Voici l’histoire d’un homme politique qui, de bassesses en bassesses, s’élève jusqu’au rang de ministre de la Marine et des Colonies. Le narrateur, secrétaire privé du héros, semble afficher pour son patron une vénération dépourvue de tout discernement.
Son Excellence fut publié après la mort d’Eça de Queiroz. Il fait partie, avec Le Crime du Padre Amaro, Le Cousin Bazilio et Les Maia, d’une suite visant à décrire la société portugaise telle qu’elle existait depuis 1830. C’est sans doute une des satires les plus violentes jamais écrites sur les mœurs politiques. Conçu comme un hommage rendu à Son Excellence le comte d’Abranhos par son secrétaire particulier, c’est en réalité l’étalage des forfaits et infamies commis par ladite Excellence pour accaparer le pouvoir et le garder. D’une irrésistible drôlerie, d’une méchanceté à peine exagérée, ce livre sulfureux n’a rien perdu de son actualité.
« Dissimulé derrière l’hagiographe, l’écrivain fait assaut d’ironie et de cynisme. Il ne laisse rien en place, moque l’État et la bourgeoisie, ricane contre l’Église, dénonce les prétentions de la presse ; la famille n’est elle-même qu’un déplorable arrangement d’intérêt... On se croirait chez Swift ou Hogarth. » (Patrick Kéchichian, Le Monde, 28 décembre 1998)
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Figure de proue du réalisme au Portugal, il reste dans la littérature universelle non seulement comme un observateur clairvoyant de la réalité sociale, mais comme un virtuose de l'humour et de l'ironie. Avec Fernando Pessoa et Luis de Camões, il est l'un des figures maîtresses du Panthéon littéraire portugais.
Voici l’histoire d’un homme politique qui, de bassesses en bassesses, s’élève jusqu’au rang de ministre de la Marine et des Colonies. Le narrateur, secrétaire privé du héros, semble afficher pour son patron une vénération dépourvue de tout discernement.
Son Excellence fut publié après la mort d’Eça de Queiroz. Il fait partie, avec Le Crime du Padre Amaro, Le Cousin Bazilio et Les Maia, d’une suite visant à décrire la société portugaise telle qu’elle existait depuis 1830. C’est sans doute une des satires les plus violentes jamais écrites sur les mœurs politiques. Conçu comme un hommage rendu à Son Excellence le comte d’Abranhos par son secrétaire particulier, c’est en réalité l’étalage des forfaits et infamies commis par ladite Excellence pour accaparer le pouvoir et le garder. D’une irrésistible drôlerie, d’une méchanceté à peine exagérée, ce livre sulfureux n’a rien perdu de son actualité.
« Dissimulé derrière l’hagiographe, l’écrivain fait assaut d’ironie et de cynisme. Il ne laisse rien en place, moque l’État et la bourgeoisie, ricane contre l’Église, dénonce les prétentions de la presse ; la famille n’est elle-même qu’un déplorable arrangement d’intérêt... On se croirait chez Swift ou Hogarth. » (Patrick Kéchichian, Le Monde, 28 décembre 1998)
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