, Mpanzu et Nzinga. Buzitu (le respect) vient du verbe zitisa (respecter). Dans zitisa, nous avons zita ou n'zita ou encore muzita. Dans le langage courant, muzita désigne aussi bien un petit paquet d'aliments qu'une nourriture de voyage, d'où le proverbe : muzita ngana ka ba bukunini'aka wa yakà ko (On ne coupe pas le manioc sur un aliment d'autrui). Ngaanda (la polygamie) existe partout, même dans les pays qui ont adopté officiellement la monogamie. Chez les koongo dont le mental est de souche, l'entretien de maîtresses ou d'amants est condamnable car ceci constitue une forme de polygamie sournoise et hypocrite. La société ne tolère aucune hypocrisie. Les cachoteries sont inadmissibles.