Être de la classe ouvrière et construire une vie intérieure épanouissante qui permet la réalisation de soi est une expérience lourde et décousue pour de nombreuses femmes de classe roi. C'est particulièrement le cas pour ceux d'entre nous qui cherchaient « quelque chose de plus », une aspiration anonyme que nous savions reconnaître quand cela se produirait. Afin de nommer cette chose, (education? bourse ?) Il s'étire un gouffre inconnu et une expérience ressentie qui est potentiellement si blessante qu'elle est inconnaissable en soi. Un examen de la littérature croissante sur l'expérience et l'intérieurité senties par la classe ouvrière démontre les limites des instances critiques existantes, à la fois marxistes et féministes. La conscience théorique croissante montrée pour les subjectivités n'a pas été étendue à l'identité de classe. Cette thèse examine la trajectoire émotionnelle souvent décrite de nombreuses femmes de la classe ouvrière dans les universités. En engageant par réflexe cet espace émotionnel non langagé et en appliquant une lecture de classe aux positions du sujet qui créent et représentent l'aspiration, je cherche à proposer des instances critiques renouvelées pour des représentations fictives (et théoriques).
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Destinations, frais et délaisVendeur : Mispah books, Redhill, SURRE, Royaume-Uni
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